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Evevincent
9 octobre 2016
Jeux à 4 - On passe aux choses "sérieuses"


Vincent bosse et ne rentre que ce soir.
Les filles arrivent en début d'après-midi à l'aéroport.

Je suis agitée toute la matinée.
Je termine par la chambre d'amis ; je fais le lit, des draps en satin très doux, une caresse permanente : je suis certaine qu'elles vont apprécier.




Des fleurs et des bougies, un vrai nid d'amour.
L'heure approche ; je suis un peu nerveuse.
Je m'apprête : soutien-gorge pigeonnant et string dans les tons pastels sous une robe courte et légèrement transparente.


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Un coup d'œil dans le miroir.
Je me tourne et retourne, je serre la robe sur moi ; il est quasiment impossible de savoir si j'ai quelque chose dessous ou pas.
Je me trouve belle ; mes cheveux coulent sur mes épaules : c'est fluide, j'aime bien.

Il est onze heures ; il faut que j'y aille.


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J'arrive à l'aéroport et les attends avec impatience...
Ah ! Il y a du monde qui sort.
Je cherche, scrute ; en plus, je ne sais pas à quoi elles ressemblent.
On a oublié de s'envoyer nos photos !
Quelle idiote je fais !

Bon, je vais les trouver : deux Parisiennes lesbiennes, avec un peu de chance elles vont se tenir par la main.
Ah, ce sont elles ? Je lève le bras. Non, ce n'est pas ça.




Ah ! Deux autres.
Oui, c'est ça : une blonde


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et une brune.


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Je lève le bras.
- Houhou !

Ça y est, elles me regardent, sourient, me font un signe de la main et s'approchent.
- Christine ? Maryline ?
- Ève ? Bonjour ! Tu es toute seule ?
- Bonjour. Oui, Vincent est au boulot ; et puis c'est mieux, on va pouvoir faire connaissance tranquillement.

On se fait la bise de façon... très appuyée.


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Je leur propose de prendre un verre ; elles me répondent que non, un peu de marche leur fera du bien après le trajet en avion.
Nous sortons de l'aéroport :
- Ouf... ! Il fait toujours aussi chaud ici ? me demande Christine.
- Eh oui, mes belles ; nous sommes début juillet et là, comme on dit ici, « c'est la cagna » !


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- Heureusement qu'on n'a pas pris de pull ! De toute façon, on n'a droit qu'au bagage à main. On ira faire les boutiques ; tu vas nous montrer ça ?
- Avec plaisir, tiens ! Ma voiture est là. Allez, donnez-moi vos bagages




- Installez-vous comme vous voulez. Christine, devant ?
- Non, toutes les deux derrière ; c'est bien, non ? Juste pour voir si notre futur esclave est à la hauteur ! dit Maryline dans un éclat de rire.
- Comment ça, « esclave » ?
- Bah, Christine ne t'en a pas parlé ?
- Eh non, je n'ai rien dit. Pour une fois que je ne fais pas de boulette !
- Ah, vous êtes de mèche avec Vincent ? Bon, on en parle tout à l'heure. Les filles, si on commence à parler de cul maintenant, je me connais : on n'arrivera jamais entières à la maison.





Nous voici arrivées.
Je me gare dans la cour.
Nous descendons, et re-coup de chaleur.
- Vous avez l'air d'être bien installés, me dit Christine.




- Oui, on a acheté ça il y a trois ans maintenant. Vous allez voir : derrière, il y a la terrasse et la piscine, des haies épaisses tout autour ; il y a juste le petit voisin qui a fait un trou, et de temps en temps il mate. Ça m'amuse, et lui il se fait du bien. Enfin, je pense.
- Mais tu ne dis rien ?
- Pour quoi faire ? Et puis je m'en fous ; s'il s'en tape une en me regardant, tant mieux pour lui.


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Je leur fais visiter rapidement la maison, leur chambre où un grand « waouh » d'admiration accueille sa découverte.
À vrai dire, je n'en espérais pas moins.
- Bon, les filles, mettez-vous à l'aise. Je vous préviens : moi, je me fous à poil. Si vous voulez le faire, ne vous gênez pas !


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- Bah, tu sais, ce n'est pas facile en fait ; on n'a pas l'habitude.
- Hé, ho ! On n'est que toutes les trois. Allez-y. Je commence et vous me suivez, OK ?

C'est pas le tout, mais je voudrais bien les voir à poil, ces deux-là ; déjà qu'habillées elles sont canon, alors à poil, je te dis pas...
Je me déshabille le plus naturellement du monde.


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- Eh bien ! Tu es super belle, et bronzée de partout. On va avoir l'air de quoi, nous ? Blanches comme des lavabos !
- Ne vous inquiétez pas : vous rentrerez toutes bronzées. Alors, vous attendez quoi ? Que je vous déshabille ?
- On s'installe dehors à l'ombre. Je prépare des rafraîchissements ; installez-vous dehors. Vous voulez quoi ? Soda ou champagne ?
- Euh... comme tu veux.




Direction le frigo.
Champagne : ça va les booster un peu.
Je prépare le tout sur un plateau et retourne dehors, installe le tout sur la table basse, pliée en deux pour bien leur montrer mon cul (elles sont juste derrière moi).


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Je me retourne et découvre deux magnifiques naïades, leur poitrine fière et arrogante, leurs seins tiennent tout seuls, épilation intégrale.




Deux belles minettes.




Les yeux ?
Un regard de feu toutes les deux.
Je sens que ça va être chaud ici, cet été...

Nous commençons par trinquer à nous, puis on parle des vacances, des projets.
Elles m'annoncent qu'elles ont trois semaines de vacances et je leur propose de rester autant qu'elles le veulent.
Puis nous parlons de leurs envies.
Elles se détendent de plus en plus et m'expliquent sans gêne ce qu'elles voudraient faire.
Elles voudraient être surprises, tout comme moi en fait.

En les voyant ainsi détendues, sirotant du champagne, des images me traversent l'esprit...




Nous avons tout défini entre nous, tout est clair ; le plus important pour l'instant, c'est qu'elles soient à l'aise nues partout, et c'est ça le plus compliqué.
Je les préviens que Vincent va certainement les toucher soit à l'épaule, soit en prenant le bras pour leur faire la bise ; c'est l'habitude ici.
Elles me rassurent en me confirmant que tant qu'il n'y a pas de relations avec des hommes tout ira bien, mais elles sont aussi conscientes qu'elles risquent de se faire un peu peloter.


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Nous avons déjà vidé deux coupes de champagne quand le bruit de la voiture de Vincent se fait entendre. Je vois les filles rougir, inquiètes.
- Vous voulez mettre quelque chose ? Un tee-shirt ?
- Non, non... Mais on a un peu la trouille : t'imagines, on ne l'a jamais vu.
- Pour sûr qu'il va être surpris, mais ne vous inquiétez pas : il sait se tenir, vous verrez. Je vais lui dire bonjour.

Je laisse les filles pour aller le rejoindre et lui expliquer l'accord que nous avons trouvé, après lui avoir laissé, bien sûr, le temps de me rouler la pelle habituelle en me pelotant les fesses.




Il va se doucher avant de nous rejoindre.


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Je retourne auprès des filles.
Au bout de quelques minutes, il apparaît dans toute sa splendeur, vêtu d'un maxi tee-shirt et nous sonne un « Bonjour les filles ! » chaleureux.

Nous prenons l'apéro tranquille.
Le champagne aidant, les langues se délient de plus en plus.
Les filles nous expliquent qu'elles veulent se lancer des défis, par amour et par goût du sexe.
Elles veulent assumer leur homosexualité et la montrer.




Faire l'amour en public ?
Pour l'instant, pas question, mais sait-on jamais...

La soirée se passe tranquillement dans la bonne humeur.
Les filles se dévoilent de plus en plus ; elles parlent de leurs premiers essais d'exhibition en faisant le ménage nues, puis la fenêtre grande ouverte, et tant pis (ou tant mieux pour celui qui voit).


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Aller chercher le courrier ou descendre la poubelle en petite tenue ou maxi tee-shirt est chose courante maintenant.




- Christine, raconte le coup de la pizza, qu'on rigole un peu ! suggère Maryline.
- Oh oui, raconte. Que s'est-il passé ? Allez, vas-y !
- Bon, OK, je vous raconte. Alors voilà. Un jour, on a joué à « cap ou pas cap » et j'ai dû aller ouvrir la porte, nue sous ma chemise de nuit très légère, au livreur de pizzas.


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- Bah, ça n'a rien de si extraordinaire. Si ?
- Laisse-moi finir ! Je suis allée prendre une douche pour que ça fasse plus vrai et, quand ça a sonné, je suis allée ouvrir.


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J'étais tellement angoissée que j'essayais de serrer le fin tissu contre moi et, quand j'ai payé, il a glissé et je me suis retrouvée presque à poil devant le livreur. Enfin, la livreuse...




- Et alors ?
- Alors rien. Elle m'a fait un grand sourire et est partie, voilà tout.




- Ah oui... C'est bon, ça. Et tu as gagné quoi dans l'histoire ?
- Maryline m'a fait jouir uniquement avec la bouche et la langue. Ça été long mais tellement bon ! Pas vrai, ma chérie ?




L'histoire se finit accompagnée d'un tendre baiser.


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Elles nous racontent qu'elles sont souvent nues sous leur unique robe ou minijupe et chemisier, voulant aussi affronter le regard des autres, mais surtout par défi et par compétition amoureuse : surprendre et étonner l'autre.


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Étonner et surprendre mon chéri, c'est exactement ce que je veux arriver à faire.
Je suis maintenant certaine qu'on va arriver à avoir des expériences extraordinaires.


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La soirée se termine, et nous allons nous coucher après une douche rafraîchissante.




_______________________________________________________

La nuit fut excellente.

La situation était assez troublante...
Vincent et moi dans notre chambre, Christine et Maryline dans la chambre voisine...
Mon imagination était surexcitée par cette journée.

Peu importe si nos voisines nous entendent, je me suis jetée sur Vincent comme une furie en manque de sexe...


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Vincent était en pleine forme !
3 femmes autour de lui, entièrement libres et libérés, avaient visiblement remonté sa libido au maximum !

Nous avons joui très vite mais avec une intensité hors du commun.


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Les filles, à côté, n'ont pas pu ignorer ce que nous faisions !
Et je dois dire que cela contribuait à augmenter encore mon plaisir.




D'ailleurs, lorsqu'épuisés nous nous sommes allongés pour dormir, nous avons entendu des feulements de plaisir venant de la chambre voisine...

J'imagine que nos deux lesbiennes ont elles aussi émoustillées par le climat érotique de la journée et par les cris de nos jouissances...




_______________________________________________________

Je me suis levée de bonne heure en même temps que mon chéri ; nous n'avons pas fait l'amour mais je l'ai sucé, assise par terre, pendant qu'il prenait son petit déjeuner.




Il a éjaculé, j'ai avalé, j'ai bu mon café et il est parti travailler...


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Les filles dorment encore.
Je me douche puis, parfumée et coiffée, je prépare le petit déjeuner de ces demoiselles.

Concentrée sur ma tâche, je sens tout à coup deux mains se poser sur me fesses - je sursaute - puis deux sur mes seins qu'elles caressent doucement, deux bises par deux bouches sur mes joues, deux têtes ébouriffées avec un joli sourire et un « Bonjour Ève... »




Les voix sont douces et suaves.
Elles sont arrivées derrière moi à pas feutrés.
Les mains ont quitté mes seins pour venir caresser mon pubis.
Je suis debout, agrippée au plan de travail ; j'écarte les jambes.

Des doigts fouillent ma caverne, des langues font des ronds autour de mes tétons qui durcissent comme mon bouton.




Et cette folle envie qui arrive me fait onduler, respirer fort, de plus en plus fort, tord mes entrailles et finit par me secouer comme une poupée de chiffon.




Deux langues viennent chercher la mienne et jouent avec ; c'est bon, doux, tendre.
Ces deux minois au large sourire me redisent « Bonjour, Ève. »




- Qu'est-ce qu'on fait aujourd'hui, Ève ? demande Christine.

Je n'arrive pas à trouver mes mots ; je suis dans du coton, les jambes tremblante.
Je m'assois.
- Euh, oui... euh... plage, ça vous dit ?
- Oui, mais il faut acheter des maillots avant, dit Christine.
- Pas besoin : à poil, les filles, et pas d'histoires : vous l'avez fait devant Vincent. Maintenant que le plus dur est fait, pique-nique à la plage naturiste.
- Tu es folle ! On ne va pas se mettre...
- ... à poil sur la plage ? Si. Vous allez voir ; c'est facile, je vous expliquerai en route.

Elles déjeunent enfin, et direction la plage naturiste en voiture.


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- Bon, les filles, vous faites comme moi : vous vous déshabillez tout naturellement. Vous avez l'impression de vous exhiber, mais pour tous ici, vous êtes à la plage pour bronzer, pour vous baigner et nager, pas pour le sexe ; juste pour apprécier et être bien nues, tout simplement. Ce n'est pas plus dur que ça.


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Après avoir méticuleusement scruté les alentours et quelques hésitations, elles finissent par adopter la nudité intégrale.


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Pour le moment, elles optent pour la position sur le ventre (il faut laisser le temps aux choses de se faire).
Je leur propose de leur mettre de la crème solaire avant qu'elles ne passent du blanc au rouge-écrevisse, et je me fais un réel plaisir de leur étaler la crème sur le dos, les fesses, puis le ventre, les seins, le pubis ; enfin, sur tout le corps de ces deux naïades.


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Progressivement, elles changent de position, d'allongées à mi-couchées en appui sur les coudes, puis assises en tailleur, la vulve exposée à la vue de tous sans complexe.
Suit la baignade, le moment des plus agréables : nager nues, un pur délice avec cette sensation de liberté.
Plus de vêtements gênants, rien que la peau caressée par le soleil, le vent et l'eau.


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Je leur explique que si je les ai emmenées là, c'est pour les aider à assumer leur corps, pour qu'elles le montrent tout simplement.
Pour jouer au jeu de l'exhibition, il faut aimer son corps, ne pas avoir peur de le montrer pour que le jeu soit un réel plaisir, sinon cela devient une contrainte et ce sera un échec avec d'amères déceptions, et le projet avortera de lui-même.




Il commence à faire très chaud, aussi je leur propose une baignade dans de l'eau fraîche, selon les indications affichées au poste de surveillance : 29° dans l'eau pour 32° à l'extérieur.

À ma grande surprise, elles se lèvent et se dirigent vers l'eau avec un déhanchement à faire bander tout un régiment.


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Je les suis, et plouf !
L'eau est excellente, rafraîchissante malgré sa température.
Le bain dure très longtemps.
Nous jouons, plongeons et batifolons ; nous nous amusons comme des gamines.


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De retour à la maison, une douche et un plongeon dans la piscine, histoire de se dessaler, et petite sieste.


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Je leur propose un rafraîchissement.
- Les filles, voulez-vous boire quelque chose ?

Sans même lever les yeux, Maryline me répond :
- Avec plaisir, petite salope.

Mon cœur vient de faire boum.
Pas le boum de la chanson, mais celui qui en temps normal m'aurait fait me retourner pour voler dans les plumes de l'espèce d'abruti qui m'aurait sorti ça.
La phrase de Maryline tourne dans ma tête et me broie le bas-ventre.
Un nouveau jeu ?
- Pardon ? réponds-je, histoire de voir.
- Tu as bien compris ce que je viens de te dire. À genoux, et vite !


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- Mais pourquoi tu me parles comme cela ?
- Tu veux jouer ? En toi, il y a deux personnalités : Ève la belle, douce, tendre et amoureuse, mais il y a aussi la Ève dépravée, celle qui se fout à poil en public et qui se masturbe au téléphone avec sa copine Christine pendant que j'ai le dos tourné. N'est-ce pas ? Et ça, vous allez me le payer toutes les deux. Mais avant tout, va nous préparer des rafraîchissements ; et vite !

Cette condition me va à merveille ; depuis le temps que j'espérais qu'un jour cela m'arriverait...
Je file dans la maison préparer les boissons. Je suis toute mouillée.
Je passe mes doigts sur ma chatte ; j'ai envie de me faire jouir maintenant, mais non, il faut que je fasse le service.


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- C'est bien, ce que tu nous as servi. Tu peux t'asseoir avec nous.
- Merci, Maryline, tu es trop bonne de m'autoriser à m'installer avec vous.
- Tout d'abord, merci pour la plage, nous avons beaucoup aimé. Nous y retournerons ; ta leçon était parfaite. Tu nous aides pour l'exhib, et on te transforme en véritable soumise nymphomane. Et nous allons te faire les pires misères...
- Super ! C'est d'accord. Tope là !
- Très bien. Commence par nous raconter ton après-midi. Mets-toi sur le transat assise en tailleur, qu'on puisse bien voir ta chatte de petite salope, et tu vas te caresser en même temps. Mais interdit d'arriver à l'orgasme. Si tu es bien sage jusqu'à la fin, tu auras une récompense.


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Je m'installe sur le transat, les filles sur la balancelle.
Je suis assise en tailleur, les jambes bien écartées, dans une position la plus impudique possible pour qu'elles puissent admirer le spectacle de ma vulve déjà dégoulinante de cyprine.

Elles veulent jouer avec moi ?
OK !
Moi aussi je vais jouer.
J'ai bien l'intention de les emmener vers l'orgasme.
Je commence mon récit les yeux fermés.
Je me replonge dans ce passé tout proche pour revivre cet évènement.


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Nue sur le transat, le soleil me chauffe le dos, et les mains posées sur les genoux je débute mon récit :
- Pour me donner la réponse à la question qui était de savoir si oui ou non vous vouliez qu'on s'amuse ensemble, comme convenu j'ai appelé Christine qui m'a dit de me mettre toute nue et de me caresser. Au début je fus surprise, et ensuite terriblement excitée ; alors je l'ai fait.




Au fur et à mesure j'embellis et agrémente mon récit de détails croustillants.
Je joins le geste à la parole en me caressant partout.
J'ouvre rapidement les yeux et constate que deux regards sont fixés sur moi ; elles boivent mes paroles.




Je jubile : je suis sûre que les filles sont en train de mouiller comme des folles !
Je m'adosse au dossier incliné du transat et me caresse les seins, le ventre, le nombril (hum, je voudrais bien un piercing) ; je sens que si je continue, je vais arriver à l'orgasme.

Je continue mon récit.
- Christine m'a dit de rentrer mes doigts en moi ; je l'ai fait, et j'ai un terrible orgasme ; et elle aussi.




- Quoi ? Christine, tu t'es branlée au téléphone avec cette salope ? Vous allez me le payer toutes les deux ! fulmine Maryline.
- Mais...
- Toi, continue !
-Après, Vincent est arrivé. Je lui ai dit que vous arriviez. On a tout préparé et nous sommes allés faire des courses. Vincent m'a laissée sortir sans rien dessous ; j'étais contente, car normalement il n'aime pas. Ensuite nous nous sommes arrêtés à la brasserie...




Et je raconte tout le reste.

- Et ça t'a plu ? me demande Christine.
- Oui, beaucoup.
- Tu as vu ça, Maryline ? Cette petite pute qui se fout à poil devant tout le monde ! Lève-toi et viens nous sucer la chatte pour ta peine.

C'est la première fois que je fais ça, faire plaisir à une autre femme ; et deux, du coup.
Je vais leur faire ce qui me ferait plaisir.

Je masse leurs pieds avec application comme si je les enduisais de crème, puis mes doigts remontent le long de leurs jambes en effleurant à peine leur peau lisse et douce.
Ils courent le long de leurs cuisses jusqu'à rencontrer un fin morceau de tissu en dentelle masquant à peine la forme de leur fente.




Je les regarde de temps en temps pour évaluer l'effet produit.

Elles se tiennent par la main, épaule contre épaule, les yeux dans les yeux, bouche contre bouche. Je tente une intrusion indiscrète sous le tissu ; leur pubis aussi lisse que leur fente m'invite à poursuivre mon exploration.

J'enlève de force le tissu gênant en le faisant glisser sous leurs fesses puis récupère deux strings humides qui volent au loin.




Pas un bruit ; seul le chant des oiseaux qui gazouillent rompt le silence.
Je suis déjà dans un état d'excitation avancé.

Je reprends mon exploration et tente d'infiltrer un doigt dans l'entrée de leur caverne qui s'ouvre doucement.
Un regard : elles se sont enlacées, s'embrassent amoureusement.




J'ai le champ libre.
Je remonte du nombril jusqu'à leurs seins. Je les palpe, les malaxe ; un pincement à leurs tétons les fait vibrer et gémir, puis du bout des doigts je redessine leurs seins en faisant des cercles autour, et enfin je redescends vers leur ventre, leur pubis et leur intimité devenue très humide.


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Les cuisses s'écartent : l'invitation est réelle.
Je vais explorer leur caverne : les ondulations de leur corps et l'accélération de leur respiration sont suffisamment explicites.


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Elles me caressent les cheveux, les lèvres, m'offrent leurs doigts que je suce et tète avec délice et volupté.
Elles avancent leur bassin pour que je glisse sans difficulté deux doigts en elles.
Elles me prennent le poignet pour que je les enfonce encore.
J'affine mes mains.


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Elles forcent.
Mes doigts fins et longs entrent doucement.




Elles gémissent, elles se prennent mutuellement les seins, s'enfoncent sur mes mains.
Elles ondulent de plus en plus, leur vagin se contracte, je sens les secousses de leur orgasme : il est fort, je le sais.




C'est fini, je retire mes mains et me lèche les doigts.
Le goût est indéfinissable, mais subtil.

Elles me caressent les cheveux, la bouche, puis bondissent.
Tout va très vite.
Elles m'attrapent par les bras et me couchent sur le transat.




Christine me prend la tête et me roule une pelle d'enfer tandis que Maryline m'écarte les cuisses de force ; ses doigts entrent en moi.
Christine me prend les seins en me les broyant littéralement et me pince les tétons.
Je gesticule dans tous les sens.
Elle force encore ; sa main me pénètre et bouge en moi.


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L'orgasme arrive tel une tornade.
Il me fait mal, je suis secouée par les spasmes, je me cabre, décolle les fesses et retombe comme une masse, la main de Maryline toujours en moi.
Cette main bouge à nouveau, cette fois en un mouvement de va-et-vient rapide.
J'ondule, je crie, et un nouvel orgasme arrive, aussi puissant que le précédent.
Je me tords de bonheur.




Je m'apaise et ouvre les yeux.
Au-dessus de moi, leur visage, leur sourire satisfait, et des regards coquins...
Des larmes de bonheur coulent sur ma joue.

Je me redresse, les prends par le poignet et les entraîne vers la piscine pour un plongeon rafraîchissant.

_______________________________________________________

Dans la piscine, nous jouons comme des gamines ; je suis sûre que le petit voisin est en train de nous mater...


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Nous en sortons avec les idées à peu près remises en place.

Je passe le long de la haie : oui, il est là ; je l'ai repéré - alors, je me mets juste devant, à bonne distance, pour qu'il voie un maximum de mon pubis, puis je me caresse et me masturbe comme lui...

Oui, je crois que je suis vraiment très vicieuse et accro au sexe.




- Champagne, les filles ? Donnez-moi vos affaires, je vais les rentrer.

Je sers le champagne. Maryline reprend la parole :
- On trinque et on passe aux choses sérieuses. Nous allons fixer les règles...
- Il vaut mieux qu'elle écrive son contrat : c'est mieux, elle sera plus dans sa condition d'esclave ; c'est Vincent qui l'a dit, souligne Christine.
- Quoi ? C'est mon Vincent qui l'a dit ? Vous vous êtes mis d'accord ? C'est un complot !
- Dis plutôt qu'on l'a encouragé à aller aussi loin que tu le désires dans ton délire de nymphomane, je dirais...


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Je ne sais pas quel impact cela vient d'avoir sur moi, mais en tout cas je suis toute émoustillée.
Sans même attendre leur réponse, je fonce chercher un bloc de papier et un stylo ; je reviens sur la terrasse, pose le bloc sur la table basse, et j'attends à genoux et à poil que ces dames veuillent bien me dicter leur règlement.

Je dois dire que je suis en train de prendre goût à ma nouvelle condition ; je ne comprends pas ce qu'il se passe en moi, mais c'est incroyable : depuis le coup de téléphone, j'ai envie de faire l'amour en permanence.


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Christine me dicte le règlement.
Comme une gamine, je m'applique pour bien écrire :
Je soussignée Ève, déclare accepter ma condition d'esclave.
Je devrai subir ou exécuter tout ce qu'on me fera ou dira de faire sans rechigner ; je le fais par amour de mon chéri et par vice : je suis une nymphomane.
Je fixerai moi-même mes limites à la souffrance, si souffrance il y a.
À la fin de cette épreuve, je recevrai une récompense plus ou moins importante en fonction de mon attitude et de ma docilité à effectuer ce qui me sera demandé.
Ève, le...

Je signe avec enthousiasme ce document qui, une fois de plus, me met dans un état d'excitation incroyable.
Mon chéri avait raison : pour m'exciter, il n'y a pas mieux.
Nous trinquons à cette période de jeux dont la durée n'est pas encore définie mais s'annonce mémorable !


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En plus, une récompense !

Je voudrais bien savoir ce que c'est ; je trépigne mais n'ose demander par peur de représailles ; et puis j'adore les surprises.

Après tout, je ne risque rien d'essayer, alors je me lance :
- Je peux savoir ce qu'est la récompense ?
- Et en plus, elle veut tout savoir, cette petite salope ; vous entendez ça ? Est-ce que je peux savoir, et gnagnagna !
- Tu veux savoir ? Tiens, je vais être sympa, je te donne un indice : sucer ton homme ; une fellation large et profonde. Tu le fais dès qu'il arrive, et devant nous qu'on te voie bien.

Le bruit de la voiture de Vincent se fait entendre.
Je fonce à sa rencontre, dégrafe son pantalon et le déshabille.




Je constate l'effet qu'à sur son anatomie le spectacle que lui offrent les deux filles.

Comme prévu, je lui fais une fellation digne de la circonstance.
Je me rappelle le « large et profonde » des instructions qui m'ont été données.


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Je suce.
J'aime son sexe dans ma bouche.
Je lèche son gland avec délicatesse et gourmandise comme si je mangeais une glace ; j'adore les glaces.


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Dressée sur mes jambes, courbée en deux pour sucer Vincent, j'ai le cul en l'air.
Je suis toujours occupée à pomper ; je rentre son vit de plus en plus loin dans ma gorge au risque de me donner envie de vomir.


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Tout à coup je sens deux mains se poser sur mes hanches et un truc glisser en moi.
Mes lèvres s'écartent et l'engin glisse en moi doucement ; plus il avance, plus je le sens gros.
Je commence à respirer de plus en plus fort ; mon vagin me pique.
Le truc force d'un coup sec et pénètre encore.




Sous l'impulsion, tout mon corps avance, et la bite de Vincent pénètre le fond de la gorge ; je manque de m'étouffer.
Je râle, je bave...
Je viens de comprendre la signification de « profonde ».


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Mon vagin vient lui aussi de comprendre l'adjectif « large » : les filles sont en train de m'écarteler : j'ai l'impression de m'ouvrir en deux.
Je sens monter en moi un puissant orgasme mais j'arrive à le maîtriser, et maintenant c'est dans mon anus que quelque chose pénètre !




Je suis écartelée de partout, du cul, du vagin, de la bouche... et la gorge défoncée par la bite de Vincent qui gonfle.
Il se tend ; je suis sûre qu'il ne va pas tarder à éjaculer.

Les filles font des mouvements de va-et-vient en enfonçant de plus en plus profondément en moi leurs trucs (je soupçonne que ce sont des godes).
Elles vont de plus en plus loin et de plus en plus vite, et maintenant il y a d'énormes vibrations en moi.


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Vincent éjacule dans ma gorge ; mon vagin et mon anus se contractent avec force, bloquant le mouvement des godes.
Je râle tout ce que je peux, me dégage de Vincent, mes mains sur ses hanches et je crie, secouée par cet orgasme qui n'en finit pas ; il est d'une puissance extrême.

Les mouvements de va-et-vient reprennent vite, très vite.
Je m'accroche à Vincent car un autre orgasme arrive, aussi puissant que le premier.


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Il me fait me tordre dans tous les sens, c'est terrible, terriblement bon !
C'est fini ; mon "supplice" est terminé.

Mais je dois leur raconter, pendant le repas, tout ce que j'ai ressenti et je ne peux manger que d'une main car je dois me caresser pour garder mon excitation en éveil permanent, m'ont-ils dit, et ça marche : plus je raconte, plus je me caresse, et plus je suis excitée !




Après le repas, je dois débarrasser la table, faire le café et apporter les digestifs pendant qu'ils discutent.




Durant tout ce temps je dois les sucer, les lécher et les pomper à tour de rôle.


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Cette situation est jouissive au plus haut point ; moi qui voulais vivre des expériences inédites, pour le coup, c'est réussi !

En guise de bonne nuit, Vincent et moi faisons l'amour encore une fois, mais avec douceur et tendresse ; c'est bon, je suis aux anges.


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Je me réveille.
Oh, la vache !
Il est tard : 9 h 30.
Vincent est déjà levé.

Je me lève, et me dirige vers la cuisine.
Comme prévu, je n'ai mis aucun vêtement.

Les filles sont attablées et déjeunent tout en discutant avec Vincent.
Je fais une entrée théâtrale.
- Bonjour ! Comment allez-vous ce matin ? Bien dormi ?

Maryline se retourne et me détaille de la tête aux pieds.
- Vous avez vu cette pouffiasse ? Elle se balade à poil, et « Coucou, comment ça va ? » Tu te crois où ? Tu as oublié les bonnes manières. Approche un peu pour voir ! s'énerve Maryline.




Elle tient à la main un plug, crache dessus et me l'enfile direct dans les fesses.
- Maintenant tu peux t'asseoir et déjeuner !

Je m'assois sur le banc.
Mes fesses sont bouillantes et le plug commence à me faire monter en température.
J'avale mon petit déjeuner en vitesse.

- Toutes les heures, tu programmes ton téléphone ; tu fais comme tu veux, mais je veux te voir à heure fixe les jambes bien écartées, le cul bien ouvert. OK ?
- Oui, Maryline ; je serai prête, tout ce que vous voudrez.


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Eh ben, dis donc...
Quelle autorité !
Ça lui va bien, cet air de maîtresse.




Je programme mon téléphone : alarme toutes les heures pendant... je ne sais pas...
Je mets 12 heures.
- C'est fait, Maryline,
- Bien. Le reste du temps, tu viendras nous sucer la chatte et tu feras des fellations à Vincent, sans oublier de te masturber aussi. Nous, on s'occupera de ton cul. Allez, commence par moi. À genoux, petite salope !




Je commence par Maryline ; ce sont les ordres.
Je la lèche, la suce, et j'arrive même à introduire ma langue dans son vagin.
Elle ondule, gémit, couine.
« Putain, ma salope, je vais te faire jouir ! On va voir qui est la plus salope des deux ! » me dis-je en moi-même.
Je me régale intérieurement.




Je continue, méthodique.
Je lui enfile un doigt, lui mordille le bouton, la branle, la suce, et je me branle aussi.
- Ohhh... Ouiii ! Je jouiiis !

J'ai gagné ; je suis ravie.
« Toi, ma vieille, si moi je vais m'en prendre plein le cul toutes les heures, toi tu vas jouir toutes les heures aussi ! »
Ma conscience et moi jubilons.


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À l'heure suivante, je me dirige vers Christine.
Nous nous engageons dans une joute visuelle ; cette blonde me fait craquer, mais elle ne peut résister à la blonde que je suis.
Encore un message interne : « Toi aussi tu vas y passer !... »




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