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En stage chez Lisa

Evevincent
23 mars 2018
En stage chez Lisa


C'est le plus beau jour de ma vie : je viens enfin de décrocher mon premier stage ! Tout excité, je me rends au lieu indiqué par la convocation et frappe à la porte. Un mec patibulaire m'enjoint d'entrer et de le suivre.
On arrive dans un bureau.

- Assis ! aboie-t-il en me montrant la chaise.

Eh bien, sympa l'ambiance ! À peine me suis-je dit ça qu'une porte dérobée s'ouvre et qu'une grande nana parfaitement canon, moulée dans une combinaison noire et sexy fait irruption dans le bureau et se dirige d'un pas martial vers moi.


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- Bonjour Simon. Je suis Lisa, ton superviseur.

Son ton sec claque comme un fouet.

- Je vois que c'est ton premier stage. Que sais-tu du job ?

Elle m'intimide carrément et je déglutis dans le vide.

- Ben, euh... dis-je en bafouillant. Il faut empêcher le client de faire des conneries, en gros... C'est ça ?
- C'est ça. Tu gardes tous les paramètres bien à l'œil et tu interviens dès que ça te semble louche. Pas de quartier. Les gars d'en bas ne vont pas se gêner pour te mettre les bâtons dans les roues s'ils en ont l'occasion, crois-moi.

Une nana comme ça, je la crois sur parole pour tout ce qu'elle veut. Les gars d'en bas, c'est les types qui sont payés pour que le client en fasse, des conneries, et ça ne m'a pas l'air d'être des rigolos.

Elle ajoute, toujours aussi sèchement :
- Je vais faire le tour avec toi de tout ce qu'il y a à savoir puis je te laisse te débrouiller seul pendant une heure. On n'est qu'en début de soirée, en général c'est plutôt calme à cette heure.


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Elle remarque alors que je ne la regarde pas tout à fait dans les yeux.

- Dis ! Tu es sûr que tu es fait pour ce job ? me lance-t-elle, glaciale.
- Pardon, Madame. Si, si, ça ira. Pardon, dis-je en bredouillant benoîtement tout en remontant mon regard.

La vache, ça ne rigole pas ici... Ce n'est pas ma faute si la grande Lisa et sa croupe d'enfer me remuent les tripes. Mais elle a raison, il faut que je me calme sinon je vais me faire jeter.

On passe dans la pièce à côté. Le mur est couvert d'écrans et de cadrans et, devant lui, se trouve une table de commande bourrée de boutons, de manettes, de potentiomètres et de loupiotes de toutes les couleurs.

- Bien, me dit-elle. Pour ce début on va faire simple, ça ne sert à rien d'entrer dans les subtilités. De toute manière ce n'est que plus tard dans la nuit que ça peut devenir critique ici.


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Tout en se penchant sur les consoles, elle m'offre une vue magistrale sur son cul parfaitement moulé et... attirant ! Elle m'explique alors en diagonale à quoi servent les principales manettes, ce que montrent les écrans, etc. Ça ne semble pas sorcier. Ce qui l'est nettement plus, c'est de rester attentif à ses paroles.

- Le plus important, ajoute-t-elle d'une voix d'un coup forte pour capter à nouveau mon attention, c'est d'être vigilant. Si on réagit rapidement, on arrive à désamorcer la plupart des situations avant que ça ne s'emballe.
- Et si ça s'emballe ?
Je lui demande ça, un brin provocateur, en me disant que moi, je l'emballerais bien.
- Je te le répète : on n'est pas aux heures critiques. Et dans le pire des cas, si tu vois que tu perds vraiment le contrôle, un coup sur ce bouton rouge et ça coupe tous les circuits.


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Elle me fait m'asseoir sur le fauteuil devant la table de commande et me tend deux fascicules, un petit et un plus fourni.

- Le premier, c'est les données du client. Lis ça tranquillement, ton évaluation commence dans un quart d'heure. Le deuxième, c'est la liste des codes d'erreur, tu en auras besoin.

Je la regarde quitter la pièce en refermant la porte derrière elle. Jésus Marie Joseph, mais quel cul !


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Bon, voyons ces papelards. C'est qui ce client ?

Né(e) le : 12 avril xxxx.

Magnifique ! Un p'tit con de 18 ans ! Il va falloir faire quoi ? L'empêcher de se br...?

Nom : Watson. Prénom : Louise.

Sur la page 2, il y a la photo de la blondinette.
C'est une bombe !

Je regarde tout autour de moi. C'est une caméra cachée ou quoi ? Il y a une erreur, c'est demain le stage ? Ou c'était hier ? Ce n'est pas ici ? Ça n'existe pas, des nanas qui ne sont pas canon, dans ce pays ?
Bon, calme-toi, mon bonhomme, respire à fond. Qu'y a-t-il d'autre dans ce dossier ?


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Louise Watson est privée de sorties pendant deux semaines, pour cause de tenue indécente au collège.

La question du degré d'indécence fait pédaler mon imagination un moment puis je relativise. Bon, elle est peut-être un peu salope, mais elle est coincée chez elle et ne peut donc pas faire beaucoup de conneries. Tant pis, mais tant mieux. Par contre, elle doit être bien énervée... j'espère qu'elle se tiendra à carreau pendant une petite heure !

Tout à coup, les écrans s'allument : c'est parti, mon kiki ! À nous deux, ma toute belle !


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**********


Bon, où es-tu Louise ? Parle-moi, montre-moi ce que tu fais...
Où sont les yeux ?
« Écrans 10 et 11 » a dit Lisa. Mais ils sont éteints, les écrans 10 et 11 ! C'est tout noir !

Tout à coup une image apparaît sur les deux écrans, encore floue, avant de devenir plus nette.
Ah, OK, je comprends : elle avait juste les yeux fermés. Un coup d'œil à la jauge d'énergie : elle est en phase de remontée. Tu as fait une bonne sieste, ma Louise ?

Elle attrape son portable et commence à lire des messages. Attends, attends, c'est quoi ça ? Je ressors les papiers.

Son téléphone lui a été confisqué le temps de la punition.

Mais d'où il sort, ce téléphone ? Sur l'écran de l'appareil, un certain John lui écrit qu'il a très envie d'elle et qu'il a la bite en feu à force d'y penser. Non mais dis donc, c'est comme ça que tu parles à « ma » Louise ?

Une loupiote rouge se met à clignoter devant moi, suivie immédiatement d'une deuxième. Merde, c'est quoi ça ? J'attrape le gros fascicule.

Codes R41 et C12... Hmm... Ah, voilà.
R41 : Échauffement supérieur à la normale de 10 à 20% au niveau des joues et du cou.
C12 : Taux d'oxygénation supérieur de 5 à 10% aux besoins physiologiques.




Oh là là, mais tu chauffes ! C'est la bite de John qui te fait cet effet-là ? Mais pas de soucis ! Hop, un coup d'hormones calmantes et tu vas gentiment redescendre de ton petit nuage. Parfait !

Elle jette son téléphone dans un coin de la chambre et enfonce son visage dans ses mains.

Mais quand même, il sort d'où ce téléphone ?
Il faudra que j'en parle à Lisa.

Lisa... je l'avais presque oubliée, avec son cul de s...


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Louise se lève de son lit et passe devant un miroir. En voyant son reflet, je sursaute. Hé ! Ho ! Il y a une erreur ! Ce n'est pas la bonne ! Ce n'est pas Louise ! Elle est blonde aux yeux marron, dans le dossier, et là c'est une brunette aux yeux verts !... Et encore plus belle que l'autre ! Mais qu'est-ce qui se passe ici ?


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Comme elle est belle ! Des traits fins mais superbement dessinés, un regard de biche comme je n'en ai jamais vu, des lèvres pulpeuses à souhait, et cette fabuleuse crinière qui lui tombe gracieusement sur la poitrine...


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Je me lève et m'approche des écrans 10 et 11 pour mieux voir cette splendeur. Si elle voyait l'effet qu'elle me fait ! Elle sourit délicieusement avec des étoiles qui lui scintillent dans les yeux. J'ai vraiment l'impression qu'elle me regarde et je sens que ça redevient au moins aussi dur dans mon pantalon que ça l'était quand Lisa a quitté la pièce.


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Mèche après mèche, la fille passe sa chevelure dans son dos et révèle sa poitrine. Je découvre deux seins absolument déments ! Cette fois, c'est moi qui chauffe, et pas qu'un peu ! Je ne sais pas comment tu t'appelles, ma beauté, mais des comme toi, il n'y en a pas beaucoup !


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J'ai envie de savoir son nom. Je parcours tous les écrans pour trouver un indice, mais rien. Alors je fantasme : Jessica ? Amanda ? Rihanna ?... Adriana ? Adriana, ce n'est pas mal, c'est court, érotique, ça se laisse bien prononcer pendant l'amour... va pour Adriana. Adriana la belle brunette qui... Mais qu'est ce qu'elle fout, là ?


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Je découvre la paire de nichons la plus incroyable que j'aie jamais vue : libérés de leur carcan, ils sont comme gonflés ! Des seins naturels et très bien proportionnés ! Et ces mamelons ! Des aréoles bien larges et des tétons qui pointent comme... comme... les mots me manquent tellement le spectacle qu'elle m'offre m'hallucine.


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Visiblement, je ne suis pas le seul que ces divins nichons font saliver ! Cette petite garce commence à se passer la langue sur les lèvres en se regardant, et il y a comme des éclairs dans ses yeux. Elle rougit jusqu'à la poitrine, tellement elle s'excite elle-même ! C'est clair que si j'avais un corps comme le tien, je ferais pareil ! Je passerais mes journées devant un miroir à me masturber devant mon reflet !


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Elle se caresse les seins maintenant ! Oh oui, ma poulette, excite-moi ces mamelons, ouais, comme ça ! Elle se les prend à pleines mains, les malaxe comme une folle et tire sur ses bouts pointus, les roule entre ses doigts pour les exciter.


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Elle commence à haleter de plaisir, elle pousse des petits gémissements aigus de plus en plus longs, je n'y crois pas elle va se faire jouir juste avec les seins, je n'ai jamais vu ça !


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Elle crie, hurle, des spasmes la secouent de plus en plus fort, elle est prisonnière d'un orgasme sans fin qui ne fait que monter, monter, monter encore, et ses mains continuent encore et encore à pétrir ses fabuleux seins.


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Je n'avais même pas réalisé que j'avais ma queue à la main et que je m'astiquais comme un fou devant elle ! Putain, un orgasme pareil, ce n'est pas humain ! Elle n'arrête pas de hurler ; ce n'est même plus un hurlement, c'est...

Merde ! Alerte rouge !

La table de commandes clignote de partout.
Tiens bon, ma petite Adriana ! Je vais te sortir de là ! Je presse des boutons, abaisse des manettes, ajuste des potentiomètres.
J'ai le cœur qui tape comme un sauvage. Il y a des codes d'erreur par dizaines !


**********


Bon, je crois que j'ai limité la casse ; les niveaux sont revenus à peu près à la normale. J'ai eu chaud. Dix secondes de plus et il n'y avait plus qu'à presser le bouton rouge.

Désolé, mon ange, tu m'as un peu emporté dans ton élan. J'espère juste que c'est pas enregistré sinon l'autre garce va me faire passer un mauvais quart d'heure, et pas dans le sens où je voudrais. Ah, ils doivent se bidonner, les gars d'en bas...


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Je vois Adriana qui se regarde toujours dans le miroir, on dirait qu'elle ne comprend pas bien ce qui vient de lui arriver. Tu m'étonnes ! Sur une échelle orgasmique de 1 à 10, tu étais au moins à 50 et tu n'as même pas touché à ta chatte.


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D'ailleurs, en parlant de ça... il n'y aurait pas moyen que tu me la montres un peu ta petite chatte ?

Je n'ai pas le temps d'y penser que la porte s'ouvre à la volée. Lisa entre dans la pièce comme une tempête, et elle a pas l'air très content (tiens, elle s'est changée !).

- Putain de bordel de merde, Simon ! aboie-t-elle. Mais qu'est ce que tu as foutu, triple abruti ? Et qu'est-ce que tu fous la bite à l'air ?


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Merde je l'avais oubliée dans la précipitation, celle-là. Tout penaud, je la range vite fait et mes yeux se fixent sur la pointe de mes baskets. Forcément, elle a très bien compris ce qui s'est passé. J'essaye de bredouiller quelque chose :

- C'est...
- La ferme !

Les aboiements continuent :

- La ferme, crétin !


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Elle s'approche de moi, me chope le menton d'une main ferme et m'oblige à la regarder dans les yeux. Son ton se fait moins fort mais plus dur :

- Écoute-moi bien, espèce de vaurien. Ici, ce n'est pas la foire à la saucisse ! Ici, on bosse ou on se casse. Tu sais que tu m'as foutue dans la merde ? J'ai des comptes à rendre, moi. À ton avis, qui est-ce qui va s'en prendre une sur les doigts quand les gars d'en bas et moi auront déballé nos versions devant le Boss ? C'est pas les gars d'en bas, crois-moi, et c'est pas toi non plus.
- Je... je suis désolé


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Je bredouille comme un con.
- Tu es désolé... tu es désolé ! Je te file les mauvais papiers pour voir comment tu réagis et comment tu t'en sors, et tu es désolé d'avoir foutu une merde sans nom. C'est magnifique !

Elle secoue la tête. Je me sens vraiment très con.


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- Ressors ta bite, Simon, me lance-t-elle.
- P... pardon ?

Je la regarde, baba. J'ai mal compris, ce n'est pas possible autrement !

- Qu'est ce qu'il y a ? Tu es devenu sourd à force de t'astiquer devant l'écran ?

Elle me répète, en détachant bien chaque mot :

- Ressors - ta - bite - Simon.


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La vache... on est tombé dans la quatrième dimension ! Je fais une grosse connerie, elle m'engueule comme un chien, et maintenant elle veut que... OK, j'ai compris, elle veut m'humilier, c'est ça ?

- Écoute, Simon, la fille n'est pas morte, elle s'en remettra.

Sa voix se fait d'un coup toute suave et elle continue en susurrant presque :

- Maintenant, j'aimerais que tu sois un amour et que tu ressortes ta jolie queue. Il y a bien au moins une chose dans laquelle tu es bon, non ? Tu me dois bien ça, et ce n'est pas comme si tu n'avais pas rêvé me l'enfoncer bien profondément, quand tu matais mon cul !


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Elle marque une petite pause et conclut, en se penchant tout contre le creux de mon oreille :

- N'est-ce pas, mon petit Simon ?

Ça y est, je beugue. Elle veut vraiment que je la baise ? Wow... elle veut vraiment que je la baise ! Mais qu'est ce que tu cherches à comprendre, abruti de Simon ? Fonce ! Saute-la, cette belle garce et son cul de déesse ! Tu veux une invitation écrite ou quoi ?


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Ça va, je me rends ! Je dézippe mon pantalon, y fourre ma main et en ressors ma queue, boules comprises, pour exposer le tout à la vue de Lisa. Vache, ça fait bizarre ! Je vois ses yeux s'agrandir, sa bouche s'entrouvrir... y'a pas de doute : ça l'excite ! Et de la voir s'exciter le regard posé sur mes parties, moi ça m'excite encore plus, je n'y peux rien.

D'un coup, enhardi, je lui lance :
- Viens me sucer, ma belle.

L'instant d'après, je me dis que je vais m'en prendre une sévère, mais devant mes yeux ébahis elle s'exécute. Elle se met à genoux devant moi, attrape vigoureusement ma bite à sa base, d'une main, et pose ses lèvres fermées contre mon gland. Qu'est-ce qu'elle fout... elle me caresse le bout sans ouvrir les lèvres ; on m'avait jamais fait ça, mais c'est bon ! En fait, non : la garce se caresse la bouche avec mon bout, c'est plutôt ça. Elle a les yeux fermés et elle a l'air d'adorer ce qu'elle fait.


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Sa main me serre fort. Je commence à bander sérieusement et elle, elle continue son petit manège. Quand je suis bien dur, tout à coup elle presse ses lèvres plus fort contre ma bite, toujours sans les ouvrir. Je ne comprends pas trop où elle veut en venir, mais j'aime bien ! Elle presse de plus en plus fort, de plus en plus fort, et là je vois ses lèvres doucement s'entrouvrir et ma bite dure et douloureuse se frayer son chemin dans sa bouche comme dans un vagin de pucelle. J'en ai des frissons partout tellement c'est bon.


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Elle commence alors à me sucer, d'abord lentement, puis plus vite, plus fort. Ma bite me fait mal. Elle va me l'exploser ! Sa langue s'enroule autour de mon membre, le lèche sur toute sa longueur à l'intérieur de sa bouche ; elle me fait un truc de fou !

Je résiste un moment, puis je n'y tiens plus. Je la repousse, je la chope sous les bras, la relève et la pousse brutalement à quatre pattes. Elle est là, complètement nue, son fabuleux cul bien ferme offert à quelques centimètres de ma queue dressée et détrempée de sa salive. Dans ma tête ça cogne à tout rompre, et dans ma bite brûlante je sens chaque poussée de sang que lui envoie ma pauvre pompe.


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C'est maintenant ou jamais, mon petit Simon. Je l'agrippe à la taille, je me colle à elle et je presse mon sexe contre l'entrée de son petit trou qui ne demande qu'à s'élargir et à m'avaler. Je me retrouve tout au fond d'elle ; je me mets à la pilonner, de plus en plus vite, de plus en plus fort, comme une bête sauvage.

Elle chante de plaisir, la salope ! Je n'ai jamais rien ressenti d'aussi dément de ma vie. Dans son cul, c'est voluptueux, c'est chaud, c'est incandescent même, c'est comme si sa chair intime me taillait la pipe du siècle.


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Je vais exploser, je n'en peux plus. J'éjacule au fond de son cul en beuglant comme un sourd.
Je ressors ma queue qui asperge encore ses fesses de jets de sperme puissants.


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Mais ça ne s'arrête pas. Ma queue est restée dure et les entrailles de la belle continuent à l'aspirer au plus profond d'elle. Alors je m'y remets, avec toute ma fougue.

La pauvre Lisa chiale comme une fillette, et moi je commence à ne plus y voir jour tellement mon cerveau est mis sens dessus dessous. J'ai coup sur coup trois orgasmes de folie sortis de je ne sais où...


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et...

*Black out*

Dans ma tête, un air paniqué sur le visage, une adorable petite rouquine aux yeux clairs, la culotte au bas des cuisses et les dix doigts dégoulinants, vient d'enfoncer le bouton rouge...


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