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Chloéstories (1) - au centre commercial C'était une belle journée d'été, en semaine, et je m'ennuyais chez moi. Comme souvent dans ces cas là, j'ai décidé d'aller faire un tour au centre commercial, pour acheter quelques provisions, mais surtout pour faire un peu de shopping dans le rayon fringues. Il faisait chaud, et j'étais en train de me prélasser, en tenue d'Eve. A mon grand regret, j'ai donc du m'habiller, mais j'ai opté pour le minimum : un débardeur à fines bretelles, et une minijupe. Je ne pensai même pas à enfiler des sous-vêtements - c'est si bon de sentir mon corps libre, et de penser que des gens peuvent se rincer l'œil ! Mon image dans la glace, pendant que je laçais les liens de mes chaussures à hauts talons, m'excitait déjà. ![]() Je suis montée dans ma voiture, et me voilà partie pour l'hyper de la ville, et sa galerie marchande. J'ai commence à déambuler dans les allées, au hasard et, en passant devant un miroir, je ne pus résister à la tentation de retrousser discrètement ma jupe, pour admirer le reflet de ma petite chatte... ![]() images similaires Au rayon lingerie, j'ai découvert de minuscules strings, qui me paraissaient particulièrement sexy. Si j'aime ma balader sans culotte, il m'arrive de porter ce genre de slip qui ne cache rien, mais qui provoque toujours le désir de mon mec... J'en pris donc quelques uns, et je me suis dirigée vers les cabines d'essayage. J'hésitai un bon moment, mais je finis par choisir un modèle vraiment minimaliste. A ce moment, pour faire grimper mon adrénaline, je décidai de le garder sur moi, pour passer à la caisse sans le payer. J'ai reposé les autres strings dans le rayon, et j'ai continue mon shopping. ![]() Je continuais de fureter, mais je trouvais bien trop pudiques les robes et les jupes qui étaient présentées sur les portants. Je devais bientôt partir en vacances, au soleil, et je n'avais aucune envie d'être raisonnable. Je m'apprêtais à partir, quand j'aperçus un micro short, comme j'en avais envie depuis longtemps. Je le pris dans le rayon, pour l'examiner sur toutes les coutures, et il me plaisait vraiment... sauf le prix, qui dépassait de loin mon budget ! Je ne pus résister au plaisir de voir comment il m'allait, et je retournai donc en cabine d'essayage. Si je l'achetais, je le porterais avec des hauts très courts et, pour mieux juger de l'effet produit, j'enlevai mon débardeur. ![]() Je me trouvais irrésistible... Le rideau de la cabine fermait mal, et un type attendait sa femme, qui essayait une robe dans la cabine voisine. Il ne manqua pas de me mater et ça m'excitait. Pour notre plus grand plaisir à tous les deux, je faisais semblant d'hésiter, je me tournais et me retournais devant la glace, pour me voir sous tous les angles. Il n'y avait pas de doute, il me fallait ce short. Je le gardais sur moi, et je remis mon débardeur et ma jupe. Le short était si petit qu'on ne le voyait pas, et je glissai le string dans une petite poche de mon sac : tant qu'à jouer les voleuses, autant en profiter au maximum ! Je me dirigeai vers la sortie, mais en apercevant un vigile qui me regardait, je commençai à regretter le risque que j'avais pris, et je sentis mon cœur battre la chamade. Il se rapprochait de moi, et je me mis à paniquer, ce qui attira encore plus son attention. Je voulus faire celle qui ne l'avait pas vu, mais il me saisit par le poignet. ![]() -Mademoiselle, me dit-il sur un ton autoritaire, je vous observe depuis un moment, et je sais que vous êtes en train de voler des vêtements. -Mais pas du tout, et lâchez-moi, vous me faites mal, protestai-je. -Je vous demande de me suivre au bureau, insista-t-il. J'étais écarlate, et je me mis à le supplier, mais il était intraitable, et il appela sa direction. ![]() -Ecoutez, je vais payer, on peut s'arranger, lui dis-je. -C'est trop tard, me répondit-il, on vous attend au bureau pour une fouille. Sans ménagement, le vigile m'emmena jusqu'aux bureaux, sous l'œil réprobateur des clients, et je me sentais morte de honte. Il frappa à une porte, et l'ouvrit sans attendre de réponse. Une jolie brune, en minirobe, délaissa son ordinateur, et me dévisagea des pieds à la tête. -C'est la petite voleuse que tu as pincée, Pierre ? demanda-t-elle au vigile. Voyons quel gibier tu nous ramènes. ![]() images similaires -Pas mal, poursuivit-elle, en me fixant toujours. J'ai prévenu le patron, il va arriver. Comment t'appelles-tu, la voleuse ? -Chloé G..., répondis-je, toute penaude. -Commence par vider ton sac sur cette table, Chloé. Je m'exécutai, sans sortir le string dissimulé dans une petite poche intérieure. Mais la jolie brune examina soigneusement chaque objet et fouilla le sac, découvrant mon larcin. -Et ça ? me demanda-t-elle, l'œil mauvais. Il y a encore l'étiquette du magasin ! -Attends, Amandine, intervint le vigile, je crois qu'elle a planqué aussi un short sous sa jupe. En plus, elle n'est pas discrète, elle fait tout pour se faire mater par les mecs. C'est à ce moment que le patron entra, et Amandine lui expliqua la situation. ![]() images similaires -Je vois à quel genre de fille nous avons affaire, dit-il sur un ton sévère. Nous allons vérifier si Pierre a raison de croire que tu planques un short sous tes fringues. Déshabille-toi ! -Ici ?... Devant vous ?... bredouillai-je. -D'après ce que j'ai vu, tu n'as pas froid aux yeux, et t'exhiber ne te dérange pas, intervint le vigile. Il ne me restait plus qu'à m'exécuter, et je commençai par enlever mon débardeur. ![]() images similaires Dans un sursaut de pudeur, je cherchai à cacher ma poitrine. -Allez, Chloé, continue, ordonna Amandine. Ne te fais pas d'illusion, tu vas finir à poil, c'est tout ce que tu mérites. Pour le trio qui m'entourait, ma réticence en rajoutait à l'érotisme de la situation. Je fus obligée de découvrir mes petits seins aux pointes dardées, pour commencer à baisser ma jupe. ![]() images similaires -Matez ses nichons ! s'exclama Amandine, ils sont en train de durcir, ça l'excite de se mettre nue devant nous. -Regardez, intervint le vigile, j'avais raison : c'est bien un short de chez nous qu'elle planquait, il y a aussi l'étiquette. ![]() images similaires J'essayai de négocier : -Vous avez vu ce que vous vouliez, je vais vous rendre votre short. -Tu penses t'en tirer à si bon compte, me répondit le patron, douchant mes espoirs. Commence par enlever ce short, pour voir si tu ne caches pas autre chose. Je dus me soumettre, et dans les instants qui suivirent, je me retrouvai dans le plus simple appareil. ![]() images similaires Mais je n'en avais pas terminé ! Je tendis le short au patron, et j'étais plantée là, nue, devant lui, quand il renchérit. -Amandine, fouille-la au corps, pour voir si elle n'a pas planqué des bijoux dans sa chatte. Je sais que ça te plait de tripoter les jolies voleuses. -Allonge-toi sur le bureau, m'ordonna la secrétaire, sur un ton sec et désagréable. Je dus m'exécuter, mais je fus surprise, en voyant Amandine enlever sa robe, et en constatant que, elle aussi, ne portait rien dessous. A peine installée sur le bureau, je sentis ses mains écarter mes cuisses, et sa bouche se poser sur ma chatte. ![]() Je voulus me rebeller, même si la sensation était plutôt agréable. -Ce n'est pas une fouille ce que vous faîtes là !, protestai-je. -Tu n'es pas en position de dire quoi que ce soit, rétorqua Amandine, en me plaquant sur le bureau. Pour me faire sentir sa domination, elle prit la pointe d'un de mes seins entre ses dents, et la mordit jusqu'à ce que je demande grâce. ![]() images similaires M'avouant vaincue, elle se rattrapa en embrassant mon autre sein, pendant que ses doigts partaient explorer ma fente. ![]() Petit à petit, je sentis le plaisir monter. Elle exigea que je tienne ma cuisse pour l'écarter au maximum, afin de pouvoir accéder plus facilement à ma chatte, et la fouille tournait à la séance d'exhib. Etre exposée dans cette position au regard du patron et du vigile renforçait mon excitation, et la jolie brune était particulièrement adroite, de ses mains, mais aussi de sa langue, qui avait débusqué mon clito tout gonflé. ![]() images similaires Je m'étais mise à gémir, sans retenue, et bientôt un orgasme m'emporta au septième ciel. Amandine continuait de fouiller mon intimité, prétextant de la nécessité de vérifier que je n'y avais rien caché. Enfin, elle se releva, et montra à son patron ma grotte entrouverte, luisante de cyprine. ![]() -J'ai bien vérifié, elle n'a rien caché de ce côté-là, annonça-t-elle avec une expression perverse. Cette fois, je pensais être quitte, mais une autre épreuve m'attendait encore. -Je te laisse le choix, ma jolie, me proposa le patron. Tu fais ce qu'on va te demander, ou j'appelle les flics qui t'embarqueront, et je porte plainte contre toi. -Non, je vous en prie, l'implorai-je, pas la police ! -Très bien. Pour commencer, tu vas reporter ce que tu as volé dans les rayons... Non ! sans te rhabiller, ajouta-t-il, voyant que je m'apprêtais à récupérer mes vêtements. -Vous voulez dire que... je vais devoir traverser nue tout le magasin ? -Oui, répondit le vigile. Et n'oublie pas qu'on te surveille, ajouta-t-il en me montrant les écrans de vidéosurveillance. -Mais... tous les clients vont me voir. Personne n'a jamais fait ça ! -Détrompe-toi, m'interrompit Amandine, me montrant l'écran de son ordinateur. Ici, c'est une fille qui a voulu nous piquer des DVD. Je découvris une jolie brune à lunettes, filmée à poil devant un écran télé allumé, une télécommande à la main. ![]() images similaires -C'était il y a un mois. On l'a obligée à visionner un des DVD sur une télé en rayon, ajouta le vigile, hilare. Et celle-ci, elle avait essayé de voler des bocaux de foie gras et de caviar. Pas mal non plus ? ![]() -Bien, tu as vu ? reprit le patron. Maintenant, c'est ton tour. -En plus, vous avez remarqué ? reprit Amandine, en remettant sa robe. Elle est bronzée, sans aucune marque de maillot. Cette nana doit se faire bronzer à poil ! Vaincue, je pris le short et le string, les glissai dans mon sac, et je me dirigeai vers l'accès aux commerces, le cœur battant. Dans un dernier sursaut de pudeur, j'avais mis mes lunettes de soleil, pour éviter d'être reconnue mais, dès la porte donnant sur la galerie marchande franchie, je sentis tous les regards se poser sur moi. ![]() Je lisais dans les yeux des clientes et des clients du centre tout le panel des réactions : stupeur, indignation, admiration (surtout chez les hommes), jalousie (chez les femmes)... En quelques instants, je m'habituai à cette situation et, après un sentiment de honte, l'excitation me gagna de nouveau. J'en arrivais à me réjouir de m'être mise en danger. Sans cela, je n'aurais jamais osé tenter cette expérience extrême d'exhibition. Elle dépassait tout ce que j'avais fait jusqu'à présent, dans des lieux comme la plage ou dans des soirées, quand je m'étais mise nue devant un public qui pouvait plus ou moins s'attendre à ce genre de comportement. Je commençai par remettre le string sur son présentoir, puis je me dirigeai vers le rayon vêtement, pour y restituer le short. De plus en plus à l'aise et excitée, je traînais même, pour détailler quelques robes. ![]() images similaires Le vigile, qui me suivait à distance, m'adressa un signe pour que je m'approche discrètement de lui. -Si tu veux, pour te récompenser de ta docilité, tu peux aller faire pour 20 euros d'essence à la pompe. Je surveille, et tu n'auras rien à payer... si tu restes nue ! Et tu repasseras après par le bureau, pour récupérer tes affaires. Vu l'état de mes finances, cette proposition m'arrangeait. Je retournai à ma voiture, sur le parking, toujours suivie par des regards insistants, et quelques sifflets admiratifs. Mes seins étaient gonflés et durs, à un point que j'atteignais rarement pour une simple exhib. ![]() images similaires Arrivée à la station service du centre commercial, je choisis tout de même la pompe la plus isolée, et je mis dans mon réservoir la quantité d'essence autorisée par Pierre, le vigile. Je me payais même le luxe d'adresser un coucou à la caméra de surveillance. ![]() Puis je garai de nouveau ma voiture, et je remontai rapidement à l'étage du centre. En entrant dans le bureau, je retrouvai Amandine et son patron, devant les écrans de télésurveillance. Manifestement, ils n'avaient rien manqué de l'exhibition à laquelle ils m'avaient contrainte. Le vigile entra dans la pièce sur mes talons. -Je peux me rhabiller maintenant, et partir ? demandai-je. -On ne va pas se quitter comme ça, rétorqua Amandine. Martial, mon patron voudrait te montrer qu'il ne te tient pas rigueur de ta tentative de vol... et moi non plus d'ailleurs. -Qu'est ce que vous voulez dire ? Je posai cette question tout en devinant la réponse. Mais j'avoue que ma séance d'exhib m'avait copieusement émoustillée. Le directeur du centre était un beau mec, et je vis qu'Amandine commençait à enlever sa robe. ![]() images similaires -Je suis certain que tu suces très bien, et que tu aimes autant ça que de te balader à poil, dit le patron, qui s'était débarrassé de sa veste et de sa cravate. L'air soumis, je m'approchai de lui, je dégrafai sa ceinture pour ouvrir son pantalon. Je glissai ma main dans son slip, et je sentis aussitôt sa verge, déjà dure et dressée. Avant de l'avoir vue, je savais que c'était un superbe engin ! Je n'eus aucune difficulté à la sortir du pantalon, et avant de le déshabiller, je pris le gland gonflé dans ma bouche. ![]() images similaires Amandine, maintenant entièrement nue, nous rejoignit, et déshabilla son patron, pendant que je continuais de le sucer. Elle le caressa, se frotta contre lui avec une expression lubrique, puis s'agenouilla en face de moi pour m'accompagner dans ma fellation. Pendant que je me concentrais sur le gland, elle léchait et mordillait la longue hampe. Martial traduisait les sensations que nous lui procurions par des grognements, et par la pression de ses mains sur nos têtes. ![]() images similaires Pendant ce temps-là, le vigile avait sorti une caméra vidéo, et nous filmait. J'étais tombée sur une équipe d'accros au sexe ! Il y avait un canapé dans un coin du bureau, et je m'aperçus soudain que c'était un convertible, ouvert discrètement par Pierre. Amandine s'allongea, en travers du matelas, et m'attira sur elle. Je sentis son corps musclé, ses seins fermes contre mon corps. Le patron revint planter son pieu dans ma bouche, tandis que sa secrétaire lui léchait les couilles. ![]() Martial ordonna à Amandine de continuer à le sucer, pendant qu'il préparait ma chatte pour me baiser. C'était un dominateur, et nous nous exécutâmes toutes les deux. Je m'allongeai sur le dos, cuisses largement écartées, et il commença à me bouffer la moule. Il était très adroit, et débusqua immédiatement mon clito dardé, m'arrachant un cri de plaisir. J'entendais en même temps les bruits de succion d'Amandine, pompant furieusement le mât dressé qui allait bientôt s'enfoncer dans mon minou. ![]() images similaires Le désir montait en moi, de plus en plus impérieux, et ce fut presque une délivrance, lorsque Martial, allongé, m'empoigna par le bras pour me faire venir sur lui, sans ménagement. La secrétaire guida sa bite vers ma fente, tout en continuant à lécher la longue hampe, et je m'empalai lentement. ![]() Je savourais chaque centimètre de la progression du gland gonflé dans mon fourreau inondé de cyprine. Pour me provoquer, Martial restait complètement immobile, attendant que je fasse coulisser ma chatte sur son énorme dard, pendant qu'Amandine embrassait mes fesses et m'excitait avec de légers coups de langue. La méthode était efficace car, très vite, je me déchaînai. ![]() Bien campée sur mes cuisses, j'allais et venais sur la longue tige, variant le rythme de mes mouvements. Mais le patron se contrôlait sans difficulté, et c'est moi qui atteignis la première un orgasme foudroyant, en criant. -Oooh, c'est bon ! Je jouis !... Oui, je jouiiis ! -Attends, petite vicieuse, me dit Amandine. Tu vas devoir aussi t'occuper de moi. Elle s'allongea, et Martial m'installa sur elle, en 69, avant de replonger sa bite dans ma grotte. ![]() images similaires J'étais maintenant dans un état second, que je connaissais bien, chaque fois que je m'abandonnais à mon insatiable appétit de sexe. Le patron me pilonnait la chatte à grands coups de reins mais, malgré la force de ses assauts qui secouaient tout mon corps et faisaient bouger mes petits seins, j'arrivais à explorer la fente de sa secrétaire, et à titiller son clito dressé comme une minuscule verge. ![]() images similaires De son côté, Amandine dévorait aussi mon petit bouton, tandis que le sexe de son patron entrait et sortait sous ses yeux de mon minou, en effleurant ses lèvres. C'était un torrent de sensations excitantes, et nos gémissements, nos plaintes, nos cris remplissaient la pièce. ![]() images similaires Je parvins à faire jouir Amandine avec ma langue, et je la suivis de près dans un second orgasme. Martial, quant à lui, se contrôlait toujours. -J'ai envie d'essayer le petit trou de Chloé, je suis certain qu'elle aime ça, l'entendis-je dire. -Je crois aussi qu'elle aime se faire défoncer le cul, lui répondit Amandine, sans me poser de question. Je vais vous la préparer. J'avais vraiment l'impression d'être une femme objet, mais j'étais incapable de me révolter, tant le désir me menait. C'est même moi qui me mis à quatre pattes, cambrant les reins, et la secrétaire commença à lubrifier ma rosette avec sa salive. ![]() Son patron l'interrompit. -Ne t'en fais pas. Elle a tellement mouillé pendant que je la baisais, que sa cyprine a coulé jusqu'entre ses fesses. C'était vrai, et il réussit à me pénétrer, doucement, mais sans difficulté. Je sentais son dard s'enfoncer lentement dans mon anus, et je fermais les yeux pour mieux apprécier les ondes de plaisir qui parcouraient mon ventre et mes reins. Il se mit à aller et venir dans mon cul, d'abord doucement, puis lorsqu'il me sentit contracter mes muscles autour de sa tige, il se lâcha. Le rythme de ses coups de boutoirs suivait celui de mes cris, et nous basculâmes sur le côté, sans nous désunir. Il continuait de me défoncer, pendant qu'Amandine jouait avec les pointes de mes seins. Bizarrement, quand elle me pinçait, la douleur augmentait mon plaisir. ![]() Amandine réclama un cunnilingus, et elle vint chevaucher le visage de Martial qui, calé entre ses cuisses, pouvait laper la sève qui dégoulinait de la fente de sa secrétaire. Très vite, elle se mit à gémir, et m'embrassa à pleine bouche. Sa langue tournait autour de la mienne, et nous sentions l'orgasme monter. ![]() Quelques instants plus tard, nous jouissions toutes les deux ensemble, bruyamment, devant la caméra de Pierre qui continuait de nous filmer. Amandine se releva, et les grognements de Martial, toujours planté entre mes fesses, révélaient qu'il allait éjaculer. Dans les secondes qui suivirent, je sentis de puissants jets de foutre gicler dans mon petit cul. Quand il se retira, la semence coulait encore de son gland, et la secrétaire se rua entre mes cuisses pour lécher ma rosette et savourer le sperme de son patron. ![]() images similaires Je restais un long moment, étendue, reprenant mos souffle et mes esprits. Martial quant à lui, en manager pressé, avait déjà remis chemise, cravate et costume, et nous quittait sans un mot pour se rendre à un rendez-vous. Il croisa plusieurs membres du personnel, car c'était l'heure de la pause déjeuner pour certains, et du changement d'équipes pour d'autres. Quelques uns - et quelques unes - passaient par le bureau, et me découvraient, nue, sur le canapé déplié. Amandine raconta ma mésaventure, et il y avait peu de réactions de surprise chez ces salariés : je n'étais manifestement pas la première à me retrouver dans cette situation ! Je me relevai, mais Pierre s'approcha de moi, et me dit à mi-voix : -La tradition, lorsqu'une jolie voleuse se fait pincer, c'est qu'elle s'offre en spectacle à certains membres du personnel. -Votre patron ne m'a jamais parlé de ça, protestai-je mollement. -Peut-être, mais il m'a dit avant de partir qu'il te laissait emporter le short que tu avais voulu nous piquer, insista Amandine. -D'accord, mais on ne m'achète pas : si je fais l'amour, c'est pour le plaisir, répondis-je vexée, avec le sentiment d'être prise pour une pute. Tout en discutant, le vigile s'était débarrassé de ses vêtements, découvrant sa queue dure et dressée à la verticale. C'est moi qui pris l'initiative, en le poussant sur le bureau, et en grimpant sur celui-ci pour me mettre à genoux. J'avais à nouveau une formidable envie de jouir, renforcée par le plaisir de m'exhiber sous les yeux d'une dizaine de personnes qui commençaient à nous encercler. Lentement, je vins m'empaler sur le gland turgescent, pendant que Pierre, désarçonné par mon audace, me dévisageait, incrédule. ![]() Je me mis à le chevaucher, faisant coulisser mes petites lèvres tout le long de sa tige, et bientôt les premiers cris de plaisir s'échappèrent de ma gorge. -Retourne-toi, pour que mes collègues puissent mieux te voir, me demanda Pierre. Sans discuter, je me dégageai pour faire demi-tour, et revenir m'empaler sur sa bite. Dans cette position, il était vrai que mes admirateurs profitaient davantage du spectacle de ma chatte béante, et de mes petits seins secoués par les coups de reins du vigile qui me tenait par les hanches. ![]() Moi aussi, j'étais excitée par tous ses yeux rivés sur les parties les plus intimes de mon anatomie, scrutant sur mon visage la progression du plaisir. Pierre était déchaîné, et nous basculâmes sur le côté, juste au moment où je jouis en hurlant. ![]() Le vigile était aussi endurant - et aussi bien monté - que son patron, et me voir me faire sodomiser quelques minutes auparavant lui avait donné des idées. Et un autre responsable du magasin s'approcha à son tour, en ôtant son jean. -Tu en veux encore, Chloé ? me demanda Pierre. -Tu profites de ma faiblesse, me lamentai-je en jouant les ingénues. -Je crois qu'une bite dans ton petit cul, et une autre dans ta bouche te donneraient beaucoup de plaisir. Je répondis seulement par un regard plein de promesses. Le vigile se plaça derrière moi, et je soulevai ma jambe, pendant que son collègue me présentait son gland, tout près de mes lèvres. ![]() images similaires Je m'offris sans retenue à ces pénétrations, et je sentis avec des frissons de bonheur les deux glands se frayer un passage, entre mes fesses et dans ma bouche. Je gémissais de plaisir, et je ne sais pas combien de temps durèrent les va-et-vient en moi de ces deux dards. J'aurais voulu que ça ne s'arrête pas, mais je finis par jouir interminablement, ponctuant chaque vague de plaisir d'un long cri aigu. ![]() Mes partenaires n'en avaient pas fini ! Insensibles à mon épuisement, ils me manipulèrent comme une poupée de chiffon pour me prendre en sandwich. J'étais à peine consciente de ce qui se passait, mais je me retrouvai, chevauchant Pierre, et offrant mon cul à son collègue. Je réalisai seulement la situation lorsque je sentis les deux dards s'enfoncer entre mes fesses et entre mes petites lèvres brûlantes. ![]() Ils me pénétrèrent doucement, et bougèrent d'abord lentement, pour me laisser le temps de récupérer un peu. Ce qui ne tarda pas. Avec ravissement, je perçus à nouveau la montée du plaisir. Mes plaintes, d'abord étouffées, se transformèrent en gémissements évocateurs, et les coups de reins des deux hommes se firent de plus en plus rapides, de plus en plus violents. ![]() images similaires L'orgasme montait de mon ventre, faisait durcir encore davantage mes seins. Mes deux amants d'un instant le comprirent. Sans se retirer, ils réussirent à se mettre debout, et à me faire sauter sur leurs bites qui me remplissaient totalement. ![]() images similaires Et je parvins à jouir de nouveau. -Oui ! Oui !!! C'est bon, je jouis !!!... Oooh, je vous veux, je veux sentir votre semence gicler ! Exauçant aussitôt ma demande, ils me posèrent par terre, à genoux. Leurs glands tremblaient, prêts à exploser, et à peine les touchai-je qu'ils éjaculèrent dans ma bouche et sur mon visage, les inondant d'un foutre épais. ![]() Pierre et son collègue m'abandonnèrent, au milieu du personnel qui me matait avec un mélange d'incrédulité et d'admiration. Pendant que le vigile se rhabillait pour aller rechercher mon short dans le magasin, le responsable du prêt-à-porter réclama « sa part », pour laisser sortir le short que je convoitais. Je me retrouvai de nouveau allongée sur le dos, les cuisses relevées et largement écartées. Ses autres collègues s'étaient rapprochés encore plus, pour observer la scène en gros plan. La proximité de ces voyeurs, la taille du sexe qui allait me pénétrer, réveillèrent chez moi un dernier sursaut de désir. -Tu veux me prendre comment ? lui demandai-je. -Ici, comme ça, dans ton joli cul, répondit-il d'une voix rauque. Et l'énorme gland força l'entrée de mon petit trou, encore dilaté. ![]() images similaires Mais j'avais présumé de mes forces. Je n'arrivais pas à atteindre l'orgasme, malgré les coups de boutoirs furieux de mon partenaire, et les encouragements de ses collègues. Il fallut près d'une demi-heure pour que je jouisse enfin, stimulée par les jets de sperme que je sentis jaillir au fond de mon ventre. ![]() On me laissa enfin me remettre debout, et aller au sanitaire en titubant, pour une toilette sommaire. La fraîcheur de l'eau me permit de récupérer un peu et, sur le bureau d'Amandine, je trouvai le short responsable de ma mésaventure... Mais était-ce vraiment une « mésaventure » ? J'enfilai donc mon micro short et mon débardeur, sans remettre ma minijupe que je fourrais dans mon sac, et je quittai le bureau, saluée par les sifflets admiratifs des employés encore présents. Quelques instants plus tard, je me retrouvai dehors, sur le parking, et j'appréciai la chaleur du soleil sur mes fesses largement découvertes. ![]() images similaires Et c'est dans cette tenue très sexy que je repris ma voiture, pour rentrer chez moi. |