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Séverine - 1 >>> Episode suivant

Legul
11 septembre 2017
Je m'appelle Séverine. J'étais une mère et une femme modèle, avec une carrière au top ; je suis devenue une véritable salope.

Cette histoire débute il y a quelques mois, lors de l'anniversaire de mon fils.

Les présentations, d'abord : j'ai 45 ans, mère de trois enfants qui, à l'époque, avaient 18 ans (pour mon fils ainé) et 16 ans pour mes jumeaux, un garçon et une fille. J'étais cadre dans une grosse entreprise et mariée à un homme lui-même bien placé dans son entreprise. Je pense être une femme plutôt belle : 1m70, brune, mince mais pas maigre, de beaux gros seins (95C) et de belles fesses, fermes et rebondies (je fais du cheval). Il paraît que j'ai un visage joli mais fermé et un regard un peu sec, on me considère d'ailleurs comme une coincée à mon travail alors qu'en réalité, j'aime le sexe. Sur ce point, malheureusement, mon mari n'est plus aussi svelte qu'autrefois et son gabarit pèse de plus en plus sur ses performances. Nous avons donc encore quelques rapports, les rares fois où il trouve le temps de s'occuper de moi, mais hélas sans grand plaisir. J'ai donc pris l'habitude de me satisfaire moi-même.



Voilà pour les présentations.

Mon histoire s'est donc déroulée lors de l'anniversaire de mon grand fils qu'il a voulu organiser à la maison avec ses copains. Aucune fille dans la bande, juste une dizaine de gaillards du club de foot et du lycée... C'était un samedi soir, mon mari était encore en déplacement, mes autres enfants en weekend chez leurs cousins. Hugo, mon fils ainé, comptait bien avoir la maison pour lui tout seul mais je tenais à être là pour surveiller tous ces ados.

Alors qu'il préparait sa soirée, il me dit :

- Tu vas pas rester à nous surveiller toute la soirée ! C'est bon, je peux gérer.
- D'abord, c'est ma maison et si je veux rester, je reste. Ensuite, sache que je te fais confiance... C'est plutôt de tes copains que je me méfie !
- Et tu vas faire quoi ? Attendre dans la cuisine toute seule ?
- Je pourrais aussi discuter avec tes copains et vous servir... Etre sympa, quoi...
- Nous servir ? Et tu vas t'habiller en serveuse ? Arrête maman, s'il te plaît...
- Tiens c'est une bonne idée, ça ! Je pourrais même me prendre une tenue de soubrette sexy !
- Hein, mais t'es malade ?!? Tu vas pas te promener habillée comme une... pute !


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A ces mots, je lui mets une gifle (son 1m90 ne m'a jamais impressionné) et lui hurle que sitôt son anniversaire passé, il sera puni et son père averti ! Je repars, furieuse, dans la cuisine en me disant que ce petit con avait besoin d'une leçon et qu'avant d'être une mère, je suis aussi une femme.


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20h, l'anniversaire se déroule bien et mon fils, Hugo, essaie de profiter de sa soirée. Pour ma part, j'ai décidé de jouer la provocatrice dès le début de la soirée pour énerver mon fils et me faire plaisir. J'ai donc commencé à me promener simplement vêtue d'une petite serviette en faisant croire aux invités que je sortais de la douche. Ils me regardaient tous me balader à demi-nue, faisant semblant d'échapper des pans du linge qui me couvrait à peine et je suis immédiatement devenue l'attraction de la maison.



Puis, devant la gêne et la colère évidente d'Hugo, et ne trouvant plus de prétexte pour me balader devant les garçons, je décide enfin de m'habiller et j'enfile donc un jean bien moulant et un haut blanc bien décolleté.

Mais loin de vouloir les laisser tranquille, je déambule entre les garçons pour leur demander s'ils n'avaient besoin de rien. Je me penchais vers l'un qui jouait à la console, lui offrant mon décolleté, pendant qu'un autre pouvait regarder mes fesses à sa guise. Ce petit manège dura un moment et à chaque fois que je faisais mon entrée dans le salon, tous les regards étaient braqué moi, ou plutôt sur mes seins et mon cul ! Je ne suis pas spécialement une allumeuse en temps normal, mais j'étais contente de mon effet car Hugo s'énervait de ce petit jeu alors que ses potes semblaient adorer!



Moi-même je me sentais un peu excitée et commençait sérieusement à avoir chaud, d'autant que j'avais autorisé la bière pour l'occasion. Les canettes défilaient à une vitesse impressionnante, pour moi comme pour les jeunes.

Au moment de l'ouverture des cadeaux, vers 22h00, et alors que je m'étais faite discrète depuis un moment, je décide de mettre la suite de mon plan à exécution.

Je finis d'une traite ma bière, je me place debout devant les garçons alors en train de regarder mon fils découvrir ses cadeaux (des fringues à la mode, un jeu de console hors de prix et une tonne de conneries d'ados, genre phallomètre, faux martinet, magazines de cul, etc) et mets un CD dans la chaîne hi-fi.

Tout le monde reconnaît immédiatement la chanson de Joe Cockers dans 9 semaines et demie et je commence à bouger au rythme de la musique. Les garçons se regardent et se demandent ce qui se passe alors que j'ondule des hanches et remonte mon haut pour révéler mon nombril.


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- J'ai une petite surprise pour vous, les garçons, dis-je avec une voix de « salope » comme m'a dit Hugo. J'espère que ça va vous plaire !
- Qu'est-ce que tu fous ?!?! s'exclame alors mon fils.
- Je fais un cadeau à tes copains... Tu peux rester ou bien sortir. A toi de voir ! lui répondis-je tout en me trémoussant.

Je le vois se contenir et rester un peu à l'écart du groupe, mais sans sortir de la pièce. Je continue à danser, me retourne, me palpe les fesses en jouant avant le haut de mon jean que je baisse légèrement pour faire apparaître la dentelle de mon boxer.



Je regarde à nouveau cette belle brochette d'ados, me masse le ventre, remonte encore mon haut puis passe mes mains sur mes gros seins en les palpant généreusement. Les gars sont médusés et les commentaires à voix basse vont bon train. Ils sourient, restent bouche bée mais personne n'ose s'adresser à moi, de peur que j'arrête tout. Mon strip-tease les captive et j'adore ça !


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Je continue à jouer avec mon haut, le monte de plus en plus, révélant progressivement mon beau soutien-gorge noir. Celui-ci est « push-up » et me fait donc une poitrine des plus sexy. J'enlève complètement mon chemisier, le jette au garçon devant moi avec un regard incendiaire et me penche en avant en malaxant mes seins.

Son visage n'est alors qu'à quelques centimètre de ma poitrine et je continue de me peloter les seins en le voyant rougir comme une pivoine. Ses copains à coté se rapprochent également et j'ai donc plusieurs ados frôlant la peau de ma poitrine.


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Je me redresse et commence maintenant à jouer avec mon jean, toujours en rythme. Je le déboutonne, baisse le zip, puis commence à le descendre progressivement. Mon shorty noir apparait alors petit à petit. Je me retourne pour leur présenter mon beau cul et joue un peu avec leur nerf en ne révélant que très doucement mes fesses.


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Ayant libéré une bonne partie de mon cul, je fais une longue pause durant laquelle je fais mine d'hésiter puis baisse d'un coup le pantalon en tendant les fesses le plus possible. Tout le monde à présent à les yeux rivés sur mes longues jambes et mon cul, mis en valeur le boxer qui me rentre dans la raie.

Je lève une jambe pour la dégager du pantalon puis la repose à coté, écartant ainsi une cuisse. Même geste de l'autre jambe et je me retrouve cul tendu, cuisses écartée devant 10 ados qui commencent sérieusement à s'échauffer.


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Moi-même à ce stade, j'avoue être totalement trempée et n'est qu'une envie, c'est de me doigter jusqu'à l'orgasme devant ces jeunes mâles. J'imagine mon sexe ouvert et dégoulinant de mouille face à ces ados qui ne pensent qu'à une chose : m'arracher mon boxer et me baiser !

Je me retourne, leur fait face en soutien-gorge et boxer et leur demande s'ils en veulent encore. Tous s'exclament que oui tandis que mon fils, manifestement en colère mais toujours dans la pièce à regarder, leur demande de se calmer car le spectacle est terminé.

Cette phrase jette un froid dans le « public » et tous me regardent et attendent ma réaction.

Avec un regard provocateur lancé à Hugo, je décide de continuer mon show à la grande joie de ces copains.


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Je me saisi alors d'une petite surprise que j'avais glissé dans une poche de mon jean avant mon entrée en scène : des bas ! Je m'assois donc sur le bord d'un fauteuil juste en face des garçons et enfile mes bas comme une pro. Je lève mes jambes pour tendre le tissu, écarte les cuisses pour ajuster la dentelle, le tout en poussant des petits soupirs d'excitation qui les rendent fou !


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Puis, je me mets à quatre pattes au pied du fauteuil pour tendre mes fesses en direction des garçons hystériques. Je me caresse délicatement le ventre et les fesses. Mes doigts effleurent ensuite mon sexe au travers du tissu ce qui me fait trembler de plaisir.



Leur faisant dos, je caresse mes seins en insistant sur mes tétons qui pointent. En trance, j'en dénude un pour le titiller, sans que les garçons ne le voient.


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Je me remets debout et viens m'assoir sur le rebord du canapé, à côté d'un des copains d'Hugo, apparemment heureux de cet honneur que je lui réserve. Je fais alors glisser une bretelle de mon soutien-gorge sur mon bras puis l'autre glisse à son tour alors que le gamin à les yeux rivés sur mes seins.




Je pose ensuite mes doigts sur mon sexe et commence à me caresser au travers du tissu. Ma main glisse aussi dans mon boxer mais je fais attention à ne pas dévoiler la moindre parcelle d'intimité à cet endroit, cultivant ainsi le désir des mecs à mes côtés.


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Uniquement guidée par l'excitation générale, je me relève, me remets face à l'assemblée puis je place les mains sur mes seins, approche mes doigts de l'attache située devant, la décroche et commence à jouer avec les 2 parties du soutien-gorge, mais sans révéler mes tétons.


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Les regards se font avides et impatients et je remarque que certains garçons se touchent maintenant le sexe au travers de leur pantalon, plus ou moins discrètement. Je me rends alors compte que tous doivent bander comme des malades et que 10 sexes durs me font face.

Cette pensée m'excite au plus haut point autant qu'elle m'effraie et je me demande maintenant s'il n'est pas tant de tout arrêter, avant que ça dégénère. L'excitation me pousse pourtant à continuer un peu. Juste un peu... Je redemande alors :

- Vous voulez vraiment voir mes seins ??
- Ouiii, carrément !! S'exclament-ils tous
- Vous pensez vraiment que je vais vous montrer mes gros seins et mes tétons qui pointent, les mecs ??
- Allez, s'il vous plaît ! Vous êtes trop belle !
- Bon, d'accord...

J'ouvre alors d'un geste rapide mon soutien-gorge, puis je le lance à un des ados devant moi et leur expose fièrement mes beaux et gros seins.



Ils sont fermes, bien ronds, lourds mais pas tombant et évidemment naturels. Je les masse, les soulève, les écarte puis les resserre, titille mes tétons très dur. Les gars n'en peuvent plus, gesticulent et se touchent le sexe de moins en moins discrètement. Hugo semble avoir oublié sa colère et, loin de détourner le regard, a les yeux rivés sur mes seins ! La bouche mi ouverte, il me dévore de la tête au pied.

Moi, mère de famille modèle, cadre dynamique, femme mariée, croyante et respectueuse de certaines valeurs me retrouve en boxer seins nu devant mon fils et ses copains. Et le pire c'est que j'aime ça !

Je suis dans un état d'excitation inédit pour moi, et si je n'avais pas eu de culotte, ma mouille coulerait le long de ma cuisse. Mon fils, très en colère au début, me regarde maintenant avec intensité et nous échangeons régulièrement des sourires complices. Il semble excité par la vision de sa mère à demi-nue.

C'est après tout un ados plein d'hormones qui, je suppose, fantasme aussi sur les mères de ses copains, les MILF comme disent les jeunes !

Revenons à mon strip-tease. Dans ma tête, je pense maîtriser totalement la situation et me dit que la chose n'aura pas de conséquence. J'ai donc envie de pousser un peu plus loin le strip et commence à jouer avec mon boxer tout en me trémoussant de la manière la plus sexy possible, tordant du cul, me penchant vers un garçon puis vers un autre.


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Les garçons sont chauds comme de la braise mais ils commencent vraiment à devenir hystériques au moment où de décide de m'allonger par terre, sur le ventre et leva ma croupe cuisses écartés pour leur tendre mon cul et ma chatte qui, même couverte, se devine sans mal derrière le tissu trempé.


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Je passe la main dans mon shorty et tire sur le tissu pour le faire bien rentrer dans mes fesses, masquant alors à peine ma chatte et mon anus. Sur les côtés, des parcelles de peau très intimes apparaissaient et il suffirait alors que je tire le tissu d'un centimètre sur le côté pour exposer mon sexe aux garçons.

Dans un état d'excitation inédit à ce jour, je n'ai pas la moindre envie de me redresser : je veux rester le cul ainsi tendu le plus longtemps possible. Était-ce inconsciemment pour qu'un des jeunes se lève et m'arrache mon boxer pour me baiser ? Toujours est-il que je cède à l'envie de me caresser. Je passe un doigt sur mon sexe et l'enfonce légèrement dans mon vagin.


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Toujours dans une sorte d'état second, je me retourne vers eux rouge de honte et d'excitation, m'allonge par terre et passe ma main sur ma culotte, constatant que tissu pénètre sans mal mon orifice béant. Sans réfléchir, je commence carrément à me caresser le clito à travers la dentelle. Je décris des cercles et pousse des petits gémissements. Pendant une minute, je me masturbe sans penser aux ados en train de me mater et ne cherche que mon propre plaisir. J'accélère mon mouvement et gémi de plus en plus distinctement. Je glisse ma main sous le tissu pour me caresser et suis à deux doigts de craquer et de me faire jouir. Mais je reprends mes esprits et me dis qu'il est temps d'en finir avec ce strip-tease.



J'annonce alors qu'il est grand temps d'enlever le reste de mes vêtements... J'entreprends d'abord d'enlever lentement mes bas. Une fois retirés, je les jette derrière moi pour qu'ils atterrissent sur les ados. Puis, je marque un temps d'arrêt comme pour réfléchir puis dis innocemment aux garçons que ce boxer est, à mon avis, de trop !


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Je fais mine d'attendre qu'ils me donnent leurs avis en jouant encore avec le shorty et, devant l'enthousiasme général, je leur tends mes fesses et baisse d'un coup sec mon boxer et me retrouve alors ...


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A suivre...

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