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Abricotine
13 juillet 2015
Voici la suite
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La serveuse frappe toujours la deuxième fois
2ème partie
Je sors prendre un peu l'air sur le petit balcon de la chambre, il y a juste de quoi se tenir debout. Le panorama est magnifique, la plage vide, la mer calme et la lune presque pleine qui s'y reflète. Vite, il faut que je prenne une photo !
Je recherche mon appareil photo dans la pénombre quand j'entends frapper à une porte. Je me demande si ce sont les deux femmes qui frappent de l'intérieur de la salle de bain, ou si c'est à la porte de la chambre qu'on frappe, les deux portes se faisant face à l'entrée de la pièce.
Ce sont sûrement les filles dans la salle de bain qui ont fait ce bruit là, mais j'ouvre quand même la porte de la chambre pour être sûr que ça ne vient pas du couloir.
Une silhouette apparaît dans l'entrebâillement de la porte, le son venait donc bien de là. Je mets un temps à la reconnaître, mais ce n'est autre que la serveuse du restaurant ! J'ouvre un peu plus la porte pour mieux la contempler. Si elle a mis tout ce temps pour venir c'est qu'elle est certainement passée chez elle se refaire une beauté. Son maquillage, très léger, suffit à lui donner beaucoup de prestance et un regard extrêmement profond avec ses yeux gris. Ses cheveux roux sont remontés derrière sa tête en chignon.
Elle porte une robe noire de soirée, qui lui arrive juste en dessous des genoux, les bras sont nus et il n'y a pas de décolleté mais la robe est tellement moulante qu'elle ne cache rien de l'opulente poitrine qu'elle abrite, bien au contraire. Et pour finir, elle a une paire de sandales sans talons - elle n'en a pas besoin - dont les lacets remontent haut derrière ses chevilles comme pour flatter la galbe de ses mollets.
- Hello, me dit-elle pour rompre le silence.
Arf, si j'avais su que tu allais finalement venir ma belle je t'aurais gardé un morceau de dessert. Tu aurais même pu récolter le dessert toi même si tu étais arrivé un quart d'heure plus tôt alors que j'étais encore ligoté sur la chaise...
- Hello... Wow you look beautiful !
Je distingue un léger sourire sur son visage en guise de réponse.
Soudain je me rends compte que contrairement à elle, ma tenue est loin d'être aussi avenante. Je suis torse nu, en caleçon et chaussettes, avec des traces de sperme frais sur le ventre, et pour couronner le tout une forte odeur de chatte nous passe sous le nez, entraîné par un courant d'air.
Mais avec le peu de lumière qui rentre dans la chambre elle ne l'a peut être pas remarqué, enfin je l'espère de tout cœur.
Habillée comme elle est, elle veut peut être qu'on sorte quelque part ce soir, mais en l'état c'est difficilement faisable pour moi, aussi je préfère l'inviter à rentrer dans un premier temps dans la chambre en lui désignant l'intérieur de la pièce :
- Do you want to come in ?
Elle fait signe de non avec sa tête, évidemment c'eût été trop beau. Je reste là l'air bête, ne sachant plus quoi lui dire. Mais après tout c'est plutôt logique, n'importe quelle fille un tant soit peu censée, face à un inconnu pas très net, aurait répondu la même chose avant de prendre ses jambes à son cou pour quitter l'hôtel au plus vite.
Mais elle n'a pas l'air pressée de partir, au contraire elle semble même vouloir s'avancer. Je me souviens alors que contrairement aux autres pays d'Europe, en Bulgarie quand on remue la tête de droite à gauche c'est pour signifier l'acceptation et non le refus, ce qui a le don de provoquer de nombreux quiproquos avec nous autres touristes, en voici une nouvelle fois la preuve.
Si elle n'est pas encore partie en courant, c'est qu'elle doit vraiment avoir envie qu'on fasse connaissance. Je la laisse rentrer dans la chambre qui est toujours plongée dans la pénombre, seule la lune apporte un peu de clarté. J'hésite à allumer la lumière, mais je me ravise, c'est peut-être mieux de la laisser ignorante de mon état et de celui de la pièce, et puis c'est aussi beaucoup plus romantique.
Je veux lui proposer de s'asseoir sur la chaise, avant de me rappeler qu'il doit y avoir deux paréos qui traînent pas loin, autant qu'elle ne les voit pas.
Je lui indique le balcon, on y rentre à peine et on est obligé de s'y frôler, mais au moins on prend un peu l'air.
- May I offer you a drink ?
Elle n'a pas l'air de comprendre ou n'a pas bien entendu (ou mon accent est déplorable ?), alors je lui répète en mimant le geste.
- A drink ?
- Yes.
- OK, stay here.
Je rentre dans la chambre et cherche des yeux les bouteilles que les deux filles ont amenées tout à l'heure, elles sont juste à côté du lit, puis je trouve dans une armoire deux verres. Je m'approche du balcon les verres à la main, mais je marque une courte pause pour admirer le spectacle qui m'est donné.
Accoudée au balcon, penchée en avant, elle me présente son cul sous un très joli angle. Sa robe avec son dos pratiquement nu en forme de « V », dont la pointe se termine juste au dessus des reins, n'est à y réfléchir rien d'autre qu'une flèche à destination des explorateurs égarés.
Elle a dénoué ses cheveux quand j'avais le dos tourné, ils se promènent maintenant librement derrière sa nuque et sur ses épaules. La lune brille de plus belle sur sa chevelure qui a pris une teinte argentée éclatante. Le tableau est vraiment magnifique.
Je retourne sur le balcon à ses côtés. On reste quelques minutes ainsi à siroter nos verres, les yeux posés sur l'horizon où ciel et mer se confondent. Inconsciemment - ou pas - on se rapproche petit à petit, et son bras nu fini par toucher le mien, les intentions sont claires.
J'ose un bras autour de son épaule et je l'attire un peu plus vers moi, et dès qu'elle est à portée je viens poser un délicat baiser au creux de son cou après avoir écarter ses cheveux. Guettant sa réaction pour savoir quelle sera la suite, je suis un peu surpris de ne pas la voir réagir. Bon au moins elle ne me repousse pas, alors je continue de faire progresser ma bouche et ma langue sur son cou.
Je parcours sa joue et m'approche dangereusement de sa bouche. Elle réagit à cette approche en se tournant plus vers moi et en posant un léger baiser sur le coin de mes lèvres. Elle revient rapidement à la charge avec un baiser fougueux bien plus appuyé, à la recherche de ma langue.
C'est le signal que je désirais tant, une invitation tacite à aller plus loin dans notre petit jeu de séduction. Je lui retourne son baiser avec autant de passion.
Nous nous embrassons maintenant à pleine bouche, mes mains se promènent dans sa chevelure puis sur son dos, les siennes sont sur ma tête et ma nuque comme pour m'empêcher de m'évader de cette étreinte, Dieu sait pourtant que je n'en ai pas la moindre envie.
La jolie bulgare semble apprécier au plus au point notre étreinte, même si elle aussi semble vouloir aller plus loin, ses mains parcourent violemment mon dos puis prennent possession de mes fesses. Je ne suis pas en reste, ma main se promène également sur son cul, puis je descends encore un peu plus sur sa cuisse et je la prends derrière le genou pour faire remonter sa jambe près de moi. Ainsi positionné je peux reprendre l'initiative, adossée à la balustrade je la penche en arrière au dessus du vide et vient approcher mes lèvres près des siennes.
Elle s'esquive et penche sa tête en arrière à la renverse. Ainsi cambrée, et avec toujours une jambe repliée au niveau de ma hanche, elle rapproche son sexe du mien, ils peuvent ainsi se frôler au travers de nos vêtements.
Excitée par cet homme qui la retient fermement et dont le sexe bandé gigote d'impatience au contact du sien, grisée par les cinq étages de vide sous elle et sans doute aussi un petit peu par l'alcool, je l'entends crier à la lune son bonheur, sa joie ou peut-être sa peur, telle une adolescente prenant pour la première fois un grand 8.
Le bécotage s'éternise, aussi j'essaye d'aller plus loin, et poliment je suis le chemin balisé par sa robe, et après avoir caressé son dos de haut en bas en profitant de la large ouverture dans la robe, je glisse facilement une main plus bas sous son vêtement...
Je descends sur la courbe de ses reins, et je tente de glisser une main plus bas encore à la découverte de son cul largement fléché, je découvre deux fesses nues séparées par une très petite bande de tissu. Ma deuxième main vient rapidement rejoindre la première pour profiter elle aussi des formes délicates de ses fesses. Mais elle ne me laisse pas le temps d'apprécier la douceur de ses courbes, et m'entraîne rapidement à l'intérieur de la chambre.
Décidément, soit je lui ai vraiment tapé dans l'œil, soit elle n'a guère l'occasion de s'amuser avec les garçons du coin, alors dès qu'un étranger s'intéresse à elle, elle saute sur l'occasion, c'est le cas de le dire.
En caressant son dos je me suis rendu compte qu'il y avait encore une étiquette dans le revers de la robe, une de celles avec les conseils de lavage qu'on trouve sur les vêtements neufs.
Ça confirmerait ma seconde hypothèse, elle n'a pas souvent l'occasion de profiter des joies de la vie, et elle a sorti sa plus belle robe pour mettre toutes les chances de son côté, peut être même l'a-t-elle acheté il y a quelques minutes à peine, ce qui expliquerait qu'elle n'a même pas pris la peine de retirer toutes les étiquettes.
Ça expliquerait aussi son comportement jusqu'à présent, pour le moins peu farouche.
Peut-être que les hommes de son âge s'intéressent eux aux touristes étrangères... Étonnant quand-même quand on voit quelle magnifique jeune femme elle est.
Je l'observe s'allonger sur le lit, sa robe remontant petit à petit au fur et à mesure qu'elle recule. J'essaye de deviner ce que je vais trouver sous cette robe noire, savourant par avance ce troisième corps nu qui défile dans mon lit ce soir, le premier que je peux enfin toucher.
Malheureusement il fait un peu trop sombre dans la chambre pour admirer cette sublime rousse se dandiner dans mon lit. Il me reste heureusement suffisamment de clairvoyance pour trouver une solution plus agréable que la lumière artificielle, en tirant le rideau de la grande baie vitrée proche du balcon, la lune comme pour nous encourager à la débauche éclaire de sa douce lumière le lit, laissant le reste de la pièce dans la pénombre, comme les projecteurs au théâtre braqués sur la scène, laissant les spectateurs dans l'ombre et les acteurs ignorants des personnes qui les observent.
Je continue à la contempler, debout à côté du lit. Mais elle ne semble pas disposée à prolonger cette échange de regard, alors elle essaye de détourer mon attention en dénudant ses épaules l'une après l'autre. Les bretelles de sa robe sont pendantes sur ses épaules, je ne distincte pas de soutif, les balconnets semblent intégrés à la robe directement.
Elle veut continuer à dévoiler ses atouts rapidement, mais la robe est très moulante et ne semble pas vouloir se laisser faire si facilement. Je distingue néanmoins la naissance de ses seins, qui ont l'air bien comprimés par son vêtement.
Elle continue à se déhancher pour essayer de baisser sa robe, alors je lui saute dessus pour qu'elle arrête de bouger et pour lui faire comprendre qu'il n'y a pas de raison de se presser, c'est à moi de vous effeuiller charmante demoiselle.
Dans la manœuvre, je l'ai couché sur le dos et je suis à genoux au dessus d'elle au niveau de son entrejambe.
Je lui prends les mains avec les miennes et j'écarte ses bras en croix.
Elle est là complètement offerte, attendant impatiemment que je m'occupe d'elle. Dans cette position elle n'a aucun moyen d'action, et je peux ainsi imposer mon rythme. J'essaye d'être le plus lent possible pour commencer mais c'est difficile, avec d'un coté la belle serveuse bulgare qui telle une tigresse affamée est prête à me sauter à la gorge si je ne m'occupe pas d'elle correctement, et de l'autre côté les images des deux jolies françaises qui étaient là à notre place il y a quelques minutes qui me reviennent en tête comme des flashs.
Je l'embrasse d'abord tendrement sur les lèvres, puis j'y mets de plus en plus de passion et de profondeur, me relevant toujours de tant en tant pour l'observer et vérifier qu'elle est bien sensible à ce que je lui fais. Pas de souci à ce niveau, elle n'a juste pas l'air de comprendre pourquoi je m'interromps si souvent.
Nos mains sont toujours réunies, et c'est ma bouche qui fait tout le travail, se promenant sur son visage, son cou et glissant progressivement vers son buste. Je m'approche de la lisière de sa robe, et je glisse ma langue dans la profonde vallée qui sépare ses seins plutôt bien formés.
Malheureusement bloqué par la robe je ne peux pas descendre plus bas, aussi je me résigne à utiliser mes mains et à lâcher en conséquence les siennes. Elle a visiblement compris le message et me laisse procéder comme je le souhaite. Contrairement à elle tout à l'heure, je n'essaye pas de tirer sur la robe pour la faire descendre, mais plutôt de libérer ses seins du tissu qui les oppresse. Je me penche tout contre eux et je leur explique simplement que je suis là pour les aider à s'émanciper.
Je glisse mes mains dans la robe en passant par les cotés et à peine ai-je poussé légèrement les seins qu'ils jaillissent à l'extérieur comme s'ils avaient compris mon hymne à la liberté.
Je les aide un peu en baissant la robe qui vient plus facilement maintenant qu'il n'y a plus rien pour la retenir et qui fait désormais office de redresse sein.
Ils se dressent aussitôt au garde à vous pour remercier cet audacieux général qui les a libérés de cette robe beaucoup trop moulante.
Je les remercie à mon tour, d'abord en venant poser un baiser sur chacun d'eux, puis en les complimentant, l'un après l'autre. Je ne sais pas si ma belle bulgare a compris ce que j'ai dis, j'en doute, mais je suis sûr que ses seins eux ont compris, le langage de l'amour est universel.
Je ne distingue pas de trace de bronzage sur sa poitrine, soit elle ne va jamais prendre le soleil, mais ça serait un crime en ces lieux, soit elle pratique le bronzage topless voir le bronzage intégral sur la plage naturiste elle aussi !
Je viens la chatouiller sous les seins, et je monte progressivement en intensité avec mes mains pendant que je continue de promener ma langue d'un sein à l'autre. Je l'entends frémir de plaisir quand je m'attaque à ses tétons, d'un coté avec ma bouche, de l'autre avec mon pouce et mon index. J'alterne régulièrement, mes lèvres passant de droite à gauche et inversement pour ne pas rendre un sein jaloux de l'autre.
Ses mains rejoignent les miennes et ensemble nous pétrissons encore et encore ses belles miches. Elle semble y prendre goût d'ailleurs, puisque quand j'essaye de continuer ma progression vers des régions méridionales elle me rattrape toujours, par les cheveux ou par le menton. On dirait qu'elle est devenu accro en quelques minutes aux tâches boulangères.
Peut être que jamais personne n'avait domestiqué ses seins de cette manière. J'avoue que j'y prends goût aussi, quel plaisir de sentir cette poitrine ronronner en réponse à mes caresses.
La serveuse commence a geindre doucement, et glisse une main plus bas pour se caresser au travers de la robe. Je prends ça comme une invitation à continuer mon expédition, direction les plaines inondables du sud, en passant par le dessert du ventre et son oasis nombril, complètement à sec.
Elle a commencé à remonter sa robe pour accéder à son sexe, alors je suis la même route et je continue à la remonter avec son aide. La jolie robe noire moulante de tout à l'heure est maintenant bien moins seyante, repliée autour de la taille de mon amante. Ce n'est sûrement pas très confortable ni très sexy - quoi que - mais on a très envie l'un de l'autre et on ne s'arrête pas à ce genre de considération.
Je continue à glisser vers le bas et découvre bientôt un tout petit string déjà bien trempé. Je me recule un peu pour y accéder plus simplement avec mes mains et je me penche en même temps au dessus d'elle pour la regarder droit dans les yeux pendant que je lui caresse la chatte avec son aide à travers le tissu très fin du string. Elle soutient mon regard quelques instants, mais mes caresses se faisant plus intenses, elle préfère fermer les yeux et gémir de plaisir.
J'attendais ce signal pour venir paître dans son pâturage pubien, qui se trouve être plutôt un marécage après analyse approfondie des lieux. J'ai placé mes épaules sous ses cuisses, son bassin est ainsi légèrement remonté, offrant son sexe sans vergogne à ma bouche avide. Je ne prends pas la peine d'enlever son string, il est tellement petit que je l'écarte simplement d'une main, et il ne semble pas s'en offusquer. De l'autre je viens caresser son ventre brûlant, mon puce descendant de temps en temps frotter son Mont de Vénus.
Malheureusement elle n'a pas l'air très à l'aise dans cette position, et je comprends qu'elle voudrait passer à autre chose. Soit je m'y prends mal, soit elle n'est pas sensible à ce type de caresse ou alors au contraire trop, pourtant il me semble que je reproduis exactement les mêmes gestes que les deux femmes qui nous ont précédé dans ce lit...
Elle me repousse avec force et m'entraîne dans un demi-tour. Je me retrouve couché sur le dos, lui laissant l'initiative. Sa main se promène sur mon torse et commence à descendre petit à petit, mais elle s'arrête net quand ses doigts touchent un liquide poisseux sur mon ventre. Je sens ma belle rousse un peu troublée par cette découverte, elle stoppe ses caresses un temps et je me demande ce qu'elle est en train d'imaginer, mais elle reprend finalement comme si de rien n'était.
Sur d'elle même, elle baisse vigoureusement mon caleçon qui depuis un certain temps déjà avait du mal à cacher la forme prise par le bête qui s'y abrite.
Elle empoigne fermement l'objet de son désir, et me branle quelques instants le temps de prendre ses marques. Puis sans tarder ses lèvres puis sa bouche viennent prendre possession de mon sexe, et je ne peux retenir un gémissement de bonheur quand je sens sa langue qui se promène sur le bout de mon gland.
Mon sexe est encore tout douloureux de l'épreuve que m'ont fait subir les deux françaises, mais un seul regard vers la demoiselle bulgare agenouillée à mes côtés sur le lit et sur ce qu'elle est en train de faire me suffit pour passer outre ce désagrément.
Elle est très douée cette petite, elle joue merveilleusement bien de la flûte, si bien qu'au bout de quelques petites minutes je suis tout prêt de me vider dans sa bouche, mais ça ne ce fait pas, ou en tout cas pas tout de suite.
À mon grand regret et au prix de moult efforts je lui fait signe de s'arrêter, ne pouvant plus tenir longtemps à ce rythme. Peut-être que c'est une pratique courante ici, et qu'elle voulait à tout prix que j'ai un orgasme avec sa fellation, ou alors tout simplement peut-être que je ne comprends rien aux filles bulgares...
La seconde hypothèse me paraît la plus probable, en effet elle bondi hors du lit et vient se coller debout face contre le mur à côté de la table de nuit. Je me demande ce qu'elle fait et ce qu'elle attend de moi, et comme elle se cambre un peu et tourne la tête dans ma direction j'interprète ça comme un appel à venir me coller à elle.
Sa robe autour de la taille cache le haut de ses fesses mais laisse quand même nettement visible les courbes généreuses de son cul.
Je me lève à mon tour pour me rapprocher d'elle, je lui masse d'abord doucement les épaules, je joue un temps avec ses longs cheveux puis je les fait passer devant elle, ils viennent ainsi chatouiller ses seins et me laisse la voie libre sur son dos. Je pose quelques baisers entre ses deux omoplates, puis je reprends mes massages, sur ses épaules et je descends ensuite le long de ses flancs jusqu'aux reins, en appuyant bien mes pouces le long de sa colonne vertébrale, ce qui la fait se cambrer encore plus.
Je viens finalement me coller à elle, et avec ma poitrine contre son dos je ressens sa respiration rapide, puis quand je viens poser mes lèvres dans son cou c'est les palpitations de son cœur que je perçois, elles sont au moins aussi rapides que les miennes. Elle a passé ses mains dans son dos et la recherche de mon sexe qu'elle manipule avec fermeté.
Doucement ma belle, laisse moi faire. Je lui saisis les poignets et les plaque contre le mur. Elle me regarde du coin de l'œil et m'implore certainement de la prendre, mais je préfère prendre mon temps. Je positionne mon sexe, qui se promenait jusqu'alors dans la vallée séparant ses fesses, entre ses cuisses au contact de sa chatte bien que le string empêche encore tout contact direct. Je la bloque plus fermement contre le mur, et machinalement elle ressert les cuisses, mon sexe est maintenant pris dans un fourreau d'une douceur indescriptible.
J'initie quelques mouvements de va-et-vient, et elle se laisse bercer par mes coups de reins. Je remarque aussi qu'elle remue excessivement son buste contre le mur, il doit y avoir là quelques aspérités placées au bon endroit qui semblent la combler puisqu'elle y presse ses seins en rythme. La cire murale qui est du plus bel effet le jour, n'est manifestement pas inutile la nuit non plus.
Ma main droite a lâché son poignet et se promène maintenant sur son dos puis son cul. Mes doigts jouent avec la ficelle du string et s'en servent ensuite pour descendre en rappel plus bas entre ses cuisses, rejoignant ainsi mon sexe. Guider vers la source de chaleur toute proche, ils passent le dernier rempart les séparant du but, et viennent se glisser deux par deux dans ce sexe accueillant.
Elle semble apprécier mon initiative, elle tourne la tête avec un sourire au coin des lèvres, et je m'empresse d'embrasser l'extrémité de ses lèvres qu'elle m'offre à déguster.
Le moment me semble venu de passer un cap, je la libère de mon étreinte et m'éloigne pour aller chercher un préservatif. Je cherche à tâtons ma trousse de toilette qui est heureusement dans ma valise et non pas dans la salle de bain, et pendant que je cherche la capote qui s'y trouve, j'entends derrière moi un peu de bruit et je sens quelque chose me frôler. Quand je me retourne je vois la serveuse sur le balcon, elle a retiré complètement sa robe et il ne lui reste plus que son petit string noir qui a repris sa place. Elle est accoudée au balcon face à moi, et offre ainsi une vue parfaite sur sa demi-lune à qui peut bien le voir 5 étages plus bas.
Ses sandales ont aussi été épargné par notre furieuse envie de nudité, et leurs lacets entourent toujours ses mollets, ajoutant encore un peu de grâce à sa silhouette.
Je me rapproche du balcon avec le préservatif à la main, mais mon regard est focalisé sur la ravissante jeune fille qui s'y trouve et j'ai un mal fou à ouvrir l'emballage puis à l'enfiler. Avec cette fille qui me fixe du regard j'en perd un peu mes moyens et je cafouille mes gestes.
Comprenant mes difficultés, elle se rapproche de moi, mais au lieu de m'aider elle s'agenouille pour reprendre sa pipe où elle l'avait laissé. Pas que ça ne me déplaise, mais il faut qu'elle fasse attention, elle joue avec un volcan en activité, l'éruption peut arriver d'un moment à l'autre.
Elle doit d'ailleurs le ressentir puisque sa langue ne reste pas très longtemps sur mon sexe, et quand enfin j'arrive à positionner le préservatif sur mon gland elle se relève aussitôt. Se retournant face à la mer, elle me donne accès à son fessier généreux. La robe qui fléchée l'entrée n'est plus là, mais ce n'est pas grave, j'ai le plan en tête.
J'approche mon sexe que je fais glisser entre ses cuisses, et elle s'occupe du reste, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire je suis en elle et elle imprime un rythme endiablé.
De nouveau, comme tout à l'heure, penchée au dessus du vide elle ne peut s'empêcher de crier sa joie à la lune, enivrée par le vertige, grisée par l'alcool, comblée par mon sexe qui s'enfonce toujours plus loin en elle et excitée par mes doigts sur son clitoris.
Elle s'agite de plus en plus par dessus le balcon, aussi je décide de la ramener à l'intérieur, ayant moi aussi du mal à tenir encore sur mes jambes, il serait bête de terminer cette nuit par un accident tragique.
Je me laisse tomber sur le lit, l'entraînant avec moi dans les draps encore moites de transpiration et de mouille des deux précédentes occupantes. Elle se place aussitôt à genoux sur moi et vient s'enfoncer sur mon pieu. Ses deux seins qui me font face sont à eux seuls une incitation à la luxure, mes mains y sont irrémédiablement attirées, et tel un pécheur séduit par le chant des sirènes, elles viennent s'écraser contre ces gros rochers, heureusement inoffensifs.
En retour elle fait de même et vient poser ses mains sur ma poitrine, ce qui lui permet des mouvements plus amples et plus rapides avec son bassin.
Complètement envoûté et à sa merci, je ne peux rien faire si ce n'est me laisser aller et apprécier l'instant présent. Et comme elle continue sa chevauchée au galop, je jouis rapidement en elle. Mes gémissements de plaisir sont couverts par les siens qui ne faiblissent pas, tout comme les mouvements de son bassin.
J'ai dû mal à savoir si la serveuse a joui pendant que nous nous ébattions gaiement sous l'œil complice de la lune, j'ose espérer que oui, ça serait un moindre mal après toute l'énergie qu'elle a déployé pour mon plaisir, mais à vrai dire il faut que je reprenne un peu mon souffle avant de répondre à cette question.
La demoiselle est toujours assise sur moi, enfichée sur mon sexe qui a perdu de sa vigueur et penchée en avant jusqu'à venir poser sa poitrine contre la mienne.
Ses mouvements de bassin se perdent petit à petit tandis que nous retrouvons notre souffle.
Le silence revient, et avec lui je sombre doucement dans un rêve éveillé mêlant poitrines, langues, chattes et toutes sortes d'échanges de fluides corporels qui en découlent.
J'entends soudain des applaudissements au loin, que viennent-ils faire dans mon rêve ? Mais est-ce vraiment mon rêve ?
- Bravo ! Merci pour le spectacle.
Quoi ? Mais qui est là ? Je lève la tête en essayant de ne pas alerter la fille lovée contre moi.
Mes yeux se focalisent sur le coin de la pièce où j'étais assis il y a quelques dizaines de minutes, je discerne deux silhouettes, assises l'une sur l'autre sur la chaise.
-Mais... mais vous êtes encore là ?
- Chacun son tour hein ! Me répond Mathilde en se levant.
J'étais complètement obnubilé par la serveuse que je ne les ai pas vu venir, peut-être qu'elle nous observe en silence dans l'ombre depuis le début !
La serveuse n'a visiblement rien vu venir non plus, elle lève la tête et pousse un cri de surprise quand elle voit les deux femmes à côté du lit. Instinctivement elle s'écarte de moi et couvre ses seins avec ses bras.
-Oh Chloé, regarde comme elle est mignonne !
- Oui, on aurait envie de croquer dedans, surtout qu'elle est encore toute excitée la petite, et n'est pas rassasiée après ce que le monsieur lui a fait.
Elles se rapprochent du lit, et pour la mettre à l'aise elles dénouent chacune leur serviette qui cachait jusqu'alors leur nudité.
-C'est pas possible, vous êtes infatigables les filles !
- C'est notre faute à nous si tu l'as laissée dans cet état ? On peut pas décemment la laisser comme ça, me répond aussitôt Mathilde.
Vous y êtes pour quelque chose aussi, dans l'état où vous m'avez laissé je peux plus assurer derrière.
- Ahlala Chloé, t'as vu ces hommes qui veulent toujours avoir raison et qui n'assument rien, dit Mathilde en direction de Chloé.
Fatigué par nos joutes sexuelles, je n'ai plus la force de me lancer dans une joute verbale, et pour seule réponse je me laisse tomber sur le lit, repu.
Elles restent un temps face à face à se défier, Elles devant le lit et la serveuse assise à mes côtés, légèrement recroquevillée. Yeux dans les yeux et seins dans les seins, non pour intimider l'autre mais au contraire pour gagner sa confiance.
Quand le message est passé, Elles commencent à se rapprocher d'elle, à quatre pattes sur le lit. Elles caressent son corps du regard, la bulgare se détend complètement, comprenant ce que veulent les deux jeunes femmes qui l'observent et elle se laisse aller à leurs bons soins. Elle allonge ses jambes en direction des deux françaises qui en profite pour effectuer un premier contact.
Elles m'ignorent complètement, alors que je suis pourtant à quelques centimètres de leur nouvelle proie. Mathilde me dit finalement :
- La pauvre petite, c'est pas avec un petit orgasme que tu l'as comblée. Regarde là, elle est complètement surexcitée. Tu t'y es mal pris mon beau, regarde comment on fait jouir une femme.
Elle s'approche de la demoiselle bulgare, lui retire promptement son string et le lance à Chloé qui n'en demandait pas tant et qui le porte aussitôt à son nez, tandis que Mathilde plonge tête la première vers ce sexe sans défense. La serveuse pousse un cri aigu, presque de douleur.
- Hum elle est hypersensible cette petite chatte, il faut y aller tout doucement, dit Mathilde à Chloé en se relevant. Mais en voyant sa partenaire elle s'esclaffe : Mais qu'est-ce que tu fais ?
En effet, Chloé a revêtu le string sur sa tête, tel un spartiate enfilant son casque avant le combat. La protection n'est certainement pas la même, mais le combat ici est d'une toute autre nature, et ce casque de fortune devient un atout de premier ordre puisqu'il fait office d'inhalateur d'odeur intime, stimulant au possible son porteur.
- J'y peux rien, ça me rend folle cette odeur, répond Chloé.
Une nouvelle scène féerique se joue juste à côté de moi, mais j'ai de plus en plus de mal à suivre. Peut être est-ce le sommeil qui me rappelle à l'ordre, peut être est-ce la délicieuse torture imposée par les deux françaises et le besognage de la serveuse qui m'ont complètement épuisé, ou alors peut être suis-je sous le charme de ces dames et n'ose-je pas les déranger ne serait-ce que du regard de peur de briser la magie qui les entoure ?
Des mots en bulgare parviennent à mes oreilles, mais ils n'ont absolument aucun sens pour moi. J'entends roucouler la serveuse rousse sous les caresses expertes de Mathilde et Chloé, elle semble avoir pris goût au cunni, Elles doivent certainement être plus douées que moi dans le domaine. Puis petit à petit ses gémissements montent en intensité, ils sont différents de tout à l'heure, beaucoup plus graves, ils viennent du plus profond de sa gorge et de son être. Allongé juste à côté d'elle, je perçois ses moindres frissons et ressens son plaisir monter jusqu'à l'orgasme, m'imaginant à sa place.
Le calme semble revenir progressivement, mais ce n'est qu'illusion, la fête n'est pas terminée. Une main saisie mon sexe, le branle un peu pour lui redonner une forme plus honorable, puis des lèvres viennent se poser à son extrémité. J'entends la voix de Mathilde :
-Mais qu'est ce qui te prend Chloé ?
- Ça fait très longtemps que je n'ai plus goûté à ce genre de bonbon, j'en avais très envie, répond cette dernière.
Chloé me lâche rapidement, et je reste allongé sur le lit hébété, je suis loin de tout ce qui se passe autour de moi, mais tellement proche à la fois, ressentant chaque souffle et chaque gémissement sans pour autant pouvoir les identifier correctement.
Je navigue dans un univers de luxure, comme drogué par toutes ces phéromones sexuelles et ces parfums exotiques qui flottent au dessus du lit.
Elles refont l'amour à côté de moi, se collant de temps en temps à moi puis me repoussant, tel un gode ou un autre jouet sexuel - un gode vivant !
Beaucoup d'images se bousculent dans ma tête, j'ai dû mal à comprendre ce qui se passe autour de moi, et même tout simplement s'il se passe réellement quelque chose, ou si je suis dans un rêve complètement déjanté. Et si tel est le cas, depuis quand ?
Ça ne m'empêche pas de caresser et de lécher tout ce qui passe à porter de mes doigts ou de ma langue - parfois repoussé, souvent encouragé - jusqu'à ce que mes forces m'abandonnent complètement, m'entraînant dans un sommeil agité jusqu'au petit matin.

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