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L'initiation d'Angélique

Gwen8207
21 juillet 2016
L'initiation d'Angélique

- Salut, je peux te parler ?
- Justement, je voulais te voir aussi... Laëtitia n'est encore pas là, comme tu peux le constater. Tu peux me ramener chez moi ?
Moi qui comptai m'excuser, voilà une occasion de me faire pardonner.
- Évidemment !
- Merci. Et si tu n'as rien de prévu, tu accepterais de rester ? Mes parents font un barbecue, tu pourrais te joindre à nous...
J'acceptai son invitation. Je pris ma douche rapidement et attendis Angélique dans ma voiture. Je la vis arriver, rayonnante. En ce début d'été, celui de ses 20 ans, elle devenait une jeune femme qui découvrait son corps et se sentait bien dans sa peau. Mais elle restait innocente et ignorait encore la portée du pouvoir qu'elle s'apprêtait à posséder sur les hommes.
Le repas fut copieux. La nuit tombée, nous restâmes dehors. Dans la pénombre, je sentis la main d'Angélique se poser sur mon bras. Un frisson me parcourut tandis qu'elle se saisit de mes doigts et les serra. Je ne savais pas comment réagir sans être brusque. Je me contentai de rester détendu, et n'enroulai pas mes doigts autour des siens. Je tentai de m'éclipser mais son père intervint en me voyant me lever.
- Tu comptes pas prendre le volant avec ce que tu as bu ? De toute façon, tu n'as pas le choix, je ne te laisse pas partir.
Vingt minutes plus tard, je me retrouvai seul dans cette chambre aménagée au sous-sol et me glissai sous les draps. Je sentis un tissu à mes pieds et l'attrapai à tâtons. J'allumai la lampe de chevet et découvris que je tenais entre mes mains une petite culotte de coton. La taille ne me laissait guère de doutes quant à sa propriétaire... Angélique avait abandonné sciemment son sous-vêtement à mon intention. Je décidai d'accepter son cadeau et je la cachai dans une poche de mon jean.
Je fus réveillé au matin par des coups frappés à ma porte.
- Entrez !
- Pas trop mal à la tête ce matin ? demanda Angélique en entrant dans la chambre et en ouvrant les rideaux. Il faut se lever si tu veux profiter de la journée !
Je me rendis compte qu'elle était vêtue simplement d'un tee-shirt long qui descendait tout juste à mi-cuisses. Quand elle levait un peu les bras, je pouvais voir le haut de ses cuisses et m'apercevoir qu'elle ne portait pas de culotte. Mon érection matinale n'en fut que renforcée.

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- Mes parents sont partis. Il fait un temps superbe, on va pouvoir refaire un barbecue ; tu saurais t'en occuper ? Ça ne te dérange pas de rester ? J'ai proposé à Laëtitia de venir ; elle ne devrait pas tarder, je pense. Ah, j'entends sa voiture ! Viens, on va l'accueillir !
Elle prit la couverture et l'enleva d'un geste, dévoilant mon caleçon qui ne cachait rien de mon anatomie gonflée. Elle rougit et s'excusa en bredouillant, mais ne détournait pas le regard de mon entrejambe, ce qui ne m'incitait pas à débander.
- Angélique ?
- Oui ? répondit-elle sans me regarder dans les yeux.
- Si tu sors de la chambre, je pourrai m'habiller et vous rejoindre dehors. Va accueillir Laëtitia. D'accord ?
- Oui, si tu veux, acquiesça-t-elle en reculant.

Elle me laissa enfin seul. Sa façon de me fixer, comme hypnotisée, me laissait penser que j'étais le premier homme qu'elle voyait dans cet état. Je m'habillai et quittai la chambre. Les deux cousines étaient assises et discutaient, trop bas pour que je les entende. Angélique ne s'était toujours pas habillée, et Laëtitia... Laëtitia jouait avec ses formes, comme à son habitude.
À 25 ans, elle avait de l'expérience et savait que ses attributs plaisaient aux hommes. Elle savait se mettre en valeur. Ce jour-là, elle portait un short très court qui dévoilait ses longues jambes et moulait ses fesses. Elle était en haut de maillot de bain. Ses seins imposants mais fermes pointaient, arrogants, tels deux obus. Heureusement que j'avais remis mon pantalon car mon érection qui s'était calmée repartit de plus belle. À côté de sa cousine, Angélique faisait petite fille. À mon approche, les deux cousines s'écartèrent et stoppèrent leur conciliabule. Laëtitia se leva et fit quelques pas dans ma direction avant de s'arrêter, me laissant parcourir les derniers mètres qui nous séparaient. Les mains sur les hanches, les pieds légèrement écartés, le buste en avant, elle faisait sa star, ses yeux bleus dissimulés par des lunettes de soleil.
- Comment vas-tu ? demanda-t-elle en me claquant une bise sur chaque joue.
- Bien, et toi ? répondis-je en me demandant ce qu'elle avait en tête.
- Impec' ! Paraît que tu fais un barbeuc' ? C'est cool, dit-elle en se rasseyant. On prend un apéro en attendant ? proposa-t-elle. Angélique, tu vas nous chercher ça, s'te plaît ?

Laëtitia commandait, Angélique obéissait comme d'habitude. La cadette des cousines partit sans tarder.
- Alors, tu l'as mise où ? m'interrogea-t-elle soudain.
- Quoi ? De quoi tu parles ? demandai-je, complètement pris au dépourvu.
- Sa petite culotte... Tu en as fait quoi ? précisa-t-elle sans se départir de son sourire.
- Euh... Dans une poche de mon pantalon, me rappelai-je. Tu es au courant ?
- Mieux que ça. C'est moi qui lui ai dit de le faire.
- Pourquoi ? m'étonnai-je.
- Parce que tu lui plais, répondit-elle. Et qu'elle ne savait pas comment te le montrer.
- C'est étrange comme idée ; mais venant de ta part, ça me surprend moins.
- Elle est tellement timide... et inexpérimentée. Mais elle a confiance en toi, elle pense que tu es un gentil garçon, que tu ne lui feras pas de mal.
- Attends, là, de quoi tu parles ? m'inquiétai-je.
- Jamais Angélique n'aurait osé t'inviter chez elle, et encore moins de te demander de la dépuceler.
Son sourire avait disparu et sa main s'était posée sur mon entrejambe qu'elle me massait lentement.
- C'est aujourd'hui que ça va se passer ; tu vas lui faire l'amour, et moi je vais assister à ça, pour la rassurer, la guider, la préparer...
- Et si je refuse ? J'en ai peut-être pas envie. C'est une gamine, après tout.
- Tu pourras aussi me sauter, si ça peut te motiver, m'expliqua-t-elle. Mais j'ai l'impression que tu as l'air partant, pas vrai ?
Elle poursuivait son massage sur mon sexe qui se tendait difficilement sous mon jean. Puis elle défit les boutons et sortit ma queue de mon caleçon. Elle me branlait lentement sans me quitter des yeux.
- Alors ? Tu as encore besoin d'arguments ?
- Après tout, je veux bien être son professeur. Avec toi à nos côtés, ça peut être très intéressant.
- Voilà qui est bien, conclut-elle en se penchant sur ma queue et en l'engloutissant.
Au moment où mon gland disparaissait entre les lèvres de Laëtitia, Angélique refit son apparition. Elle nous observa de loin. L'appréhension se lisait toujours sur son visage, aussi elle n'osa pas approcher. Stoppant son experte fellation, Laëtitia se releva et invita Angélique à nous rejoindre. Obéissante, Angélique défit le nœud de la brassière de Laëtitia qui tomba à terre, libérant ses seins lourds et fiers. Puis, la jeune fille s'agenouilla et débarrassa rapidement sa cousine de son short et de son string. Son petit triangle d'or me confirma qu'elle était une vraie blonde.
Laëtitia nous prit chacun par la main et nous entraîna près de la piscine. Sur les dalles étaient posé un grand matelas en mousse sur lequel elle avait installé des serviettes de plage. J'enlevai mon tee-shirt et me tournai vers Laëtitia. Elle s'agenouilla devant moi, m'enleva mes derniers habits et reprit sa fellation. Sans s'arrêter, elle fit signe à Angélique de s'approcher. Angélique se mit à genoux, le visage près de celui de sa cousine qui me suçait. Elle observait attentivement les moindres mouvements de Laëtitia. Mon excitation monta encore d'un cran lorsque Laëtitia se retira et tenant ma queue dans sa main la dirigea vers Angélique.

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Timidement et maladroitement, cette dernière tenta de reproduire ce qu'elle avait observé. Si Laëtitia m'avait abandonnée au bord de la jouissance, l'inexpérience d'Angélique fit retomber la pression. Je bandais toujours mais elle ne parvenait pas à me faire atteindre le bord de l'explosion. Laëtitia décida de passer à l'étape suivante et stoppa Angélique. Je vis l'ombre d'un regret passer sur le visage désormais excité d'Angélique.
- Viens me baiser, mais ne jouis pas ! m'ordonna Laëtitia en se mettant à quatre pattes. Angélique, tu sais où est ta place.
- Oh oui, répondit Angélique avec enthousiasme en venant se placer sur le dos sous le visage de sa cousine, les cuisses largement écartées.
Tandis que je pénétrais Laëtitia en levrette d'une seule poussée, je la vis se mettre à prodiguer à sa cousine un cunnilingus tout aussi expert, semblait-il, que la fellation à laquelle j'avais eu droit.
- Ce n'est pas la première fois que vous faites ça, on dirait. Je me trompe ? demandai-je.
- Tu as raison, expliqua Angélique entre deux gémissements. Quand j'ai eu 16 ans, Laëtitia a voulu me faire profiter de son savoir-faire. Et aussi pour me faire patienter jusqu'à un jour comme aujourd'hui où je vais enfin sentir une queue en moi !

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Elle avait presque crié ces derniers mots, la vulve lapée par Laëtitia. Elle se tortillait de plaisir sous les coups de langue agiles malgré les coups de reins que je lui assénais. Laëtitia plongea deux doigts dans le vagin d'Angélique qui jouit en se mordant les doigts. Ma partenaire, vaincue par mes assauts qui lui arrachèrent une longue plainte, jouit à son tour, le cou tendu, bouche ouverte et yeux fermés.
- C'est ton tour, Angélique, dit Laëtitia au bout de quelques secondes. Mets-toi à quatre pattes. Et vu ce que je viens de subir, je pense que tu ne seras pas déçue, ajouta-t-elle en me décochant un sourire de satisfaction.
Contrairement à Laëtitia que j'avais pénétrée sans ménagement, je pris beaucoup de précautions avec Angélique. Je frottai d'abord mon gland contre ses lèvres luisantes puis j'effectuai une légère poussée qui la fit gémir et se crisper. Laëtitia, de son côté, lui caressait le dos et les fesses dans le but de la détendre. Je la laissai faire, et au bout de quelques minutes je refis une tentative. Cette fois, je sentis que la fente s'ouvrait et me laissait passer. Elle était tellement serrée que je craignais de jouir presque instantanément. La respiration d'Angélique devenait de plus en plus haletante ; son vagin était trempé et je m'introduisis encore un peu plus, jusqu'à plonger entièrement en elle. Accroché à ses hanches, mon ventre collé à ses fesses, je maîtrisais mon enthousiasme tandis que je sentais son sexe palpiter et comprimer ma bite tendue. J'agrippai sa taille et entamai un pilonnage violent et régulier. Tandis que je défonçais la chatte de sa cousine, Laëtitia s'appliquait à lui lécher l'anus, l'enduisant de salive, puis y fourrant carrément deux doigts. Prise de toute part, Angélique se mit à jouir bruyamment, l'orgasme parcourant tout son corps ; elle hurlait son plaisir. Les contractions de son vagin autour de ma bite faillirent avoir raison de moi et je me retirai de son sexe palpitant.
- Tu la veux dans le cul ? demanda Laëtitia sans attendre que la jeune fille ait repris son souffle.
- Oh oui, je veux qu'il défonce mon cul, encule-moi ! cria Angélique, complètement hors d'elle.
- Tu peux y aller franchement ; de ce côté-là, elle est habituée, me glissa Laëtitia dans l'oreille en saisissant ma bite et en la présentant devant l'orifice anal de sa cousine.

En effet, je n'eus pas à forcer le passage : son cul m'engloutit instantanément, démontrant une souplesse entraînée. Angélique fit preuve de son expérience en jouant avec ses muscles qui se resserrèrent autour de ma queue. Pris dans un étau, les palpitations de ses parois anales et l'excitation contenue depuis une heure déclenchèrent mon éjaculation. Je déchargeai tout mon foutre au fond de son cul si petit, mais si accueillant. Enfoncé jusqu'à la garde, je la remplis longuement, nos deux corps secoués par des spasmes de plaisir. Épuisé, je m'allongeai sur la serviette de plage et fermai les yeux, profitant du moment. Les deux cousines s'embrassaient longuement, prolongeant encore un peu ce moment d'extase.
Nous quittâmes la scène de nos ébats et rentrâmes dans la maison. Elles ne semblaient pas rassasiées, surtout la plus jeune. En effet, son dépucelage l'avait totalement désinhibée, et assise face à moi, les jambes écartées, elle se doigtait, offrant à mon regard lubrique son intimité luisante. Évidemment, face à ce spectacle envoûtant, je me remis à bander.

- Ça a l'air de lui plaire ce que tu fais, remarqua Laëtitia. Je vais lui montrer quelque chose qui risque de l'épater encore plus !

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Tandis que Laëtitia s'éclipsait, je me demandais ce qu'était ce mystérieux objet. Angélique me souriait, deux doigts allant et venant dans sa chatte. Soudain, elle se leva et vint s'agenouiller à mes pieds. Elle repoussa gentiment ma main et prit ma bite entre ses petits doigts. Le regard gourmand, elle se passait la langue sur les lèvres en me branlant délicatement. Puis elle prit l'initiative et me lécha doucement le gland. Les petits gémissements que je produisais lui donnèrent confiance et elle me prit dans sa bouche. Elle se mit à me sucer avec application, jetant de temps en temps un œil dans ma direction pour savoir si les mouvements qu'elle faisait étaient efficaces. Je vis alors revenir Laëtitia, une énorme bougie entre les mains.
- Voilà. Maintenant tu comprends comment son cul t'a accueilli si facilement tout à l'heure, expliqua-t-elle.
- Oui, à côté de ce monstre, je ne fais pas le poids.
- Il fait dix centimètres de diamètre, précisa Angélique, visiblement fière d'elle.
- Et ça rentre dans ton cul ? dis-je, incrédule.
- Tu vas voir, on va te montrer, répondit Laëtitia en me reprenant l'énorme gode des mains.
- Viens me lécher le cul, me proposa Angélique en se mettant à genoux sur le canapé, les bras en appui sur l'accoudoir.
Je m'installai derrière elle et entrepris de lui lubrifier l'anus, l'inondant de salive, me demandant si cela suffirait pour permettre l'intromission du cierge. Mais Laëtitia, allongée par terre, le frottait entre ses cuisses, l'enduisant de cyprine. Bien que très excitée, elle ne prit pas le risque de le faire pénétrer entre ses lèvres. Dans leur petit duo, seule Angélique semblait capable d'absorber ce monstre de cire. Quand elle estima que tout était prêt, Laëtitia s'approcha de moi, me suça quelques secondes en laissant couler de la bave sur mon sexe et me demanda d'enculer Angélique. J'obéis, impatient d'assister à la démonstration. Je restai agenouillé derrière Angélique, aux premières loges, lui tenant les fesses écartées. La petite blonde que j'avais connue si sage, à qui on aurait donné le bon dieu sans confession, se tenait devant moi, le cul offert, les cuisses écartées, une main sur son clitoris, tandis que sa cousine l'enjambait face à moi et approchait le cierge majestueux de l'orifice anal de sa partenaire de jeu. Elle le présenta devant la rondelle d'Angélique qui respirait fort, cherchant à se détendre au maximum. Puis, lentement, elle effectua une pression sur son anus que je vis peu à peu se dilater. Sous mes yeux ébahis, le cierge entama sa longue intromission. Angélique haletait ; son visage indiquait qu'elle prenait un réel plaisir à se faire puissamment sodomiser. Plusieurs centimètres du cierge lui étaient déjà rentrés dans le cul et Laëtitia continuait à l'enfoncer. Je bandais comme un taureau et ne pus m'empêcher de pénétrer la chatte d'Angélique. Désormais, pendant que je baisais lentement notre jeune partenaire, Laëtitia suivait mon rythme avec le gode.

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Elle le sortait et l'enfonçait dans le trou béant d'Angélique, sans ménagement, lui ramonant l'anus. La jeune fille, les deux orifices comblés, hurlait sans retenue :
- Ah oui, c'est bon ! Défoncez-moi bien ! J'aime être une chienne entre vos mains... Vous me faites jouir, aaaaaaaah...
Complètement déchaînée, Laëtitia la sodomisait sans vergogne. Elle imprimait au cierge un rythme inouï, l'enfonçant le plus profond possible et le ressortant presque entièrement.
- Vous êtes de sacrées salopes ! m'écriai-je en lâchant mon foutre. Et toi, Angélique, tu es bonne ! Aaaah...
- Ouiiii, remplis ma chatte ! J'aime te sentir te vider en moi... Hmmmm, vous m'avez bien ramonée, souffla-t-elle en s'écroulant, vaincue.
Nous nous affalâmes, harassés et ivres de sexe, haletant et reprenant notre souffle. Laëtitia léchait le cierge ; elle se régalait du goût de sa cousine. Je lui fis remarquer qu'elle n'avait pas joui.
- Pas grave ; mon tour viendra, dit-elle en me faisant un clin d'œil. Je voulais te montrer de quoi ma chienne de cousine était capable. Impressionné, hein ?
- J'aurais jamais cru ça de toi, répondis-je en me tournant vers Angélique. Tu avais l'air si mignonne, si innocente...
- C'est Laëtitia qui m'a dévergondée ! se défendit-elle en riant. Mais je la remercie, poursuivit-elle en l'embrassant. Elle m'a fait découvrir le plaisir et je ne pourrais plus m'en passer.

L'initiation d'Angélique

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