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Militaire (1ère partie) : mon recrutement >>> Episode suivant

Chloe23
6 octobre 2016
Jeux de rôles
Militaire (1ère partie): mon recrutement


J'avais rencontré Sharon, une jeune femme blonde, d'origine américaine, dans le bar où j'allais régulièrement boire un verre ou grignoter une salade. Comme moi, elle aimait porter de temps en temps des tenues sexy, et en particulier des hauts décolletés laissant apercevoir ses seins nus.


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Nous avions engagé la conversation, et notre goût pour l'exhib nous avait rapprochées. Elle ne travaillait pas, et elle vivait en couple avec Léo, un architecte d'une trentaine d'années. En dehors de cela, elle était toujours restée assez discrète sur sa vie privée.

Jusqu'au jour où je la trouvai, assise à une table dans un coin du bar, avec Léo. Avec un grand sourire, elle me fit signe de les rejoindre à leur table, et elle fit les présentations. J'avoue que je trouvais l'homme très sexy...


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Après avoir échangé quelques banalités, elle me fit une proposition.

- Nous participons régulièrement tous les deux à des jeux de rôles, organisés par un riche client de Léo. Il est propriétaire d'un manoir qu'il compte restaurer, avec d'immenses terrains tout autour, un vieux corps de ferme, plusieurs dépendances. Nous y jouons à la guerre : un commando de femmes contre un groupe d'hommes, et nous disposons de tout un matériel militaire et d'uniformes. C'est le prétexte pour nous livrer à un tas de jeux sexuels, mais je ne pense pas que ça te fasse peur !
- Ce serait plutôt excitant, répondis-je, avec une lueur dans le regard.
- A vrai dire, ça ne m'étonne pas !, reprit-elle en riant, et en me montrant sur son smartphone une photo d'elle, prise lors d'une récente séance.


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- Et tu serais libre, le week-end prochain ?, me demanda Léo.
- Sans problème. Ce sera avec plaisir, lui répondis-je, toute émoustillée par la perspective de cette expérience inédite pour moi.
- Alors, nous passons te prendre chez toi, vendredi après-midi.

Je lui donnai mon adresse, et nous nous mîmes d'accord sur l'horaire et sur quelques détails. C'était un sentiment étrange : j'étais en même temps un peu inquiète, et très impatiente de savoir ce que ce week-end allait me réserver.

Le vendredi arriva enfin, et le couple vint me chercher, exactement à l'heure convenue. Léo conduisait en superbe 4X4, et il nous fallut près d'une heure pour arriver à la propriété de son client. Le portail était sécurisé par un système de vidéosurveillance, et il s'ouvrit à notre approche. Un long chemin bordé d'arbres menait ensuite à un vieux manoir et à un ensemble de bâtiments, en cours de rénovation.

Un couple était en train de siroter un cocktail sur la terrasse. Léo me précisa que c'était Alexandre, le propriétaire, et Natacha, sa compagne, et il fit les présentations.



C'est à peine s'ils me prêtèrent attention, et Sharon m'entraîna rapidement vers un bâtiment.

- Tu vas commencer par passer la visite d'incorporation dans le commando. Ensuite, tu rejoindras ton unité dans un dortoir, et tu auras droit à un repas avant d'aller dormir. On se lèvera tôt demain matin !
- On ne sera pas ensemble ?
- Non, les nouvelles recrues sont séparées des personnes qu'elles connaissent. Et je ne serai pas non plus avec Léo, qui est déjà parti pour retrouver son groupe, à l'autre bout du domaine.

Je commençai à flipper, mais Sharon ne me laissa pas le temps de réfléchir. Elle me poussa vers une dépendance dans laquelle un bureau était aménagé.

- Lieutenant, je t'amène Chloé, une nouvelle recrue, lança-t-elle à une femme blonde en uniforme, jolie mais l'air peu avenant, et elle s'éclipsa aussitôt.
- Montre-moi tes papiers, me demanda la militaire sur un ton sec. Je dois vérifier que tu es majeure.



Elle examina mon passeport sous toutes les coutures, avant de m'ordonner :

- Déshabille-toi entièrement, tu dois te soumettre à un examen physique, et à un test, avant d'être intégrée au commando, et d'être autorisée à participer au combat.

Je trouvais finalement la situation amusante. Je rentrai dans le jeu, et je commençai à me dévêtir.



Ingrid, mon examinatrice m'observait avec un regard froid, un peu comme un médecin, mais je sentais, dans ses yeux, une lueur plus érotique, surtout lorsque j'enlevai ma culotte, dévoilant ma chatte épilée.



- Mets-toi debout, que je puisse voir ça de plus près, me commanda-t-elle, lorsque je fus entièrement nue.

Elle se leva elle aussi, et commença à me palper, cherchant à évaluer la fermeté de mon corps et de mes muscles. Elle insistait adroitement sur des zones érogènes, et ma poitrine commença à durcir.

- Tes seins sont naturellement fermes, mais j'ai l'impression que ça t'excite de te faire toucher, me fit-elle remarquer. Tes pointes ne se dressaient pas comme ça avant.



Je me gardai de répondre, et elle poursuivit son examen.

- Allonge-toi maintenant, me dit-elle, et je m'exécutai.

Me sentir dirigée ainsi faisait naître en moi une excitation nouvelle, et les pointes de mes seins saillaient encore plus, dirigées vers le plafond.

- Écarte les cuisses, que je vérifie si ta chatte est bonne pour le service. C'est l'arme principale d'une combattante.

Je posai mes pieds sur le bord de la table d'examen, et j'écartai mes petites lèvres. Je sentis ses mains découvrir ma fente.



- Bien. Maintenant, nous allons procéder au test. Mets-toi à genoux, je vais faire venir mon assistante.

Pendant que je m'installais, Ingrid ouvrit une porte donnant sur un autre bureau, et appela :

- Sergent ! Viens par ici, on a une nouvelle recrue à évaluer !

Une jolie brune, aux cheveux longs, entra dans la pièce, et salua sa supérieure. Elle était en uniforme, mais je remarquai tout de suite sa veste ouverte sur ses seins nus.


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- Regarde, dit la lieutenant à sa subordonnée. Tu as vu ce cul ? J'ai l'impression qu'elle sait s'en servir, mais tu vas vérifier qu'elle est suffisamment résistante pour faire face aux assauts de nos adversaires.

Tout en parlant, elle écartait mes fesses, pour montrer ma fente et mon petit trou.


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- Notre sergent est passée maître dans l'art de se servir d'un gode ceinture, m'expliqua-t-elle. Elle va te faire l'amour le plus longtemps possible, jusqu'à ce que tu demandes grâce. Sache que, si tu es faite prisonnière par les hommes, c'est ce qui t'attend !

Nous étions entrées dans une autre pièce, dans laquelle se trouvait un lit et un canapé. Pendant qu'elle me parlait, son assistante - elle se prénommait Katia - se mettait nue, avec un sourire gourmand. Manifestement, elle prenait du plaisir à remplir sa mission avec moi !


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Je regardais, incrédule, le gode qu'elle fixait autour de sa taille. C'était un engin impressionnant, d'une longueur incroyable.

- Ca t'excite, de prendre ça dans ta chatte ?, me demanda Katia.
- Je me demande surtout si je vais pouvoir l'accueillir, répondis-je en m'allongeant sur le lit, et en empoignant la longue tige, fabriquée dans une sorte de résine à la fois souple sous mes doigts, et très rigide.



Je m'appliquais à enduire de salive l'extrémité du gode, mais Katia vint à mon secours.

- Allons, je ne vais pas te pénétrer sans préparation. Je n'ai pas envie de te faire trop souffrir. Allonge-toi !

Je compris tout de suite ce qu'elle avait en tête. Je m'allongeai, en écartant les jambes, et elle plongea sa tête entre mes cuisses. Je sentis aussitôt sa bouche et ses doigts s'emparer de ma chatte, l'explorer, l'exciter. Elle écartelait mes petites lèvres, pour lécher mon petit bouton, et accéder à ma fente.


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- C'est qu'elle doit aimer ça !, fit Katia à sa supérieure. Sa moule est déjà toute trempée, et ne demande qu'à s'ouvrir.
- Parfait, répondit Ingrid. Maintenant, vas-y ! On va voir combien de temps elle tient - et elle déclencha un chronomètre.

Katia m'allongea sur un canapé, les reins sur l'accoudoir pour mieux accéder à ma fente. Pour m'empêcher de réagir, elle me lia les poignets, puis je vis le gode avancer entre mes cuisses, et je le sentis pousser entre mes petites lèvres pour les écarter.

Je me mordais les doigts pour ne pas crier, quand il s'enfonça en moi. Il était vraiment énorme, mais ces préliminaires inhabituels m'avaient excitée.


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- Waouh !, commenta Katia, elle doit vraiment aimer la baise : j'ai rarement pu pénétrer aussi facilement une nana avec ce truc... Et regarde, elle commence déjà à gémir de plaisir.

En effet, je ne cherchais même pas à m'en cacher : me faire pilonner l'abricot par Katia et son superbe gode me procurait des sensations indicibles.

- Détachez-moi les mains, je vous en supplie, demandai-je aux deux femmes.

Ingrid me détacha, et je ne sais trop comment, je me retrouvai sur un meuble, pendant que Katia continuait de défoncer mon minou, et que j'astiquais mon clito.



Malgré mon état d'excitation, je pris conscience que j'étais évaluée sur ma résistance. Il fallait donc que je me contrôle, et que je fasse durer le plaisir le plus longtemps possible. Un peu comme l'aurait fait un mec lorsqu'il se retient d'éjaculer, j'essayais de penser à autre chose lorsque je sentais l'orgasme monter.

Ingrid surveillait son chrono, surprise de ma résistance, et Katia changea de position. Elle s'assit, et me fit venir sur elle. Elle n'eut même pas à me guider: de moi-même, je vins m'empaler sur le gode dressé comme un mât.



Je poussai un cri lorsque l'engin s'enfonça au plus profond de mon ventre. C'était trop bon: je m'abandonnai à la vague qui montait doucement au creux de mon ventre, et je me mis à me soulever et me laisser retomber, frénétiquement, sur l'énorme olisbos. Je ne pensais plus qu'à mon plaisir, et la jouissance me tétanisa, m'arrachant un long cri aigu.

- Tu en as assez?, me demanda Ingrid.
- Oh non, j'ai encore envie de sentir ce gros truc dans ma chatte.
- Compte sur moi, petite salope, répliqua aussitôt Katia.

Elle m'empoigna, m'agenouilla sur un canapé, et me colla contre le mur. Je compris immédiatement ce qu'elle avait en tête, et je me cambrai. Et elle s'enfonça de nouveau en moi, d'un grand coup de reins.



Mon premier orgasme m'avait un peu calmée, et j'avais repris le contrôle de mon plaisir. Je le laissai monter de nouveau, ponctuant mes sensations de feulements plus ou moins sauvages, mais je parvenais à me retenir.

- Elle se retient de jouir, ça se voit, remarqua Ingrid. Essaie de l'enculer, on verra bien comment elle réagit.

Katia me jeta littéralement sur un autre canapé, à genoux, et elle saisit un vibromasseur qu'ingrid lui tendait, pour me préparer. Elle lubrifia sommairement ma rosette, déjà luisante de la cyprine qui coulait de ma grotte, et commença à forcer l'entrée de mon petit cul. A sa grande surprise, je ne manifestai aucune réticence, et j'écartais au contraire mes fesses pour faciliter la pénétration, tout en caressant mon petit bouton.


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- Ele est prête, vas-y! ordonna Ingrid.

Katia exécuta aussitôt l'ordre de sa supérieure, avec zèle. Elle se plaça derrière moi, et enfonça la longue tige épaisse dans mon anus, sans brutalité, mais avec force.


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Je poussai un long hurlement, qui laissait planer le doute: était-ce une plainte, ou un cri de plaisir? Mais Katia n'en avait plus rien à faire, et commençait à aller et venir au plus profond de mon ventre, chaque mouvement provoquant une sorte de décharge électrique dans l'entrée inervée de mon étroit fourreau.

Bientôt, mes gémissements ne laissèrent plus de place au doute: j'étais en train de prendre un pied d'enfer...

- Elle ne va jamais se calmer, s'écria Ingrid. Il va falloir que l'on s'y mette à deux!

En levant la tête, je vis qu'elle était en train de se déshabiller.



Elle avait un corps vraiment superbe. Sa vue, et imaginer ce qui m'attendait, m'excitaient tant qu'un orgasme violent, imprévisible, me surprit.

J'étais là, haletante, tandis que Katia continuait de défoncer mon anus. Pendant ce temps, Ingrid avait installé autour de sa taille un autre gode ceinture, d'un diamètre impressionnant.


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- Tu as envie de goûter à celui-ci? me demanda-t-elle, en me montrant la tige sombre dressée sur son bas ventre.
- Oh oui, répondis-je d'une voix assourdie, je ne suis pas encore rassasiée.
- Laisse-la moi un moment, Katia, et récupère un peu. On la finira toutes les deux ensemble.

Katia était, elle aussi, essoufflée et commençait à être fatiguée de dépenser tant d'énergie pour me faire jouir. Elle m'abandonna, et Ingrid me plaqua contre un meuble bas. Elle m'embrassa à pleine bouche, sauvagement, et souleva une de mes cuisses. Mes fesses étaient calées sur le meuble, sur lequel je devais prendre appui pour ne pas perdre l'équilibre. Elle plia un peu les genoux, et me pénétra en se relevant.


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Elle me fit l'amour longtemps, dans cette position. Heureusement, j'avais un peu repris mes esprits, et je me contrôlais de nouveau.

Ingrid me procurait des sensations délicieuses, que je savourais, tout en me retenant pour ne pas jouir. Ma résistance exacerbait son désir, et elle me jeta sur le lit. Elle vint sur moi, et je sentis le gode perforer de nouveau ma fente dégoulinante de cyprine, pendant que ses lèvres s'écrasaient sur les miennes.



Elle aimait manifestement m'embrasser, et s'y prenait très bien. Sa langue jouait avec la mienne, sa salive parfumée coulait doucement entre mes lèvres.

- Tu aimes ce qu'on te fait, hein, petite salope? me demanda-t-elle d'une voix rauque.
- Oui, oui, c'est bon, avouai-je.
- Tu es lesbienne, ou tu es aussi chienne que ça avec les mecs?
- J'aime autant les hommes que les femmes, je suis bi, vraiment.
- Attends, on va changer de position, me dit-elle.

Elle s'allongea sur le lit, et me fit venir sur elle. Elle écartait mes fesses, tout en suçant les pointes dardées de mes seins, et elle n'eut même pas à me guider pour que je vienne m'emmancher sur son gode.


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Je m'empalai franchement, en feulant, jusqu'à ce je sente la ceinture en cuir toucher mon clito gonflé, et je commençai à me soulever, en appui sur mes bras et sur mes jambes, pour faire coulisser ma chatte sur le faux pénis. Je me laissais retomber lourdement, pour mieux recommencer, mais au bout de quelques instants, des mains se posèrent sur mon petit cul.

C'était Katia qui, en pleine forme, revenait à l'assaut. Ses intentions étaient évidentes, et je me cambrai. Alors, je sentis l'extrémité de son gode glisser dans la raie de mes fesses, pour s'introduire de nouveau dans ma rondelle.


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A partir de ce moment, je ne sais plus exactement ce qui s'est passé. Les deux femmes se sont déchainées, et je n'étais plus qu'un jouet entre leurs mains.

Si je m'étais déjà fait prendre en sandwich par des hommes, je découvrais un nouveau plaisir, de nouvelles sensations sous les assauts d'Ingrid et de Katia. La dureté et la résistance des godes dépassaient tout ce que deux mecs, même endurants, m'avaient apporté jusqu'à présent.



Je me souviens d'avoir eu plusieurs orgasmes, criant et pleurant sous l'intensité de la jouissance. Les deux femmes ont échangé leurs positions, chacune investissant alternativement mon petit trou et ma grotte, jusqu'à ce que je sois incapable d'arriver à de nouvelles extases.

- Je vous en prie... Je n'en peux plus, suppliai-je.

Mes orifices brûlants étaient maintenant douloureux.

Katia eut pitié de moi, mais Ingrid me sodomisa encore un moment, jusqu'à ce qu'elle jouisse aussi. J'essayais de réveiller mon désir en me caressant, mais en vain.



Enfin, elle se retira, et je me redressai un peu, courbaturée, épuisée.

- Pouvez-vous me dire si mon test est concluant?, demandai-je à Ingrid


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- Bien sur! me répondit-elle avec un grand sourire. Cela fait longtemps que je n'ai pas vu une recrue de ton niveau. Allons, viens, on va te donner maintenant ton uniforme et ton équipement.

Ingrid me conduisit, toujours nue, jusqu'à une grande réserve, où on me distribua mon uniforme et tout mon équipement. J'enfilai un tee-shirt et un short, et elle m'emmena dans ma chambrée, dans laquelle un groupe de filles, toutes sexy, discutaient. Ingrid fit les présentations, avant de quiiter la pièce.

- Si j'en juge par tes yeux cernés, me lança en riant Laura, une de mes voisines de lit, tu viens de subir le test d'incorporation. C'était dur?
- Oh oui! répondis-je, mais ce n'était pas du tout désagréable. Et je leur fis le récit de ce que je venais de vivre.
- Tu dois avoir la chatte et le cul en feu, reprit Laura. Montre-nous ça.

J'enlevai mon boxer, et elles m'entourèrent toutes.

- Si tu veux, je peux calmer ton irritation, proposa Laura.

Je ne refusai pas, et elle se mit en devoir de lécher doucement mon minou. Sa langue était douce et fraîche, et je dois avouer que j'appréciais ses soins.



Toutes les filles défilaient à tour de rôle, pour regarder mes deux orifices encore dilatés et écarlates. Mais j'étais trop épuisée pour imaginer de me livrer à de nouveaux ébats ce soir, et je m'endormis très vite.

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