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Soucre : Boozka (2012) http://boozka.blogspot.fr/2012/11/revenons-aux-choses-legeres.html LAETITIA A 20 ANS - Chapitre I Laëtitia a 20 ans, brune, 1 m 80, queue de cheval. Elle aime porter des décolletés arrondis, assez bas sur sa poitrine. Dès qu'elle se penche en avant, n'importe quel œil habitué prolonge la rondeur de ses seins, naturels, souples, deux bonnets B bien remplis... Elle a un regard rieur, celui d'une grande gamine qui a envie d'essayer plein de choses, de découvrir les merveilles de la vie, de séduire, d'être séduite. Sa bouche est faite de deux lèvres pulpeuses, d'une langue mutine qui révèle une sensualité difficilement retenue. Ses lunettes gâchent un peu le tableau mais lui donnent aussi un côté sérieux qui n'est pas pour déplaire aux vicieux que nous sommes ! Sur son lieu de travail elle porte plutôt un pantalon mais ce soir, libérée de toute obligation vestimentaire, elle porte une paire de bottes, une jupe ‘sage' qui descend jusqu'au-dessus des genoux et un haut ‘épaules nues' suffisamment court pour laisser entrevoir un petit bout de son ventre et même son nombril si on veut bien attendre qu'un mouvement le dévoile... et bien décolleté, plus que d'habitude avec un soutif noir en dessous ! Au programme : détente et bien-être. Je l'ai invitée à dîner avec nous dans un restaurant sympa. Toi et moi sommes complices, tu veux découvrir cette nana dont je t'ai dit qu'elle te plairait, qu'elle éveillerait ton envie de femmes et je sais qu'elle a juste ce qu'il faut de timidité et de curiosité pour faire d'elle la victime tant attendue de nos fantasmes les plus coquins. Elle ne sait de toi que ce que j'ai bien voulu lui dire : tu es difficile avec les autres et ne leur accordes tes attentions qu'avec parcimonie. Pour elle c'est une sorte de défi que de gagner ta sympathie, et elle est déjà piquée au vif : Elle veut plaire et donc te plaire ! Au cours du repas nous échangeons quelques idées en riant, ma main caresse la tienne sous la table. Laëtitia demande avec malice ce que nous trafiquons à l'abri de son regard, nos mains réapparaissent aussitôt et je lui dis : « c'est juste pour ne pas te choquer, mais nous pouvons être plus ... démonstratifs si tu n'y trouves rien à redire! » et je me penche vers ta joue pour y déposer un baiser, puis glisse vers ton cou. Je me redresse enfin et lui demande, joueur, si elle n'est pas trop choquée par notre comportement. Elle répond immédiatement qu'au contraire, elle trouve notre couple complice et plaisant... C'est une première étape qui me conforte dans mon projet secret : la rendre folle de plaisir au cours d'une séance à trois. Je te chuchote quelques mots à l'oreille, te demandant d'aller retirer ta culotte aux toilettes. Cette idée te plaît et après un splendide sourire complice tu te lèves en t'excusant et nous laisses seuls Laëtitia et moi. J'en profite pour lui dire qu'à mon avis elle te plaît beaucoup, sans quoi tu aurais déjà trouvé des occasions de la rembarrer. Elle semble apprécier ce privilège à sa juste valeur... et me fais des sourires charmeurs et pétillants de malice. Je me mets alors en tête de lui lancer quelques défis, je lui dis que tu aimes le culot, que sa tenue est un peu sage, bien que plus légère que d'habitude. Tout en lui parlant je ne cherche pas à lui cacher mon regard qui s'attarde sur sa poitrine que je devine au creux de son décolleté. Elle le remarque et laisse glisser négligemment un doigt sur son sein, insistant un court instant sur le téton. Je lui suggère alors d'aller mettre un peu de folie dans sa tenue en allant faire un tour aux lavabos où elle te croisera peut-être... Me voilà donc seul à table, les deux femelles qui m'accompagnent se sont momentanément éclipsées, je me prends à rêver de vos deux bouches sur mon sexe, de vos quatre mains errant sur vos corps, de vos baisers enflammés... Quelle surprise aurez-vous donc préparée au cours de ce cours entre-acte ? En y réfléchissant bien je me dis que vous saurez sûrement donner à notre soirée « à trois », un déroulement délicieux et une fin torride... Je vous laisse les commandes mes jolies, rivalisez d'audace, de lubricité, d'imagination, je vous sais capables de tout pour peu qu'on vous le demande ! ![]() images similaires Au bout de quelques minutes, vous revenez à notre table, riant, un peu complices, un regard entendu vous rapproche déjà. Le chemisier de Laëtitia est comme animé d'une vie propre, sa poitrine tressaute à chacun de ses pas... Visiblement elle s'est débarrassée de son soutien-gorge mais où l'a-t-elle mis ? Elle a les mains vides !! Tu me donnes ta culotte, sans la montrer mais de manière qu'elle comprenne, et tu dis à voix haute « j'ai accédé à tes désirs mon amour !... » Ce qui ne manque pas d'allumer le regard de Laëtitia, qui te regarde l'air étonné. Tu lui expliques alors « Oui, Pierre m'a demandé d'enlever ma culotte, il adore me savoir les fesses nues, le minou à l'air, et j'adore les sensations inhabituelles que ça me procure, alors j'ai fait ce qu'il m'a demandé ! » ... Puis tu la défies en lui demandant « ça te choque ? » Sa réponse fuse aussitôt, « pas du tout, mais ce n'est pas toujours possible, et puis ces temps-ci je n'étais pas vraiment branchée sexe ». Cet imparfait en dit long : elle n'était pas, mais ce soir elle est ! Tu lui poses des questions, de plus en plus précises et nous apprenons qu'elle n'a pas de copain en ce moment, que les plaisirs solitaires sont ses seules gâteries depuis quelques mois, qu'elle apprécie bien plus de partager son plaisir car il y a - selon elle - tellement de lubricité, de tendresse et de complicité dans les échanges que se caresser seule n'est qu'un pis aller. Nous apprécions ses paroles en lui disant toute notre connivence... Elle rougit légèrement car elle réalise que nos regards la déshabillent, que nous aimerions la consommer sans modération. Elle doit mouiller en imaginant des scènes de débauche et je décide d'orienter la soirée de manière plus précise vers des activités plus érotiques : « Que diriez-vous d'aller au ciné juste après dîner, puis de finir la soirée chez moi ? » Bien entendu, je ne doute pas de ta réponse, tu es d'accord ! Tu laisses échapper un souffle de satisfaction et d'énervement mélangés, impatiente que tu es ! Laëtitia nous regarde puis sourit en répondant un énigmatique « pourquoi pas ? »... Puis elle ajoute « il y a tellement de choses que j'ai envie de faire en ce moment... » Nous accélérons notre repas sans nous être concertés, les esprits commencent à s'échauffer, tu lui fais des compliments sur sa tenue, elle te répond qu'avec pour seuls vêtements deux pièces de tissu, tu n'es pas mal non plus (la coquine te rappelle que tu ne portes rien en dessous !). Tu laisses alors vagabonder ton doigt dans ton décolleté et en écartes une partie, lui montrant un sein puis tu va en taquiner la pointe en lui lançant un regard provocateur... Elle sort le bout de sa langue en souriant, sa pudeur l'empêche d'en faire autant nous explique-t-elle mais tout à l'heure, une fois partis... Il est effectivement grand temps de s'en aller, je bande comme un taureau et la séance de cinéma commence dans 20 minutes ; nous avons tout juste le temps de régler et d'y aller car il y a 10 bonnes minutes de voiture. Nous nous levons et je vous laisse passer devant moi. Tu passes la première et Laëtitia t'emboîte le pas. Je ferme la marche en posant un instant une main sur le haut de sa fesse, elle reçoit la caresse en marquant un petit temps d'arrêt, puis nous nous dirigeons vers la voiture. Je prends le volant et vous demande de vous installer toutes les deux à l'arrière. ![]() images similaires |