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Evevincent
11 septembre 2017
Une vendeuse parfaite - 2


Cela faisait des jours que je n'arrêtais pas de penser à Myriam, la vendeuse du magasin de lingerie coquine.


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Son corps hantait mes pensées et notre aventure ne cessait d'habiter mes rêves.


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Je revoyais ses lèvres engloutir mon sexe, sa gorge demander mes coups de reins et ses yeux me supplier de ne pas arrêter.




Après cet épisode tumultueux j'étais reparti au travail.
La fin de journée s'était montrée improductive tant je pensais à elle, à son corps et à ses lèvres.


Le soir, j'avais rejoint Ève.




Sa douce fellation et la partie de jambe en l'air qui s'en suivirent ne gommèrent pas les souvenirs que j'avais de Myriam.


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Quoi qu'il advienne Myriam était toujours dans mes pensées.

Malgré l'intimité partagée, cette femme gardait une part de mystère qui m'attirait toujours autant.


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Je me suis toujours interdit de retourner dans son magasin à ma pause déjeuner.
La raison voulait que je reste fidèle et ce qui s'était passé ce jour-là devait rester dans le passé.

Mais son image restait inexorablement gravée dans ma mémoire.




Ève avait perçu un changement en moi.
Certes, nous faisions toujours l'amour à tout va, mais elle avait remarqué des absences en moi sans pour autant se douter que je pensais à Myriam quand elle me faisait une fellation.




Un jour, alors que je rentrais du travail, Ève m'embrassa tendrement et me dit :
- Regarde la publicité que j'ai reçue dans la boite aux lettres. Tu aimerais que je porte ça ? On pourrait aller voir vendredi tu as ton jours de RTT et la boutique est juste à côté, me demanda-t-elle.


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Quand je compris, je devins blême !
C'était le magasin de Myriam !
- Oui... c'est très... joli, répondis-je maladroitement.
- Tu n'as pas l'air très convaincu chéri ! Ce n'est pas grave je te montrerai là-bas que ça en vaut le coup ! Regarde, ce modèle est magnifique aussi !




J'étais tétanisé !
Ève voulait aller dans la boutique où j'avais sauvagement pris la vendeuse il y a de ça quelques jours.
Comment est-ce que ça allait se passer ?

Je pensais à Myriam, encore et toujours à elle.
Elle qui m'avait royalement sucé, elle qui avait avalé mon foutre, elle qui m'avait offert son petit cul...


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Je recommençai, malgré moi, à bander.
- Tu vois ! Ça te fait de l'effet ! me dit Ève avec un sourire malicieux.

Suite à ça, Ève m'avait fait une sensuelle fellation sur le fauteuil.


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C'était certes très agréable, mais ça ne valait pas les vas et viens endiablés de Myriam.


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La semaine passa et le stress ne fit qu'augmenter.
Jeudi soir, nous ne fîmes pas l'amour avec Ève car celle-ci voulait me réserver pour le lendemain.
Malgré le stress et la peur j'étais donc excité le vendredi matin.

De toute façon que pouvait-il bien se passer aujourd'hui ?
Myriam se comporterait en bonne vendeuse et tout irait comme sur des roulettes...!

Après avoir pris ma douche je m'habillai donc avec néanmoins une boule au ventre.

Vingt minutes plus tard Ève vint me rejoindre.
Elle était vêtue de talons aiguilles et d'une belle robe noire transparente et très courte, dévoilant à la fois le sillon de ses seins et la beauté de ses jambes.
On pouvait distinguer sous sa robe qu'elle ne portait ni soutien-gorge ni string.


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Cela ne lui ressemblait pas.
Elle voulait surement m'exciter et ça marchait.
Je sentais une érection naître dans mon pantalon.
Pour la première fois depuis des jours, je ne pensais qu'à Ève.
Comme quoi, elle aussi savait me faire oublier Myriam.


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Nous partîmes donc pour une séance shopping qui s'annonçait à la fois terrifiante et excitante.

Je ne pouvais m'empêcher de sentir mon sexe grossir dans mon pantalon.

Nous marchâmes quelques minutes avant de nous retrouver devant le magasin.
Je marquai un arrêt, mon cœur battait la chamade.
Je n'étais pas revenu ici depuis mon aventure avec Myriam.
- Ça va mon amour ? Quelque chose te tracasse ? me demanda Ève, tout sourire.
- Non... non ne t'inquiète pas ! Entrons ! répondis-je sèchement et rapidement ; je ne tenais pas attirer les regards sur Ève dans sa tenue affriolante.


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Ève poussa la porte, la clochette retentit et je lui emboîtai le pas.
La voix de Myriam résonna dans le magasin.
- Bonjour Madame, dit-elle d'un air jovial à Ève.

Myriam posa ses yeux sur moi et sembla se raidir.
Après quelques instants de flottement où mon cœur sembla s'arrêter elle continua :
- Bonjour Monsieur !

Elle était encore plus belle que dans mes souvenirs.
Mon cœur battait la chamade, j'avais envie de l'embrasser.
Malgré l'air surpris qui se lisait au premier regard sur son visage, Myriam gardait son calme.


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Ève ne pouvait se douter de rien.
- Bonjour Madame, répondis Ève, un sourire aux lèvres.

Myriam délaissa son comptoir.
Elle portait cette fois-ci des talons aiguilles, un décolleté très plongeant et une minijupe qui me donnait des envies toutes particulières.

Non Vincent !
Cette fois-ci tu ne peux pas !
Ève est là et elle n'apprécierait pas, même de te prendre en train de mater les belles jambes de la dame !
- Comment puis-je vous aider Madame ? demanda Myriam à Ève.


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Je restais presque immobile, Ève était déjà perdue dans les sous-vêtements et Myriam ne cessait de me dévorer du regard.
Je lui esquissai un sourire auquel elle me répondit.


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- Pour l'instant je ne fais que regarder. Merci, répondit Ève avec légèreté.

Myriam se tenait à coté d'Ève qui se cambrait de plus en plus à mesure qu'elle regardait les sous-vêtements.
La jupe d'Ève se leva.
Myriam, qui ne lâchait quasiment pas mon regard, regarda discrètement sous la jupe d'Ève et me lança un sourire.




J'étais gêné et j'avais envie de Myriam... et d'Ève.
Je fis un petit tour rapide dans la boutique.
Je revoyais le canapé et le bureau contre lequel j'avais pris Myriam quelques jours auparavant et cela me donnait des envies.


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Ève continuait de regarder avec Myriam à ses côtés qui me regardait constamment quand j'entendis ma compagne dire :
- Cet ensemble est très sexy, qu'en pensez-vous ?

Myriam se retourna vers moi et, sans me lâcher du regard, dit :
- C'est un très bon choix ! Je suis quasiment sûre qu'il plaira à votre homme !
- Très bien ! Je vais donc l'essayer !


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Myriam me dévorait du regard.
Qu'allait-il se passer ?
Elle indiqua la cabine d'essayage à Ève qui, toute joviale, s'y rendit en me lançant un regard séduisant.
Qu'elle était belle !


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A peine la porte de la cabine fermée, Myriam s'avança vers moi, me serra contre elle, m'embrassa fougueusement.




Sans que je n'ai eu le temps de dire mot elle s'agenouilla sur le bureau, défit mon pantalon, baissa mon caleçon et avala avidement mon sexe.


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J'étais paniqué !
Ma compagne essayait des sous-vêtements sexy dans la cabine et mon amante me suçait juste à côté !
Si Ève l'apprenait je serais un homme mort !

Sans pour autant l'arrêter, je chuchotai à Myriam :
- On ne peut pas faire ça ! Pas ici, pas avec Ève qui se change juste à côté !

Je ne lui demandai pour autant pas d'arrêter.
Je ne pouvais pas !
C'était si bon et j'en rêvais depuis si longtemps.
J'étais vraiment paralysé !


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Myriam me suçait comme une chienne affamée.
Elle ne quittait pas mon regard une seule seconde.
Elle enfonçait mon pieux, pourtant énorme, au fond de sa gorge.
Elle me masturbait intensément et n'arrêtait pas ses vas et viens.
Que pouvais-je faire ?


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Le loquet de la cabine s'ouvrit.
Mon cœur avait arrêté de battre.
Ève ouvrit la porte.
Elle était très sexy dans cette lingerie.


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J'étais pétrifié !
Mon regard était tourné vers elle tandis que Myriam n'avait pas ralenti la cadence et dévorait ma queue avec faim.
Je me sentais honteux de faire ça à Ève.

Elle resta là quelques instants à me fixer pendant que la vendeuse, qu'elle ne connaissait que depuis quelques minutes, engloutissait avidement ma bite dans sa gorge.




Puis Ève m'adressa un sourire franc.
- Je ne me suis absentée que quelques minutes et voilà que je tombe sur mon homme en train de se faire pomper par la vendeuse ! dit-elle en s'approchant.


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Malgré la situation et le stress que je ressentais, je ne pouvais m'empêcher de reluquer Ève qui, d'habitude si sage, avait l'air d'une véritable chienne dans cet accoutrement.
Je pouvais voir, à travers son soutien-gorge transparent, ses seins pointer.
- Madame voudrai-elle partager avec moi la queue de mon compagnon ? demanda-t-elle à Myriam.


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Cette dernière ôte mon sexe de sa bouche et le lui tendit. Ève, en femme fatale, s'agenouilla aux côtés de Myriam.
Je n'en revenais pas !
J'avais devant moi les deux femmes de ma vie prêtes à me pomper comme des chiennes.


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Le tableau était magnifique.
Ève saisit mon sexe tandis que Myriam la regardait avec envie.
Comme pour montrer ses capacités, Ève avala entièrement et d'une traite ma queue au fond de sa gorge.
Je ne la reconnaissais pas.
Je la pensais possessive mais voilà qu'elle désirait me partager avec une vendeuse.


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Ève me regardait dans les yeux tout en dévorant ma queue.
Myriam se leva et fit glisser sa mini-jupe et son haut à terre, puis s'agenouilla à nouveau.
Ève relâcha ma queue et les deux femmes commencèrent à me lécher et à me suçoter le gland.


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Myriam finit par le prendre entre ses lèvres pour me procurer une fellation endiablée.
Les deux femmes me regardaient droit dans les yeux.

Je n'en revenais pas de voir ma Ève partager ma queue avec une inconnue.
Son regard et son avidité me rappelaient Myriam et j'adorais ça.
Pendant que l'une empalait sa bouche sur mon pieu, l'autre me suçait les bourses.


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Puis je vis la langue d'Ève, qui me pompait profondément, se mêler à celle de Myriam et faire des mouvements.
- Alors comme ça, tu aimes jouer les gouines, ma salope ? lui lançai-je.

Je n'avais jamais parlé comme ça à Ève !
J'avais toujours fait preuve d'un grand respect envers elle et, pendant un instant, je regrettai mes paroles.
Mais Ève, queue en bouche, acquiesça en poussant un râle.




L'image était saisissante mais je ne pouvais plus me retenir et je prévins Ève :
- Tu devrais faire attention ma belle ! J'ai très envie d'éjaculer !

Mais au lieu de s'arrêter, Ève me suça de plus belle.
J'étais interloqué par tant de détermination.
Elle accéléra, me suçant de plus belle, et je ne pus me retenir.


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Dans un râle de plaisir je lâchai cinq grosses giclées de sperme chaud dans sa bouche.
Ève recueillit tout le nectar entre ses lèvres avec passion.
Elle suça ma queue puis se tourna vers Myriam à qui elle roula une pelle pour partager ma semence puis les deux me regardèrent la bouche ouverte et pleine, et avalèrent simultanément.


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Je devais être dans un rêve!
Non seulement deux superbes femmes avalaient goulûment mon foutre, mais je n'avais jamais soupçonné Ève de le faire un jour avec tant d'envie.
- Tu as aimé ça mon amour ? lui demandai-je.
- J'ai adoré ! Et je pense que je ne suis pas la seule !




Myriam acquiesça de la tête avec un sourire.
- Très bien, répondis-je la queue encore dressée. Toi à quatre pattes, ordonnai-je à Ève. Et toi allongée sur le dos, dis-je à Myriam.


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Au lieu de ça, elle se jeta sur mon sexe érigé et l'engloutit de toute sa longueur après avoir exprimé sa joie :
- Vincent, laisse-moi encore goûter à ta queue, elle est impressionnante tellement elle est droite et érigée !


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Ève ne resta pas à l'écart et tint à montrer à Myriam une façon plus douce de s'en occuper.




J'avais envie de savoir dans quel état d'excitation se trouvait ma compagne.
Je me libérai donc doucement de sa bouche pour me glisser entre ses jambes.
Je n'avais pas l'impression de lécher ma compagne, sage et retenue, mais une chienne qui en demandait toujours plus.


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Myriam s'installa un peu à l'écart pour jouer les voyeuses.
Elle adorait cela.
Surtout que, sans aucun tabou, elle se mit à se caresser, atteignant orgasmes sur orgasmes.


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Lentement, je décidai de remonter la fente d'Ève jusqu'à son petit trou.
Je ne sentis aucune réticence.
Des râles de plaisir ne cessaient de s'échapper de sa bouche, si bien qu'elle finit par jouir.

Je récupérai le nectar de ma compagne et l'avalai avec délice.


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- Tu veux la sentir dans ta chatte ma belle ? demandai-je à Ève.
- Oui mon amour ! J'en meure d'envie !!

Ève, offerte, n'eut pas à changer de position.
Je me redressai et glissai ma queue à l'entrée de son vagin inondé par l'excitation.


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Je la regardai un instant et je la pénétrai sans aucune difficulté.
Elle hurla de plaisir.


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Rien ne pouvait me ravir autant.
Je commençai de lents et doux allers retours dans la chatte d'Ève.
Elle hurla de plaisir, s'agrippant au fauteuil pour ne pas succomber.


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Tout était comme dans un rêve.
Et la clochette retentit...

Un jeune homme entra dans la boutique.

Au premier abord, il ne sembla pas comprendre ce qui se tramait à l'intérieur du magasin.
Puis il sembla discerner les formes et ce qu'elles faisaient.

Le jeune homme était paralysé.
Il voyait dans la boutique une femme belle et charmante sur un canapé se faire baiser par un homme et une femme nue et somptueuse en train de se masturber.


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Je m'arrêtai.
Ève et Myriam savaient que nous avions été pris la main dans le sac mais l'une continuait de ramener son bassin vers moi pour que je la pénètre plus profondément et l'autre se mit à lécher la première avidement.


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- Bon...bonjour, balbutia le jeune homme. Je suis désolé, je ne savais pas que le magasin était fermé. Je repasserai plus tard.

Le jeune homme tourna les talons et alla partir lorsqu'Ève se dégagea de mon sexe, se leva et lança de façon très sensuelle :
- Non le magasin n'est pas fermé jeune homme. Je vous en prie, entrez.


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Je ne savais pas ce qu'elle avait derrière la tête et je n'appréciais pas trop d'être interrompu dans le feu de l'action.

Myriam était encore allongée et envieuse et je décidai de fourrer ma queue dans sa bouche le temps que la situation se débloque.
Elle était entre mes jambes et me suçait désormais comme si nous étions seuls et qu'aucun client ne venait d'entrer.


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Alors qu'elle pompait mon dard, je regardais ma Ève s'avancer vers le jeune homme.

Elle avait une allure à la fois sensuelle et provocante, ce qui ne lui ressemblait pas.
D'habitude elle était beaucoup plus réservée...


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- J'espère que nous ne vous dérangeons pas ! Que cherchez-vous? dit Ève d'un ton sensuel.
- Non vous ne me dérangez pas Madame, je suis désolé de vous importuner, vous sembliez... prendre plaisir avant que je ne trouble l'ambiance... J'étais venu chercher un cadeau à ma copine mais si vous le souhaitez je peux revenir plus tard, dit poliment le jeune homme.
- Et si je ne le souhaite pas ? répondit d'un air tout aussi suave ma douce Ève.


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- Je... je ne sais pas Madame, balbutia le jeune homme.
- Mon homme est en train de se faire sucer par la vendeuse du magasin là-bas, souhaitez-vous que je m'occupe de vous en attendant ? demanda-t-elle d'un air joueur.


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- Je ne sais pas Madame...c'est que vous êtes très charmante mais...

Ève ne laissa pas au jeune homme le temps de finir sa phrase.
Elle ferma la porte de la boutique et pris sa main pour l'entrainer à l'intérieur de la boutique.
Les deux arrivèrent juste devant moi.


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Myriam ne semblait pas se lasser de mon sexe.
Je déposai ma main entre ses jambes et la doigtai tout en continuant de regarder ma Ève.


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Le jeune homme regardait vers nous.
Je ne me sentais plus du tout gêné par son regard.
Je pense qu'il n'avait jamais vu une femme sucer aussi avidement un homme.
Une grosse bosse déformait son pantalon.




Le jeu d'Ève me dérangea quelque peu.

- Vous aimez ce que vous voyez ? demanda-t-elle au jeune homme.
- C'est que... je n'ai jamais vu une femme prendre autant de plaisir à sucer... même pas ma copine, répondis le jeune homme un peu hagard.
- Et si je te disais... commença Ève en se rapprochant dangereusement du jeune homme, que j'ai envie de prendre autant de plaisir à pomper ta queue mon bel étalon ? Et que je ne veux pas que ton gros engin... dans ma bouche ? rajouta-elle en passant sa main sur le pantalon de l'homme en le fixant dans les yeux.


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Mon cœur s'arrêta un instant.
Ma Ève venait de proposer à ce jeune inconnu de lui faire une fellation ?
Et encore plus ?
Décidément je ne la reconnaissais plus !
Mais en regardant Myriam me sucer comme une chienne je ne pus émettre la moindre contestation.


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Quant à lui, le jeune homme, il semblait pétrifié.
- C'est que... j'ai une copine vous voyez ? répondis le jeune homme pas sûr de lui.
- Crois-moi je vais te faire oublier ta tendre amie, rajouta Ève.

Sur ces mots, Ève s'agenouilla à quelques centimètres de moi devant l'homme.
Sensuellement elle défit son pantalon, le baissa et découvrit un sexe de bonne taille.
Elle saisit le sexe, me regarda, me sourit puis revint vers le pieu et sans que je ne puisse dire mot, le plongea dans sa bouche.


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Une fois de plus, mon cœur battait la chamade.
Je sentais Myriam me sucer et je voyais ma douce Ève avaler goulûment la queue d'un inconnu.
L'homme semblait gêné mais son érection se manifestait fièrement sous les coups de langue avides d'Ève.


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J'étais jaloux, mais de la voir sucer ce jeune homme, m'excitait énormément.
Le jeune homme semblait de plus en plus apprécier la fellation de ma douce et tendre et je savais qu'il ne pensait déjà plus à sa propre copine.

Une femme rencontrée quelques instants auparavant prenait un intense plaisir à le sucer langoureusement.


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Je voyais la tête d'Ève monter et descendre au plus profond.
Je savais qu'elle engloutissait le dard de cet homme au plus profond de sa gorge.


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J'invitai alors Myriam à se mettre à quatre pattes derrière Ève.
Elle se mit derrière Ève et commença à lécher son entrejambe.
Cette dernière lâchait des râles de plaisirs étouffés par le sexe du jeune homme et poussait ses fesses contre Myriam pour quémander ses coups de langue.


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Quant à moi je me mis derrière Myriam et m'occupai de son petit trou.
Mon engin lui procurait beaucoup de plaisir.


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Tout cela semblait exciter le jeune homme dont le corps se crispa.
Ève continuai ses allers retours endiablés sur la queue de cette homme et je savais qu'elle était en train de recueillir et d'avaler son doux nectar.


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Ève lâcha son emprise sur le jeune homme et en profita pour reprendre sa respiration.
- Tu aimes la sodomie bel étalon ? lui demanda-t-elle en se faisant toujours bouffer le cul par Myriam.


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- Je n'ai jamais essayé Madame, répondis l'homme un peu hagard.
- Très bien, rajouta-t-elle en suçant une dernière fois son sexe.

Ève se leva et se plaça au-dessus de son sexe.

Elle me regardait souriante, sodomiser énergiquement Myriam qui râlait de plaisir sous les coups de mon engin.


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Elle saisit la queue de l'homme et l'enfonça progressivement dans son anus.


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Ses grimaces en disaient long sur le plaisir qu'elle prenait.
Quand elle fut complètement assise sur ce pieu elle commença à faire de lents allers retours.
Elle ne me quittait pas du regard et j'adorais ça.


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L'homme semblait prendre un maximum de plaisir.
Ses mains saisissaient les seins d'Ève qui prenait son pied.


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L'après-midi fut long et sensuel.
Le jeune homme apprit à connaitre par cœur le petit cul de ma douce et tendre et moi j'appris que je vivais avec une vraie chienne.
L'homme avait à plusieurs reprises joui en Ève et celle-ci avait joui pas mal de fois, toujours en me regardant.


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J'avais adoré la voir se faire prendre par un autre et elle avait adoré me voir prendre Myriam.
Cette dernière aussi avait pris son pied cet après-midi-là.


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Malgré les multiples orgasmes qui l'avaient frappée, elle me suppliait toujours de continuer.


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J'avais éjaculé dans son petit cul, dans sa bouche et sur son visage.


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Je me sentais vidé de toute force mais à chaque fois elle savait me redonner du cœur à l'ouvrage.

Finalement, notre aventure prit fin alors que le soleil de couchait.
Le jeune homme nous quitta et nous remercia, Ève et moi, pour ce moment partagé.

Ève s'adressa à la vendeuse.
- Je vais vous prendre cet ensemble, il semblerait qu'il porte bonheur, dit-elle avec un sourire.




Nous ne pûmes nous empêcher de rire tous les trois.

J'étais avec ces deux magnifiques femmes pour lesquelles je ressentais des sentiments différents mais forts et je savais que désormais ma vie ne serait plus un long fleuve tranquille.
Pour preuve, Ève se glissa derrière Myriam et lui murmura à l'oreille, tout en caressant ses seins :
- Hmmm... ta bouche sent le sperme de mon Vincent... je peux en profiter ?




En se dirigeant vers la sortie, Ève lança :
- Nous devrions nous revoir très bientôt, belle vendeuse !

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