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Evevincent
22 mars 2017
Transformations 03 - Retour au travail


J'ouvris un oeil en resserrant la couverture contre moi.
Je devais m'être reposé plusieurs heures, car le soleil était en train de se coucher à mon réveil.
La maison baignait dans un énorme silence.
Les filles étaient parties en catimini, laissant les couvertures au sol.

Le souvenir de cet après-midi me resterait en tête.




En me levant, je remarquai un papier sur la table avec le nom de Chloé.
Je le dépliai et vis un numéro de téléphone, avec écrit en dessous : Appelle-moi, coquin... bisous
Je me rassis en regardant la feuille, un sourire aux lèvres, puis l'appelai.
Après quelques minutes, on conclut de se revoir pour plusieurs parties de jambes en l'air, mais pas de couple.
Juste du sexe.

Avec Anne, c'était la deuxième qui voulait revenir sans que j'use de mon don.
Je raccrochai, rêveur.
___________________________________________

Le lendemain, j'avais un travail à faire pour les cours.
Donc direction la bibliothèque de l'université.
A mon arrivée, je m'installai à une table et me mis au travail.

Deux heures plus tard, concentré dans la conclusion, je sentis une main sur mes épaules.
Je me retournai et fis face à Laury.
Laury était une ancienne camarade.
Je la connaissais coquine de nature, en plus d'être libertine (elle et son copain vivaient éloignés à cause du travail, donc ils avaient conclu un accord tacite).


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Elle s'installa a coté de moi, et on bavarda, ce qui me fit faire une bonne pause.
Je ne pouvais détacher mes yeux de son corps et l'envie me tarauda à tel point que je fus surpris qu'elle n'aperçoive pas mon érection.

Je me levai pour aller chercher un livre au bout de la bibliothèque, l'incitant à se lever aussi pour poursuivre la conversation.
Lorsque nous fûmes hors de vue, je la laissai me passer devant pour qu'elle se tienne involontairement entre moi et la bibliothèque et je lui mis ma main aux fesses.



Elle recula son fessier pour le plaquer contre moi.
Invitation reçue...
Sa posture devint plus langoureuse et son regard brillait d'une façon plus que coquine.




Laury me sauta dessus, et m'embrassa fougueusement.
Je déboutonnai son chemisier, libérant ses seins que je m'empressai de sucer.


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Je posai ma main sur sa chatte.
Je la caressai doucement, pinçant ses lèvres et son bouton, elle mordillait sa lèvre inférieur.




Elle déboutonna mon pantalon, sortit ma verge, et me poussa d'un coup contre le bureau.
Elle s'agenouilla et me suça avec désir, léchant mes couilles, ma verge, aspirant mon gland.
Je gémissais tant c'était bon, elle levait les yeux, me jetant un regard des plus coquins, tout en se caressant le sexe.




Nous fûmes interrompus pas du bruit dans la bibliothèque, on attendit de voir si une personne arrivait, mais elle nous n'entendîmes plus rien.

Laury se releva, s'appuya sur le bureau et introduisit mon sexe en elle.
Je ne fus pas surpris de la facilité avec laquelle son sexe avala le mien, elle avait l'habitude de baiser avec des amants, je ne devais pas être le plus gros sexe qu'elle ait vu, mais je sentais bien la chaleur de son intimité.

J'enfonçai ma bite au fond d'elle.


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Au bout d'un moment, je ne pus me retenir et je voulus me retirer pour jouir, mais elle me glissa à l'oreille :
- Remplis-moi, ne t'inquiète pas, mais jouis en moi !

Et je me lâchai, éjectant tout mon désir en elle en un dernier grand coup de bassin.
Nous fumes pris tous les deux de frissons.




C'est à ce moment que je découvris la main d'une personne avec un portable en train de filmer.

Je prévins Laury qui paniqua et se rhabilla en vitesse.
Si le voyeur était une voyeuse, je pourrais en faire mon affaire.
Mais j'en doutais fort.
Un mec nous regardait, l'air sournois.

Il nous montra son téléphone et dit :
- Alors, les obsédés, c'était bon hein?
- Qu'est-ce que tu veux, pervers? demandai-je d'un ton méfiant.
- Ta gueule, la vidéo me plaît, si tu ne veux pas que je la publie, ta salope doit s'occuper de moi.

Je me tournai vers Laury qui avait perdu son air paniqué et réfléchissait à la proposition.
Elle accepta.

Le mec abaissa directement son pantalon et sortit sa queue.
- Suce, salope !


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Laury s'abaissa et se mit à lécher la bite, massant les couilles, léchant le gland.
Le voyeur gémissait de plaisir, l'insultant de chienne, de salope, ce qui excitait Laury, sans doute à cause de l'envoûtement.
Moi-même, j'étais excité à nouveau et j'avais envie de chasser le mec pour baiser à nouveau Laury.

Le gars dit à la fille de se relever et de s'appuyer contre le bureau et il se positionna pour l'enfoncer.
Laury se laissa faire, cambra ses hanches pour qu'il s'enfonce d'avantage et il commença à la prendre rapidement, comme un chien.


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Je remarquai que, malgré ses coups, Laury ne prenait pas vraiment de plaisir, ce qui montrait bien combien il était un mauvais baiseur.

Elle me jeta un regard en coin et remua les lèvres sans parler :
- J'ai envie de toi.

Rien de mieux pour m'exciter encore.
- Putain tu es bonne sale chienne, une vrai pute, comme je la nique ta gonzesse.

Devant tant de vulgarité, j'eus du mal à ne pas rire de son cliché de voyou.
Il sortit sa queue et alla s'asseoir sur le fauteuil, pour que mon amie le chevauche.


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Laury y alla sans conviction, enfonça le sexe en elle et joua des hanches.
Elle gémissait un peu plus car elle prenait le contrôle.
Puis elle se pencha et murmura un truc à l'oreille du gars qui glissa un regard vers moi.
- Allez, je suis gentil, viens enculer ta copine.

J'étais ravi de la proposition, mon sexe se serrant dans mon caleçon.
Je sortis mon sexe, m'accroupis légèrement et enfonçai ma bite dans le cul accueillant de Laury, qui poussa un râle de plaisir.
- Oh oui, c'est nettement mieux, baisez moi comme une chienne !


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Je donnai le rythme et partis dans de puissantes et longues pénétrations, secouant les deux autres par leur force.
Le mec gémissait et se retenait de jouir, tandis que Laury y allait en couinant, avec des mots comme : défonce-moi, prends-moi, baise-moi, je ne suis qu'une salope.


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Au bout de 10 minutes, les jambes flageolantes, je poussai un dernier coup qui eut pour effet de nous faire jouir tous les trois.
Je m'extirpai de la petite blonde, qui engloutit ma bite pour la nettoyer.




Le mec se releva :
C'était trop bon, on recommencera, mais d'abord, fais comme ta copine, lèche moi la queue.
Je le regardai de travers, m'approchai de lui... et lui chopai les couilles d'une main, les écrasant de force.
Il gémit de douleur et se tordit au sol.
- Maintenant, tu me donnes ton téléphone et tu disparais de ma vue.

Je pris son téléphone dans sa poche, vérifiai qu'il ne l'avait pas envoyée et transmis la vidéo sur mon portable avant de briser le sien.

Avec Laury, nous repartîmes.
Quelques mètres plus loin, Laury me dit qu'elle allait repartir chez elle mais qu'elle me reverrait avec plaisir.

J'en salivais d'avance.
___________________________________________

Je repris mon chemin, m'amusant à regarder la vidéo du jeune con.
C'était bien filmé, on nous voyait bien baiser.


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J'avais une trique d'enfer et n'avais plus qu'une chose en tête : me taper une autre fille.

Je marchais de rue en rue, au gré du vent.
Il y avait beaucoup de jolies femmes.
L'une d'elles s'approchait vers moi à grands pas, l'air fâchée avec une personne au téléphone.
- Vas-y me casse pas les couilles, sinon je te défonce et tu vas morfler, petite pute à petite bite !


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Bien foutue, mais complètement vulgaire !
Pas grave, son langage vulgaire sera excitant.
J'attendis qu'elle me double pour me retourner d'un coup et lui plaquer les deux mains aux fesses.



Elle sursauta et inspira un grand coup, comme si je lui avais glissé un glaçon dans le cou.
Elle se retourna, me dévisagea et raccrocha.
- Sale con va ! Ça va pas de me mettre la main aux fesses. T'es ouf ou quoi ?

J'étais surpris et paniqué en pensant que mon coup n'avait pas marché.
- Putain, maintenant je mouille, alors tu vas devoir me niquer et on sera quitte !




C'était vraiment bizarre d'entendre ça, mais finalement fort excitant, une vraie chienne.
Elle m'agrippa le poignet et m'emmena dans un parking, dans un coin sombre.
Je la poussai contre le mur, ouvris ma braguette et sortis ma queue toute raide.
- Vas-y, suce !
- Tu crois que je suis ta chienne ou quoi ? T'as fumé ?




Je fis mine de remettre mon pantalon, mais elle m'agrippa, me tira vers elle et avala toute ma bite. C'était bon et elle maîtrisait bien.
Elle jouait avec le gland, aspirant plus que suçant.
Un vrai délice.
Elle se mit à me branler tout en me disant des mots salaces du genre : tu es trop bon, ta bite m'excite, je suis trempée.


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Elle reprit ma bite en bouche, mais j'appuyai sur sa tête pour m'enfoncer au fond dans sa gorge. Elle s'agita pour me faire sortir, mais je restai bien dans sa gorge, savourant ma domination, puis retirai ma verge, qui était recouverte de sa bave.
- T'es malade ? J'ai failli m'étouffer !

Je ne répondis pas, mais je lui claquai ma bite sur le visage, recommençant plusieurs fois, ce qui la fit taire et fermer les yeux.
Je la redressai en lui enjoignant :
- Allez salope, écarte les jambes que je te fasse du bien !

Elle ne dit rien mais se positionna contre le mur, bien cambrée, tremblante d'excitation, la chatte tout humide.
Je positionnai ma bite à l'entrée de sa chatte et m'introduisis en elle, la faisant gémir lentement.


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Lorsque je fus bien installé, je commençai mes vas et viens sous ses encouragements :
- Hum, c'est bon, tu es trop bon, je te sens bien en moi. Ta bite me fait du bien. Vas-y baise moi. Tu es meilleur que mon ex avec sa petite bite. Vas-y plus fort....oui plus vite...oui je suis ta chienne, saute-moi comme une chienne !

Je partis en trombe en elle, abandonnant toute retenue, je la besognais comme dans un film porno, lui arrachant cris, râles et couinements.
Elle montait dans les aigus, les yeux révulsés.
Je sentis que sa chatte se serrait et j'accélérai encore.





Un bruit dans mon dos me fit retourner la tête et je vis deux hommes qui nous regardaient, la queue à la main et qui jouissaient du spectacle.
Je leur fis signe d'approcher tout en baisant la jeune femme.

Je continuai ainsi 10 min pendant que les mecs regardaient et que la fille jouissait de façon répétitive, ses jambes recouvertes de cyprine.
Je finis par me vider en elle après un dernier grand coup de bassin qui la fit jouir en même temps.




Je sortis d'elle et fis signe aux gars de se servir.

L'un d'eux s'approcha, se plaqua derrière elle et commença à la sodomiser.
Elle reprit vite ses couinements, et l'autre homme vint mettre sa queue devant elle, pour lui mettre dans la chatte.

Ce rythme endiablé les fit très vite jouir tous les trois simultanément.



___________________________________________

Un phare de voiture nous éblouit et nous nous redressâmes tous les quatre.
Quand nous avons vu la voiture de police, ce fut la panique.

Les deux hommes et la femme se rhabillèrent et partirent en courant.
J'allais les suivre lorsque :
- On ne bouge plus !

Je stoppai net dans mon élan et levai les mains.
Je ne vis pas tout de suite les deux personnes s'approcher jusqu'à ce qu'ils soient en face de moi.

Le premier était un homme, le deuxième, ou plutôt la deuxième, était une femme.




Un plan me vint en tête pour m'en sortir, même si cela était fort risqué.

Ils me récitèrent mes chefs d'inculpation (il est interdit de faire l'amour dans un lieu public, tentative de fuite, etc...) et que j'allais être emmené au poste.
La femme s'approcha de moi, les menottes à la main, et je lui tendis mes mains.
Mais, au dernier mot, je fis un écart et mis une main sur le cul de la policière.



L'effet fut double : une lueur coquine s'alluma dans le regard de la femme et le flic me plaqua violemment au sol.
Il me menotta tandis que sa collègue me regardait avec un sourire en coin.
Elle demanda à son collègue de me retourner sur le dos et se pencha vers moi :
- Alors, monsieur le pervers, malgré l'autre fille que tu t'es tapée, tu as toujours envie ?

Sur ce, elle glissa sa main sur mon entrejambe, caressant affectueusement mon sexe qui se gonflait.
- Ludivine, qu'est-ce que tu fais ? Demanda son collègue abasourdi
- Je prends un peu de bon temps, ça fait un mois que je n'ai rien fait, trop de travail. J'ai des envies, comme tout le monde, et là, j'ai envie de faire l'amour.




Elle extirpa mon sexe, le branla un peu et le suça de haut en bas, le léchant sur toute sa longueur, tandis que je me laissais aller.

Elle glissa une de ses mains sous son pantalon pour se caresser, soupirant de plaisir, sous les yeux ébahis et envieux de son collègue.

Elle se redressa et s'approcha de son collègue, qu'elle caressa au travers de son pantalon, avant de défaire le bas et de gober la grosse verge du mec.




Il la laissa faire, caressant ses cheveux.
Je commençais à avoir froid et leur proposai de les laisser s'amuser pendant qu'ils m'oublieraient.

Ludivine se redressa :
- Pas tout de suite. Luc, relève-le et qu'il s'allonge sur la banquette arrière.

Intrigué, il fit ce qu'elle demanda et je m'allongeai sur la banquette, la bite bien droite.

Ludivine déboutonna son haut et fit sortir de gros seins bien lourds, pas ceux refaits des bimbos mais des gros seins naturels.
Elle suça ma bite, la plaça entre ses seins, puis me branla avec.
C'était doux et chaud et surtout très excitant.
Elle glissait des coups de langue sur le bout de mon gland.




Quand je fus bien dur au maximum, elle abaissa son pantalon, se glissa au-dessus de moi et me chevaucha, sa chatte trempée aspirant ma verge avec avidité.
- Luc, prends mon cul, j'ai envie d'une double.

L'homme ne se le fit pas répéter et introduisit son gros sexe dans Ludivine, qui haleta, son cul se faisant écarter.
Elle attendit quelques secondes, le temps que la douleur se calme puis commença à jouer du bassin.
- Oh purée c'est trop bon !




Elle accéléra le mouvement, demandant à Luc de la baiser plus fort par le cul.
La voiture vibrait sous nos ébats, c'était délicieusement bon, ses gros seins ballottaient en tous sens au-dessus de moi.
Elle se mordait la lèvre pour ne pas crier, ses ongles enfoncés dans mes épaules.
Elle se plaqua contre moi, son souffle chaud dans mon cou, son poids ajouté au mien me fit mal aux poignets.

Nous continuâmes ainsi une quinzaine de minutes, puis je me vidai en elle, de longs jets tapissant son sexe.




Elle se redressa :
- Luc, sors, on va continuer à deux !

Je fus libéré, le sexe vidé mais sans problème.
Luc me remercia même de cette chance et tout, en m'éloignant, je vis la voiture de police secouée et entendis même quelques râles.


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En m'éloignant du parking, je trouvai une autre voiture occupée par la jeune femme que j'avais abordée et l'autre inconnu, nus en train de dormir, le visage de la fille était recouvert de foutre.




J'étais exténué et endolori, je repris mon chemin, et restai tranquille chez moi.

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