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Le fétiche : 15. Objet perdu Nous avions retourné tout l'appartement à la recherche de l'olisbos mais sans succès. J'étais assez inquiet et c'est le lendemain matin que les événements commencèrent. Je fus réveillé par une soudaine érection et une furieuse envie de baiser. J'avais l'habitude des érections matinales mais jamais de manière aussi fulgurante. ![]() Fabienne était déjà debout. Sortant de la douche, elle arriva dans la chambre juste à ce moment-là, découvrant mon état. Elle s'en amusa et vint s'assoir à côté de moi pour me branler, par jeu : - Je n'ai pas le temps de m'occuper de toi, je ne suis pas en avance pour aller au boulot. ![]() Comme elle se relevait, je la saisis aux hanches et je l'attirai sur moi. Elle protesta : - Non, ne déconne pas Cédric, tu vas me mettre en retard. Malgré tout, elle ne se débattit pas vraiment et je pus sans peine l'obliger à me chevaucher et à s'empaler sur ma tige raide. Je la pris aux hanches et commençai à la faire monter et descendre sur ma queue. ![]() Elle se mit aussitôt à gémir et n'émit plus aucune objection concernant son heure d'arrivée au travail. Rapidement, je n'eux plus à la tenir et elle se mit à bouger d'elle-même. Elle tourna la tête pour me regarder : - Je pense que notre voleuse d'olisbos est en train de jouer avec... ![]() Je sentais ma queue grossir en elle, comme si l'excitation grandissait toujours un peu plus. Fabienne eut rapidement un orgasme. Tout en hurlant son plaisir, elle se déchaîna sur ma bite sans parvenir à me faire jouir. Même quand elle s'immobilisa pour se reprendre son souffle, j'avais la sensation que Fabienne bougeait toujours. ![]() Elle se retira : - Bon là, il faut vraiment que j'y aille, sinon je vais me faire engueuler... Elle se releva et se pencha sur moi pour m'embrasser tandis que j'avais l'impression qu'elle était toujours en train de me faire l'amour. Je sentis que j'étais à deux doigts de jouir et me redressais vivement, à genoux sur le lit. ![]() Fabienne crut que je voulais qu'elle me suce et se recula : - Je t'ai dit que je n'avais pas le temps pour ça. Je file. Elle descendit du lit et attrapa ses vêtements. Soudain, sous le coup d'un plaisir immense, je me mis à éjaculer sur la couverture du lit. Fabienne rigola : - Merde ! C'est cette salope de voleuse qui t'a fait jouir ? - Oui... je crois... - Désolée, si j'avais su... Je pensais que tu parviendrais te retenir. - L'olisbos est enchanté, tout comme la statuette ! Elle fila sous la douche et me laissa, un peu perturbé par ce qu'il venait de se passer. ![]() images similaires Cela me reprit souvent, n'importe quand, mais toujours dans l'appartement. Fabienne en profitait certaines fois mais c'était parfois très gênant quand nous avions des invités. La fois où ce fut le plus gênant était avec un couple d'amis que nous avions invité à venir prendre l'apéritif. ![]() Fabienne avait mis une robe particulièrement sexy, sans bretelles. Même notre ami en profitait pour admirer son décolleté. Pendant que nous discutions, j'eus à nouveau une érection fulgurante et un désir irrépressible de baiser. Voyant l'énorme bosse soudaine dans mon pantalon, Fabienne s'en rendit compte et espéra que j'allais pouvoir me contrôler. Sa copine aussi resta bouche bée en voyant la déformation de mon entrejambe. Surexcité et complètement désinhibé à cause de l'enchantement, je dépoitraillai Fabienne sans me soucier de la présence des invités. ![]() images similaires - Hey, Cédric, arrête ! Mais je me moquais de la présence de nos amis : je voulais la mettre à poil et la baiser. Fabienne m'échappa, se relevant pour se rajuster sous les yeux amusés de nos amis et, comprenant que je ne pourrais pas me contrôler, me prit par la main pour m'emmener à la salle de bain. Sitôt la porte fermée, elle me gronda : - Je sais que tu ne contrôles pas, mais là, tu mets dans une position très délicate vis-à-vis de nos amis. ![]() images similaires Je ne répondis pas et continuai à tenter de lui retirer sa robe, la dépoitraillant à nouveau. Voyant qu'il était inutile de me raisonner, elle décida d'accélérer le processus et en me suçant. C'était encore une fois tout à fait étonnant : ma queue était dans sa bouche, subissant les caresses buccales de Fabienne, mais j'avais l'impression pourtant d'autre chose. ![]() Je racontai mes sensations : - C'est fou, j'ai l'impression que je suis dans ton sexe. Elle releva la tête : - La voleuse est certainement en train de se branler avec l'olisbos... Et elle reprit à me sucer dans l'espoir que j'éjacule rapidement afin que l'on puisse rejoindre nos invités. ![]() images similaires Il y eu quelques secondes d'accalmie tandis que Fabienne me suçait. J'eus ensuite l'impression d'une pénétration plus étroite qui se raidir ma queue encore davantage. La voleuse utilisait probablement l'olisbos pour se sodomiser. ![]() images similaires Fabienne dut s'en rendre compte et accéléra encore sa fellation. Je ne pus me retenir davantage et j'éjaculai dans la bouche de Fabienne. J'eus la sensation qu'un torrent de sperme giclait de ma queue. Fabienne tenta d'avaler au fur et à mesure mais elle dut se résoudre à en laisser échapper une partie pour pouvoir reprendre sa respiration. ![]() Après avoir remit de l'ordre dans notre tenue, nous retrouvâmes nos amis qui nous regardaient avec un air très amusé. Après leur départ, Fabienne me parla avec gravité : - Cela ne peut plus durer. Il faut que tu ailles faire du porte à porte pour retrouver l'olisbos. J'étais d'accord avec elle et malgré ma crainte de discuter avec les protagonistes de l'orgie qui s'était déroulée chez nous quelques jours auparavant, je décidai de commencer à enquêter. Je commençai par la première porte au rez-de-chaussée. Une femme charmante ouvrit : - Bonjour ? - Bonjour madame. Je ne sais pas si vous avez participé à la soirée qui s'est improvisée chez moi la semaine dernière mais... Elle me sourit et répondit calmement : - J'étais absente ce fameux jour... Mais mon mari était là. Elle me fit entrer et je reconnus effectivement son mari : c'était le gars qui, le premier, était venu sodomiser Fabienne. ![]() images similaires La femme était donc manifestement au courant de l'écart de son mari et ne semblait pas particulièrement en colère. Lui semblait très mal à l'aise de ma présence, probablement très perturbé de ce qu'il avait fait. La femme referma la porte derrière moi et me dit : - Retirez votre chemise. - Pardon ? - Vous ne pensez pas que c'est une juste compensation pour moi, par rapport à l'écarte de conduite de mon mari ? ![]() images similaires Elle semblait très excitée et ce n'est qu'à ce moment-là que je pris conscience que, depuis mon arrivée, elle avait ouvert quelques boutons à son décolleté. Son mari ne disait rien. Il me semblait que cette curieuse compensation avait été négociée avant mon arrivée. Gardant en tête mon objectif de remettre la main sur l'olisbos, j'acceptai et retirai ma chemise. Soudain, je sentis le désir monter. Une érection fulgurante déforma mon pantalon et cela n'échappa par à mon hôtesse qui ne pu s'empêcher de désigner ma réaction ostentatoire. ![]() images similaires Avant de perde tout contrôle, je tentai d'expliquer ma situation : - Ne vous méprenez pas, je suis victime d'un sortilège. On m'a dérobé un godemiché magique qui a le pouvoir de mettre en érection sitôt qu'il est utilisé. Il faut que vous sachiez que je vais difficilement pouvoir contrôler mes pulsions dans quelques secondes. Je sentais mon sexe grossir encore et commencer à sortir de mon pantalon. ![]() images similaires Le mari se mit à grommeler : - A qui voulez-vous faire croire une histoire pareil, espèce de détraqué ! Mais sa femme ne semble pas de son avis : - Je te rappelle que, toi aussi, tu m'as avoué que tu avais perdu tout contrôle, comme sous l'emprise d'une force extérieure, quand tu as sodomisé sa femme. Le mari se vexa et on ne l'entendit plus. Mon désir de baiser cette femme grandissait et elle en avait parfaitement pris conscience. En quelques secondes, elle retira son débardeur et son jeans en me disant : - Baisez-moi devant lui, ça l'aidera à mieux assimiler cette histoire de magie. Elle commença à caresser la bosse de mon entrejambe. ![]() images similaires - En tout cas, cette magie vous met dans un état très intéressant. Vous pensez que je pourrais moi aussi trouver ce genre d'objet pour mon mari ? Elle se tourna et calla ses fesses contre ma bosse. Elle se mit à onduler pour me branler avec son cul à travers mon pantalon. ![]() images similaires N'en pouvant plus, je fis glisser son string pour la mettre nue. Souriant, elle se retourna et libéra enfin mon érection de l'emprise étroite de mon pantalon. Elle fut subjuguée par la taille de ma queue : - Incroyable ! Cette magie est prodigieuse ! ![]() Son mari me lançait un regard noir, mais se retenait de dire quoi que ce soit. Sans doute se souvenait-il de sa bite enfoncé dans l'anus de ma femme. Sa femme me fit asseoir à côté de lui et elle vint me chevaucher pour s'empaler sur moi en me tournant le dos. Elle se mit aussitôt à monter et descendre sur ma tige tout en gémissant. Haletante, elle dit à son mari : - Si en enculant cette fille tu as pris le même pied que je prends, je suis bien contente de profiter moi aussi de cette magie. ![]() images similaires Après quelques minutes, elle se retira et s'allongea en appuyant sa tête sur les cuisses de son mari. Tout en regardant mon énorme sexe, elle me dit : - Venez me baiser comme ça. Elle écarta grand les cuisses pour que je puisse la pénétrer. Je ne mis pas longtemps à la faire jouir. ![]() images similaires Tandis qu'elle se remettait de son orgasme, je sens mon plaisir monter, inéluctablement. La femme sentit que j'étais mûr et elle se releva pour s'agenouiller devant moi. Juste à temps : je commençais tout juste à éjaculer. Elle ouvrit la bouche pour recevoir plusieurs jets de mon sperme. Elle n'avalait pas, laissant la semence couler sur ses seins. Elle semblait de toute évidence vouloir privilégier l'aspect spectacle pour emmerder son mari. ![]() images similaires Quand elle se redressa, elle me dit avec un grand sourire : - Merci d'être passé ! En tout cas, ce n'est pas nous qui avons votre godemiché magique. Enfin libéré de l'emprise du sortilège, je me rhabillai aussitôt. La femme, toujours nue et couverte de mon sperme, me raccompagna à la porte. Avant de continuer mon enquête, je repassai à l'appartement pour raconter mon aventure à Fabienne. Mon histoire sembla bien l'exciter mais elle me conseilla quand même pour la suite de regarder les noms sur les boîtes aux lettres afin de cibler en priorité les filles et femmes célibataires... Je commençai par la voisine du dessous qui, d'après la boîte au lettre, s'appelait Oriane. Une femme m'ouvrit en robe de chambre noire transparente sous laquelle elle portait un string mais pas de soutien-gorge. Sa poitrine était magnifique et je fus presque aussitôt en érection. Je me présentai - Bonjour, je suis votre voisin du dessus et lors des événements de la semaine dernière, nous nous sommes aperçus qu'on nous avait emprunté un objet qui... - je vois très bien qui vous êtes et je me souviens très bien de l'orgie dans votre appartement. Je me demande encore comment je suis arrivé là, mais vous avez sans doute une explication à ce qui s'est passé ce jour-là ? Elle me fit entrer et referma la porte. ![]() Peut-être étais-je tombé sur la bonne personne. Elle s'assit pour m'écouter : - C'est une histoire un peu hallucinante. Il se trouve que je possède un olisbos enchanté... - Un olisbos ? - Oui, un godemiché, si vous préférez. Mais cet objet est ensorcelé et produit les effets que vous avez pu observer quand moi-même ou une femme le touche. - Et c'est cet objet qu'on vous a dérobé ? A sa question, je comprenais que ce n'était pas elle. - Oui... Mais j'imagine que ce n'est pas vous... - Je suis déjà très bien équipé en godemiché, vous savez. Toutefois, je pense savoir qui pourrait être votre voleuse. ![]() - Ah oui ? - Oui, mais en échange de cette révélation, je veux que vous me fassiez jouir aussi bien que lors de l'orgie. - Je vous avoue que je ne me souviens pas de tout... - Moi si et j'y repense avec émoi. Si vous refusez, je ne vous dirais pas ce que je sais... Je n'avais pas le choix. J'acceptai donc le marché. Oriane se leva et ouvrit sa robe de chambre, dégageant ses seins. Elle se glissa une main dans la culotte : - Alors, ça vous tente ? ![]() La bosse de mon entrejambe parlait pour moi et, cette fois-ci, ce n'était pas l'effet de l'enchantement. Bien que je ne répondis pas, elle retira sa robe de chambre et se débarrassa de sa culotte : - Venez me bouffer la moule. J'en ai très envie depuis votre arrivée. Il me semblait que toute négociation était inutile et de toute façon, j'avais très envie de satisfaire cette belle femme. Après avoir retiré mes vêtements, je vins m'agenouiller devant elle pour plonger mon visage entre ses cuisses et lui lécher la minette. ![]() Une main posée sur ma tête pour m'empêcher d'arrêter, elle se mit à gémir tandis que ma langue s'activait sur sa fente humide et son clitoris. Après quelques minutes, elle me fit me relever et me désigna un canapé sur lequel je devais m'assoir. Dès que je fus installé, elle vint s'empaler sur ma tige dressée, se l'enfonçant jusqu'à la garde.. ![]() Puis elle se mit à monter et descendre en gémissant. Soudain, je sentis à mon sexe que l'olisbos était en train d'être sucé. Mon sexe grossissait rapidement tandis que ma voisine continuait à me chevaucher. Elle se mit à hurler : - Oh oui, c'est bon !!! Elle eut rapidement un terrible orgasme et je ne mis moi-même pas longtemps à le déverser en elle sans la moindre réticence. ![]() Dès que notre plaisir synchronisé se calma, elle se redressa pour se dégager et s'affala à côté de moi sur le canapé : - Ah, je suis ravie que ayez accepté mon petit marché... ![]() - Maintenant, vous me devez une révélation. - Je vous le dois bien. Je suis à peu près certaine qu'il s'agit d'une des étudiantes qui louent au dernier étage de l'immeuble. Mon enquête venait de progresser à grand pas. Je touchai au but. |