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Mutation - épisode 11 Rudy me rappela dès le lendemain, souhaitant me revoir. Je compris que ni Maella, ni sa femme ne parvenaient à obtenir ce que je parvenais à faire avec Rudy. Mais vu la situation avec sa femme et sa maîtresse, je me dis qu'il serait sans doute dangereux que je m'immisce dans cette histoire compliquée. Je décidai donc de ne pas donner suite. Rudy me rappela quand même deux semaines plus tard pour me proposer une dernière séance de photos pour me remercier. Après hésitation, je me dis que je pouvais lui accorder cette dernière faveur avant de couper les ponts. Maella n'était pas présente au studio et Rudy semblait mal à l'aise. Avant que nous commencions, il m'offrit un verre. Je crus alors qu'il avait compris l'origine de mon pouvoir et qu'il me proposait de l'alcool. Mais je me rendis compte que ce n'était pas le cas, il s'agissait juste d'un jus de fruit et je le bus sans crainte. Presque aussitôt, je sentis mes jambes se dérober sous moi et tout se mettre à tourner rapidement avant de sombrer dans un abîme. Quand je rouvris les yeux, j'étais nue, attachée à un lit. ![]() images similaires Une femme était présente. Je reconnus la femme de Rudy. Elle sourit en me voyant tirer sur mes liens : - Inutile de vous débattre. Je suis Marion, la femme de Rudy. Vous vous rappelez ? - Qu'est-ce que je fais ici ? - C'est très simple, Rudy m'a raconté que vous parveniez à le faire bander. Nous sommes persuadés que vous dégager une hormone particulière qui permet de lui rendre sa vigueur. Moi, je pense que c'est votre cyprine. Alors on va vous prélever votre cyprine. Je tirai à nouveau sur mes liens, mais sans succès. ![]() images similaires - Ne vous en faites pas. Ce que nous allons vous faire pour vous prendre votre cyprine sera nécessairement agréable. Je savais que ma cyprine n'était pour rien dans l'effet que je pouvais produire sur son mari mais je ne voulais surtout pas révéler mon secret. - Pitié, je pense que vous vous trompez. Ce qui arrive à Rudy, c'est psychologique. ![]() images similaires - Allons, n'ayez pas peur puisque je vous dis que vous allez prendre du plaisir. J'obtempérai : - Allez-y, prenez de ma mouille et relâchez moi. La femme s'approcha de moi et écarta mes cuisses pour dégager ma moule. Elle en écarta les lèvres : - Bon, vous ne mouillez pas mais ce n'est pas vraiment étonnant..; ![]() Elle attrapa à côté du lit un appareil ressemblant à une sorte de selle de cheval : - Mettez-vous à genoux. Elle posa l'objet devant moi. Il y avait un godemiché en plastique rose fiché dessus et une barrette de petits picots arrondis devant. Elle prit un petit flacon d'huile qu'elle utilisa pour lubrifier le godemiché. - Asseyez-vous là-dessus. J'avais bien compris ce qui m'attendait et je m'empalai sur l'engin en espérant que cela me ferait mouiller rapidement. ![]() Marion attrapa un petit boîtier muni d'un bouton de potentiomètre qu'elle commença à tourner. La machine se mit à ronronner et le godemiché commença à aller et venir en moi. Quand elle tourna un peu plus le bouton, je sentis une légère vibration, délicieuse, qui me fit gémir instantanément. Ma tortionnaire me donna un conseil : - Empalez-vous à fond de manière à ce que votre clitoris entre en contact avec la plaquette de picots vibrant. Vous verrez, c'est extraordinaire. Je laissai donc le godemiché s'enfoncer en moi aussi loin que possible, jusqu'à ce que mon clitoris atteigne la fameuse barrette. L'effet fut terrible d'autant que Marion continuait à tourner le bouton de sa télécommande et augmentait la puissance des vibrations. Je sentis que j'allais pouvoir avoir un orgasme terrible grâce à cet engin. ![]() images similaires Je poussais mes cris de plaisir. Je sentais la sueur perler sur mes seins. La cyprine commençait à affluer. Marion comprit que c'était le moment : - Bien, nous y voilà... Elle approcha un petit tube qu'elle installa dans ma moule et je sentis une petite aspiration se mettre en marche. Le plaisir que me procurait la machine était heureusement plus fort que le désagrément de cet aspirateur à jute et l'orgasme qui suivit me le fit oublier totalement pendant quelques instants. ![]() images similaires L'intensité de mon orgasme m'avait presque fait perdre conscience et, quand je rouvris les yeux, j'étais à nouveau allongée sur le lit, toujours attachée. Marion était à côté de moi et inspectait un petit flacon contenant un liquide presque transparent : - Ecoutez, vous avez ce que vous voulez. Maintenant détachez-moi. - Ce ne sera pas suffisant, il faut recommencer. - Pitié. Laissez-moi au moins quelques minutes pour me reposer. ![]() - Je n'ai pas la patience d'attendre. Mais je vais trouver autre chose. Elle commença par m'attacher les chevilles avec des cordelettes qu'elle fixa aux pieds du lit. J'étais écartelée et totalement offerte. Elle apporta alors une autre machine. Une grosse boîte munie d'une longue tige métallique au bout de laquelle un godemiché était fixé. Je savais dès lors ce qui allait suivre. Elle positionna le godemiché contre ma fente humide et actionna une molette. L'engin s'enfonça en moi. ![]() images similaires Je ne pouvais pas bouger et n'avais pas d'autres choix que de subir ce bout de plastique mou qui entrait et sortait avec une régularité métronomique. Marion augmenta la cadence et la pénétration prit un rythme soutenu. Je commençais à prendre du plaisir à ce viol mécanique. Voyant que je semblais accepter ma condition, Marion vint à nouveau fourrer son aspirateur en moi, pompant ma cyprine au fur et à mesure où je la produisais. Malgré tout cela, un deuxième orgasme me fit hurler. ![]() images similaires Marion attendit que je reprenne mes esprits pour retirer l'aspirateur et arrêter la machine. Elle regarda le flacon qui avait gagner très légèrement en contenu : - Pas grand-chose... ça va être long ! Elle repoussa la boîte et vint s'agenouiller entre mes cuisses, regardant ma moule trempée : - Comment fait ton jus pour faire cet effet-là à Rudy ? ![]() A ce moment-là, Rudy entra et sembla terrorisé par ce qu'il découvrait : - Tu l'as attachée ?? - C'était indispensable. Il s'approcha de moi : - Sylvie ! Vous allez bien ? - Mis à part le fait que je suis écartelée sur ce lit ? - Oh, je suis désolé. Ma femme s'est mise en tête de vous prendre votre cyprine pour me faire bander... Marion me fourra alors son majeur dans la moule et y fit quelques va-et-vient. ![]() images similaires Puis elle plongea sa main dans le pantalon de Rudy, sans doute pour mettre en contact sa queue avec ma mouille : - Alors ? - Non, j'ai pas l'impression... - Attends, on va faire autrement. Branle-la un peu pour qu'elle mouille. Rudy me fourra son index et son majeur dans la fente et me masturba pour me faire mouiller. ![]() images similaires Sa femme, se déshabillant, continua à lui donner des instructions : - Dès qu'elle mouillera, tu boiras directement à la source. Quand il sentit que ses doigts étaient bien humectés, il se pencha et me lécha la moule, remontant jusqu'à mon clitoris. ![]() images similaires Je retrouvais le Rudy que j'avais rencontré, attentionné et attentif à mon plaisir. Il me caressait même les seins en faisant tourner mes mamelons tendus entre ses doigts. Sa langue fouillait ma fente comme si elle cherchait à entrer toute entière en moi. Il se délectait d'une cyprine probablement abondante mais qui n'avait aucune influence sur son érection, j'en étais certaine. ![]() images similaires Alors que je sentais l'orgasme monter grâce au cunnilingus de Rudy, Marion, qui s'était mise nue dans l'espoir de profiter aussitôt de son mari, s'agaça que je puisse encore prendre du plaisir : - Je pense que ça suffit, redresse-toi ! Rudy se releva mais ne bandait pas du tout. Il me laissait, moi, la chatte béante et trempée qui aurait bien accepté une bite ou même un godemiché pour calmer son ardeur. ![]() images similaires Marion était furieuse. Je la vis attraper une bouteille de vin blanc et boire directement au goulot. Je vis alors là la façon d'être sauvée : - Oh s'il vous plaît ! J'ai très soif moi aussi... - Tu veux boire ? Ok, alors tu vas me lécher les seins. Elle versa une partie de sa bouteille sur sa poitrine en me regardant. ![]() Bien sûr, c'était pure perversion puisque ce qu'il restait sur sa poitrine ne pouvait pas me désaltérer mais ce serait sans doute suffisant pour déclencher mon pouvoir. Dès qu'elle approcha sa poitrine de ma bouche, je me mis à la lécher. Comme ses tétons étaient le point le plus bas de ses seins, les gouttes y glissaient et il me suffisait de téter pour boire ce qu'il y avait. ![]() images similaires Nous entendîmes la voix de Rudy derrière nous : - Putain ! Ça marche ! Je bande ! Rudy était en caleçon et celui-ci était outrageusement déformé par son érection. ![]() images similaires Marion s'apaisa et me regarda d'un air suspicieux : - Ta jute a mis du temps à faire effet, mais ça fonctionne... Aussitôt ,elle alla le rejoindre et le débarrassa de son caleçon : - C'est merveilleux mon chéri, ça fonctionne ! Et elle se mit à le sucer avec délicatesse, comme si elle redécouvrait la queue de son mari. ![]() images similaires Rudy semblait lui aussi redécouvrir le plaisir de la bouche de sa femme sur sa queue et après moins d'une minute de fellation, il se recula soudain : - Attention ! Je vais jouir ! Et effectivement, un premier jet puissant gicla en faisant se redresser le sexe tendu. ![]() images similaires Marion le reçut à travers le visage. Aussitôt, elle s'avança pour replonger sur la queue en pleine explosion et récolter la suite de la l'éjaculation dans sa bouche. Il me sembla qu'elle en avalait et pourtant, quand ce fut terminé, elle ouvrit la bouche et me regarda stupéfaite, laissant échapper une quantité importante de la semence de son mari : - C'est dingue ! ![]() images similaires Rudy commençait à débander. Heureusement pour moi, j'ai absorbé juste assez d'alcool pour qu'il ait une érection et qu'il éjacule. Marion était ravie. Le menton dégoulinant de sperme, elle se léchait les lèvres : - Bon sang, il va nous falloir plus de cyprine de Sylvie... car je compte bien rattraper le temps perdu ! ![]() images similaires Me regardant, elle dut voir ma mine déconfite à cette annonce. Je vis comme de l'animosité dans son regard, sans doute de la jalousie vis à vis de l'effet qu'elle pensait que j'avais sur son mari. Elle se tourna vers lui et lui dit : - Va donc la voir qu'elle te nettoie un peu la bite. Rudy vint s'agenouiller sur le lit à côté de moi. De bonne grâce, j'ouvris la bouche et il y fourra son sexe débandé. ![]() Mais il y avait un goût curieux, dissimulé par la forte odeur du sperme, que je ne parvenais pas à définir. Tandis que je le suçais, son sexe se mit à gonfler et à se tendre dans ma bouche. Et je compris soudain. Marion avait beaucoup bu tout à l'heure et son haleine alcoolisée s'était sans doute fixée sur la queue de Rudy pendant qu'elle le suçait. Et maintenant, plus je suçais Rudy, plus je m'alcoolisais et plus je le faisais bander à cause de mon pouvoir. ![]() images similaires Rudy regarda sa femme avec un air ahuri : - Je... je bande à nouveau ! - Cette petite salope sait sucer... Je tentais de faire stopper la fellation mais il me maintenait la tête pour que je ne puisse pas lui échapper. ![]() Bien sûr, cela se termina comme je m'y attendais. Rudy regardait sa femme pendant qu'il baisait ma bouche et lui dit : - Je... je crois que je vais éjaculer encore... Marion semblait très agacée mais elle n'eut pas le temps de lui dire d'arrêter. Il se redressa et, dirigeant sa queue vers ma bouche ouverte, son sperme se mit à gicler mais éclaboussant autant mon visage, mon cou et mes épaules que se déversant sur ma langue. ![]() images similaires J'en avais partout et Marion semblait furieuse : - Bon, ça suffit. Je crois qu'il faut que tu te reposes, maintenant... Rudy me regarda et sembla avoir pitié : - Désolé pour tout cela. - C'est pas grave... ![]() images similaires J'eus alors dans l'idée d'essayer d'énerver davantage Marion. Je savais que ce n'était pas une bonne idée, mais, d'une certaine manière, j'avais vraiment envie de me venger. Je dis à Rudy : - Laissez-moi vous nettoyer un peu... Puisque je lui proposais, il plongea à nouveau son sexe entre mes lèvres encore poisseuses de son sperme. ![]() images similaires Et bien sûr, cela eut le même effet qu'auparavant grâce à l'alcool qu'il avait sur la queue. Son sexe se tendit à nouveau et j'en profitai pour le pomper vraiment afin de récupérer le maximum d'alcool. Marion était furieuse : - Arrête Rudy, ça suffit comme ça ! Mais c'était trop tard, il sortit précipitamment de ma bouche et son sperme se mit à jaillir à nouveau, inondant cette fois-ci mon cou et mes seins. ![]() images similaires Marion repoussa Rudy et se pencha sur moi : - Ne fais pas ta maligne ! Maintenant qu'on connait ton secret, on va te garder pour profiter de ta cyprine. J'ai encore soif du sperme de mon homme. Elle se mit à me lécher le visage, avalant au fur et à mesure la semence visqueuse de son mari. ![]() images similaires Quand elle eut terminé, elle remarqua que Rudy bandait encore. Elle se redressa et lui dit : - Passe-moi la machine. Comme elle semble bien chaude, on va en profiter pour lui prendre encore un peu de sa liqueur. Rudy s'avança et écarta sa femme : - Non. Je bande, je vais en profiter pour la baiser. Le ton assuré de Rudy ne laissait pas le choix à Marion. Elle posa donc sa main sur mon ventre et écarta mes lèvres comme pour signifier qu'elle autorisait son mari à me baiser. ![]() Je dois dire que je préférais nettement me faire prendre par Rudy que par une machine, même si celle-ci profitait de réglages qui assuraient une cadence qu'un homme n'était pas capable de suivre. Sa femme restait à côté mais je sentais qu'elle était au bord de la crise de nerfs de devoir supporter la vue de son mari en train de me faire l'amour. ![]() images similaires - Baise-la fort cette salope ! Mais Rudy ne me baisait pas : il me faisait l'amour. Il lui répondit calmement : - Le but n'est pas de lui faire mal, mais de lui donner du plaisir pour qu'elle mouille, non ? J'eus alors un orgasme. ![]() images similaires Quand je fus calmée, Rudy se retira et Marion s'approcha entre mes cuisses écartées pour observer un épais filet de cyprine qui s'échappait de ma fente béante : - J'espérais un peu plus... J'étais un peu désemparée qu'elle me traite ainsi, comme un vulgaire animal, une vache que l'on trait pour son lait. ![]() images similaires Elle recueillit ma liqueur dans son petit flacon et dit à Rudy : - Je crois que quand tu l'as baisée, tu as fait refluer sa mouille au fond. La prochaine fois, ce serait bien d'essayer en l'enculant. Rudy, qui n'avait pas débandé, s'avança : - Alors, essayons ! Il vint reprendre position entre mes cuisses et je vis avec bonheur le regard haineux que me lançait Marion. ![]() images similaires Ma précédente sodomie remontait au jour de ma rencontre avec Rudy mais c'était le médecin de Rudy qui en avait profité. Si Marion espérait que je sois vierge de ce côté-là, c'était raté car ce n'était pas une première pour moi. Marion garda son sang-froid et demanda à son mari : - Alors ? Elle mouille ? Rudy me redressa le bassin pour bien exposer ma moule. Il fallait bien avouer que c'était loin d'être la fontaine attendue... ![]() Marion réagit aussitôt : - Pas la peine de continuer, ça ne fonctionne pas. Mais, entrant dans son jeu, Rudy insista : - Si mais je pense qu'il faut alterner. Il sortit alors de mon cul et plongea dans mon sexe béant pour y faire quelques allers-retours avant de retourner à mon cul. C'était divin et il continua cette alternance jusqu'à me donner un nouvel orgasme alors qu'il était dans ma chatte. ![]() images similaires Replongeant alors dans mon anus, il se déchaîna. Je sentais ma mouille couler en abondance. Rudy s'interrompit soudain s'immobilisant : - Merde... Je compris qu'il allait éjaculer. Je donnai alors un coup de reins qui le fit sortir de mon cul, juste au moment où son sperme se mit à jaillir, inondant mon ventre et giclant jusqu'entre mes seins. ![]() Marion se mit à l'engueuler : - Putain ! Mais t'es con ! Tu viens de mettre plein de sperme sur sa moule ! Comment tu veux que je récupère sa mouille, maintenant ? - C'est pas grave. Le plus important c'est que mon sexe fonctionne correctement, non ? Je le regardais en souriant : - Plus que correctement... ![]() images similaires Marion bouillonnait de jalousie. Rudy débandait enfin et annonça partir prendre une douche. J'étais épuisée : - Vous allez me séquestrer longtemps ? - Le temps qu'il faudra pour avoir assez de votre jus. - Je peux prendre une douche ? - Je m'occupe de vous. Sans me détacher, Marion parti chercher un seau et un gant. Elle me nettoya à l'eau froide, comme un animal. J'avais du mal à envisager une issue rapide et heureuse à ma situation. |