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Chloe23 20 novembre 2015

{msg=26714} (Gage) Soir de bac : Chloé en boîte (2) Mon arrivée, en limousine, devant le Club 44 ne passa pas inaperçue. Un groupe de filles et de garçons était sorti pour fumer à l'extérieur, et ils me dévisagèrent pendant que je me dirigeais vers la porte. Ils me prenaient manifestement pour une fille à papa ! Personne ne semblait m'attendre, mais il était près de minuit, et je me dis qu'Hugo devait croire que je lui avais fait faux bond. Je sonnai, quelqu'un me dévisagea à travers un judas grillagé, et je pris une pose sensuelle, laissant glisser une bretelle de mon débardeur. images similaires La lourde porte en bois s'ouvrit. Le portier me sourit, et m'indiqua l'accueil. Un autre homme s'y tenait, assis à un comptoir de verre et d'alu, derrière lequel se trouvait le vestiaire. -L'entrée est à 30 euros, me dit-il. Elle vous donne droit à une consommation. J'ouvris ma petite sacoche, et je poussai une exclamation de dépit : j'avais laissé dans la boîte à gants de ma Clio en panne le portefeuille qui renfermait mes papiers, ma carte bleue et mon argent liquide. -Je suis désolée, déclarai-je à l'homme de l'accueil, j'ai oublié chez moi mon portefeuille. -Malheureusement, je ne peux pas vous laisser rentrer. -Mais, à l'intérieur, il y a des gens que je connais et qui m'attendent, argumentai-je. Je suis certaine qu'ils me prêteront les 30 euros, et je vous les ramènerai. -Croyez bien que je le regrette, répondit-il, inflexible. Mais mes consignes sont très strictes. -Ecoutez, il est tard, et je n'ai pas de voiture pour repartir. On doit pouvoir trouver une solution. Mon insistance avait attiré l'attention du portier, qui s'approcha et glissa quelques mots à l'oreille de son collègue. -Bon, proposa ce dernier, nous sommes d'accord pour vous laisser rentrer, mais il faudrait que vous nous laissiez quelque chose en gage, jusqu'à ce que vous ayez payé votre entrée. -Je veux bien, seulement, je n'ai pas grand-chose à vous laisser. Ma sacoche est vide... -Mais ce peut être un vêtement, suggéra le videur avec un sourire entendu. -Je suis légèrement vêtue... -Je vois, et je ne vais pas vous demander votre soutien-gorge, car vous n'en portez apparemment pas... Alors, votre petite culotte ? Qu'en dites-vous ? Je trouvai ce type gonflé, mais je n'avais pas vraiment le choix. Sans tergiverser, je relevai ma mini jupe, et je fis glisser mon string le long de mes jambes. Les deux hommes ne me quittaient pas des yeux, et je pris mon temps en me penchant pour me débarrasser de mon seul sous-vêtement. Ils purent ainsi mater mes fesses et ma chatte, et je les sentis déstabilisés par mon audace lorsque je leur remis le petit morceau de tissu. Je pus enfin rentrer dans la discothèque, sonorisée par une musique assourdissante. Je cherchai Hugo du regard : pas de trace, ni de lui, ni d'une bande de lycéens fêtant leur bac. Je craignais qu'ils ne soit partis pour un autre endroit, et que je me retrouve seule, sans véhicule pour rentrer. Pour me donner le temps de réfléchir à la situation, je décidai de m'installer au bar, et de boire le cocktail auquel le ticket remis à l'accueil me donnait droit. Pendant que j'attendais mon verre, mon débardeur glissa un peu, et le barman aperçut mes seins et un mamelon largement découvert. images similaires Je m'en rendis compte en voyant son regard s'allumer, mais je fis semblant de n'avoir rien remarqué, et je le laissai me mater à sa guise. - Personne ne vous accompagne ? me demanda-t-il. -En fait, je devais rejoindre une bande de jeunes qui fêtent leur bac, mais je suis arrivée en retard, et je pense qu'ils sont partis. -Vous êtes la copine d'Hugo ? -Oui, pourquoi ? -Il m'a dit qu'il attendait une fille canon, et il était très déçu de ne pas la voir ! Ils sont dans une salle à l'étage, que nous privatisons pour les clients qui veulent fêter un évènement particulier. Le barman m'emmena vers un escalier, invisible de la salle du rez-de-chaussée. A l'étage, il ouvrit la porte d'une grande pièce dans laquelle se trouvaient une vingtaine de jeunes - il me sembla qu'il y avait un peu plus de garçons que de filles. Il repéra Hugo, et lui adressa un signe pour signaler ma présence. Celui-ci m'aperçut, et se précipita à ma rencontre. -Je suis vachement content de te voir, avoua-t-il très directement. Je croyais que tu m'avais posé un lapin. J'avais parlé de toi à tout le monde, et les copains se foutaient de moi en prétendant que j'avais fabulé. -Non, pas du tout. J'ai été retardée, je suis tombée en panne de voiture... mais je te passe les détails. Il me proposa de m'offrir un verre, avant de me présenter à toute sa bande. Il y avait un autre bar dans cette salle, et je m'assis sur un tabouret. J'avais juste oublié à quel point ma jupe était courte, et l'absence de mon string... Hugo, lui, le remarqua aussitôt, et son regard ne quitta plus mon entrejambes. -Oh, excuse-moi, lui dis-je en riant. Parmi mes mésaventures, j'ai oublié mon portefeuille et j'ai du laisser ma culotte en gage à l'accueil de la boîte pour qu'on me laisse rentrer. -Mais ne t'excuse pas ! s'écria-t-il. Au contraire, je vais t'expliquer : avec plusieurs copains, on voulait que cette soirée soit l'occasion que tout le monde se lâche et oublie ses tabous. On en a parlé aux filles, mais elles sont réticentes - bien qu'on les sente prêtes à participer, si l'ambiance les y pousse. Seule Mélanie est vraiment partante, à condition que d'autres filles chauffent l'assistance avec elle. Et j'ai pensé à toi... Je comprenais mieux l'invitation d'Hugo ! Mais les mecs présents dans la salle étaient plutôt mignons, et celà pouvait être très... agréable. -Bon, compte sur moi, répondis-je à Hugo. Tu me présenteras Mélanie. Fou de joie, il me fit monter avec lui sur l'estrade, s'empara du micro du DJ, et annonça : -Pour celles et ceux qui ne l'ont pas remarqué, Chloé nous a rejointe. Je vous la présente ! Je m'appuyai contre une table, face au public. Ma jupe avait remonté le long de mes cuisses, en montant sur l'estrade, et les aréoles de mes seins avaient pris un peu de liberté avec le décolleté de mon débardeur. images similaires Mon apparition déchaîna un tonnerre de cris, de sifflets, et j'entendis quelques commentaires : « regarde, elle n'a rien sous sa jupe ! », « elle n'a pas de soutif ! » et, moins élégant : « à poil, Chloé ! » Je décidai tout de même de faire monter un peu plus la température. Je m‘assis sur la table, les pieds posés sur des chaises, cuisses largement écartées et minijupe retroussée, et je fis pigeonner mes seins. images similaires -Pour confirmer ce que j'ai entendu dire par certains d'entre vous, je n'ai pas mis de soutien-gorge, et j'ai laissé mon string en gage à l'accueil pour rentrer ! Les cris et les applaudissements redoublèrent, pendant que je descendais de l'estrade. Hugo me prit par le bras, et me désigna une table. -La fille avec une tenue noire très décolletée, qui nous adresse un petit signe, c'est Mélanie. Mélanie avait tiré au maximum sur son décolleté, montrant qu'elle non plus ne portait pas de soutif, et sa voisine, manifestement plus prude, ne savait déjà plus où se mettre. Nous les rejoignîmes. -Hugo t'a parlé de la tournure qu'il voulait donner à cette soirée ? me demanda Mélanie. -Je suis partante. Toi aussi, si j'ai bien compris ? -Si c'est toi qui lance les choses, je veux bien participer. Tu as des idées ? -On pourrait « chauffer la salle » en nous livrant à un petit numéro, toutes les deux, proposai-je. Tu es bi ? -Ca m'est arrivé quelquefois de faire l'amour avec d'autres filles, je ne déteste pas, avoua-t-elle - les cocktails avaient déjà émoussé ses inhibitions. -Si tu veux, on peut flirter, se déshabiller, et quand nous serons nues, inviter un ou plusieurs mecs à nous rejoindre. Qu'en dis-tu ? -C'est un programme qui me plait, répondit-elle, manifestement excitée par ce scénario. Nous nous sommes installées au bar, à côté de l'estrade. A cet endroit, tout le monde nous voyait. J'ai commencé à caresser Mélanie à travers sa robe, et à l'embrasser à pleine bouche. Son corps était mince et ferme, avec des seins déjà gonflés de désir. Ses lèvres répondaient à mes baisers, nos langues se cherchaient, nos salives se mêlaient... Et de plus en plus de regards nous fixaient. images similaires -Ca te plait ? demandai-je à Mélanie. -J'adore, répondit-elle d'une voix déjà troublée. -On monte sur la scène toutes les deux ? -Tout ce que tu veux, me glissa-t-elle à l'oreille. -J'ai hâte d'être nue avec toi, murmurai-je. -Moi aussi. Tu sais, ce sera la première fois que je me montrerai nue en public. Nous avons escaladé l'estrade, sous les encouragements du public. Sur le conseil d'Hugo, le DJ avait choisi une musique au rythme sourd, très sensuelle. Aussitôt, je soulevai mon débardeur, et je restai un moment sans bouger, attendant la réaction des spectateurs. images similaires Lorsque j'estimai avoir provoqué suffisamment de cris, je fis passer le vêtement par-dessus ma tête, sans trop me presser, pour accentuer l'érotisme de ce geste. images similaires Pendant ce temps, Mélanie découvrait elle aussi sa poitrine, en tirant sur les bretelles de son haut au risque de le déchirer. images similaires Les garçons nous encourageaient de plus en plus. J'enlaçai Mélanie, et je l'embrassai de nouveau. Je sentais le contact délicieux de ses seins contre les miens. Elle leva les bras, pour me faire comprendre qu'elle attendait que je la déshabille. Je ne me fis pas prier ! Son bustier s'envola, et Mélanie se retrouva, elle aussi topless, ce qui semblait lui plaire autant qu'à moi. Ce fut son tour de parachever mon strip. Elle s'agenouilla devant moi, pour dégrafer la ceinture de ma jupe en jean. images similaires La minijupe tomba à mes pieds et, avant de continuer notre show, je me dégageai un instant, pour que le public puisse profiter de ma nudité. Je me jetai ensuite à nouveau sur Mélanie. Sa jupe rejoignit la mienne sur l'estrade, et elle apparut dans un minuscule string noir. images similaires Je laissai, encore une fois, les spectateurs apprécier la plastique de Mélanie, pour faire grimper leur impatience d'en découvrir plus. Il y avait une banquette sur le côté de cette scène improvisée. Je m'y assis, pour faire glisser le string de Mélanie sur ses hanches, le long de ses jambes... Je fis durer de longues secondes la mise à nue intégrale de Mélanie, puis je lui glissai à l'oreille : -Mettons-nous à genoux toutes les deux sur la banquette. On va les allumer à mort. Mélanie, complètement partie dans cette séance d'exhib, suivit aussitôt ma proposition. Nous nous sommes retrouvées toutes les deux agenouillées, montrant généreusement en riant nos fesses et nos chattes aux lycéens excités. images similaires Mélanie me confia plus tard qu'elle avait découvert une sensation totalement inconnue, en se montrant nue et impudique en public. Elle vint s'asseoir sur mes genoux, pour m'embrasser de nouveau. Je glissai ma main entre ses cuisses, en les écartant largement, pour caresser sa chatte et découvrir sa fente humide. images similaires Nous descendîmes du podium, nous rapprochant ainsi du public. Appuyée contre le bord de l'estrade, Mélanie me laissait diriger les évènements. Debout entre ses jambes, je caressai ses seins aux petites pointes dardées. -On pourrait inviter un mec à nous rejoindre sur scène, lui proposai-je, à haute voix. Qu'est-ce que tu en penses ? -D'accord, mais pourquoi pas deux ? s'étonna Mélanie. -Après, bien sur ! Mais dans un premier temps, ça peut être très excitant. -Alors, on partagera ! Je te laisse faire... Et elle ajouta, plus bas : si tu veux mon avis, il faudrait que ce soit Rocco qui vienne avec nous. -Rocco... c'est son prénom ? demandai-je. -C'est son surnom ! Tu devines pourquoi : on dit que c'est la plus grosse bite du lycée. Mélanie m'indiqua discrètement à quelle table il était. Je pris le micro du DJ, pour annoncer : -Vous nous avez bien matées, les garçons ? Alors, maintenant je vais demander à l'un de vous de nous rejoindre ! Et je partis au milieu des tables, en tenue d'Eve, faisant mine de chercher un partenaire mâle. images similaires J'arrivai, d'un pas hésitant, à côté de la table où était assis Rocco, avec deux filles. Je pris l'expression de la fille qui pensait avoir trouvé ce qu'elle cherchait, et je l'observai des pieds à la tête, avec une moue satisfaite. -Tu t'appelles comment ? -Fabien, mais on me surnomme Rocco, répondit-il, l'air bravache. -Ah ? D'où te viens ce surnom ? lui demandai-je, ingénument. -Rocco Siffredi... Ca te dit quelque chose ? -Bien sur !... Et je pense que tu es prêt à nous montrer que tu mérites ton surnom. Je le pris par la main pour l'entraîner sur la scène, où Mélanie nous attendait. En observant mon manège, elle avait pris, sans en avoir peut-être conscience, une pose très aguichante. images similaires Arrivés sur l'estrade, je fis étendre Fabien - alias Rocco - sur la banquette. J'avais une violente envie de découvrir ce sexe qui faisait manifestement fantasmer toutes les filles du lycée, et Mélanie me rejoignit aussitôt. Toutes les deux, nous avons fait sauter la boucle de sa ceinture, et nous nous sommes attaquées à sa braguette. Plusieurs filles commençaient à se rapprocher, et nous avons fait durer leur attente... Jusqu'à ce que, d'un geste sec, je baisse ensemble le jean et le slip de « Rocco » ! Sa verge, dans un état d'érection spectaculaire, surgit alors, à quelques centimètres du visage de Mélanie et du mien. Mélanie n'en croyait pas ses yeux. Mais, pour ma part, je rêvais déjà de sentir cette bite remplir ma chatte. -Quel engin ! s'exclama Mélanie. Tu en as déjà vu d'aussi gros ? -Oui, répondis-je. Et je ne me contente pas de les regarder. -Je ne sais pas si je vais pouvoir recevoir une queue comme ça dans mon petit minou, s'inquiéta-t-elle. -Bien sur que si, tu peux, et tu vas aimer. Je pense même qu'on peut la faire grossir encore un peu. Regarde... Tout en me parlant, Mélanie avait empoigné la tige dressée, et elle me lança un regard complice quand ma langue se posa sur le gland turgescent. images similaires J'étais heureuse de cette complicité qui naissait entre Mélanie et moi, et je sentais monter une excitation que je connaissais bien maintenant, et qui précédait les moments intenses de jouissance sans tabou. -Tu veux la sucer ?, me demanda Mélanie, avec une expression gourmande. -Oh oui, suce-moi ! supplia Rocco. Je ne me fis pas prier pour prendre entre mes lèvres cette jeune bite bien raide. images similaires -Ouaah ! Qu'est-ce que c'est bon, murmura Rocco d'une voix rauque. -Tu as envie d'y goûter ?, demandai-je à Mélanie. Elle ne répondit pas, mais ouvrit grand la bouche, et j'y introduisis le gland, luisant de ma salive. Mélanie ferma les yeux, et l'engloutit , pendant que je léchai la hampe dardée. images similaires « Rocco » commençait à gémir, et des spectatrices se rapprochaient de plus en plus, pour ne pas perdre une miette du spectacle. Certaines ne cachaient pas vraiment leur envie d'être à notre place, et deux filles, à moitié dévêtues, s'embrassaient et montraient leurs seins. De son côté, Mélanie se lâchait aussi, et ce fut elle qui finit d'enlever le jean et le slip de Rocco. Nu, il était encore plus désirable et, sans nous consulter, nous nous sommes mises à embrasser et lécher sa queue ensemble. Le désir rendait la respiration de Rocco haletante, entrecoupée de grognements sourds, sa verge tendue semblait sur le point d'exploser. -Je crois que tu as très envie de nos petites chattes, lui dis-je avec un regard plein de promesses. -Oh oui, maintenant, répondit-il. -Tu veux être la première ?, demandai-je à Mélanie. -Non, toi d'abord. Je ne me suis jamais fait baiser en public. -Caresse-moi, pendant qu'il me pénètre, lui dis-je, en m'allongeant sur elle. Mélanie commença à me caresser les seins, pendant que Rocco présentait sa queue à l'entrée de ma grotte. Malgré mes expériences plutôt nombreuses avec des hommes gâtés par la nature, quant à la taille de leurs sexes, j'avoue que j'éprouvai un plaisir intense lorsque le gland de Rocco força ma fente. Et je ne m'en cachai pas. -Mmmmh ! Qu'est ce que c'est bon !... Oui, vas-y... Oh je la sens bien ! J'étais surprise par la lenteur et la délicatesse de cette pénétration. L'âge de mon partenaire m'avait fait craindre un assaut sauvage ; or, il savait s'y prendre avec les filles. Mais bientôt, il se mit à labourer ma chatte avec force. Je branlais mon petit bouton, et je feulais, pendant que Mélanie embrassait et léchait la pointe dressée de mon sein. images similaires Au fur et à mesure de la montée de mon plaisir, mes cris grimpaient dans l'aigu. Rocco se maîtrisait, et variait le rythme de ses coups de reins. Malgré tout, la position devenait inconfortable pour Mélanie et moi. -Vous voulez bien qu'on change de position ?, demandai-je essoufflée. Rocco se retira un court instant, le temps que je m'agenouille sur Mélanie. A quatre pattes, les reins cambrés, je m'offris à une nouvelle pénétration. -Baise-moi encore, je veux prendre mon pied, ordonnai-je à Rocco, mais contrôle-toi : il faudra que tu fasses jouir aussi Mélanie ! -Compte sur moi, tu ne vas pas être déçue ! répondit-il fièrement. images similaires Il s'enfonça de nouveau en moi et, d'une main, je le maintins immobile, son dard planté au fond de ma moule. Là, je me mis à contracter mon vagin, par petites secousses, autour de cette bite dure comme de l'acier. J'attendis que des ondes de plaisir parcourent mon ventre, mes seins, remontent jusqu'à ma nuque, et seulement à ce moment, je commençai à bouger mes hanches, de plus en plus vite, pour m'empaler sur le pieu qui me transperçait. images similaires Tout en gémissant, j'embrassais à pleine bouche Mélanie, dont les mains malaxaient convulsivement mes fesses. Je sentais l'orgasme monter, et je ne fis rien pour le retenir : faire durer les choses risquaient de provoquer l'éjaculation de Rocco, et je pensais aussi à la satisfaction de Mélanie ! Et je jouis, pleinement, longuement... pendant que les participants à cette soirée me mataient, nous photographiaient avec leurs portables... -Oh oui, je jouis ! je jouiiiis !!, criai-je... Aaah, c'est trop bon !... Tu vas voir Mélanie, tu vas aimer ça ! Rocco se retira pour que je me dégage, afin de laisser la place à Mélanie. Elle s'étendit sur le dos, écartelant ses cuisses pour offrir sa chatte à son copain de lycée, et j'aperçus des gouttes de cyprine qui perlaient entre ses lèvres. A mon tour, j'embrassai ses seins, en caressant les mamelons qui dardaient. Mélanie ne put retenir un cri, lorsque l'énorme gland s'enfonça en elle. images similaires Là encore, Rocco sut rendre cette pénétration douce et agréable, malgré la taille de sa verge. Il entra doucement dans le minou de Mélanie, marquant des pauses, reprenant sa progression lorsqu'elle recommençait à soupirer de plaisir. Après un long moment, ses couilles touchèrent enfin les fesses de Mélanie. Il était en elle, tout au fond de son intimité. Et Mélanie se mit à crier son plaisir, à son tour. Cette situation m'excitait de nouveau. Je vins chevaucher le visage de Mélanie, pour lui offrir ma fente à lécher, et exhiber mes fesses sous les yeux de Rocco. images similaires Sa langue était délicieusement agile, et nous gémissions maintenant toutes les deux. Je me retournai, pour embrasser Rocco, tandis que Mélanie poursuivait son cunnilingus. Tout autour de nous, les filles et les garçons ne perdaient pas une miette du spectacle, ni du concert de plaintes qui l'accompagnait. -Mélanie, j'ai envie de te prendre aussi en levrette, demanda Rocco. -Oui, prends-moi comme tu veux, fais-moi jouir, murmura Mélanie, qui s'était muée en bête de sexe sans pudeur. Elle s'installa en levrette, et je m'assis face à elle, pour présenter ma fente béante à sa bouche. Pendant qu'elle excitait de nouveau mon clito avec de petits coups de langue, Rocco s'était agenouillé derrière elle. Et il enfonça de nouveau son énorme pieu dans l'abricot gonflé de Mélanie. -Oh, putain ! Qu'est ce que tu es bonne, commenta-t-il d'une voix assourdie par le plaisir. -Ooooh ! J'adore ta grosse bite, avoua Mélanie. Plante-la bien au fond de ma chatte ! Pour exacerber le désir de Mélanie, Rocco ressortit presque entièrement sa tige de sa fente trempée de mouille. Il se mit à aller et venir tout doucement, juste à l'entrée de son intimité. Pour l'exciter, elle ondulait des hanches, se contractait autour du gland presque immobile, et réclamait crument de se faire défoncer. -Vas-y ! ... Je t'en prie, baise-moi ! ... Merde, qu'est ce que tu attends ? Je veux toute ta queue dans ma petite fente... Lorsqu'il sentit que le désir de Mélanie lui avait fait perdre toute retenue, il la pénétra brutalement d'un grand coup de rein, lui arrachant un hurlement. Une envie de participer davantage à ce trio me prit. Je me glissai sous Mélanie pour m'installer, en 69, mon visage au niveau de son mont de Vénus empalé sur le sexe de Rocco. Voir, en gros plan, ces deux sexes en pleine action était prodigieusement érotique. Un instant, je me contentai de profiter du spectacle en me caressant. Puis, je me mis à titiller avec ma langue le petit bouton dressé. D'abord surprise, Mélanie gémit, puis me rendit ma caresse, en plongeant sa tête entre mes cuisses. images similaires A partir de ce moment, notre trio devint fou. Rocco pistonnait la chatte de Mélanie à un rythme effréné. Ma bouche ne savait que choisir, entre la fente de Mélanie, d'où coulait maintenant un filet ininterrompu de cyprine, et la tige de Rocco, bandée comme un arc. C'était un concert de cris, de râles, de gémissements. Je devenais chienne. J'offrais mon petit trou et ma fente à la langue de Mélanie, les ouvrant de mes doigts pour qu'elle y glisse sa langue. images similaires Mélanie jouit bientôt, manifestant l'intensité des sensations qu'elle découvrait par des cris, entrecoupés de sanglots spasmodiques. Et un orgasme soudain, violent me surprit, au moment même ou je voyais la bite de Rocco trembler et s'immobiliser pour laisser monter sa sève. -Ouaaah ! Je viens, je viens !... Oh, qu'est ce que c'est bon. Et il déchargea de longs jets de foutre dans la chatte de Mélanie. J'étais frustrée de ne pas en profiter, mais lorsque son gland se dégagea de l'étroit fourreau, je recueillis sur ma langue la liqueur crémeuse qui coulait généreusement. Lorsque Rocco se retira, un peu de sperme s'écoulait encore de sa queue. Avec Mélanie, nous nous sommes allongées toutes les deux, nos visages à l'aplomb de cette verge qui gardait encore sa rigidité, pour savourer ces dernières gouttes. Mélanie, essoufflée, était encore dans un état second, et n'était pas encore redescendue du petit nuage de son plaisir. Autour de nous, ses copains de lycée nous regardaient : avec une certaine envie pour les filles, avec un désir non dissimulé pour les garçons. -Tu as aimé, lui demandai-je ? -Ca ne se voyait pas ?, répondit Mélanie en riant. -Que penses-tu de faire l'amour en public ? -C'est génial ! s'exclama-t-elle. Je n'avais jamais connu d'orgasme aussi fort. J'allai prendre un cocktail au bar, pour me rafraîchir. L'ambiance dans la salle devenait électrique. Les couples s'embrassaient avec fougue, plusieurs filles se faisaient caresser sans se cacher. En revenant vers la scène, je vis que Mélanie avait beaucoup de succès auprès de tout un groupe de garçons. Et, pour ma part, ce début de soirée ne m'avait pas rassasiée, loin s'en faut ! Au contraire, la présence de tous ces jeunes mecs, dont toute l'attention se portait sur mon corps nu m'excitait de plus en plus, et les cocktails n'étaient pas faits pour ressusciter des tabous que j'avais jetés aux orties depuis longtemps. Je n'opposai donc aucune résistance - au contraire - lorsque deux garçons s'approchèrent de moi. Ils ne faisaient pas mystère de leurs intentions. -Bonsoir Chloé. Je m'appelle Clément, et mon copain, c'est Damien. Tu es vachement belle, et on n'avait jamais vu une fille faire l'amour comme toi. -Merci pour le compliment, répondis-je avec un regard encourageant. -Est-ce que... reprit Clément, en hésitant encore un peu, est-ce que tu accepterais de faire l'amour avec nous ? -Pourquoi pas ? -Avec lequel de nous deux veux-tu commencer ?, questionna Damien. -Pourquoi veux-tu que je fasse un choix ?, m'étonnai-je. J'ai très envie de jouir ce soir, et que deux mecs me prennent ensemble ne me fait pas peur. -Tous les deux en même temps ?, s'étrangla Clément. Ici ? En public ? Je me contentais de sourire, en ouvrant la braguette de Clément, et Damien commença à caresser et embrasser mes seins. Je sentis, à travers le slip, que la queue de Clément était d'une taille plus que respectable, et je ne fus pas déçue lorsqu'elle apparut en pleine lumière. Je la caressai longuement, la sentant gonfler et se dresser entre mes doigts, tandis que, sous les baisers de Damien, mes seins durcissaient et leurs pointes dardaient. -J'ai envie de vous voir à poil aussi, tous les deux, murmurai-je. Pris par l'érotisme de la situation, ils oubliaient la présence du groupe qui commençait à se former autour de notre trio et, en un instant, ils se débarrassèrent de leurs vêtements. La vue de ces deux superbes bites fouetta mon désir. Je m'agenouillai entre les deux garçons, j'empoignai leurs membres, et je me mis à les sucer. images similaires Leurs glands avaient une saveur délicieuse, et je mis toute ma fougue et tout mon talent pour leur prodiguer avec mes lèvres et ma langue des caresses inoubliables. Clément et Damien appréciaient... et ne s'en cachaient pas. -Oh, putain ! Qu'est ce que c'est bon ! -Waouh ! t'as raison, on ne m'avait jamais sucé comme çà ! J'avais, moi aussi, envie qu'ils s'occupent de moi. Mais je n'eus pas à leur demander : Damien m'installa à quatre pattes et commença à embrasser ma fente. Je me cambrai pour offrir mon abricot gonflé de désir à sa bouche. Il s'y prenait merveilleusement bien, et il débusqua tout de suite mon petit bouton. Je me mis à gémir, tout en continuant ma fellation sur le dard dressé de Clément. Pour mon plus grand plaisir, la langue de Damien explorait les lèvres béantes de ma petite moule, s'introduisait le plus possible dans ma grotte, recueillait les flots de cyprine qui s'en écoulaient, s'aventurait entre les globes de mes fesses pour inonder de salive mon anus... Je n'avais pas imaginé rencontrer dans cette soirée des garçons aussi doués. J'ondulais des hanches en poussant de petits cris de plaisir, je me cambrais encore plus. C'est alors que je sentis la bite de Damien me pénétrer doucement. images similaires Un instant, ma bouche délaissa Clément, pour donner libre cours à mes sensations. -Oui, oui ! Vas-y, prends-moi ! Enfonce-toi au fond de ma chatte... Ooooh !... Qu'est-ce qu'elle est dure, j'adore ! Mais Clément empoigna doucement ma nuque, pour guider mes lèvres vers son gland turgescent. Avec Damien, nous roulâmes sur le côté sans nous désunir. Dans cette position, je sentais son torse contre mes omoplates, son pubis contre mes fesses. images similaires Il donnait de grands coups de reins, pour s'enfoncer en moi. C'était bon, mais je voulais le sentir encore plus profondément en moi, que son gland me pénètre jusqu'au tréfonds de mon ventre. -J'ai envie de te chevaucher, murmurai-je. Il s'étendit, et je vins m'empaler sur son pieu dressé à la verticale. Il était si dur et si droit, que nous n'eûmes pas besoin de nos mains pour guider cette pénétration. Je fermai les yeux, pour savourer ce moment, et Clément me planta de nouveau sa tige, jusqu'au fonds de ma gorge. images similaires Une excitation folle me gagnait, et je me déchaînai. Je poussais sur mes bras et mes jambes, pour me soulever, puis me laisser retomber brutalement sur la bite de Damien, qui accompagnait mes mouvements avec ses mains posées sur mes hanches. Je sentis l'orgasme monter, violent, irrépressible, et je me mis à crier. Damien se contrôlait, et je découvris bientôt toute son imagination. Avec force, il me souleva, et amena son gland entre mes fesses. Il faisait preuve de douceur, et évitait de forcer brutalement ma rosette. Mais j'adorais me faire sodomiser ! Je me détendis au maximum, je laissai descendre lentement mon bassin, et sa queue disparut millimètre par millimètre dans mon cul, en ponctuant sa progression de cris et de commentaires. -Aaaah ! C'est bon... Je la sens bien rentrer... Oh, c'est trop bon ! images similaires Je me cambrais, les pointes de mes seins se dressaient... Clément approcha de nouveau son gland de mes lèvres... C'était un moment d'une sensualité extraordinaire. images similaires Mais j'en voulais encore plus, je me sentais comme une chienne en chaleur, et aucune pudeur ne me retenait. -Clément, je t'en prie, dis-je d'une voix haletante, baise-moi ! Je veux sentir vos bites dans mes deux trous... Il ne demandait pas mieux ! Il souleva mes jambes, pendant que Damien bloquait mes fesses entre ses mains puissantes. Clément me pénétra d'un seul coup de reins. C'était une sensation fabuleuse, et mes cris se transformaient en véritables hurlements. images similaires Tous les participants à cette soirée nous entouraient, incrédules. Les voir fouettait mon désir, et mes deux partenaires coordonnaient maintenant parfaitement leurs mouvements. Je sentais les deux queues me remplir, et j'avais l'impression que la cloison séparant ma chatte et mon cul allait voler en éclats. images similaires Et je jouis de nouveau... Je me demandais combien de temps Clément et Damien allaient tenir à ce rythme. Mais je ne pensais pas un instant à demander grâce ! -On échange nos positions ? demanda Clément à Damien. J'ai envie de l'enculer à mon tour. Tu es d'accord Chloé ? -Oh oui ! répondis-je sans hésiter. Moi aussi, j'ai envie de ta bite dans mon petit trou. Damien resta allongé, et c'est moi qui me retournai. Sa verge retrouva sans difficulté l'entrée de ma chatte, et je me cambrai pour offrir mon cul à Clément. Son gland enduit de ma cyprine se glissa entre mes fesses, força l'étroit passage de ma rondelle... images similaires -Oooh ! Qu'est-ce qu'elle est grosse, ne pus-je m'empêcher de reconnaître... Non, continue, c'est trop bon !... Ca y est ! elle est rentrée... Je la sens bien... Vas-y ! Défonce-moi ! Et Clément, fou de désir, se lâcha. Ses coups de reins secouaient tout mon corps, me faisaient tressauter et m'empaler sur le pieu de Damien qui me transperçait, et ma sève émettait un clapotis trahissant mon état. Un troisième orgasme me surprit et me tétanisa. Mon plaisir se traduisit par une longue plainte, et des larmes coulaient même sur mes joues. Cette fois, mes deux partenaires ne pouvaient plus contenir la jouissance qui les envahissait, eux aussi, comme un raz-de-marée. Ils se retirèrent tous les deux de mon ventre, me mirent à genoux, leurs sexes à hauteur de mon visage. Ils m'avaient si bien comblée que je ne pouvais rien leur refuser - et je n'en avais d'ailleurs pas envie : je pris les deux hampes palpitantes entre mes doigts, et je prodiguai mes derniers coups de langue sur leurs glands. Presque immédiatement, ils éjaculèrent à quelques secondes d'intervalle. Le foutre envahit ma bouche, gicla sur mon visage, coula sur ma poitrine... C'était un moment de pur bonheur sexuel. Le public se mit à applaudir et, tenant toujours les deux queues dans mes mains, je lançai : -Alors, les filles ? Qu'est-ce que vous attendez ? Je suis certaine que vos copains bandent comme des taureaux ! images similaires Je reprenais difficilement mon souffle, et quelqu'un, dans l'assistance, me passa un paquet de lingettes, pour que je puisse essuyer la sueur, et surtout le sperme, qui coulait sur mon corps. Malgré tout, je décidai d'aller faire un tour aux toilettes, pour me rafraîchir. En traversant la salle, je constatai que la température, pour les participants à cette soirée, avait grimpé de plusieurs degrés ! L'alcool aidant à vaincre les inhibitions, beaucoup de filles se montraient seins nus sans complexe, pour le plus grand plaisir des mecs... images similaires ... une autre - Géraldine - se livrait à un strip intégral... ... et je découvris, près du bar, une certaine Elena, chevauchant son copain, debout. Petit à petit, je prenais goût à cette situation de voyeuse. Je découvrais ce que des gens éprouvaient, lorsque je m'exhibais nue, lorsque je faisais l'amour en public. Au bord de l'estrade, Sandra, en tenue d'Eve, branlait Rocco, sous les cris d'encouragement de ses copines, qui l'exhortaient à le sucer. images similaires Je ne parvenais plus à me détacher de ce spectacle, j'étais hypnotisée par ces corps dévoilés. Un petit attroupement, se formant au milieu de la piste de danse, m'intrigua soudain. En m'approchant, je découvris au centre de ce cercle, Mélanie entre deux mecs. Elle avait ouvert les braguettes de deux garçons, et les branlait avec sensualité. En me voyant, elle m'adressa un clin d'œil, tout en s'agenouillant. Observer cette fille que j'avais déshabillée et caressée une heure auparavant m'excitait. Elle nous offrait un spectacle follement érotique. Je restais de longues minutes à mater le trio. Je ne pouvais m'empêcher de caresser les pointes de mes seins dressées, pendant qu'elle se faisait dévorer la chatte, en gémissant,.... ... puis qu'elle chevauchait interminablement l'un de ses partenaires. Elle eut un orgasme, mais elle n'était pas rassasiée. Je la vis se soulever pour se libérer du dard planté dans sa chatte ; mais c'était pour embrocher son petit trou sur la bite dressée. images similaires Tout le monde autour criait, sifflait, applaudissait pour encourager Mélanie, et je n'étais pas la dernière ! Déchaînée, Mélanie changea de position, pour se faire prendre en sandwich. Lorsque les deux verges disparurent entièrement entre ses cuisses et entre ses fesses, les deux garçons se mirent à la baiser à grands coups de reins. Mélanie poussait des cris et des gémissements de plaisir, elle semblait inépuisable. Elle jouit encore, et ses partenaires inversèrent les rôles. Ils continuaient à pénétrer avec force ses deux orifices, lui arrachant deux derniers orgasmes, coup sur coup. Ils se relevèrent précipitamment, et la firent mettre à genoux, pour déverser leur semence dans sa bouche et sur son visage. Je m'éloignai enfin, presque à regret, pour me diriger vers les toilettes. J'y passai de longues minutes, et en revenant dans la salle, je me retrouvai nez à nez avec Hugo. -Tu dois être content : ta soirée est super réussie, le félicitai-je. -Oui, mais c'est grâce à toi, merci ! me répondit-il. -Je n'ai pas trop de mérite. Une fille comme Mélanie ne demandait que ça, et d'autres sont en train de se lâcher. -Peut-être, sauf que sans ton exhib, elles n'auraient sans doute pas osé. Mais j'ai quelque chose à te demander, me dit-il avec un sourire enjôleur. -Quoi donc ? -J'aimerais faire l'amour avec toi, à mon tour, avoua-t-il. -Je ne vois pas pourquoi je te refuserais ça ! m'exclamai-je. -Et d'autres copains pourraient participer ? -Tu me tentes... avouai-je en riant. S'ils savent s'y prendre bien sur ! Hugo fit signe à deux garçons, qui se dirigèrent - ou plutôt se ruèrent - vers nous. Il me les présenta : Jérémy et Antoine. Ils étaient plutôt mignons ! -Avant de vous dire oui, j'aimerais vous voir à poil, leur demandai-je avec un sourire pervers, en m'installant dans une banquette. images similaires En un clin d'œil, les trois mecs furent nus comme des vers ! Ils affichaient déjà une érection très... convaincante. -En plus de votre bac, vous venez de réussir votre épreuve de sélection, dis-je avec gourmandise. Hugo et Jérémy m'entourèrent sur le canapé. Antoine s'agenouilla entre mes cuisses largement écartées. Je sentis le désir et l'excitation renaître avec une force nouvelle au creux de mon ventre. La main d'Hugo se posa sur mon sein droit, qui durcit instantanément, d'autant plus que les autres participants à la soirée avaient remarqué notre manège, et se regroupaient autour de nous pour ne rien rater du spectacle. M'offrir à trois jeunes hommes en même temps ! J'étais bien décidée à profiter pleinement de cette occasion, et de prendre tout mon temps pour en goûter tous les plaisirs. J'ouvrais encore plus grand mes cuisses, pour que toutes et tous puissent voir Antoine lécher ma chatte et mon clito, et je pris le gland d'Hugo entre mes lèvres. Hugo devait être en train de réaliser le rêve qu'il avait fait en m'invitant, et il grogna de satisfaction. Je le délaissais de temps en temps, pour sucer aussi Jérémy. Leurs deux bites étaient raides comme des piquets, et encore délicatement parfumées par la cyprine des filles qu'ils avaient baisées avant moi. Antoine ne ménageait pas sa peine. J'étais trop occupée pour le regarder, mais il me suffisait de sentir sa bouche embrasser mon abricot, sa langue tourner autour de mon petit bouton ou s'insinuer dans ma fente. Les ondulations de mes hanches et mes gémissements étouffés lui disaient, mieux que des paroles, le plaisir qu'il me donnait. C'était à mon tour de le récompenser pour ces caresses adroites. -Assois-toi sur le canapé, Antoine, lui dis-je en me levant. Je veux ta bite dans ma chatte. Dans les secondes qui suivirent, je vins m'enfourcher sur sa verge dressée à la verticale. Il n'eut pas besoin de la guider de ses mains, et elle trouva facilement l'accès à ma fente trempée de cyprine. images similaires J'avais repris dans ma bouche les glands de Jérémy et Hugo, tout en montant et en descendant sur le pieu qui remplissait ma moule. J'accélérais le mouvement, le ralentissais, marquais des poses pour apprécier les sensations provoquées par le gland gonflé, niché au plus profond de mon intimité. -Oh, c'est bon ! Ouiii ! Tu me remplis complètement... Oh oui, j'aime çà... Ne bouge plus !... Oooh ! je jouis, je jouis ! L'orgasme m'avait surprise par sa soudaineté. Mais je connaissais ma capacité à repartir aussitôt, et je ne regrettais pas de m'être abandonnée à ce plaisir. Jérémy voulait aussi sa part de sexe, et il prit la place d'Antoine. Je vins le chevaucher à son tour, mais en lui présentant mes fesses, pour que les spectateurs puissent voir mes seins et ma chatte. Et ce fut reparti, pour une nouvelle cavalcade. Jérémy m'avait empoignée par les hanches et guidait mes mouvements, leur imprimant un rythme effréné. J'avais l'impression d'être un jouet entre ses mains, qu'un feu d'artifice explosait dans mon ventre et dans ma tête. Je feulais sans m'arrêter, et je craignais que Jérémy ne parvienne pas à se contrôler. Cette fois, c'est moi qui pris l'initiative d'interrompre cette délicieuse pénétration. -Hugo, fais-moi plaisir, allonge-toi. -Tes désirs sont des ordres, Chloé, plaisanta-t-il en s'exécutant. -J'ai envie d'une bite dans ma chatte, et d'une autre dans mon petit cul, dis-je à haute voix en m'installant sur lui, bras tendu, et en cambrant mes reins. Mes fesses offertes étaient un appel au viol - sauf que j'étais plus que consentante - et Antoine se précipita pour s'agenouiller derrière moi. images similaires Le gland, enduit de ma salive, se fraya un passage entre mes globes écartés, appuya doucement contre ma rosette qui se dilata sous cette poussée. -Mmmh, oui, comme ça... doucement... Oh, je la sens bien rentrer... ooooh, ça y est, j'aime... c'est trop bon, commentai-je, tout en branlant Jérémy. Antoine se mit à aller et venir dans mon cul, d'abord doucement, puis un peu plus vite, un peu plus profondément, faisant coulisser ma chatte sur la queue d'Hugo. Bientôt, mes cris retentirent de nouveau dans la salle. J'avais de plus en plus de difficultés pour sucer Jérémy, tant mon corps était secoué par les coups de reins puissants d'Antoine. Je ne pus retarder la montée de la jouissance qui tétanisait tout mon corps. Mon anus et ma chatte étaient en feu, mais ce fut la vague d'un plaisir indescriptible qui m'emporta encore. Hugo et Jérémy n'avaient plus qu'une idée en tête : m'enculer eux aussi. Je pense que la majorité des filles de leur lycée étaient réticentes pour la sodomie... Ce fut Jérémy qui parvint d'abord à ses fins, et je sentis son gland forcer la porte de mon anus. J'étais une chienne en chaleur, et je lançais mes fesses à la rencontre de la tige dressée, pour qu'elle me perfore et me remplisse. C'était maintenant un concert de gémissements, de grognements, de cris. Je ne saurais pas dire combien de temps ce coït fou dura. Hugo remplaça Jérémy, et je parvins encore deux fois à l'orgasme, presqu'à la suite... Lorsque les trois garçons se retirèrent, je compris qu'ils allaient enfin éjaculer. Je n'aurais jamais cru qu'ils étaient aussi endurants. Mais les flots de foutre qui jaillirent de leurs glands étaient à la mesure de leur attente ! images similaires J'étais épuisée, au bord de l'évanouissement, mais comblée. On me passa de nouveau des lingettes pour que je m'essuie, et je repris peu à peu conscience de ce qui se passait autour de moi. J'étais l'objet de regards admiratifs ou envieux de toutes celles et tous ceux qui m'entouraient. Il semblait que tous les participants soient eux aussi fatigués, et que la soirée touchait à sa fin. Il était six heures du matin ! Après avoir - à regret - récupéré ma jupe et mon débardeur, je repris un dernier verre, avec un groupe de filles et de garçons. C'est alors qu'Hugo lança une idée : -Après une soirée pareille, on ne peut pas se séparer comme ça et en rester là. -Je suis d'accord, mais qu'est-ce que tu proposes ? répondit Mélanie. -On pourrait passer la matinée sur la plage. Chacun rentre chez lui pour prendre une douche et récupérer un maillot. Toutes et tous trouvaient la proposition excellente. Et Hugo reprit : -D'après ma sœur, Chloé a une véritable collection de mini maillots hyper sexys. Elle pourrait nous en faire profiter ! Décidemment, Carine avait raconté beaucoup de choses. -OK, dis-je, j'emmène toute ma collection, mais les filles qui viennent devront en porter un ! Je leur prêterai. -Ca dépend sur quelle plage, objecta Sandra. Pas sur celle où je vais d'habitude, je n'ai pas envie que certaines personnes me voient en string. -Chloé connait une plage plus discrète, je crois..., répondit Hugo. Tu voudras bien nous y conduire ? Je ne pouvais pas dire non - et d'ailleurs, je n'avais pas envie de refuser. Nous nous sommes séparés, après avoir organisé un rendez-vous pour rejoindre ensemble la plage, et nous sommes sortis de la boîte. Le soleil s'était levé depuis longtemps. Hugo me reconduisit chez moi et, devant mon immeuble, nous nous sommes embrassés tendrement. -J'ai hâte de te voir en maillot, me confia-t-il. -J'espère que tu ne seras pas déçu...

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