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Tout est bien qui finit bien

Muriel 29 août 2015

Bonjour à tous,de retour de vacances je vous propose ce texte trouvé sur internet ( http://revebebe.free.fr/histoires/rvb161/reve16146.html ) et légèrement adapté.Je dois avoué que m'imaginer à la place de cette femme décidée m'a procuré beaucoup de plaisir. Déjà en le lisant une première fois et ensuite lorsque j'ai essayé de la lire à mon ami, je me dois d'avouer que nous n'avons pas réussi à aller jusqu'au bout.... J'ai 29 ans, je vis seul et suis installé au Luxembourg. Mon choix n'a pas été anodin car j'exerce un "métier" qui demande beaucoup de discrétion. En effet, je suis voleur professionnel. Ma spécialité est les œuvres et objets d'art. J'ai autour de moi un petit réseau de collectionneurs et de revendeurs qui me passent des commandes régulières. Je travaille seul, ce qui me permet de rester très discret. Mon pays de résidence n'est pas très regardant sur l'origine de mes revenus et ainsi je ne cours pas grand risque si ce n'est lors de mes cambriolages. Certes, je ne suis pas Arsène Lupin mais mon petit commerce me permet de vivre correctement. La semaine dernière j'ai appris qu'un petit tableau ancien avait été acheté par un couple de retraités parisiens qui l'avait accroché dans leur résidence secondaire située dans la banlieue de Nantes. Le samedi, je prends ma voiture et me rends sur place. Après Angers je quitte l'autoroute et fais un arrêt sur une aire de parking afin de changer les plaques de ma voiture, celles du Luxembourg étant très repérables. Je possède un modèle de grande diffusion qui passe inaperçu, surtout dans une grande ville. Je repère la maison, située en retrait du centre de l'agglomération dans un lieu très calme. Dans la journée du dimanche je fais un petit tour pour me familiariser avec les lieux et décide d'intervenir le soir même. Les propriétaires sont présents mais ils doivent repartir très vite. À une heure du matin, je gare ma voiture à environ deux kilomètres de la maison et sors mon vélo pliant qui me servira pour m'approcher. J'enfile rapidement ma tenue de travail, collant intégral, cagoule, baskets et gants, noirs bien entendu. Un quart d'heure plus tard, je suis arrivé et cache mon vélo dans un fossé. J'enjambe la clôture et me dirige silencieusement vers l'arrière de la maison. Je n'ai vu aucune voiture dans la cour, les volets sont fermés et je suis donc certain que les propriétaires sont absents. La serrure de la porte de la buanderie ne résiste pas longtemps et j'entre, prenant soin de refermer derrière moi. J'allume ma petite lampe torche afin de me diriger vers le salon où le tableau doit se trouver. En quelques instants, j'y suis arrivé et vois le tableau accroché au mur. C'est une petite pièce de 40 cm sur 60. Je le décroche et commence à en retirer le cadre pour le rouler et le transporter plus facilement. Soudain, la lumière s'allume et une voix féminine me crie : •Ne bougez pas, je suis armée. Je reste pétrifié et repose le tableau sur une commode. •Retournez-vous lentement. Je ne maîtrise pas la situation et suis donc contraint de suivre les instructions données. Je me retourne et découvre une femme d'environ 40 ans, vêtue d'une nuisette et qui tient fermement à la main un fusil de chasse. La personne semble savoir se servir du fusil et le ton de sa voix est déterminé. images similaires •Vous souhaitez nous emprunter ce joli tableau qui nous a coûté fort cher, c'est pour votre collection personnelle ? Je reste muet et cherche une solution pour me sortir de cette situation. •Voilà, j'ai deux solutions : je peux appeler la police, mais j'ai peut-être un marché à vous proposer. Je reprends espoir me disant que j'ai peut-être une possibilité de m'en tirer. oJe suis d'accord pour étudier le marché. •De toutes façons vous n'avez pas trop le choix. oNon, en effet. •Avec mon mari nous aimons beaucoup des objets d'art, mais comme vous le savez, certains sont inaccessibles et nous avons parfois recours à des manières détournées de nous le procurer, voyez vous. oJe comprends parfaitement. Vous souhaitez que je travaille pour vous dans ce domaine. •Exactement, mais tout d'abord je veux en savoir un peu plus sur vous et vos capacités. N'ayant pas trop le choix, je lui résume mes activités sans trop me dévoiler. •Eh bien, tout cela me convient, nous allons pouvoir travailler ensemble mais avant que je ne vous laisse repartir il faut régler quelques petites formalités pour ma sécurité et mon plaisir. Je ne comprends pas bien le sens de la fin de sa phrase. •Prenez le bloc-note et le stylo sur cette commode et écrivez : « Je reconnais être entré par effraction dans la maison de M. et Mme Mussy afin d'y voler divers objets. » Vous y mettez votre nom et vous signez. Je m'exécute sans même changer mon nom, sachant que cela ne servirait à rien. •Maintenant, enlevez votre cagoule et vos gants, vous allez laisser vos empreintes sur les meubles et je vais vous prendre en photo, cela vous évitera l'envie de me jouer un sale tour. Elle saisit un appareil photo posé sur le buffet et prend quelques photos. •Par sécurité, je vais mettre la carte mémoire au coffre. Elle pense vraiment à tout et je suis à sa merci. •Bon, maintenant que ces petites formalités sont accomplies nous pouvons passer à la suite. oEt que souhaitez-vous de plus ? •Vous avez enlevé vos gants et votre cagoule, maintenant enlevez le reste. oComment, je ne comprends pas. •C'est pourtant simple, mets-toi à poil, les émotions que tu m'as causées méritent bien une petite récompense. Je suis piégé et il ne me reste plus qu'à obéir. Je retire mes baskets, défait la fermeture éclair de ma combinaison que je fais glisser jusqu'au sol. Je suis maintenant en slip. images similaires •Allez, presse-toi, on arrive au meilleur. Résigné je descends le slip le long de mes cuisses et il rejoint je reste de mes vêtements. •Très bien. Je ne regrette pas d'avoir été obligée de me lever en pleine nuit. Tu es monté à hauteur de mes espérances. Ta queue est bien molle, branle-toi pour qu'elle prenne une taille plus appétissante. images similaires Tout compte fait, la situation m'amuse et m'excite. Je prends ma bite et commence à me branler. Rapidement elle atteint une belle taille et se dresse. images similaires •Arrête-toi et approche. Je m'avance jusqu'à quelques centimètres d'elle et elle me prend la queue à pleine main. images similaires •Il y a un moment que je n'ai pas eu l'occasion, mon mari a eu un problème médical et il ne bande plus. Elle se laisse tomber à genoux et se met à lécher ma bite, remontant du gland jusqu'à sa base. Elle a mis ses mains en conque et me caresse les couilles que je sens durcir. • ne restons pas là, viens, dit-elle m'entraînant, en tenant ma queue par la main, vers sa chambre. Elle me pousse sur le lit et enlève sa nuisette. L'apparition complète de ses seins m'éblouit. Ses seins ne sont pas très gros mais son corps musclé me fascine. Elle s'abat sur moi et m'embrasse à pleine bouche, ses mains avides parcourent mon corps. Je ne suis pas en reste et mes doigts se dirigent vers son sexe et le pénètrent doucement. J'effleure d'abord son clito et je l'entends pousser de petits gémissements. images similaires Lorsque je glisse mes doigts entre ses lèvres intimes elle exhale un soupir et me dit : •je te préviens il va m'en falloir plus, beaucoup plus... Joignant le geste à la parole, elle se soulève et s'empale sur ma queue tendue. Avec des souffles rauques elle rythme ses mouvements. Elle arrive à se soulever et s'empaler de plus en plus vite. images similaires À ses tremblements, je sens qu'elle va vite arriver à la jouissance et essaie de m'activer pour lui donner du plaisir, ce qui arrive très vite. Sans lui laisser le temps de souffler, je la fais basculer sur le lit et la retourne. C'est maintenant moi qui prends l'initiative. Je la fais mette à quatre pattes, images similaires ma bite descend le long de ses fesses, caressant au passage son petit anneau puis pénètre son vagin. Je m'active en elle, je sens mes couilles battre sur ses fesses, son souffle s'accélère. Notre jouissance arrive en même temps. Repus, nous nous allongeons sur le lit, reprenant notre respiration. Sa main se promène sur mon torse, je vois son visage apaisé et son regard voilé. •Je te remercie, il y a longtemps que je n'ai pas eu un tel plaisir. Je crois que notre collaboration commence sous de bons auspices. Bien entendu, tout ça restera entre nous. Après un peu de repos et une coupe de champagne, nous refaisons l'amour. Avant le lever du jour, je m'éclipse et regagne ma voiture. Depuis, je travaille presque exclusivement pour elle et son mari qui, bien entendu, ne sait rien de notre nuit. Elle m'accompagne régulièrement lors de mes activités pour m'assister lors de "missions". C'est surtout le prétexte à de torrides nuits.

Tout est bien qui finit bien

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