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Ninon
1er juillet 2016
A l'écoute - 03


La nuit, chaude et orageuse, m'a incitée à dormir nue, ce qui n'a pas été sans émouvoir Paul qui n'a pas pu s'empêcher d'en profiter. Je l'ai laissé faire à sa guise sachant que je ne commence le lendemain qu'à dix heure. Paul n'a pas la chance de pouvoir faire une grasse matinée et doit se lever. Un peu jaloux, en se levant, il s'amuse à tirer la couverture, aussi, j'imagine, pour profiter de la vue sur mes formes nues.


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Cela me réveille et je me redresse. Paul me sourit :
- Sympa comme nuit. J'aime bien quand il y a de l'orage.
Je ne peux pas le contredire puisqu'il m'a donné deux orgasmes. Comme il reste à me regarder, fasciné par ma poitrine comme s'il la découvre pour la première fois, je le dis d'aller se préparer :
- Va donc à la douche. Tu vas être en retard.


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Il sait que j'ai raison mais il semble vraiment contrarié de devoir changer de pièce. En me levant, je m'étire pour l'exciter. J'attrape les boucles d'oreilles sur la table de chevet et les mets. Avant de refermer la porte de la salle de bain, il râle :
- Putain, ça fait chier de devoir aller bosser !


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- Oui mon chéri ! Prends vite ta douche et on verra ce qu'on peut faire...
- Ok.
Paul a ouvert la fenêtre pour aérer. Je me lève et regarde le temps qu'il fait pour savoir comment m'habiller. Je me fiche un peu que les voisins puissent me voir toutes nues.


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L'orage semble terminé et il fait un peu moins lourd que la veille au soir, grâce à un petit vent frais. Je compte donc m'habille léger mais pas trop non plus. Je sors une culotte de mon tiroir et commence à l'enfiler. Je sursaute en entendant la voix :
# Ninon, pas de culotte, aujourd'hui.
Je m'arrête et regarde par la fenêtre. Est-ce Fabrice ? M'observerait-il depuis la rue ?



Intriguée, je termine d'enfiler la culotte et je vais à la fenêtre pour en baisser les stores. La voix reprend :
# Pas de culotte. Est-ce clair ?
Ce n'est pas un hasard, il me voit forcément. Pourtant, les stores sont baissés. J'écarte deux lames pour voir à l'extérieur si on m'observe.


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La voix retentit à nouveau :
# Inutile de fermer les stores. Par contre, je n'ai pas l'impression que tu tiennes compte de ma demande.
Il me voit donc, c'est indéniable. Je prends peur et obéis, retirant ma culotte et rouvrant les stores. Nue à la fenêtre, je scrute la rue et les maisons à proximité mais ne vois pas Fabrice.


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N'insistant pas, je retourne à la commode pour sortir un débardeur. Je ne me pose même pas la question de mettre un soutien-gorge. La voix, sans doute Fabrice, me dira probablement de ne pas en mettre. Je suis un peu perturbée de savoir que Fabrice use de ce gadget alors qu'il sait que je ne commence à travailler que plus tard. J'enfile le débardeur.


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J'entends alors Fabrice me dire :
# Tu vas te contenter de cela pour le moment.
Je ne comprends pas trop ce qu'il veut dire, jusqu'à ce que j'attrape la jupe.
# Non, pas de jupe. Juste le débardeur.
Le débardeur est assez grand mais me couvre à peine les fesses.



Il est hors de question que je sorte dans cette tenue, mais en même temps je ne suis pas censé aller travailler tout de suite. Sans doute mon collègue veut-il en profiter pour s'amuser un peu. Je m'assois en attendant les instructions suivantes. J'entends alors Paul sortir de la douche.


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Il a terminé de se sécher et vient chercher ses vêtements. Me voyant dans cette tenue, il se met instantanément à bander :
- Oh Ninon, tu es une diablesse. Comment veux-tu que je résiste à ça ?
- Mon chéri, il va falloir faire vite si tu ne veux pas arriver en retard au boulot...
Aussitôt, il s'assoit pour se masturber :
- Approche un peu ma belle !


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Je n'ai pas vraiment envie de le chevaucher. Je lui dis :
- Non, toi approche...
J'écarte alors les cuisses pour qu'il puisse observer ma fente nue et n'ait pas envie de refuser mon offre.


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Il se lève pour me rejoindre. J'en profite pour me redresser deux secondes et retirer mon débardeur. Il est déjà sur moi quand je me rallonge et m'écarte les cuisses pour me glisser deux doigts dans la fente humide.


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Je lui dis de ne pas traîner :
- Vite, tu ne vas pas avoir le temps de déjeuner !
Il se redresse alors, exhibant sa magnifique érection pleine de promesse. Me relevant les cuisses, il l'appuie sur ma fente et me pénètre lentement.


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C'est un vrai délice. Il se met à aller et venir en moi, me faisant gémir. Une pensée me traverse alors l'esprit. Et si Fabrice est en train de nous observer ? Curieusement, cela n'inhibe pas mon désire et, au contraire, je suis excitée à l'idée qu'il puisse être en train de se rincer l'œil tandis que nous faisons l'amour Paul et moi.


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Je sens mon excitation monter. Je me demande même si j'obéirais à une instruction que Fabrice me donnerait tandis que je suis avec Paul. Je sens l'orgasme monter et m'envahir, telle une vague de plaisir. Paul parvient à synchroniser sa jouissance avec la mienne et je le sens exploser en moi, mêlant ses râles de plaisir à mes cris d'orgasme.


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- Merde, je dois y aller. Désolé, ma belle.
- Ne t'inquiète pas...
Paul enfile rapidement ses vêtements et s'en va précipitamment, me laissant seule. Je suis essoufflée, encore sous le coup du plaisir. J'imagine que Fabrice me voit toujours, alors je me caresse en me disant que cela l'excitera.



Je ne sais pas si cela lui fait de l'effet, mais la voix se fait entendre :
# Un coursier va venir t'apporter ta tenue pour toute à l'heure. Passe quelque chose pour l'accueillir.
Comment dois-je interpréter cela ? S'attend-il à ce que je fasse une accueil chaleureux à son coursier ? Je souris en me disant que même si ce n'est pas ce qu'il sous-entend, exciter le coursier sera amusant.


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Je me lève et passe donc un grand pull en coton. La maille est large et on distingue ma poitrine et mes mamelons. Surtout, le pull ne couvre pas le bas de mes fesses ni mon entrejambe. On frappe à la porte. La voix me confirme qu'il s'agit du coursier :
- Ta tenue est arrivée.


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Quand j'ouvre, je découvre un homme portant un grand sac en papier :
- Bonjour Mademoiselle.
Il semble ravi de ma tenue et ne semble pas plus gêné que cela. Je l'invite à entrer.
- Entrez. On m'a prévenue de votre passage.
- C'est juste pour vous donner ça, tenez.
Il me tend le sac et semble pressé de repartir. J'insiste :
- Entrez. J'aimerai savoir exactement d'où vient ce paquet.
Avec un petit sourire entendu, il entre.


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Je le précède dans le salon, imaginant qu'il en profite pour admirer mon cul, et je l'invite à s'assoir. Je m'assois en face de lui, cuisses écartées, lui permettant d'apercevoir mon entrejambe :
- Alors, qui me fait apporter cette robe ?


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- Je ne sais pas son nom. Je l'ai juste eu au téléphone et on m'a laissé ce paquet chez moi avec votre adresse. Je touche un petit billet pour ça mais je vous assure que je ne connais l'identité du gars.
J'insiste :
- Vous en êtes vraiment certain ?
J'écarte encore davantage les cuisses pour qu'il voie bien ma moule.


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Le gars ne garde plus son aplomb et semble enfin un peu perturbé par mon exhibition. Je tente la chance :
- Si je vous montre mes seins, vous me dites son nom ?
Le gars réfléchit et dit d'un ton calme :
- Si je vous montre ma queue, vous me montrez vos seins.
Me voyant douter, il déboutonne son pantalon et extrait son sexe, déjà en érection et commence à se masturber.


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Cette vision inattendue et mon état d'excitation annihilent toute résistance de ma part. Comme un robot, je soulève le pull sur mes seins. Il s'arrête de se masturber pour admirer ma poitrine. Je l'exhorte à continuer :
- Ne vous arrêtez pas ! Continuez !



J'écarte grand mes cuisses pour l'exciter. Il voit probablement à quel point je mouille. Je commence à me caresser la poitrine. Mes mamelons sont tous durs. Le coursier se masturbe de plus belle. Fascinée par cette exhibition, je glisse de ma chaise et me masturbe aussi, faisant tourner mon index sur mon clitoris.



Le gars se masturbe de plus en plus vite. Est-ce qu'il attend que je l'invite à venir me pénétrer ? J'en ai très envie, mais en même temps, cela m'excite de le voir se caresser devant moi. Je sens qu'il n'est plus loin de jouir quand il se met debout, le regard rivé à ma fente béante.



Il est trop tard, il n'aura pas le temps de me pénétrer. Moi-même je sens l'orgasme arriver. Je laisse le plaisir monter. Je veux le voir gicler pendant que je jouis :
- Venez ! Ejaculez sur mon ventre !


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Le regard fixé à mon entrejambe, il s'approche lentement. Je comprends qu'il tente de se contrôler et ne se précipite pas de peur de jouir prématurément. Une fois devant moi, il se met à se masturber plus vite. Mon orgasme arrive. J'arrête de me caresser en profitant de mon plaisir. Le gars ferme les yeux et se met alors à gicler. Sa semence jaillit et vient éclabousser mes cuisses, ma moule et mon ventre.



La voix me sort de ma torpeur :
# Tu vas être en retard. Il est temps de t'habiller.
Je me redresse. Le gars s'est rhabillé et se dirige vers la porte. Avant de partir, il me désigne le grand sac en papier :
- Je vous laisse le sac. Merci et bonne journée.
Je me lève et m'essuie l'entrejambe avec un mouchoir.


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Le sac contient une petite robe grise. On frappe soudain à la porte. C'est peut-être le coursier qui a oublié quelque chose, mais je me dépêche d'enfiler la robe avant d'aller ouvrir. Je suis surprise de découvrir que ce n'est pas le livreur mais André, mon collègue, qui vient voir Paul :
- Salut Ninon.
- Bonjour André. Qu'est-ce qui t'amène ?
- Je venais voir Paul... Mais c'est vrai qu'il bosse ce matin. Je voulais lui faire goûter cette super bouteille de rouge. Puisque tu es là, ça te dis de goûter ?
N'ayant plus d'instruction dans mon oreillette, j'accepte. André ouvre la bouteille et me sert.



Puis il me demande :
- Tu me sers ?
Je ne comprends pas pourquoi il ne veut pas se servir lui-même mais, en bonne maîtresse de maison, j'attrape un verre et me penche pour le servir. C'est alors en voyant son sourire béat que je comprends sa manœuvre : comme je me penche pour le servir, il en profite pour avoir une vue parfaite sur mes seins nus dans le décolleté de la petite robe :
- Elle est chouette, ta robe, Ninon.



Je me redresse vivement.
- Hey, salaud ! Je viens de comprendre !
- Ne m'en veux pas. Elle te va vraiment très bien cette robe...
Je ne me rends pas tout de suite compte qu'une bretelle de la robe a glissé de mon épaule et que le large décolleté révèle un sein nu.


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C'est en voyant que les yeux d'André ne quittent pas ma poitrine que je comprends. Aussitôt je rajuste la bretelle. André me dit :
- Tu as des seins magnifiques.
- Tu abuses. Tu aurais pu me dire...
- Mais je viens de te dire que tes seins sont magnifiques !
- Ce n'est pas ce que je voulais dire et tu le sais.
André rigole. Tout cela commence à m'exciter et André aussi. Je vois son regard changer. Avec une voix grave et assurée, il me dit doucement :
- J'ai très envie de t'embrasser...
Je m'approche de lui et colle ma bouche à la sienne. Nos langues dansent ensemble et nous échangeons un long baiser. André en profite pour me peloter. De mon côté, je ne me prive pas de lui caresser l'entrejambe, où je découvre une sympathique raideur.



Après m'avoir dépoitraillé, il m'embrasse sur chaque sein, s'émouvant de voir mes tétons tendus. Puis, il me saisit à la taille et m'assoit sur la table. M'écartant les cuisses, il me glisse un doigt dans la fente et commence à me branler la moule. Sentant l'odeur du sperme, il m'interroge :
- Paul t'a fait l'amour ce matin ?
Je n'ai pas le courage de lui avouer qu'il s'agit du sperme du coursier et préfère garder le silence pour qu'il continue.



Il s'arrête pourtant en me voyant garder le silence :
- Ninon, tu ne t'es quand même pas tapé le jeune coursier que j'ai croisé en arrivant ? Il semblait sortir d'ici.
- Nous nous sommes juste masturbé l'un en face de l'autre et je l'ai laissé jouir sur mon ventre...
André ne répond rien. Mon histoire ne semble pas le déranger. Il se redresse et se débarrasse de son pantalon. Il bande déjà et guide aussitôt son sexe en moi. Je gémis. Il me caresse un sein et me fait sucer son index trempé de ma cyprine.



Je suis tellement excitée qu'il me mène à l'orgasme en quelques minutes. Il s'immobilise tandis que je jouis, mais semble lui-même se contrôler. Quand je reprends mes esprits, il me demande :
- J'aimerai bien jouir dans ta bouche...
Cela me convient. Je m'agenouille et lui fais une fellation.



Il offre finalement à mes caresses buccales moins de résistance que je ne l'aurais cru. Poussant un râle profond, je sens son sexe se tendre entre mes lèvres, juste avant l'explosion. Il se met alors à éjaculer dans ma bouche et je laisse son sperme s'écouler dans mon cou et sur mes seins.


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Quand il a fini, il me dit en rigolant :
- Dommage que Paul n'ait pas été là, il aurait adoré ce vin.
- Je crois surtout qu'il aurait demandé à ce que vous me preniez tous les deux en sandwich comme la dernière fois où tu es venu prendre l'apéro...
André acquiesce en se rhabillant. Après son départ, je vais prendre une douche, en me disant que Fabrice va certainement bientôt me contacter pour ma mission de fin de matinée.


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A peine suis-je sortie de la douche que j'entends la voix :
# Ninon, je t'attends dehors.


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