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La Formation - épisode 01

Aphrodite
4 juillet 2015
La Formation - épisode 01

Bonjour à tous

Je m'appelle Sophie et j'ai 22 ans. Physiquement on peut me considérer comme belle.
Je suis blonde aux yeux bleus et ai une "bouche à bite" (j'adore quand on me dit ça).
J'ai des petites fesses musclées et mes 90C m'ont valu de nombreux compliments tout au long de mon adolescence.

Je suis principalement attiré par les hommes mais j'ai déjà couché avec quelques filles.

Si vous ne me connaissiez pas, vous pourriez penser que je suis une fille sage. Mais vous vous tromperiez. Enfin, pas entièrement. Pour l'instant, j'agis comme une fille parfaitement sage. Je suis célibataire mais évite de trop baiser d'inconnus. J'aimerais en baiser plus mais je n'ai pas encore le courage de subir le regard des autres.
Mais vous vous tromperiez quand même. Car au fond je suis une énorme salope. Je le sais pour plusieurs raisons.

A chaque fois que je regarde du porno, je regarde des vidéos de domination où les filles sont traitées comme des vraies grosses putes et où elles prennent des kilomètres de bite.

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En plus de regarder ces vidéos, je m'imagine à leur place. Et ça m'excite tellement. C'est mon fantasme d'être réduit à l'état d'objet sexuel, et à chaque fois que je m'imagine en train de faire la salope ma chatte devient instantanément trempée.

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J'écris cette histoire car j'ai pris une décision.
Cela fait maintenant 2 ans que j'ai ce fantasme, et j'ai décidé de le réaliser.
Aujourd'hui je vais devenir une salope.

Je suis une débutante en la matière, mais je sais à qui m'adresser.

Mon ami John est le plus grand tireur de la ville. Il s'est fait au moins la moitié des filles de cette dite ville.
J'ai déjà couché plusieurs fois avec lui, et j'ai pris mon pied comme jamais.

Je suis actuellement en chemin pour chez lui, je vais lui demander de me former à être une vraie salope. Ma chatte est déjà toute humide à l'idée de cette soirée.
Je me suis habillée spécialement pour l'occasion. Je porte robe qui s'arrête à mi-cuisse. C'est plutôt aguicheur et je trouve que j'ai vraiment l'air d'une cochonne habillée comme ça. Elle me moule vraiment les fesses et j'adore le regard des gens dessus.

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J'ai mis un petit string noir qui laisse voir ma raie quand je marche. Mon soutien gorge est assorti à mon string et met en valeur ma grosse poitrine.

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Je porte aussi des talons à aiguille qui me grandissent pas mal.

Au moment où j'arrive devant la porte, ma chatte est littéralement inondée. Je sens la mouille couler sur ma cuisse ce qui m'excite encore plus et humidifier ma culotte.

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John vient m'ouvrir habillé très simplement. Il porte un jean et un t-shirt et est pied nu. Malgré la simplicité de cet habillage, il est super sexy comme ça.

-Oh salut Sophie qu'est-ce qui t'amène par là?
-Ta soirée est libre? J'ai quelque chose à te demander
-Et bien, mon rencart est en retard d'une heure donc je pense que oui ma soirée est libre, entre je t'en prie.

Il m'offrit un verre de vin et me fit s'asseoir dans son salon.

-Alors voilà, ma requête peut paraître plutôt bizarre...
-Tu peux me dire et j'essaierai de t'aider comme je peux.
-J'aimerais devenir une salope.. et j'aimerais que tu m'apprennes à faire ça dans les règles de l'art...
-Une salope dis-tu...?
-Oui, comme dans les films pornos, celles qui prennent des bites à répétition et qui se font traitées comme des objets. C'est mon fantasme d'être comme ça.

Un court silence s'en suivit.

-Où est passée la sage Sophie ? Dit-il alors en rigolant. Bien sûr que je vais t'aider à faire ça, tu sais que j'ai un faible pour les salopes. Tu veux qu'on commence ce soir?
-Oui puisque tu es libre j'adorerais ça.
-Très bien, commençons, j'aimerais que tu fasses tout ce que je te dis, d'accord?

Bien sûr que j'étais d'accord, de toute façon j'étais bien trop excitée à ce moment là pour faire demi-tour.
Je hochais donc de la tête.

-Bien, lève toi et ne bouge pas.

Depuis que j'étais avec lui, il n'avait pas arrêté de regarder mon décolleté.
Il se leva aussi et fit le tour de moi alors que je ne bougeais pas d'un poil.
Je sentais ses yeux s'arrêter sur mes fesses alors qu'il était derrière moi et je le voyais regarder mes seins.

Après avoir fait 2 tours il s'arrêta derrière moi et resta immobile quelques instants.
Je sentis ses mains se poser sur mon cul, une main par fesse.
J'avais l'impression que mon string était lui aussi en train de se liquéfier. J'en pouvais plus. Je voulais une bite, n'importe quoi, dans ma chatte ou sur mon clito.

Je me rapprochais de lui jusqu'à toucher son bassin. Je pouvais sentir sa bite à travers ma robe et son jean et elle était dure comme du bois. Lui aussi appréciait la situation.
Ses mains retournèrent sur mes hanches et commencèrent à progresser vers mon intimité. Il y arriva bien assez tôt et commença a jouer avec mon clito à travers la robe.

Sa main était douce et savait s'y prendre.

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Ca ne dura que 30 secondes mais quand il s'arrêta il me laissa à la limite de l'orgasme et extrêmement frustrée de ne pas pouvoir jouir maintenant.

-Tu es habillée trop sagement. Dit-il, brisant le silence. Est-ce que tu portes des sous-vêtements?
-Oui j'ai un string et un soutif.
-Oula oula c'est pas bon ça.
Il me mit alors une grosse fessée. Bien que la douleur était cuisante, j'avais adoré. J'aurais aimé qu'il le refasse, encore et encore.
-A partir de maintenant tu dois arrêter de mettre des sous-vêtements, c'est compris??? Me dit-il, plutôt énervé.

Il se mit alors face à moi et me dévisagea de manière très inquisitrice.

-Enlève les.
-Pardon?
-Enlève tes sous-vêtements.

Je l'aurais fait volontiers mais je me sentais tout à coup très pudique, je n'arrivais pas à le faire.

-Enlève tes putains de sous-vêtements! Tu veux être une salope ou pas? Alors enlève tes putains de sous-vêtements.

Je n'en revenais pas. Il venait de me donner un ordre. J'étais partiellement outrée, mais je me rendis vite compte que j'adorais qu'on me donne des ordres comme cela.

Comme la situation m'excitait de plus en plus et que j'avais promis de faire tout ce qu'il voulait, j'enlevais donc mon string trempé par dessous ma robe et baissai mon haut pour enlever mon soutif et lui donnai.

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Il renifla alors mon string. Il devait sentir ma mouille avec tout mon jus dessus.

-Bien, tu es mieux comme ça. Maintenant on va s'occuper de tes fringues, t'es beaucoup trop sage dans ça.
-Mais j'ai déjà l'air d'une pute, surtout avec mes tétons qui pointent comme ça!

J'étais plutôt étonnée, pour moi mes habits étaient le comble de la provocation.

Il m'amena dans une pièce avec plusieurs placards et armoires.
Il m'en montra un et me demanda, ou plutôt m'ordonna de regarder les fringues à l'intérieur et d'en choisir.

Il n'y avait que des mini jupes, mini short et haut très courts.
Je me mis nue pour en essayer mais aucun habit ne m'allait.
Il ne restait qu'un tiroir et c'était celui tout en bas.

J'était toujours nue et je pris une posture très aguicheuse pour l'ouvrir. Je pense que John pouvait voir ma chatte liquéfiée et toute la mouille qui coulait sur ma cuisse.


Je sentis alors une main se poser sur ma fesse droite. Puis j'entendis un bruit de braguette.
Avant même que je ne puisse protester John était en train de me baiser comme un enragé.
-John! Ca va pas ??
Bien sûr je ne protestais que par réflexe, en vrai je n'avais attendu que ça.
Je sentais les coups de pilons remplir mon vagin entièrement.

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Il me baisa sauvagement et au bout d'une minute je sentis la chaleur monter dans mon ventre. J'eus alors un orgasme extrêmement puissant. Je criais comme une pute tellement fort que les voisins de John devaient m'entendre, mais ça m'était égal.

Il continua à me baiser pendant quelques minutes, me faisant jouir 3 fois. Je ne pense pas que je me sois arrêté de crier pendant ces quelques minutes délicieuses. A la fin, il jouit au fond de moi.

-Allez, choisis une tenue et rejoins moi dans le salon. Et ne te nettoie pas la chatte.

Je sentais son sperme chaud à l'intérieur de mon vagin. Je me sentais à la fois souillée de m'être faite violée comme ça et d'avoir sa semence au fond de moi, mais en même temps cette situation me rendait folle. Je voulais encore sentir sa bite au fond de moi.

Je choisis en vitesse un mini-short qui laissait ma chatte entrevue et un débardeur qui s'arrêtait au niveau de mes tétons et mettait ma poitrine en valeur.
Bien sûr je ne mettais pas de sous-vêtement comme John l'avait ordonné et des escarpins très hauts.
J'avais vraiment l'air d'une catin habillée comme cela.



Alors que je le rejoignais dans le salon, le mélange de sperme et de cyprine commençait à gouter de ma chatte.
J'étais encore plus mouillée qu'avant qu'il me baise sauvagement, et je laissais des traces de cyprine sur le sol alors que je marchais
Il m'attendait dans le salon, posé sur le canapé.

-Bien. Agenouille toi devant moi. Je vais établir règles basiques pour toi.
La première, tu la connais déjà: ne jamais porter de sous-vêtements. Toute salope qui ne se respecte pas doit être baisable à n'importe quel moment de la journée, et des sous-vêtements sont bien trop encombrants pour cela.
2: tu dois désormais t'adresser à moi par: Maitre John et me vouvoyer.

L'idée d'être soumise à ce point me mettait vraiment hors de moi.

3: Tu dois t'habiller comme une pute tous les jours. Pour le travail tu peux porter des habits comme ceux que tu avais à ton arrivée, mais pas plus sage.

4: Et finalement, tu dois savoir sucer, faire des gorges profondes, et tout avaler. C'est bien compris?

-Oui c'est compris.

Je reçu alors une gifle offerte de bon coeur. Encore une fois l'excitation d'être traitée comme ça surpassait la douleur.

-Oui qui?!
-Oui Maître John. Veuillez m'excuser.
-Bien, tu commences à comprendre sale pute. Maintenant je veux que tu suces mon chibre, et si je suis pas convaincu par ta performance, tu recevras 5 fessées à la main et 5 avec ma bite.
-Bien maître John.

Il sortit alors sa bite de son pantalon.

Elle était énorme.

Je l'avais déjà vue bien sûr, et déjà sentie au fond de ma chatte, mais à chaque fois que je la voyais ça me faisait le même effet.
Je ne pus m'empêcher de me mordiller la lèvre.

-Bon elle vient cette pipe Pute?
-Oui Maître John.

Je me mis alors à le sucer.
Je sentais sa bite se dresser sur ma langue et coulisser entre mes lèvres. Elle avait un goût délicieux.
Mais lui n'avait pas l'air très content et au bout de 3 minutes il me fit signe d'arrêter.

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-Mets toi à quatre pattes devant moi.

1 fessée. 2 fessées. 3 fessées. J'adorais ça bien que je commençais vraiment à avoir mal. 4Ème fessée, je sentis ma fesse gauche devenir toute rouge. A peine a-t-il finit que j'en veux encore.
-Maintenant je vais te bifler comme la salope que tu es.

Il me gifla ensuite avec sa bite comme si il me giflait avec une main.

C'était encore meilleur que les fessées, en faisant presque aussi mal.
Cela fut terminé bien trop vite.
Il se rassit sur le canapé et me fit geste de me remettre à le sucer.

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Je continuai à m'entraîner à la fellation pendant encore une demi-heure.

En tout il me fit subir 3 fois le châtiment des fessées/bifles.

A chaque fois il me laissait toute en cyprine.

-Bien, je vais bientôt jouir, je veux que tu écoutes mes consignes attentivement.
Une salope comme toi doit savoir avaler comme je te l'ai déjà dit.
Je veux donc que tu te mettes à genoux devant moi et je veux voir dans tes yeux la supplication. Je veux que tes yeux me disent "s'il vous plait maître John permettez moi de boire votre semence". Puis que tu avales chaque goutte de ce jus de vie.
Compris?

Je hochai la tête tout en continuant de le sucer et m'agenouillai.

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Son orgasme me surprit. Elle était à l'entrée de ma bouche quand il vint.
De longs jets me remplirent alors la bouche. Cela semblait interminable. J'essayais d'avaler tout mais il en restait quand même dans ma bouche.

C'était dégueulasse.

Mais cela avait aussi le goût de l'humiliation, et j'adorais ça.

J'en fis tomber une grande quantité, incapable d'avaler plus.
Tout ce que je n'avais pas avalé tomba sur le sol.

Il me regarda, puis regarda le sol, tour à tour.

-Qu'est-ce que j'ai dit?! Me dit-il en me giflant.
-Que je devais tout avaler maître John.
-Est-ce que tu l'as fait?!
-Non, dis-je en baissant la tête.

Je me reçu une autre gifle à ce moment là.

-Non qui?! Cria-t-il.
-Non maître John.
-Maintenant je veux que tu lèches.
-QUOI? Mais c'est dégueulasse! C'est tombé par terre!

Une autre gifle fusa.

-Ta gueule! Tu lèches.

Je me mis à quatre pattes, cambrant mes reins pour mettre en valeur mes fesses. On devait voir ma mouille et mes lèvres qui passaient autour de mon short.

Je me mis alors à lécher tout le sperme et à l'avaler.
Jamais je n'avais autant été humiliée.
Après avoir bus chaque goutte de ce qu'il restait, je me relevai, toute rouge.

-Qu'allons-nous faire maintenant Maître John?
-Tu vas rentrer chez toi et je vais te donner des devoirs. On se reverra la semaine prochaine. Vendredi ça te va?
-Mais vous ne pouvez pas me laisser comme ça! J'ai envie de baiser! Il me faut une bite!
-Hmmm... il faut demander comme une salope pour pouvoir jouir.
-S'il-vous plaît Maître John, pouvez vous me baiser comme la salope que je suis? Je ferais n'importe quoi pour sentir votre bite au fond de mon vagin.
-Hmmm... ça se discute. Je veux bien te baiser si tu promets de faire les devoirs que je te donnerai. On a un marché?
-Quels type de devoirs Maître?
-Je veux que tu suces 1 mec par jour jusqu'à ce qu'on se revoie, un inconnu de préférence. Je tiens aussi à ce que tu ne te masturbes qu'une fois par jour, et je t'interdis de baiser qui que ce soit. Avons-nous un marché?

Le marché était une vraie arnaque. Je savais que je serais super excitée de faire la salope et de sucer des inconnus chaque jour, alors ne me masturber qu'une fois... cela paraissait impossible.

-Marché conclu.

Putain j'étais trop excitée pour refuser.

Il semblait ravi.

Je me levai pour l'embrasser, et sentis directement ses mains sur mes fesses.
Il embrassait comme un dieu, et sa langue occupait tous les recoins de ma bouche. Ce qui ne faisait qu'aggraver mon état. Je pense que si je n'avais pas eu cette bite je serais morte d'angoisse sur le coup.

Il se recula d'un pas et me regarda de haut en bas.

Je le regardais me mater, amusée quand tout à coup il prit mon débardeur à deux mains, et le déchira. Il me retourna ensuite, et me fit me baisser. Il ne prit même pas la peine d'enlever mon mini short.


Il l'écarta juste et commença à me baiser, dans la même position que tout à l'heure.
Décidément il savait s'y prendre avec les salopes.

Il me baisa ainsi pendant au moins 10 minutes. C'était divin.
J'eus 4 orgasmes dans ce laps de temps.

Il se retira de ma chatte et me fit m'allonger sur le canapé. Il me prit alors par derrière, mes jambes étaient sur le côté. Dans cette position mon vagin était plus resserré autour de sa bite, et cela commençait à me faire mal.

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Je voulu lever ma jambe gauche mais il m'en empêchait.
Je devais donc subir les coups de pilon douloureux sans n'y pouvoir rien faire.

C'était néanmoins délicieux.
Je ne comptais même plus les orgasmes et entrai dans une transe.
Le temps ne m'importait plus.
J'enchaînais orgasme après orgasme.

Je n'en sortis que lorsque je le sentis éjaculer en moi.
On était retournés à la position initiale et je ne m'en n'étais même pas rendu compte.
Je me rendis aussi compte que je n'avais pas arrêté de crier depuis qu'il avait commencé, et ça me faisait bizarre d'être silencieuse.

Je sentais aussi son sperme issu de nos deux dernières baises couler hors de ma chatte et sur mes cuisses.
C'était chaud et délicieux.

Il me redonna un débardeur et mes fringues avec lesquelles j'étais arrivée, avec interdiction de les remettre pour rentrer chez moi.
Je devrais donc marcher dans la rue habillée comme une catin en pleine nuit.
Au moins j'avais eu assez de bite pour la semaine...

Ou pas...

Je pris congé et rentrai chez moi.
Les regards des gens sur mon cul et mes tétons qui pointaient encore me confirmèrent que j'en voulais encore.

Je me masturbai une fois cette nuit, ma chatte douloureuse en voulant plus, mais respectant les ordres de mon nouveau Maître, et en étant impatiente pour le Vendredi d'après.

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