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Initiation lesbienne. (Inspiré de http://nicogarner.erog.fr/article-perversion-lesbienne-d-une-femme-mariee-histoire-erotique-123255404.html ) ![]() J'ai dû quitter ma petite ville de province pour suive un stage informatique à Lyon, loin des miens et pour une durée d'un mois. Au début, j'étais effrayée et désorientée de perdre ainsi mes marques et de me retrouver seule dans une grande ville inconnue, mais ce malaise s'estompa assez vite par une impression de liberté et d'audace comme je n'en avais jamais connue... C'est ainsi que je fis connaissance d'Ève qui devint ma compagne de chambre dans le modeste hôtel où nous passions toutes nos nuits. ![]() images similaires Plus âgée que moi, elle était du genre femme fatale et libérée, une superbe blonde aux cheveux longs, genre extravertie et dévergondée, celle qui attire tous les regards et qui n'a pas froid aux yeux. Elle avait ce tempérament espiègle et rieur, volubile et exubérant, qui la rendait fascinante, celle que l'on remarque tout de suite dans n'importe quelle circonstance. ![]() images similaires J'étais tout son contraire, timide et réservée, brune au visage innocent, aussi jolie que discrète... ![]() images similaires Mais malgré notre différence le courant passa tout de suite, elle me prit sous son aile comme une grande sœur le ferait, avec bienveillance et un instinct protecteur qui, d'emblée, me toucha énormément. Sa présence à mes côtés était un véritable festival de gaieté et de malice en tout genre, un vrai clown qui riait de tout et accumulait les pitreries et bêtises comme une éternelle effrontée. C'est sans état d'âme qu'elle m'aspirait dans son sillage, une tornade turbulente qui, au lieu de réviser les cours et approfondir nos connaissances informatiques, m'entraînait dans les bars, pubs et discothèques, pour de folles nuits blanches. ![]() Et, le pire que tout, c'est que j'adorais cela, retrouvant une jeunesse dont je n'avais pas profité, et l'occasion m'était enfin donnée de rattraper le temps perdu. Nous nous régalions, sur les pistes de danse, d'allumer et provoquer tous les mâles présents. Ève, avec ses allures lascives et son corps insolent de beauté, rendait fou de désir les hommes qui tentaient bien évidemment leur chance... Mais sans succès. Je compris vite qu'elle se riait d'eux avec un dédain manifeste parce qu'elle les détestait réellement, et pour cause : Ève n'aimait que les femmes. ![]() Elle me l'avoua le plus simplement du monde le sixième jour, ce que j'aurais dû d'ailleurs comprendre à sa façon de me dévorer des yeux et ses manières tactiles et câlines de me coller à chaque occasion. Mais je prenais tout cela pour de la simple amitié, et j'ai toujours été si naïve... Cette constatation, au lieu de m'écœurer ou m'inquiéter, attisa au contraire ma curiosité et ne la rendit que plus fascinante et mystérieuse. Une lesbienne ! C'était la première fois que j'en fréquentais une, et elle était si éloignée des clichés que je m'en faisais. ![]() Mais, si je fus intriguée au début, partager ma chambre avec elle fut une réelle torture. Elle ne cessait de m'aguicher, me séduire, se promenant en nuisette ou tenue sexy dans la chambre avec une impudeur qui, au lieu d'être vulgaire ou déplaisante, était au contraire d'un érotisme subjectif et raffiné. En plus, dans les conversations, elle me vantait les qualités des homosexuelles qui savent être si douces et expertes, si patientes et si compréhensives, une expérience divine et magique pour les hétéros qui se laissaient tenter, et elle était si persuasive et habile pour enflammer mon imagination que j'en fus vite convaincue et horriblement troublée... ![]() images similaires Elle prit un malin plaisir à jouer avec mes nerfs et je réussis à tenir bon quelques jours. Mais je résistais pour mieux lui céder, ce que je compris un jours où, à la fin d'un cours plus épuisant que les autres, je voulus tout de même réviser dans la chambre. Après avoir pris une bonne douche et m'être vêtue de façon décontractée, je m'apprêtais à m'installer confortablement sur le lit... ![]() Je n'eus même pas le temps de m'atteler au travail qu'Ève, vêtue d'une robe moulante qui dévoilait à la perfection sa poitrine, se montra de nature joueuse et espiègle, pour ne pas dire câline et provocante. ![]() Elle se montrait très caressante, me tournant autour comme une louve affamée, à l'affût, me frôlant de gestes insidieux qui ne cessaient de me déstabiliser. A quoi jouait-elle ? Ses intentions se déclarèrent de façon assez directe quand elle voulut m'embrasser sur la bouche. Mon premier réflexe fût de la repousser pour me relever, mais elle se pencha sur moi en m'étreignant si fort que toute tentative de retraite était impossible. ![]() Je cherchai ensuite à me débattre, fuyant sa bouche qui cherchait toujours mes lèvres, me contorsionnant en tout sens avec des gémissements de panique, mais elle s'accrochait à moi avec une force décuplée, s'excitant de ma résistance, mêlant ses membres aux miens, m'enroulant comme une pieuvre affamée, se frottant sur moi de souples mouvements du bassin, s'incrustant de tout son corps comme pour mieux se fondre. Ne pouvant accéder à ma bouche que je lui refusais toujours en bougeant la tête rapidement, elle se rabattit sur ma gorge et mon cou qu'elle couvait de baisers affamés, de coups de langue aussi humides qu'obscènes, se régalant de ma peau et mon odeur comme un animal sauvage qui se laisse aller à ses instincts les plus primitifs. ![]() Son ardeur était si intense et si communicative que j'étais autant prise de court que vulnérable, avec un mal fou à respirer, la bouche si grande ouverte qu'elle en profitait pour y prendre possession, me relançant de baisers avides et possessifs. Quand je cherchai à détourner la tête, elle me saisissait fermement le visage pour chercher ma bouche. Si je réussissais à la fuir et à la supplier d'arrêter, elle étouffait mes protestations en couvrant mes lèvres d'une main autoritaire. ![]() Ses manières dominatrices eurent raison de ma résistance, comme si j'avais besoin, au fond, d'être un peu forcée et bousculée pour dévoiler une nature inavouable dont je ne soupçonnais même pas l'existence, l'envie secrète d'être poussée dans mes retranchements, soumise et vulnérable, manipulée et impuissante. Je finis donc par faiblir, avouant ma défaite. Sa bouche était pulpeuse et fruitée, vorace et appliquée en même temps, si brûlante de volupté que je devins toute molle et haletante lorsque nous échangeâmes le baiser le plus long et le plus sensuel que je connus. ![]() images similaires Rien à voir avec un baiser d'homme, qui pique ou sent le tabac, car il y' avait ici une douceur et une volupté que seule une femme pouvait dégager, comme des ondes électriques et lascives qui se transmettaient avec une magie incomparable. Cette expérience était divine et bouleversante, me mettant vite dans un état indescriptible. Le baiser dura une éternité, et en même temps elle m'affolait prodigieusement en bougeant voluptueusement son corps contre le mien, avec la souplesse d'un serpent, ce qui était déjà une véritable caresse en soit tellement ses courbes voluptueuses épousaient mon corps étroitement. ![]() images similaires C'est dans un état second que je me retrouvai étendue et offerte, encore plus désirable dans mon abandon, alors qu'elle se contorsionnait sur moi en cherchant plus étroitement le moindre contact tout en m'embrassant fougueusement. Elle finissait en même temps de me déshabiller mais, étrangement, elle me laissa mon slip. ![]() Je compris vite que c'était pour mieux jouer avec mes nerfs, se délectant d'un sadisme raffiné pour me laisser suppliante, butinant mes seins avec gourmandise avant de descendre sournoisement à l'intérieur de mes cuisses. Cette façon d'appuyer sa langue sur le tissu du sous-vêtement était insupportable, je bondissais et gémissais pour qu'elle cesse cette divine torture, mais je crois qu'elle me punissait ainsi de lui avoir résisté au début, faisant durer ainsi le jeu. ![]() Ensuite, elle se déshabilla à moitié, dévoilant sous un soutien- gorge une poitrine ferme et opulente qui ne demandait qu'à jaillir. Elle se lova contre moi, glissante comme une anguille, et ce simple contact, seins contre seins, pubis contre pubis malgré mon string, fût si grisant, à la fois subtil et insoutenable, que je mis à haleter comme jamais en tremblant de la tête aux pieds comme une possédée. J'avais le corps en feu, le sang chaud d'une jument en rut, ne cessant de frissonner et de vibrer à chacune de ses caresses. Je réalisai avec effroi que j'étais au bord de l'orgasme ! ![]() images similaires Moi qui suis d'une nature longue à m'échauffer, j'avais atteint avec cette femme un paroxysme de surexcitation incontrôlable en un temps record ! C'était totalement démentiel ! Et j'en demandais plus, l'encourageant et la suppliant, l'étreignant avec vigueur comme pour mieux me fondre dans elle, sursautant à chaque caresse et baisers qui semblaient me brûler comme du charbon ardent. ![]() Je ne me reconnaissais plus ! Jamais je n'avais réagi de cette façon avec aucun des hommes que j'avais connus... Puis, comme si elle ne pouvait plus se retenir, elle s'est dépêchée de me dévêtir complètement. Les caresses ont repris, plus intimes et habiles. Tout en elle était douceur, compréhension, patience et volupté, saveur et dextérité. Je ne cessais de bondir et crier à chaque fois qu'elle me touchait de ses mains ou de sa bouche. Je fondais littéralement, toutes mes barrières explosaient. Lorsque sa bouche a enfin plongé entre mes cuisses que je ne cessais d'écarter indécemment, j'ai véritablement poussé un hurlement de bête blessée. ![]() Avec le bout de sa langue, elle me titillait, me provoquait, m'excitait à m'en faire délirer, augmentant la pression en s'aventurant dans mon antre ruisselante avant de m'abandonner la seconde suivante. Sadisme et raffinement, elle me faisait languir, me laissant au bord du précipice, retardant mes sensations avant de les rallumer. ![]() Mon corps réclamait l'orgasme de toutes ses forces, se tordant et bondissant en avant. Les yeux révulsés, ahanant comme une folle, je me mis à me caresser les seins avec l'énergie du désespoir, abandonnant toute pudeur et toute retenue. Enfin, je connus la libération, éclatant comme un feu d'artifice en lui griffant la nuque, me tordant et me convulsant comme une limace prise de folie. ![]() images similaires Mais, ce qui m'étonna le plus, c'est que cet orgasme fabuleux, au lieu de m'apaiser et me rassasier, éveilla en moi des envies plus grandes. Ève, au lieu de s'interrompre, mêla ses doigts au jeu, les faisant coulisser dans un bruit de clapotis obscène, et j'étais si trempée et ouverte qu'elle les introduisit au plus profond de mon vagin, allant et venant à un rythme soutenu. Je n'avais jamais connu une telle intrusion et une telle sensation, si intense que je me remis à hurler de plus belle. Ce fût encore une explosion des sens incroyable, secouée par le plus bel orgasme de ma vie. ![]() Alors que mes muscles se détendaient et que mon corps se relâchait, je retrouvai provisoirement mes esprits. J'étais anéantie bouleversée. Jamais un homme n'avait pu me faire jouir ainsi, si vite et si intensément. Je ne pouvais pas être une homosexuelle, c'était impossible ! Ce sentiment de rejet stupide et irrationnel ne dura qu'un bref instant car Ève, attentive et câline, arriva vite à faire renaître mon désir. Son corps splendide, ses formes affriolantes, sa peau douce comme de la soie appelaient les caresses. Après m'avoir redressée pour échanger quelques baisers passionnés, elle se laissa tomber à la renverse, m'entraînant vers elle , appuyant mon visage contre ses seins plantureux. ![]() images similaires Je compris son attente et me régalais de les dévorer avec ivresse, léchant sa peau exquise, explorant ses courbes harmonieuses, titillant les mamelons qui pointaient sous ma langue, les étirant avec délectation, me léchant les babines de cette nouvelle gourmandise qui me laissait insatiable. J'adorais caresser ses seins, ses formes pleines et fermes, son goût appétissant, son odeur entêtante, c'était là un nouveau territoire merveilleux à explorer et à conquérir. Cela mettait tous mes sens en émoi. ![]() images similaires Un long moment, Ève s'est retrouvée sous moi à se laisser dévorer la poitrine, déboussolée et ravie de mes appétits démesurés. Je perdis toute notion du temps et de l'espace alors que je me lançais avec fougue dans une danse endiablée sur elle, me frottant à m'arracher la peau, me redressant en me cambrant à la recherche d'un contact toujours plus intime. ![]() images similaires Puis, fébrile et excitée comme je ne l'avais jamais été, j'ai goûté au fruit défendu, plongeant dans son intimité ruisselante avec frénésie. Pour la première fois, je me grisais d'une intimité féminine, de ses lèvres nacrées et ruisselantes, de son délicat bouton d'amour... Quel régal ! J'étais folle d'elle, de son sexe, de ses chairs intimes, de son odeur suave et poivrée, et de toutes les sensations que je réveillais en elle. ![]() images similaires Je m'enfonçais sans tabou dans des caresses saphiques aussi délicieuses que dépravées, avec l'absolue certitude que je ne pourrais jamais plus m'en passer. Le corps d'une femme est riche et fascinant à explorer, tout est sensualité et raffinement, avec de nombreuses zones érogènes qui permettent tant de découvertes et de surprises ! ![]() images similaires Une variation multiple de jeux érotiques qui nous permit d'atteindre d'autres orgasmes. C'était fabuleux. ![]() On fît l'amour toute la soirée et, après une bonne douche et un repas copieux au restaurant, on se dépêcha de rejoindre notre chambre pour repartir de plus belle dans des étreintes torrides. La nuit fût magique et inoubliable. ![]() images similaires Tous les jours qui suivirent me parurent longs et interminables, les cours informatiques tristes et fastidieux, car j'attendais avec une impatience fébrile de me retrouver seule avec mon amante. Nous nous retrouvions avec joie et effervescence, fébriles de nous jeter dans les bras l'une de l'autre pour de folles nuits agitées. J'étais sur un nuage, insouciante et amoureuse comme une adolescente. ![]() images similaires Avec Ève, je partageais tout : les rires, les émois, les secrets, le plaisir physique. Elle était plus efficace que toute thérapie pour m'ouvrir enfin au monde... ... et à l'osmose sexuelle. ![]() Je me montrai aussi perverse et insatiable qu'elle, faisant preuve d'une incroyable imagination. Je rivalisais d'audace pour la suivre ou la précéder dans ses délires amoureux, avec toujours cette peur de la décevoir ou la perdre si je ne me montrais pas à la hauteur. ![]() Et lorsqu'elle m'initia à des jeux inédits avec des godemichets, je lui cédai tout. ![]() Nous vécûmes une passion forte et exclusive jusqu'à la fin du stage. Un mois de bonheur qui passa si vite... ![]() Grâce à cette expérience, j'avais acquis de l'assurance, une maturité autant morale que sexuelle, j'étais une femme épanouie qui savait aller de l'avant. ![]() images similaires Dans son dernier email, Ève m'avoua avoir rencontré un homme qui la faisait vibrer et avec qui elle pouvait partager sans retenue sa passion pour les femmes. Grâce à ce que j'ai vécu avec Ève, ma deuxième expérience lesbienne put être passionnelle. Maryline est actuellement ma compagne et je vis avec elle un amour parfait depuis deux longues années. Inutile de faire semblant, juste pour les apparences ou la sacro-sainte normalité, alors que mon destin est d'aimer les femmes. ![]() images similaires Avec Maryline, c'est l'osmose totale, un total épanouissement, sexuel comme moral. Alors adieu la bienséance ! ![]() images similaires |