Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote    =

Episode précédent <<< Militaire (3ème partie) : prisonnière !

Chloe23
4 novembre 2016
Jeux de rôle
Militaire (3ème partie) : prisonnière !



Alexandre ne demandait pas mieux que de combler mes attentes! Lentement, il s'enfonça en moi, de plus en plus loin dans ma grotte humide, pendant que je savourais la tige de Léo en le regardant dans les yeux.



Depuis le temps que je suçais des mecs, sans me faire pénétrer, j'avais la chatte en feu. Je criais à chaque coup de reins d'Alexandre, et le gland de Léo s'échappait régulièrement de ma bouche, tant j'étais secouée par ses assauts.

- Je vais changer de position, décréta Alexandre, et tu vas lécher son petit bouton pendant que je la baise. Elle va aimer ça, on va la faire gueuler de plaisir!

Alexandre s'installa sur le canapé, et me fit venir sur lui. Il n'eut même pas besoin de me guider: j'avais trop envie de me faire pilonner l'abricot par son énorme bite. Je m'empalai sur lui en criant et, lorsque mes fesses touchèrent son ventre, Léo s'attaqua à mon clito.



Ton mon corps était tétanisé, mes petits seins étaient devenus durs comme du bois, et leurs pointes se dressaient fièrement.

De moi-même, je me soulevai pour mieux m'emmancher en me laissant retomber brutalement sur le dard qui me perforait. Et bientôt, j'eus un violent orgasme.

- A mon tour de la faire jouir, réclama Léo.

Alexandre, beau joueur, me prit par les hanches pour se retirer, et laisser la place à son ami. Il n'avait pas éjaculé, et je commençais à mesurer son endurance. J'allais devoir mieux me contrôler aussi, pour tenir à ce rythme.

Léo s'installa sur le canapé, et je vins le chevaucher à son tour. Je lui faisais face et il empoigna mes fesses pour me guider. Son gland se fraya facilement un chemin dans mon antre, et Alexandre me présenta sa bite pour que je la suce.


images similaires


Ma chevauchée reprit, à un rythme endiablé, m'arrachant au bout de quelques instants des gémissements de plaisir, et retrouver sur la tige d'Alexandre les effluves de ma moule ajoutait au piquant de la situation.

Léo ne ménageait pas ses efforts, faisant grimper mes cris dans les aigus, mais je ne m'abandonnais pas à l'orgasme que je sentais prêt à venir.

- Tu ne sais pas la faire jouir, Léo?, lui demanda Alexandre, ironique.
- Je suis certain qu'elle est sur le point de prendre son pied, mais elle se retient, cette petite salope. Ingrid et Katia m'avaient bien dit que c'était un sacré tempérament, mais je sais coment m'y prendre: il paraît qu'elle adore se faire enculer.

Décidemment, les deux filles avaient tout raconté de mon test de la veille!

Léo me fit mettre à genoux. Je me cambrais au maximum pour lui présenter mes fesses, et il entreprit de lubrifier ma rondelle.


images similaires


- Putain, elle n'attend que çà!... Tu veux ma queue dans ton petit cul?
- Oui, vas-y, avouai-je d'une voix sourde.
- Dis-le plus fort, Chloé, que tout le monde t'entende! renchérit Léo.
- Oui, oui, je la veux, j'ai envie de la sentir s'enfoncer dans mon petit trou. Vas-y.... Ouiii, vas-y!

Il ne fit pas les choses à moitié. Il monta sur le canapé, pour planter son dard dans mon anus amoureusement préparé.



Il plongea sa tige en moi, avec un mélange de force et de douceur. J'avais repris dans ma bouche la verge dressée d'Alexandre, qui étouffait mes plaintes.

Mes cris étaient suffisamment révélateurs de mon plaisir, et Léo accéléra le mouvement. Dans cette position, il pouvait pilonner mon cul tout en puissance, s'enfonçant jusqu'aux couilles entre mes fesses, et je remuais mes hanches pour l'exciter et mieux goûter cette pénétration.

Au bout de quelques minutes, je ne pus me retenir davantage de jouir, en hurlant. Pour ma plus grande satisfaction, Léo éjacula presque en même temps, inondant mon petit trou, et giclant sur mes reins et mes fesses en se retirant.


images similaires


A peine m'avait-il abandonné, qu'Alexandre réclamait sa part. J'avoue que, malgré cet orgasme, je n'étais pas rassasiée, et je me demandai, pendant une fraction de seconde, si je n'étais pas nymphomane.

Mon nouveau partenaire ne me laissa guère de temps pour ces réflexions philosophiques! Sans que j'ai le temps de me nettoyer, il souleva ma cuisse, pour libérer l'accès à mon petit orifice, encore tout dilaté, et son énorme gland s'y engagea sans la moindre difficulté.


images similaires


- Suce-moi, m'ordonna Léo. Tu n'en as pas fini avec moi.

Sentir ces deux mecs bien montés me pénétrer par tous mes orifices, devant une alignée de types au garde-à-vous... J'en arrivais à me féliciter d'avoir été faite prisonnière!

Alexandre me sodomisait plus brutalement que Léo, à grands coups de reins, mais il estimait qu'il ne me défonçait pas encore assez fort à son goût, et il me fit changer de position.

Allongée sur le dos, il me força à remonter complétement mes jambes contra ma poitrine. Dans cette posture, mes fesses étaient écartées au maximum, et il pouvait s'enfoncer encore plus profondément dans mon ventre.


images similaires


Là, ce fut un festival. Son pieu entrait et ressortait presqu'entièrement de mon petit trou, à un rythme fou. Je feulais, criais, l'intensité de mes sensations faisant même couler quelques larmes sur mes joues. Mais je parvenais encore à refouler l'orgasme qui montait...

Alexandre savait comment vaincre cette résistance. Il s'allongea, et me fit venir sur lui. Mes pieds en appui sur ses cuisses, je m'assis et je m'emmanchais sur son mât.


images similaires


Il me laissa imprimer mon propre rythme à sa pénétration, et bientôt, ce fut moi qui me déchaînai. Je me lançai dans une chevauchée furieuse, jouant à exacerber mon désir.

Alexandre ne me laissa pas atteindre le point de non-retour:

- Léo, baise-là en même temps. Elle va s'en rappeler, de son passage chez nous!
- Oui, vas-y Léo... J'ai envie de vos deux bites... Dépêchez-vous, je vais jouir.

Léo, qui bandait de nouveau, vint se placer entre mes cuisses, pour investir ma chatte.


images similaires


Alexandre se trouvait immobilisé sous mon corps secoué par les coups de boutoirs de Léo. Je sentais malgré tout sa tige coulisser dans mon étroit fourreau, à la cadence des allées et venues du dard qui labourait ma fente.

Je le savais, l'orgasme n'était pas loin, et il m'emporta dans un tourbillon de sensations.

- Oui, oui, ça vient!... Oooooh, c'est bon, je jouis!! Oh, quel pied... Ouiiiii!


images similaires


Je n'en finissais pas de hurler, mais mes cris décuplaient l'ardeur de mes partenaires. Au lieu de m'abandonner, Léo se remit debout, sans se retirer de mon sexe, et Alexandre se plaça derrière moi. Il s'enfonça de nouveau dans ma rondelle, et je ne fus plus qu'un jouet dans leurs bras musclés. Impuissante, j'étais ballotée au gré de leurs mouvements, mes deux orifices coulissant sur les tiges qui les perforaient.


images similaires


C'était un moment d'érotisme pur, brut. Si je ne parvenais pas à jouir de nouveau, j'éprouvais malgré tout des sensations indescriptibles, et je goûtais cet instant en feulant.

Mes deux amants, quant à eux, atteignaient enfin le septième ciel. Ils me posèrent à terre, et je m'agenouillai entre leurs verges dressées, prêtes à exploser. J'attendais avec impatience de voir le sperme gicler, et je n'eus pas à les branler bien longtemps. Je sentis entre mes doigts les deux tiges se contracter, trembler, et enfin de longs jets de foutre vinrent inonder ma bouche ouverte, mes joues, mes seins.


images similaires


Les autres hommes applaudirent notre performance, et je les regardais les yeux brillants de plaisir, leur montrant ma langue couverte de semence.

Je me relevais, fatiguée, lorsque j'entendis Alexandre derrière moi.

- Maintenant, messieurs, vous pouvez disposer de Chloé. Je crois qu'on l'a bien chauffée. Fred, puisque c'est toi qui l'a capturée, à toi de diriger l'opération...

Encadré par le reste de la troupe, Fred se dirigea vers moi, et me saisit par les poignets.

- Tout à l'heure, on l'avait ligotée, elle était vachement bandante. On l'attache à nouveau?

C'était décidemment un maniaque du bondage! Ses acolytes approuvèrent sa proposition bruyamment, et je me retrouvai garrotée sur un lit de camp, dans une position où mon intimité était offerte à tous les regards.



Ce fut Fred, bien entendu, qui eut le droit de me baiser le premier. Je lisais sur son visage tout le désir que je lui inspirais, mais j'avoue qu'assister, sans pouvoir esquisser un geste, à l'approche de sa bite dure et gonflée, sentir son gland s'engager entre mes petites lèvres, s'introduire sans difficulté dans ma fente béante, et s'enfoncer en moi, était délicieusement excitant.



Il parvenait à se contrôler malgré tout, et me pénétrait par petites poussées. J'avais maintenant envie qu'il pilonne sauvagement mon petit abricot.

- Vas-y, baise moi, défonce-moi, lui demandai-je.

Ce fut comme un coup de fouet, et il se mit à aller et venir dans ma chatte, pendant que je criais sans la moindre retenue. Pour Fred, c'en était trop: la violence de ce coït, l'excitation liée au spectacle que j'avais offert avant, eurent raison de sa volonté. Je l'entendis pousser un grognement révélateur, je sentis sa tige se contracter dans ma chatte, et il éjacula, tout en se retirant.


images similaires


Mon ventre était maculé de foutre. Je ne sais pas qui m'essuya, mais quelques secondes plus tard, je me retrouvai sur le ventre, toujours ligotée.

Un deuxième homme, que je ne pouvais pas voir, s'enfonça dans mon minou, tandis qu'un troisième me plantait son gland dans la bouche.


images similaires


Ils étaient tous trop excités par le spectacle que j'offrais, un peu malgré moi, et je sentis très vite que le type qui me baisait giclait dans ma fente en rugissant.

Aussitôt, celui que je suçais se précipita pour se placer derrière moi. Cette fois, ce n'était pas mon minou qui l'intéressait! Des mains écartaient mes fesses.

- Oui, vas-y, encule-la! l'encouragea un des voyeurs. T'as vu, avec Léo, le pied qu'elle a pris?

Immédiatement, un gland gonflé força l'entrée de mon petit trou, et s'enfonça en moi.



Léo et Alexandre avaient largement préparé le passage, et mon nouvel assaillant n'eut aucun mal à me pénétrer, puis à coulisser dans mon petit cul.

Je commençai à gémir, mais mon nouveau partenaire éjaculait déjà. Il lâcha toute sa semence dans mon anus, et se retira. Sans que j'ai pu me nettoyer, un autre homme le remplaça aussitôt.

Il me sodomisait avec violence, et heureusement le foutre qui inondait ma grotte rendait ses allées et venues indolores. Au contraire, les sensations qu'éveillaient dans mon petit trou les assauts de ce mâle dont je ne devinais même pas le visage, toutes ces mains qui parcouraient, caressaient, malaxaient mes fesses, mes seins, tout celà m'amena à l'orgasme. Je jouis encore une fois, dans une sorte de vocalise suraigu.

Surpris et excité par mon hurlement, je sentis l'homme qui me pénétrait jouir, presque en même temps que moi, et sa semence jaillir, inondant le sillon de mes fesses.


images similaires


Je me sentais épuisée, incapable de continuer à ce rythme, et même d'atteindre un nouvel orgasme. Cependant, des mecs continuaient de m'entourer, ne cachant pas leur intention de profiter de mon corps offert sans la moindre pudeur. Je négociai, pour pouvoir les satisfaire, sans que le gangbang tourne au viol.

- Détachez-moi, je vous en prie, suppliai-je.
- On n'en a pas fini avec toi, répliqua une voix grave.
- Je sais, mais laissez-moi faire, vous ne le regretterez pas! Il y a des choses que je ne pourrais pas faire, ligotée comme ça.

Après de brefs conciliabules, l'un des types me détacha.

- Laisse-moi te remercier, lui dis-je d'une voix suave. Allonge-toi.

Il s'étendit sur le sol. Comme je j'avais fait plus tôt avec Alexandre, je montai sur lui, les pieds en appui sur ses cuisses, et je m'emmanchai sur son dard, en prenant appui sur une bite dressée pour ne pas perdre l'équilibre. Lentement, le gland disparut entre mes fesses.


images similaires


Tous les mecs faisaient cercle autour de nous, en se caressant. Je me rendais compte que j'éprouvais encore une montée de plaisir dans tout mon corps. Mes petits seins étaient redevenus tout durs, avec des pointes dardées, et je poussais à nouveau des gémissements d'animal blessé.

Une fois de plus, mon partenaire jouit très vite, et un autre me guida vers un canapé sur lequel il s'installa. Il m'empoigna par les hanches, pour que je vienne m'empaler sur lui. Lui aussi avait choisi mon petit trou, et les autres hommes m'offraient leurs bites à sucer.



Je poussais maintenant de petits cris, entrecoupés de paroles dénuées de toute pudeur.

- Oh, c'est bon, toutes ses queues... Continuez, allez-y, j'ai envie que vous me fassiez jouir une dernière fois.

C'était vraiment de l'irresponsabilité! Des mains puissantes empoignèrent mes chevilles, mes poignets, m'écartelant, dans une position à exciter un saint!

Et l'un des voyeurs vint planter son pieu dans ma fente.


images similaires


J'avais perdu la conscience de ce qui se passait. Je n'arrivais plus à jouir, mais je ressentais un plaisir d'un autre genre, sensuel, lorsque les types qui se succédaient éjaculaient dans ma chatte, dans mon cul, sur mes seins, dans ma bouche...

Enfin, ils m'abandonnèrent, et je tombai à genoux, épuisée, le visage maculé d'un liquide épais et crémeux, entourée des phallus que j'avais menés au plaisir.



Je ne parvenais pas à comprendre comment il pouvait y avoir encore autant de types qui bandaient. J'étais là, haletante, quand l'un d'eux me demanda d'une voix enjoleuse:

- Chloé, tu as été géniale! Tu es la meilleure fille qu'on ait jamais capturée. Avant de partir, tu ne veux pas nous sucer une dernière fois?

C'était demandé si gentiment...

Je pris dans ma main la bite qu'il me présentait, la caressait doucement, et je posai mes lèvres sur le gland, encore parfumé par ma cyprine mélangée aux spermes.


images similaires


Je les suçais les uns après les autres. Cette fois, c'était une suite de fellations empruntes de tendresse.

- Ouvre la bouche, me dit enfin le même homme. On va te faire un dernier cadeau!

Je me reculai, la tête renversée en arrière, et ils m'arrosèrent avec leurs dernières gouttes de foutre.


images similaires


C'était terminé. Ils étaient tous redevenus des gentlemen, et ils me conduisirent jusqu'aux douches, où ils me laissèrent seule.

Je restais longtemps sous l'eau chaude puis, une fois essuyée, ils me ramenèrent en Jeep jusqu'au manoir, où m'attendaient Sharon et les autres filles. J'étais encore nue, puisque j'avais abandonné mon uniforme sur le terrain.

- Si j'en juge par les poches sous tes yeux, ta détention chez l'ennemi a été animée, persifla Sharon.
- C'est une excellente recrue que tu nous as trouvée!, renchérit Léo.
- Vous ne me tenez pas grief d'avoir été faite prisonnière?, m'étonnai-je.
- Pas du tout! Ca fait partie du jeu, et du bizutage des petites nouvelles, répondit Sharon en riant.
- Et tu ne m'as pas prévenue? m'indignai-je, les yeux brillants de colère.
- Avoue que ça aurait été moins excitant...

En réfléchissant, je devais reconnaître qu'elle avait raison.

Je me rhabillai, nous bûmes une flûte d'un champagne millésimé, et mes amis me ramenèrent à mon studio. Chemin faisant, je pensais à Nicolas: j'aurai des choses à lui raconter, la semaine prochaine, lui qui aime savoir que je me suis offerte à d'autres partenaires...

Episode précédent <<< Militaire (3ème partie) : prisonnière !

Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote
http://lisastory.free.fr - site réservé aux adultes, strictement interdit aux moins de 18 ans - dernière mise à jour : 17 juin 2025 - Remonter