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Legul
4 décembre 2017
Séverine - 7

- Haaaaa ! Génial, c'est repartit ! s'exclament-ils en me voyant pénétrer dans la pièce.

Certains sifflent devant ma lingerie, d'autres applaudissent et déjà la plupart se masturbent en me regardant.

Hugo, tel un arbitre, lève alors la main et dit :

- Les gars, comme tout à l'heure : pas de brutalité et pas d'insultes. On s'amuse, on vient tous une fois et après stop, sinon on en finira jamais !

Ce qui a suivi fut alors une énorme orgie, une débauche de sexe dont je ne me serais pas cru capable, mais que j'ai pourtant adoré.

Pour commencer, je décide de jouer un peu pour les exciter et les faire rebander. Je me promène devant eux, leur exposant ma poitrine, mes fesses, mes jambes, le tout bien mis en valeur par ma lingerie.


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Je les aguiche en me frottant aux uns, en branlant un peu les autres et en faisant des allusions à ce qu'ils m'avaient fait et ce qu'ils allaient encore me faire.

Puis je décide de retirer mon soutien-gorge doucement, comme pendant le strip-tease et m'assois sur le bord sur canapé, à côté d'un des garçons, pour commencer à me masturber.

Je suis d'abord restée gentille, me caressant uniquement au travers de mon string. Je gémissais et fixais les garçons droit dans les yeux pour les rendre dingues pendant que je m'enfonçais des doigts, la main dans la culotte. Très excité, le garçon à côté de moi tire mon string sur le côté pour révéler à tous ma chatte et me laisser me caresser et me doigter de plus belle. Puis il y participe aussi en m'enfonçant des doigts, en même temps que les miens, et en me léchant les tétons.



Cela le rend encore plus entreprenant. Il arrache mon string et commence à me dévorer le sexe, jouant très habilement avec sa langue et ses lèvres. Il insiste beaucoup sur mon anus qu'il lèche et pénètre.



Cette mise en bouche soft et assez romantique ne l'est pas restée longtemps. En effet, les initiatives du garçon en train de me lécher le clito donne rapidement des envies aux autres.

L'un d'eux me prend par les cheveux pour me mettre à quatre pattes au milieu du salon et m'invite à le sucer. Pendant ce temps, un autre jeune passe derrière et me lèche, lui aussi, la chatte. Également porté sur la sodomie, comme tous les jeunes de son âge, j'imagine, celui-ci s'acharne à me lécher l'anus et à le pénétrer avec sa langue et parfois ses doigts. Mais je reste décidée, malgré mon excitation, à leur refuser mon cul et je n'hésite donc pas à exprimer ma gène, notamment quand le jeune m'enfonce sans trop de préparation son majeur bien profond.



Cette première fellation que je fais à un des ados finit de rendre dingues les autres que me tombent alors tous dessus pour que je les suce à leur tour. Après à peine 10 min de préliminaires soft, le gangbang allait repartir de plus belle !


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A nouveau, je me retrouve entourée de queues. Je suce, branle, lèche, gobe tout ce qui passe à ma portée. Et à nouveau, je perds le contrôle des évènements et deviens un jouet pour les copains d'Hugo.


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Ceux qui n'ont accès ni à ma bouche ni à mes mains me doigtent la chatte, le cul ou me maltraitent les seins et les tétons. Déjà, un premier orgasme du à cette accumulation de stimulations savoureuses me submerge et me fait prendre encore un peu plus le contrôle. Fatiguée et ivre de plaisir, je m'abandonne définitivement à ces ados qui prennent alors les choses en main. Le gang bang devient alors une somme d'orgasmes répétés et d'images floues difficiles à restituer...

Je sais que rapidement, certains m'ont relevé pour me placer sur le canapé et me baiser. Les bites se succédaient en moi sans que je retienne qui des ados me tronchaient. Mes yeux étaient souvent clos, du fait de plaisir intense, et ma bouche en permanence remplie par une queue ou une langue.


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Ils m'ont baisé en tournante, à quatre patte, allongée par terre, sur le canapé, debout contre la table... partout dans le salon !


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J'avais en permanence des bites en moi ou dans les mains, j'ai encore pris des poings dans la chatte et j'ai subis de nombreuses doubles vaginales.


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Tout le monde voulait essayer ce truc qu'ils ne pourraient revoir que sur internet !

Ils m'ont prise en double par derrière, par devant et suspendue en l'air par deux gars. Tous ont eu droit à une gorge profonde, même JB qui a eu plus de mal mais qui a fini par me mettre son énorme queue presque toute entière dans le gosier.


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J'étais totalement inactive car les choses allaient trop vite. J'étais un objet dont ils ont usé et abusé pendant 1 heure au moins. Il n'y a jamais eu de violence (même si c'était parfois brutal...) mais je me suis quand même fait traiter de chienne et de salope de nombreuses fois, ce qui n'était pas déplacé vu la situation !


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J'ai jouis plusieurs fois, j'étais en transe et j'ai gémi et hurlé de plaisir du début à la fin. Et même si tout est encore aujourd'hui assez flou dans ma tête, je me souviens surtout de quelques passages « marquants ».

D'abord, il y a eu tous les doigts enfoncés dans mon cul, malgré mon opposition systématique à pénétrer cette zone. Personne ne m'a enculé mais tout le monde me doigtait le cul, avec un doigt, deux doigts, parfois juste à la surface, parfois bien profondément.

Ce qui m'a marqué, c'est surtout le relatif plaisir que j'ai eu à me faire doigter ainsi le cul, alors même que j'avais deux bites dans la chatte...


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C'est d'ailleurs ce trouble, ressenti au fond de mes entrailles, qui a faillit que faire céder à la tentation de les laisser m'enculer.
Mais heureusement pour moi et mon pauvre cul qui aurait sans doute été ravagé, un autre évènement marquant est venu me changer les idées : une double vaginale dantesque avec JB, le grand Black et Hugo, mon fils, donc les 2 plus grosses bites du groupe.

Alors qu'Hugo me doigtait furieusement le cul, je lui ai demandé un peu de répit de ce côté de mon anatomie. Il s'est donc glissé sous moi pour me pénétrer puis a appelé JB pour qu'il vienne compléter le tableau, et ma chatte. L'énorme engin de JB progressait avec difficulté (et douleur...) dans mon orifice déjà occupé par un gros morceau. A côté de ce que j'endurais alors, le petit poing de Kevin de tout à l'heure me paraissait insignifiant.


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Cela dit, JB était habile, doux et, à grand renfort de crachats pour lubrifier, il a finalement réussit l'exploit de me faire « avaler » complètement des deux sexes. La sensation d'étirement était intense mais être ainsi capable d'un tel exploit m'excitait au plus haut point.


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Je me sentais abusée et mon corps se résumait à des orifices endurant tous les outrages. Je ressentais également une certaine fierté malsaine d'avoir pu absorber ces 2 bestiaux ! Ils m'ont ensuite baisé la chatte doucement, Hugo restant attentif à ne pas me blesser. JB, lui, m'a enfoncé en même temps deux doigts dans le cul, comme si la pression dans ma chatte ne suffisait pas...


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Cette double était éprouvante et n'a pas duré longtemps mais elle a eu le mérite de rendre celles qui ont suivis plus « faciles »...

Le troisième truc que je ne suis pas prête d'oublier, c'est quand, après cette double vaginale dantesque et d'autres nombreuses pénétrations, Anto (la brute) a voulu retenter son expérience de tout à l'heure : m'enfoncer une bouteille de vin dans la chatte !

Après en avoir parlé à Hugo qui a accepté à condition que cela ne me fasse pas mal, il est allé chercher une bouteille dans notre petite réserve à vins, dans la cuisine. Parallèlement, les autres m'ont allongé sur la table, jambes bien écartées et Anto m'a enfilée le goulot puis une partie de la bouteille sans difficulté, jusqu'à buter contre le fond de mon vagin.


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Mais dans ce sens cela ne représentait pas un challenge pour moi et il semblait déçu. Il a donc ressortit la bouteille et la présenté par le fond. Tout en me crachant dessus pour me lubrifier, il a habilement manipulé la bouteille pour me l'enfoncer par le culot.


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Puis, il s'est reculé pour observer son œuvre, content de lui... Et, sans demander l'autorisation, il s'est muni de son téléphone pour prendre une première photo de moi dans cette position.

Mais je comprends immédiatement le risque que des photos de l'orgie en cours représentent pour moi. Je demande donc à Hugo de l'en empêcher.
Il se saisit alors du portable d'Anto, efface la photo et se rend compte que ce petit con avait discrètement pris d'autres clichés pour le moins compromettant.


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Il efface donc toutes les photos et pointe du doigt ses potes :

- Le premier qui filme ou photographie ma mère, je vous jure que je l'explose, lui et son téléphone ! Vous me connaissez, vous savez que je le ferai.
- Attends, mec, c'est trop beau ça, il nous faut un souvenir ! Insiste Anto, décidemment fier de son œuvre.
- Alors c'est moi qui prends la photo pour qu'on ne voie pas son visage ou la maison et je vous l'enverrai... peut être.

Il prend alors son portable, fait un gros plan sur ma chatte dilatée par cette bouteille de grand Cru puis l'enlève en douceur. Les gars se jettent à nouveau sur moi après cette « pause » et l'orgie peut alors reprendre.


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Il se passa encore un long moment de débauche fait de doubles pénétrations, de fellations et de doigtage anal avant qu'enfin, le grand final arrive.

Aucun d'eux n'avait joui pendant cette deuxième partie de gangbang car ils s'étaient donné comme consigne de tous venir ensemble sur moi en même temps.

En un mot, cela a été surréaliste : j'étais allongée au sol, entourée de mon fils et ses 10 copains et des flots de spermes se sont abattus alors sur mon corps. Ils jouissaient les uns après les autres dans de grands râles de soulagements tandis que moi-même je me trémoussais et me caressais d'excitation et étalais le foutre chaud avec mes mains au fur et à mesure où il arrivait. Ils ne visaient pas que mon visage et ma bouche grande ouverte mais aussi mes seins et mon ventre. Ils voulaient me recouvrir. Littéralement.


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Souillée, abasourdie, je suis restée au sol, recouverte de sperme tandis qu'ils se rhabillaient et que mon fils les raccompagnait dehors en leur donnant la consigne de garder ça pour eux s'ils comptaient garder toute leurs dents et, surtout, s'ils voulaient qu'on recommence un jour.


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Tous me disent chaleureusement au revoir et me remercient pour ce moment en répétant que j'étais la femme la plus incroyable qu'ils connaissaient... Encore heureux vu ce qu'ils venaient de me mettre !!

Une fois seuls, mon fils et moi, je me relève pour aller reprendre une douche pendant qu'Hugo met de l'ordre dans le salon. Sous la douche, j'observe ma chatte et constate qu'elle était distendue, déformée...

Par curiosité, je m'amuse alors à me fister avec ma propre main en me nettoyant pour voir ce que ça faisait et je me fais soudain la réflexion que le petit sexe de mon mari allait encore moins me faire d'effet maintenant !


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Mais avais-je encore envie que cet homme ventru, inefficace et ne pensant qu'à lui lorsqu'il prenait la peine de me baiser pendant quelques mornes minutes ? Mon plaisir... Voilà bien quelque chose qui avait été au centre de cette incroyable soirée où ces jeunes hommes, tous plus dynamiques, virils et pervers les uns que les autres m'avaient fait jouir un nombre incalculable de fois.

Et à nouveau, alors que je me lavais en insistant inconsciemment sur mon clitoris et en passant à tout ce que ces ados m'avaient fait, je sens renaître en moi une envie de sexe.

Au bout d'un moment, et alors que j'étais à nouveau bien chaude, Hugo vient me rejoindre sous la douche. Tout en nous lavant ensemble, nous nous embrassons et caressons longuement. Ses baisers, son beau corps ruisselant et son gros sexe à nouveau dur n'en finissent pas de m'exciter.

Alors que je suis épuisée et me sens ravagée, je cède à une dernière envie qui me trottait dans la tête depuis un long moment et qui, justement, concerne une zone de mon corps indemne :
- Je voudrais que tu me sodomises, ici et maintenant.
- V... Vraiment, tu es sûre ?
- Oui, je veux que tu sois le premier. Je veux que mon cul soit tout à toi !
- D'accord, avec grand plaisir... Et t'inquiète pas, je vais y aller doucement...

Il me retourne alors, me penche en avant les mains appuyées sur le rebord de la baignoire et approche son gland de mon anus. Doucement, il commence à forcer l'entrée et à pénétrer en moi...


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Sa queue progresse difficilement et douloureusement dans mon anus et Hugo constate que je souffre. Il se retire donc, prend un pot de crème hydratante qui trainait sur le lavabo et s'enduit le sexe avec.

Il en met aussi sur et dans mon anus, puis il retente sa chance dans une autre position, plus confortable : à quatre pattes, le cul bien tendu et ouvert. Son gland me pénètre alors beaucoup plus facilement et le reste de sa queue suit en m'écartant au passage mon anus comme jamais alors.


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Alors que son sexe était entièrement dans mon cul, je me sentais perforée, remplie. Je sentais aussi que le contenu de mon colon était repoussé loin dans mes entrailles. Je poussais de grands soupirs et des « ohhh » plus liés à l'épreuve physique qu'au plaisir.

Une fois le passage fait, il commence à décrire des vas-et-viens précautionneux en me demandant souvent si ça allait. Puis il accélère et augmente l'amplitude de son mouvement si bien que la quasi-totalité de ses 20 cm allaient et venaient dans mon petit cul. L'exercice était très éprouvant pour moi et je n'ai pas vraiment ressenti de plaisir. Mais j'étais heureuse de pouvoir le faire pour la première fois avec mon fils adoré. Je regardais d'ailleurs la scène dans le grand miroir de ma salle de bain en constatant que voir mon anus ainsi pénétré m'excitait beaucoup !


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Mais cette excitation grandissante n'empêche pas la douleur, grandissante elle aussi et je ressens donc le besoin d'en finir vite avec cette première sodomie.

- Oohhhh, fini vite, je n'en peux plus, mon chéri... le suppliais-je alors que ça ne durait que depuis 1 ou 2 minutes
- Ça vient, maman... Oh putain, je vais jouir dans ton cul ! Oh oui, je t'éclate le cul, je te le défonce !! AHHH JE VIENS !!!

Et sur ce cri, il se cale au fond de mon cul et décharge dans mes entrailles. Puis, après un moment resté emboités ensemble, il se retire et maintient mes fesses écartées, observant mon anus bien ouvert.


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- Avec de l'entrainement, ton petit trou deviendra aussi accueillant que ta chatte... il te manque juste de la pratique !
- Et je suis sûr que tu vas t'occuper de ça ?
- Évidemment... dit-il avec le sourire.

Je me redresse et sens alors son sperme s'écouler de mon anus. La quantité est beaucoup moins impressionnante qu'au début, mais je m'étonne tout de même qu'il puisse encore éjaculer autant. Ah, jeunesse !


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A nouveau souillée par la semence de mon fils, et tous deux en sueur, nous retournons à la douche en nous embrassant comme de jeunes amoureux, uniquement animés par la passion.

Après cela, insatiable, il m'a sodomisé une seconde fois dans le lit conjugale, juste avant d'aller, enfin, nous coucher, vers 2h, après une soirée épique, inoubliable.


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Quand mon mari et mes deux autres enfants sont rentré le lendemain, la maison était impeccable et rien ne laissant penser que la pire des orgies s'y était déroulé.

Durant le repas du dimanche midi, mon mari s'est servi du vin avec la bouteille qu'on avait logé dans mon vagin la veille, et a d'ailleurs trouvé étrange que la bouteille soit collante... Il s'est aussi étonné de mon manque d'appétit et je lui ai expliqué que j'avais eu ma dose de cochonneries avec les garçons. J'ai même ajouté, un peu vicieuse, que je m'étais encore gavée du délicieux gâteau de Hugo ce matin avant qu'il ne rentre.

Il a souri. Hugo aussi.

Voici comment c'est finit ce weekend mémorable qui a marqué un véritable tournant dans ma vie de femme. Ce n'était que la première aventure sexuelle d'une liste aujourd'hui très longue et loin d'être finie.

Oubliez la femme prude et respectable que je vous ai décrit en début de récit. Elle n'existe plus. Je suis aujourd'hui totalement épanouie et en phase avec ma sexualité qui ne connait, pour mon plus grand bonheur et celui de mes amants, aucune limite ni tabou.


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Fin

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