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Couilles pleines

Lisa
5 juillet 2017
Couilles pleines


Quand j'avais lu son appel à l'aide, j'eus quand même du mal à croire qu'il avait pu rester sans se masturber durant trois semaines, donc depuis ma visite dans sa ville. Je n'eus pas vraiment pitié mais j'étais assez excitée par l'idée qu'il avait eu : qu'il puisse y avoir un voyeur qui puisse admirer sa fougue sexuelle. Simon accepta aussitôt de jouer ce rôle pourtant ingrat. Le rendez-vous fut pris et notre ami nous proposa de le rejoindre dans l'appartement de son copain, appartement dans lequel nous avions déjà longuement baisé lors de ma précédente visite. En arrivant au niveau de l'immeuble, je pus voir qu'il nous attendait sur le trottoir. Je baissai ma fenêtre et il me sourit :
- Salut ! Vous avez fait bonne route ?
- Excellente. On peut se garer où dans le coin ?
- De ce côté-ci, il y a peu de places... Il faut contourner les rails du tramway. Tu devrais en trouver de l'autre côté.
J'ouvris ma portière :
- Simon, tu nous rejoins ? C'est au deuxième étage, porte de droite.
Notre ami eut un sourire ravi quand je sortis de la voiture car ma jupe relevée un peu haut lui révéla mon entrejambe nu.


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Bien évidemment, comme la fois précédente, il me laissa passer devant lui pour profiter de la vue sur mon cul nu que ma petite jupe dissimulait si mal. Il rigola :
- Le voyage a dû être chaud...
- Qu'est-ce qui te fait penser ça ?
- Tu n'as pas de culotte. Simon devait bander. J'imagine que tu l'as sucé ?
- Non, en conduisant, ce ne serait pas prudent. Par contre, il a tenu à me caresser car il voulait que je sois bien mouillée dès que j'arrive...
- Je vois ça...


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Il avait les yeux fixés sous ma jupe et restais plusieurs marches sous moi pour en profiter. Je me cambrais pour que ce soit plus facile pour lui. Je lui demandai :
- Et toi, tu t'es caressé un peu en nous attendant ?
- Pas eu besoin de me caresser. Rien que de penser à toi, j'avais la gaule. Et là, avec ce que tu m'offres, je ne te raconte pas mon état !
- Fais voir ?
- Là, dans les escaliers ?
- Bah oui. On a bien baisé ici la dernière fois, non ?
Il se rangea aussitôt à cet argument percutant et sortit son incroyable érection.


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- Mince ! Quel engin ! J'en mouille d'avance...
- Je peux goûter ?
- Je t'en prie.
Je m'appuyai en avant sur les marches et je le sentis soulever ma jupe. Sa langue se mit à parcourir ma fente avec délice.


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Je gémissais déjà :
- Attends ! Je veux ta queue... Mais il faut d'abord que je te sorte ton premier sperme avant que l'on baise... C'est ce qui était convenu...
Mais il ne résista pas. Je sentis avec bonheur son sexe pénétrer ma moule trempée.


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Il me retira la jupe. Puis, il releva une cuisse pour me faire poser le pied quelques marches plus haut, m'obligeant à écarter mes cuisses pour me pénétrer plus profondément. Il tira sur mon décolleté pour dégager ma poitrine et me caresser les seins. C'était vraiment bon et j'étais à deux doigts de le laisser continuer jusqu'à ce qu'il me donne un orgasme et qu'il éjacule en moi. Mais je suis une femme d'honneur et je tenais à respecter ce qu'il avait été décidé, même si sa queue qui allait et venait en moi me faisait un bien fou.



Je tentai de me dégager mais il me tenait fermement aux hanches. Mon pied glissa et je me retrouvai en équilibre, maintenue par ses bras musclés. Il s'inquiéta :
- Est-ce que ça va ?
- Oui, mais je vais retirer mes chaussures.
Il me laissa poser un genou à terre pour retirer mes chaussures, admirant au passage la fente qu'il venait de visiter.


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Dès que j'eus retiré mes chaussures, j'en profitai pour lui échapper et l'attendre devant la porte. Il rigola et remit péniblement son sexe dans son pantalon :
- Petite coquine ! Tu es si pressée d'être dans l'appartement, que tu as oublié de remettre ta jupe et de rajuster ton décolleté...
- Comme ça tu ne débanderas pas !


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- Aucun risque. Sois en sûre !
La porte se referma. Il alla s'asseoir dans le canapé où il resta à m'admirer tandis que je laissais mes seins à l'air :
- Est-ce qu'on attend Simon pour commencer ?
- Il me semble qu'on a déjà un peu commencé sans lui, non ?


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- Bah, comme on dit : ça le fera venir !
- Ok.
Je retirai mon débardeur et, nue, m'approchai de lui :
- Tu peux peut-être te mettre dans la même tenue que moi, non ?


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Il me sourit :
- Pas bête...
Il commença par retirer sa chemise, puis il se redressa pour déboutonner son jeans et le faire glisser sur ses cuisses, exhibant sa sublime queue toujours tendue.


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J'étais toujours fascinée par cette queue très bien proportionnée. J'avais très envie de la voir se contracter et libérer le flot habituel de sperme. Je m'assis dans un fauteuil et lui dis de venir :
- Approche...


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Ses yeux brillèrent comme ceux d'un enfant découvrant les cadeaux de Noël au pied du sapin :
- J'espère que ton mec ne va pas tarder...
- Ce n'est pas bien grave s'il rate le début.
Je saisis le sexe tendu dès qu'il fut à portée de main et je le guidai dans ma bouche pour le sucer goulûment.


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Je le branlais et suçais avec tant d'ardeur que je le fis jouir plus vite que je ne m'y attendais. Au moment où il venait. Simon frappait à la porte. Il fut accueilli par le râle de mon amant :
- Ouiiiiiiii !
Quand il ouvrit la porte, le sperme était en train de jaillir et mon amant dirigeait ses giclées de sperme surtout sur mes seins.


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Simon rigola :
- Je vois que vous n'avez pas eu la patience d'attendre.
Notre hôte semblait embêté :
- Désolé Simon... Lisa est si excitante !
- Ne t'inquiète pas. Je compatis. En tout cas, tu l'as bien couverte ! Tu avais effectivement les couilles bien peines.
Entre deux coups de langues sur le gland, j'ajoutai :
- Et ce n'est pas terminé...


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Je me redressai :
- Si ça ne vous dérange pas messieurs, je vais me passer un peu d'eau sur les seins avant de passer à la suite.
Simon s'installa dans un fauteuil tandis que notre ami, toujours nu, lui servait un Cognac. Dans la salle de bain, je me lavai les seins au lavabo et en profitai pour reprendre un peu mon maquillage.


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J'étais si concentrée que je ne m'étais pas rendu compte qu'on ouvrait la porte. C'est en sentant une présence que je vis son reflet dans le miroir. Il s'agenouilla à côté de moi et me souleva une cuisse pour me poser le genou sur le lavabo :
- Quelle moule splendide !
Aussitôt son visage plongea entre mes cuisses et je sentis à nouveau sa langue me fouiller la fente.


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Je gémissais déjà mais je ne perdais pas de vue ce pourquoi nous étions là :
- Dis à Simon de venir. Il faut qu'il nous voie !
- Je lui ai dit mais il termine son verre.
Mon amant se redressa et remplaça sa langue par un appendice nettement plus conséquent et beaucoup plus agréable aux jeunes filles.


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Je criais de plaisir sous ses assauts et je savais que j'allais jouir sans tarder. J'appelai Simon :
- Simon ! Simon ! Ooooooh ! Simon !!!
Simon ne vint pas. Mais, tandis que l'orgasme me donnait des convulsions de plaisir, mon amant se mit à éjaculer à nouveau. Il se retira sitôt terminé, pour voir sa semence épaisse s'échapper de ma fente béante.



Sans pudeur, il retourna rejoindre Simon dans la pièce à côté. Pendant que je me nettoyais l'entrejambe, j'entendais leur conversation :
- Ton Cognac est excellent !
- Ta femme aussi...
Je les rejoignis :
- Dites donc ! Je ne suis pas un apéritif que l'on consomme, les gars !


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Notre ami était assis dans le canapé et bandait toujours comme un étalon. Il me rétorqua :
- Et pourtant, tu es bien appétissante !
- Chérie, puisque tu as décidé de répondre à sa demande, tu n'as pas le choix...
Ce n'était pas une question de choix car mon libre arbitre n'y pouvait rien : j'avais de toute façon très envie de sentir encore et encore cette incroyable tige en moi.


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Mais puisque Simon semblait croire que je n'étais pas très motivée, je m'amusai à jouer le jeu :
- Si je n'ai pas le choix, tant pis...
Mon amant n'était pas dupe et voyait bien à mes yeux brillants, rivés sur son sexe, que j'avais la ferme intention de me fourrer sa queue entre les cuisses. Je vins le rejoindre et saisis son sexe dressé pour le chevaucher.


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Je mouillais tant que je le guidais sans la moindre peine en moi. Aussitôt, je me mis à faire monter et descendre mon bassin sur le pieux qui me transperçait. Je gémissais et mon amant n'en menait pas large lui non plus. Je me tournai vers Simon :
- Oh mon chéri... Tu as vu comme il me baise ?!


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- Oui, c'est un bien bel amant, pour toi.
- Branle-toi en nous regardant, s'il te plaît...
Simon ne se fit pas prier et se débarrassa de ses vêtements. Il bandait déjà bien et ne commença aussitôt à se masturber.


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Mon bel étalon me tenait fermement aux hanches et me faisait monter et descendre sur son gros dard. C'était délicieux de le sentir me pénétrer ainsi. Il semblait fasciné par ma poitrine qui ballotait gentiment aux grés de mes mouvements. Je me cambrai pour me redresser un peu et lui mettre mes seins à hauteur du visage. Il se redressa aussi et se mit à me sucer les tétons.


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Cela sembla être un argument convaincant. Moins d'une minute après, alors qu'il me suçait encore les seins, je le sentis se contracter. Sa verge tendue en moi se mit à nouveau à gicler et je sentis plusieurs jets de semence chaude être propulsés en moi. Je me redressai un peu pour ne laisser que l'extrémité de son gland entre mes lèvres alors qu'il éjaculait encore. Le sperme s'écoula alors le long de sa queue.


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- Oh Simon, regarde ! Il m'a encore remplie de son foutre...
Je savais que ce spectacle ravirait Simon. Et cela ne rata pas. Il s'astiqua fébrilement et s'arrêta soudain alors que je me remmanchais sur la longue tige de notre hôte. Le sperme se mit à sortir lentement et s'écoula le long de son sexe tendu de manière régulière. C'était un spectacle fascinant.


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Je me relevai :
- Bravo, les gars ! Vous êtes tous les deux en grandes formes.
Je me penchai sur mon amant et lui léchai les couilles et la tige pour le nettoyer, faisant volontairement frotter mes seins contre ses cuisses.



- Ah Lisa ! Cette fois, je crois que tu m'as bien vidé...
- Bien sûr que non !
Je me relevai et je m'assis à côté de lui cuisses écartées :
- J'espère que tu vas pouvoir me donner un orgasme et encore un peu de ton délicieux nectar crémeux.


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- J'ai les couilles vides, Lisa...
- Je suis certaine que non. Je veux que tu m'en donnes encore. Et surtout je veux un orgasme !
Je me caressais la moule et laissai s'écouler encore le sperme de mon amant.


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Simon n'avait pas débandé et continuait à se masturber. Mon amant, lui, n'avait pas débandé non plus :
- C'est dingue ! Comment tu fais, Lisa ? J'ai encore envie de te baiser...
Simon rigola :
- Elle fait cet effet à tout le monde...
Je considérais le sexe toujours impressionnant de mon amant :
- En tout cas, je ne vais pas gâcher un si beau potentiel.


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Mon beau potentiel se leva et vint s'agenouiller entre mes cuisses ouvertes :
- Tu veux lécher ton sperme ?
- Non, juste apprécier des doigts cette jolie fente toute beurrée de ma semence.
Il m'inséra deux doigts dans la chatte et me masturba sous le regard ravi de Simon.


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Quand il se redressa, sexe dressé, il se mit les doigts sous le nez :
- C'est enivrant ces odeurs, ce mélange de nos deux jus.
- Fais-moi goûter.
Il me tendit les doigts pour que je les suce et, du même coup, enfonça sa queue tendue dans ma fente trempée


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Sa grosse queue allait et venait en moi. C'était incroyablement bon. Mes seins roulaient sur mon torse à chacun de ses assauts. Je gémissais :
- Oh, Simon regarde comme il me baise encore !
Je savais que cela excitait Simon mais également mon amant.


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Il accéléra la cadence. Je commençais à crier. Il me dit :
- Préviens-moi dès que tu sentiras que l'orgasme arrive...
Il semblait vouloir essayer de synchroniser nos plaisirs. Tournant la tête, je vis que Simon était lui aussi à fond sur sa branlette et qu'il allait peut-être réussir à jouir en même temps que nous.


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Tout cela m'excitait au plus haut point et je prévins mon amant de mon orgasme imminent !
- Ooooh, je vais jouir...
Il se retira alors soudain, me laissant dans un état de frustration tel que je m'apprêtais à l'engueuler. Mais il s'enfonça alors d'une traite dans mon petit trou, me faisant hurler de plaisir. Il se mit à me sodomiser de plus en plus tandis que l'orgasme me gagnait. Je sentis soudain un puissant jet de sperme venir me fouetter les entrailles.


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Il attrapa alors sa longue tige et en enserra la base. Il se retira de l'étroit fourreau et vint se positionner à côté de mon visage guidant son gland vers ma bouche que je gardais ouverte, prête à recevoir la suite :
- Tu avais raison ! Il en reste un paquet...
Il relâcha la pression et le sperme se mit à jaillir dans ma bouche, sur mon menton et dans mon cou.


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Il râlait comme un porc qu'on égorge :
- Rhaaaaa, Lisa ! Tout ça pour toi !
Alors qu'il terminait d'éjaculer et que mon orgasme me laissait reprendre mes esprits, j'entendis un second râle familier à côté de nous. Simon était lui aussi en train d'éjaculer. Je tournai la tête et pus voir plusieurs puissants jets de sperme gicler loin sur la moquette.


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Je regardai mon amant qui gardait son sexe tendu toujours au-dessus de ma bouche :
- Désolé pour la moquette...
- Pas grave. Je nettoierai et de toute façon, elle en a vue d'autre.
Je saisis le sexe qui ne semblait pas vouloir débander et commençai à le lécher pour le nettoyer.


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Je me redressai :
- Tu avais les couilles sacrément pleines !
- Et là tu me les as sérieusement vidées... C'est limite douloureux !
- Tu veux un petit massage ?
- Oh non. Je crois qu'elles ont surtout besoin de repos. Et toi, tu as besoin d'une bonne douche.
- Je crois que je vais juste me passer quelques mouchoirs sur le visage. Je prendrais ma douche en rentrant. Simon aime bien quand je sens le sperme : ça le fera bander sur le chemin du retour.


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- En tout cas, c'est sympa d'être venu me soulager.
- Quand je peux rendre service tout en me faisant plaisir, je suis toujours partante. Surtout pour une grosse queue aux couilles bien pleines.


Couilles pleines

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