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Ninon 1er août 2016

A l'écoute - 05 Quand je rejoins Fabrice, c'est le début d'après-midi. Il désactive l'oreillette de ma boucle d'oreille et me dit : - Bon, on a encore un peu de temps. L'hôtel est ici alors je t'explique la mission. Nous sommes en concurrence avec un autre groupe, la Cogip, et ça va être serré. - Notre concurrent est aussi dans cet hôtel ? - Oui, mais ils utilisent une méthode plus directe que la nôtre : un très gros chèque. Il va donc falloir mettre le paquet pour le convaincre de travailler avec nous. - Je ferais de mon mieux. - Je te préviens dès que notre client sera dans sa chambre. La tienne est juste à côté. Tu as le temps de te préparer et de prendre une douche. Je laisse Fabrice et rejoins ma chambre. Arrivée dans la salle de bain, je me penche devant le miroir en me disant que c'est quand même dommage que le décolleté ne soit pas plus généreux. images similaires En plus je me dis que le gris est un peu triste. Sur le tabouret de la salle de bain je vois qu'il y une tenue de rechange. Comme s'il lit dans mes pensées, j'entends la voix me répondre : # C'est une tenue de rechange au cas où. Il s'agit d'une jupe en jeans et d'un débardeur rose. Pour le moment, je retire la robe pour prendre une douche. En retirant la robe, je me fais la réflexion que, encore une fois, aucun sous-vêtements n'est prévu. Nue, je vais déposer la petite robe sur le lit et reviens à la salle de bain. Devant le miroir, je regarde si ma coiffure nécessite un petit rajustement. images similaires Fabrice doit me voir, car il me dit : # Pourquoi te coiffes-tu ? Je ne vois pas pourquoi cela la gêne car je pense que ma coiffure apporte elle aussi à mon charme. Et comme je sors le rouge à lèvre pour me refaire également mon maquillage, la voix métallique ajoute : # Tu te maquilles avant de prendre une douche ? images similaires Je comprends alors effectivement ses questions et l'inutilité de me faire belle alors que je dois prendre une douche. Ce qui m'étonne toujours, c'est qu'il puisse voir tout ce que je fais. C'est alors que j'entends un bruit derrière moi dans la chambre. Dans le reflet du miroir, je vois par la porte entrebâillée une silhouette qui m'observe. La voix métallique retentit dans mon oreille : # Tu as un invité surprise, je crois... images similaires Je me retourne et me rends compte qu'il s'agit du garçon d'étage : - Qu'est-ce que vous faites là ? - Désolé, j'aurais dû déposer les serviettes avant mais j'ai été retardé dans une autre chambre que les clients ont libérée tardivement... - Et ça vous autorise à jouer les voyeurs ? images similaires - Non... désolé. Je repasserai. Comme il s'apprête à sortir, je le rappelle : - Attendez, je comptais prendre une douche et une serviette me sera quand même bien utile. Il revient et entre dans la salle de bain. Faussement pudique, je cache ma poitrine sans prendre la peine de dissimuler mon entrejambe. images similaires Le garçon me demande : - Je vous les pose où ? Je lui montre le sèche serviette et décide d'arrêter de jouer les prudes, ne dissimulant plus mes seins : - Là. Ce sont les seuls services que vous faites à l'étage ? - Non, je fais aussi les lits. Là les deux gars dans la chambre en face ont refusé que j'aille dans leur chambre car ils préparaient un gros contrat... - Des gars de la Cogip ? - Oui, pourquoi ? - Pour rien... images similaires J'entre sous la douche et ouvre le jet d'eau. Après quelques secondes, je me rends compte que le garçon d'étage est toujours là et qu'il s'est même assis sur un tabouret pour me regarder. Je tente de cacher mes seins et je m'insurge : - Dites donc, vous exagérez ! images similaires - Vous savez, avec ce que je gagne ici, je me trouve mes pourboires comme je peux. Après tout, je me dis qu'il ne fait rien de mal et qu'il peut bien se rincer l'œil effectivement. Je reprends donc ma douche sans faire attention à sa présence, mais en prenant soin de toujours lui offrir un angle de vue intéressant.. images similaires La voix dans mon oreille me dit : - Débarrasse-toi de lui rapidement. Sauf que le garçon ne semble pas du tout avoir envie de partir. Même si j'ai fait preuve de trop d'initiative avec le coursier du matin, je me dis que le plus rapide sera de faire jouir ce garçon d'étage au plus vite. Je me caresse donc l'entrejambe et lui dit en gémissant : - Cela fait-il partie de vos attributions d'aider à se savonner une jeune femme en détresse ? images similaires Le gars n'hésite pas une seule seconde : - Bien sûr, mademoiselle ! Il se lève et quitte ses vêtements en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Bien qu'il ne soit pas en érection, son sexe semble déjà un peu gonflé par l'excitation. Pour améliorer cela, je me dis que le mieux est de lui proposer de commencer par mes seins. Il s'active aussitôt avec beaucoup de bonnes volontés. images similaires Son sexe se tend rapidement et mes mamelons s'érigent eux aussi. Se positionnant derrière moi, il se met à me savonner le dos. Je sens son sexe raide entre mes fesses et m'amuse à onduler. Ses mains reviennent régulièrement à mes seins, descendent sur mon ventre et mes hanches. Puis, sous prétexte de me laver l'entrejambe, il glisse sont index dans ma fente. images similaires Je gémis de plaisir et le laisse faire un peu tandis que je sens son érection se tendre encore plus contre mes fesses. Je passe ma main derrière pour lui saisir le sexe et commence à le masturber. Puis je me retourne pour l'embrasser et je le branle à deux mains. Il se met à me doigter à nouveau la moule, tournant autour de mon clitoris et finit par jouir entre mes mains. Sa semence s'échappe lentement de son gland et se dilue dans l'eau tiède au fur et à mesure. Il râle de plaisir mais continue à me masturber. Moi aussi je ne m'arrête pas de le masturber jusqu'à ce que tout soit sorti et qu'il commence à débander. La voix me dit alors : # Ninon, il est temps d'aller t'habiller. Je quitte la douche, laissant le garçon d'étage, pour me sécher. Il s'amuse à se masturber en me regardant me sécher et cela jusqu'à ce que je quitte la salle de bain. images similaires Quand j'arrive dans la chambre, la voix me dit : # Il y a peut-être une carte à jouer... Les gars de la Cogip viennent de descendre. Leur chambre est face à la tienne. Prends le passe du garçon d'étage et file dans leur chambre voir si tu peux mettre la main sur leur chéquier, cela nous donnera de l'avance. Bon sang ! Fabrice me donne pour mission de faire un vol ! Je n'en reviens pas mais je n'ai pas le choix. Je retourne discrètement à la salle de bain pour fouiller le pantalon du garçon d'étage. Heureusement, il est tourné et ne me vois pas entrer. images similaires Je trouve rapidement le passe et je retourne dans la chambre pour m'habiller. Je passe le débardeur rose et la jupe. J'ai juste terminé d'enfiler ma jupe quand le garçon d'étage sort de la salle de bain, rhabillé : - Mademoiselle, si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas ! - Merci, je n'ai aucun doute sur votre dévouement à la clientèle. images similaires Il quitte la chambre. Je m'assure qu'il a quitté le couloir avant de traverser le couloir et de mettre le passe dans la serrure. J'ouvre. J'entre. Je referme la porte. Mon cœur bat à cent à l'heure. Après avoir regardé sur le lit et le bureau, sans succès, je me mets à quatre pattes dans la chambre pour chercher partout. J'aperçois un sac sous le lit quand la voix métallique se fait entendre : # Ninon, sors tout de suite, ils vont remonter. Rapidement, j'ouvre le sac et trouve un chéquier. Je le prends et le jette par la fenêtre. Je retourne au pied du lit pour remettre le sac en place quand deux hommes pénètrent dans la chambre. Ils sont surpris de me trouver là, agenouillée au pied du lit. Je tente ma chance : - Je vous attendais messieurs... Je décide de me faire passer pour une call-girl pour qu'ils ne soupçonnent pas que je suis une concurrente : - On m'a envoyée pour vous... - Qui t'envoie ? - La Cogip. Les gars semblent mordre à l'hameçon. Rassurés par ma réponse, ils m'emmènent vers le canapé et commencent à me tripoter. Comme je ne me montre pas très conciliante, un mec s'agace : - Allez, montre-nous tes seins. - Il ne faut pas abuser ! - Attends, si tu n'es pas une pute, pourquoi la Cogip t'a fait venir dans notre chambre ? Je me rends compte que je vais être obligée de me plier à tous leurs désirs si je ne veux pas qu'ils découvrent ce que je faisais vraiment ici. Je tire donc sur le décolleté pour exhiber mes seins. images similaires - Parfait. Tu es magnifique. On va bien s'amuser. Retire tes fringues. - Tout de suite ? Vous ne voulez pas qu'on fasse quelques jeux érotiques avant ? - Qu'est-ce que tu nous racontes ? On te baise, un point c'est tout. Devant ma réticence, ils me font lever et me déshabillent eux-mêmes. Après m'avoir dénudée, ils me regardent tous les deux des pieds à la tête pour me détailler. - Bien, tu es vraiment hyper bandante et je crois que je n'avais jamais vu de nichons aussi beaux. Je cache pudiquement ma poitrine. Me laissant nue, ils se mettent à déboutonner leurs pantalons pour en extraire leur sexe. Ils sont tous les deux en érections. images similaires - Viens ma belle, elles sont pour toi. Je n'ai pas vraiment le choix et je dois obéir car je ne veux pas qu'ils doutent à mon sujet. Je n'ose imaginer ce qu'ils me feraient s'ils découvraient ce que je faisais réellement dans leur chambre. Docilement, je viens m'accroupir entre les deux hommes et je saisis leurs tiges pour les branler et les sucer alternativement. images similaires Un des deux gars me relève et m'attire à lui. Il s'assoit et me soulève pour m'empaler l'anus sur sa grosse tige. J'ai peur qu'il ne me fasse mal et tente de résister mais, voyant sa détermination et ne voulant pas qu'il y ait des soupçons sur les raisons de ma présence, je le laisse s'engager dans mon étroit canal. Je crie à la fois de douleur et de plaisir en lui demandant de me laisser. Son collègue hésite à venir me prendre en sandwich mais, me voyant crier, il décide de me fourrer son sexe dans la bouche pour me faire taire. images similaires Je décide de jouer le jeu pour ne pas risquer d'être découverte et me mets à pomper la tige qu'il a enfoncée entre mes lèvres. Comme il se penche soudain, je dois moi aussi me plier pour continuer à lui sucer la tige. Je pensais qu'il voulait me caresser les seins mais en fait il me fourre deux doigts dans la chatte tandis que son collègue continue à me sodomiser. - Bon sang ! C'est incroyable comme elle mouille la petite ! - C'est qu'elle aime en avoir une grosse dans le cul. Prends-la en sandwich, elle va adorer ! Je trouve ses hommes un peu vulgaires et brutaux mais il est trop tard pour reculer. Je le laisse donc venir s'installer entre nos cuisses pour venir me planter sa queue dans ma fente trempée de cyprine. Comme je suis déjà bien écartelée par l'autre gars et que sa tige n'est pas petite, il peine un peu à me pénétrer : - Détends-toi, ma belle. Tu vas aimer, c'est garanti. Voyant que son collègue a des difficultés pour fourrer sa queue en moi, l'autre arrête temporairement de me sodomiser. J'écarte alors un peu ma moule de façon à faciliter la pénétration. images similaires Sentant la queue de son collègue commencer à coulisser non loin de la sienne, le premier gars dit : - Allez, faisons la crier maintenant. Au ton qu'il emploie, je me dis que je ne suis pas la première fille qu'ils prennent ainsi en sandwich. Ils se mettent à aller et venir en moi, parfois en alternance, parfois synchronisés. C'est un plaisir inouï et je ne contiens pas mes cris. images similaires Rapidement, je finis par avoir un orgasme et, presque en même temps, je les sens se vider généreusement en moi l'un après l'autre. Nous restons quelques secondes immobiles, reprenant notre souffle. Celui qui me baisait se retire lentement, la queue toujours tendue. L'autre me soulève pour se dégager et me repose à côté sur le canapé. Comme je me redresse, je sens leur liqueur couler de mes orifices. Fabrice se rappelle soudain à moi : # Ninon, notre client est dans sa chambre et il t'attend. Dépêche-toi de le rejoindre. Je me rhabille rapidement. Les gars s'amusent de me voir me dépêcher : - Pressée de partir ? Tu es certaine que tu ne veux pas remettre ça ? Je renfile mon débardeur et leur souris : - C'est gentil, mais je suis attendue ailleurs... images similaires - Dommage. Les gars se rhabillent tandis que je sors de leur chambre. Je vais aussitôt frapper à la chambre de mon client. - Entrez ! J'ouvre. Il m'attend sur la terrasse et me regarde approcher en souriant : - Bienvenue, mademoiselle. Vous êtes ravissante ! - Merci... images similaires - Vous aimez vous exhiber ? - Un peu oui... - Alors commencez par retirer votre culotte. Sans un mot, je soulève ma jupe pour lui montrer que je n'en porte pas. images similaires - Parfait ! Je me rends compte qu'il y a un petit filet de sperme qui coule discrètement le long de ma cuisse. Je ne veux pas qu'il se rende compte que je viens de me faire baiser par d'autres gars et je m'empresse de dégager mes seins du débardeur pour détourner son attention : - Et pas de soutien-gorge non plus... images similaires - Magnifique ! Vous êtes superbe. Il m'observe ainsi quelques secondes avant de me donner les instructions suivantes : - Retirez votre jupe. J'hésite mais, tout en la retirant, j'en profite pour essuyer le sperme qui coule encore un peu avec le tissu de la jupe. Puis, je laisse la jupe glisser au sol. images similaires - Très bien. Vous êtes obéissante. Allez déposer votre jupe et votre débardeur sur le lit. Docile, je m'exécute, excitée quand même par le fait de me retrouver nue sur une terrasse à la vue des autres immeubles autour. En ressortant, nue, j'examine l'immeuble en face et je constate qu'il y a des voyeurs qui se paluchent en me regardant. Sans complexe, l'homme se met lui aussi nu. Il affiche déjà une érection très intéressante et je ne peux m'empêcher de frémir à l'idée qu'il va me faire l'amour. Il m'indique de venir m'appuyer au rebord du balcon, juste à côté d'une table en bois, seul élément meublant la grande terrasse de cette chambre. A peine suis-je installée que je le sens venir contre moi. Son sexe palpitant trouve son chemin très facilement entre mes cuisses. Mon client me prend en levrette, sous les regards fiévreux de quelques voyeurs qui se masturbent dans l'immeuble d'en face. images similaires Malgré le plaisir que je prends, je ne suis pas très à l'aise en étant appuyée au garde-corps de la terrasse. Je finis par lui demander de changer de place : - Ce serait possible que je m'appuie à la table ? Sans un mot, il se retire et me laisse aller prendre position devant la table. A peine suis-je penchée dessus que je sens à nouveau son sexe s'engager dans ma moule, m'arrachant un profond gémissement de plaisir. images similaires Il semble lui aussi mieux apprécier cette position où, basculée sur la table, je suis plus cambrée, lui permettant de s'engager plus loin en moi : - Vous avez raison, nous sommes mieux ainsi. Le sang froid et le ton banal qu'il prend m'étonne en comparaison de la situation. Il me soulève la jambe gauche et me pose le genou sur le bord de la table. images similaires Cuisses écartées, je me sens ouverte à sa pénétration, comme écartelée, et il en profite. Ses couilles viennent frapper ma matrice à chaque coup de reins un peu vif qu'il donne. Je sens l'orgasme monter. Je le laisse m'envahir. L'homme s'arrête alors de me besogner et s'immobilise. Je le sens alors se répandre en moi en lâchant un profond râle guttural. images similaires Après quelques secondes, je le sens qui ressort lentement de moi. Quand sa tige est extraite, il appuie sur mon dos pour m'obliger à garder ma position : - Restez un instant encore au-dessus de la table. Il se met alors à me caresser les lèvres de la moule avec ses doigts, m'arrachant encore quelques petits gémissements de plaisir. Puis ses doigts écartent ma fente et je sens son sperme s'en échapper. Quand je me relève, je vois une petite flaque de sperme sur le coin de la table. Il semble très satisfait : - Vous êtes efficace. Je vous remercie. Il est toujours en érection et je me sens un peu confuse, ne sachant pas s'il en a terminé avec moi ou non. Je m'assois et demande : - Vous avez encore besoin de moi ? images similaires - Ce n'est pas l'envie qui m'en manque mais j'ai rendez-vous avec deux messieurs et j'ai le sentiment qu'ils ne vont pas être à la hauteur. Je comprends de quoi il parle et suis plutôt contente d'avoir réussi cette mission plutôt périlleuse. A peine suis-je sortie de la chambre, j'entends la voix métallique de Fabrice dans ma boucle d'oreille : # Bravo, Ninon. Je me demande presque si tu as besoin d'un guidage auditif !

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