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Adapté de
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb184/reve18431.html
"Le billet doux" d'OlivierK (22 juin 2018) « Je m'autorise à glisser ce mot dans ta boîte à lettres, car je ne doute pas qu'il sera accueilli avec bienveillance. Les regards échangés et les sourires pleins de promesses m'ont fait comprendre que nos cœurs battaient déjà à l'unisson. Si follement pour le mien que je ne saurais le décrire ni, a fortiori, l'écrire d'une main qui tremblerait trop. Voilà pourquoi je me sers d'un ordinateur. Que nos corps s'unissent enfin, c'est mon plus cher désir. Il est partagé, ce désir, je n'en doute aucunement. À très bientôt, amour ! » Quel drame, si Ève était rentrée la première ! pensa Vincent. La fatuité de son sourire amusa sa voisine qui sortait de l'ascenseur. ![]() images similaires Ils se saluèrent poliment, comme d'ordinaire. Ce ne peut pas être elle, pensa Vincent, car elle n'aime que les femmes... Dommage, d'ailleurs ! Plus tard, assis dans le salon, il relut la lettre. Lisa, pensa-t-il. C'est Lisa, cette jeune collègue de bureau si aimable ! Vincent vivait avec Ève depuis un an déjà. Au début, ils faisaient l'amour tous les soirs, et aussi dans la journée, les week-ends, etc. ![]() images similaires Ève n'était pas du tout frigide, loin de là. Mais une certaine lassitude n'avait pas manqué de s'installer, c'était inévitable, et ils faisaient l'amour de plus en plus rarement. Ce jeudi-là, donc, Vincent relisait le billet anonyme qu'il avait trouvé dans la boîte aux lettres de leur studio quand il entendit l'ascenseur s'arrêter à leur étage. Il mit aussitôt le papier dans son portefeuille. Ève vint l'embrasser et lui demanda s'il avait passé une bonne journée. Excellente, répondit-il. Après avoir dîné, ils firent l'amour. ![]() images similaires Fermant les yeux, Vincent imagina qu'il baisait avec Lisa. Il en eut un surcroît de plaisir. ![]() images similaires Le lendemain, sous un prétexte fallacieux, il demanda à Lisa de descendre aux archives avec lui. Là, d'autorité, il la prit dans ses bras en murmurant des mots d'amour. Elle le repoussa en lui disant qu'il était fou. Oui, fou de toi, répondit-il en lui présentant sa bite tendue par le désir. ![]() Eh bien, pas moi ! répliqua-t-elle, ajoutant que s'il abusait de son autorité (il était en effet son supérieur hiérarchique) elle porterait plainte pour harcèlement sexuel. Il la pria de l'excuser : je ne sais pas ce qui m'a pris, je ne recommencerai pas. Je l'espère bien, répondit-elle. Bon, pensa-t-il, puisque ce n'est pas Lisa, qui est-ce ? Il fit force sourires au personnel féminin de son bureau. Ces dames et demoiselles trouvèrent qu'il était de bien bonne humeur et lui rendirent ses sourires, mais aucune ne manifesta le moindre désir de batifoler avec lui. ![]() images similaires Dans son portefeuille, le mot d'amour lui brûlait le cœur. Il repensa à sa voisine, lesbienne. Elle pouvait avoir envie d'autre chose... Il la guetta à la sortie de l'ascenseur, fut très aimable, manifesta une galanterie de bon aloi, et se heurta à une glaciale indifférence. ![]() images similaires Ne se serait-on pas trompé de boîte ? C'était peu probable. Et soudain, il comprit ! Il aurait dû y penser plus tôt. Ce billet était destiné à Ève ! Il n'avait jamais douté de sa fidélité, elle était tellement amoureuse de lui, mais sa gentillesse naturelle, les sourires dont elle n'était pas avare, avaient pu induire en erreur un mâle avide de chair fraîche ! D'ailleurs, il ne s'était rien passé, le billet doux le prouvait abondamment. Il voulût néanmoins s'assurer de l'innocence de sa compagne en remettant le mot dans la boîte à lettres. Elle n'allait pas manquer de le lui montrer en se moquant de son auteur, qui se faisait de douces illusions.... Or, le soir venu, elle ne lui montra pas le billet ! Il avait été naïf, trop confiant, trop sûr de lui. Elle allait sans doute très bientôt se donner à cet homme qui évoquait des « sourires pleins de promesses ». ![]() images similaires Les mains de ce salaud la déshabilleraient, ses lèvres picoreraient ses seins, sa langue lécherait sa chatte, exciterait son clitoris, sa bite entrerait en elle... C'était atroce ! ![]() Mais il bandait comme jamais à cette idée ! Était-il maso ? En tout cas, il désirait Ève comme aux premiers jours de leur liaison. Ils firent donc de nouveau l'amour tous les soirs. Mais si elle ne se refusait jamais à lui, c'était peut-être pour mieux le tromper dans l'après-midi, se disait-il. ![]() images similaires Le samedi suivant, la nuit venue, alors qu'elle l'attendait nue sur le lit, il fit mine d'envoyer un SMS, ouvrit la porte du studio, éteignit les lumières et annonça à Ève que quelqu'un qu'elle connaissait allait venir. Il laissa passer quelques minutes puis, dans le plus profond silence, caressa ses seins, lécha sa chatte et la pénétra plus brutalement que d'ordinaire. ![]() images similaires Les gémissements de sa compagne lui prouvèrent qu'elle appréciait beaucoup. Après avoir lui-même copieusement pris son plaisir, il sortit du lit, attendit avant de rallumer la lampe de chevet et alla refermer la porte. Il dit ensuite à Ève qu'elle venait de baiser avec un de ses collègues... ![]() Si ça t'amuse de le penser, répondit-elle en riant, mais moi je sais très bien que je viens de faire l'amour avec toi ! Baiser ou faire l'amour, Ève connaissait la différence. Jouait-elle la comédie ? Quant à lui, il avait été fort excité en prenant la place d'un éventuel amant de sa compagne. Alors, si cet homme venait pour de bon...? Celui-ci ou un autre ! Si elle le trompait déjà, Ève n'en serait pas à un amant près ! Il avait un voisin de bureau prénommé Simon, chef de service comme lui, et passablement dragueur. Il décida de l'inviter à dîner, non sans lui avoir fait croire que le couple qu'il formait avec Ève était très libre, que chacun faisait ce qu'il voulait et que l'autre ne s'en formalisait pas. Il serait épouvantablement jaloux et souffrirait sans aucun doute si, sous ses yeux, Ève et Simon baisaient ensemble, mais il banderait comme un âne. Il ne se connaissait pas aussi pervers, mais c'était ainsi... Voilà pourquoi il annonça à sa compagne qu'il avait invité un de ses collègues, célibataire et très sympathique, à venir dîner le vendredi soir suivant. Ce soir-là, Ève quitta la tenue qu'elle portait pour le boulot. Avec surprise, elle s'aperçut que ces tétons étaient très excités. Elle mit ça sur le compte de son soutien-gorge pigeonnant qui mettait en valeur sa magnifique poitrine et qui était vraiment très décolleté. L'extrémité de ses seins était ainsi excitée par le frottement avec son chemisier en soie. ![]() Elle avait pour habitude de prendre une douche rapide et de se mettre à l'aise. Sortant nue de la salle de bains, elle étala sur le canapé quelques sous-vêtements, pour mieux choisir ceux qu'elle allait mettre. ![]() images similaires Vincent s'approcha d'elle, ses lèvres firent gonfler ses petits tétons roses et aspirèrent son mignon clitoris. ![]() images similaires C'est alors que Simon sonna à la porte, juste à l'heure prévue. Vincent alla aussitôt ouvrir, pendant qu'Ève s'emparait de sa robe et se précipitait dans la salle de bains. ![]() images similaires Débarrassé de la bouteille qu'il apportait, Simon fit part de son impression d'être arrivé au mauvais moment. N'avait-il pas entrevu un corps féminin nu se hâtant de disparaître ? De bien jolies fesses, d'ailleurs, apprécia-t-il. ![]() images similaires Vincent le rassura, ils n'en étaient qu'aux préliminaires et Ève était restée sur sa faim. Je fais tout pour être cocu ce soir et je le regretterai peut-être, se dit-il... Mais ne l'était-il pas déjà, cocu ? Et ne bandait-il pas en pensant à ce qui allait se passer ? Les tétons de Ève pointaient sous la soie légère de son corsage quand elle rejoignit les deux amis, qui commençaient à boire un verre. ![]() images similaires Simon se leva et lui fit deux bises ordinaires. Elle lui souhaita la bienvenue. Quand les verres furent vides, y compris celui d'Ève, elle affirma en se levant qu'il était temps de finir de préparer le repas. Simon ne quittait pas du regard les fesses de Ève, étroitement moulées par sa robe. Nulle trace de petite culotte, dit-il à mi-voix à Vincent. String ? Non, rien, répondit Vincent. ![]() images similaires Elle est très bandante, poursuivit Simon. Vincent confirma ; il bandait lui aussi. Quand Ève se pencha, quelques minutes plus tard, pour déposer le plat sur la table, les deux hommes aperçurent ses deux seins libres sous la soie de son décolleté provoquant. Simon sourit à Vincent, montrant ainsi qu'il appréciait le spectacle, qui se prolongea car Ève servait les trois assiettes. Puis elle prit place à la petite table. ![]() Le repas fut délicieux et... les seins d'Ève dévoilés par son décolleté... ![]() images similaires N'était-il pas taché, son corsage ? Quelques gouttes en effet, concéda Ève, pas grave ! ![]() A la fin du repas, Ève se leva pour préparer du café. En revenant, elle affirma que le rosé de Provence lui avait fait tourner la tête et elle se rassit sans prendre garde à ses seins qui étaient plus que dévoilés... ![]() images similaires Moi aussi, j'ai peut-être un peu trop bu, dit Simon. Il se leva pour aller aux toilettes dans la salle de bains. Quand il reparut, Vincent vit que sa braguette était mouillée. ![]() images similaires Il s'est lavé la bite, se dit Vincent... Cette bite qui sera bientôt entre les lèvres d'Ève... Il alla faire pareil, car il n'allait évidemment pas se contenter de les voir baiser, il comptait bien participer. Quand il revint, Simon avait déboutonné presque complètement le corsage d'Ève et était en train de lui confier que, depuis qu'il avait entrevu ses seins, il mourrait d'envie de les caresser, et plus encore. Il en pinça délicatement les pointes, puis y porta les lèvres. ![]() images similaires Peu après, délaissant les seins d'Ève, Simon se mit à genoux, releva la jupe de la jeune fille et approcha ses lèvres puis ses doigts de sa chatte. Ève le laissa faire. ![]() La suite était inévitable, Vincent abaissa le dossier du canapé, le transformant ainsi en lit. Simon y entraîna Ève et lui enleva corsage et jupe. Ainsi nue, elle attend la saillie, pensa Vincent. C'était bestial, atroce et tellement jouissif ! ![]() images similaires Simon fut nu, lui aussi, en un clin d'œil. Sa bite longue et raide entra tout de suite dans la chatte d'Ève. Et han, han, han, quels solides coups de reins suivirent ! Ève restait inerte. Simon grogna en jouissant très vite et se retira d'elle. ![]() Il avait tenté de l'embrasser, elle avait détourné ses lèvres. Il se leva et alla dans la salle de bains. Ève regarda Vincent. Viens, lui lança-t-elle. Il s'approcha. Elle descendit le zip de sa braguette, écarta le boxer et déposa un petit bisou sur le gland dégagé du prépuce. C'est toi que je veux, fais-moi l'amour, imbécile ! ![]() images similaires Quelques minutes plus tard, en sortant de la douche, Simon comprit qu'il était de trop. Il se rhabilla et s'en alla sans dire un mot. Au petit matin vint le moment des explications. Ève demanda à Vincent pour quelle raison il avait remis le billet doux dans leur boîte, prouvant ainsi qu'elle savait qu'il l'avait eu en mains. C'était donc elle qui l'y avait mis. Elle précisa : pas mis, remis, après avoir pensé que c'était lui qui l'avait écrit, ce foutu billet. Un piège, sans doute. Vincent démentit. Il avait certes remis le billet dans la boîte, mais ce n'était pas lui qui l'avait écrit. Ève répondit qu'en effet, si elle avait d'abord cru qu'il en était l'auteur, elle avait vite changé d'avis, car leur voisine, un jour, l'avait priée de venir dans sa chambre sous un prétexte futile. Là, elle l'avait draguée en avouant avoir écrit le billet doux. C'était juste après avoir quitté cette voisine que, le soir venu, elle avait constaté que le billet en question était revenu dans la boîte ! Voilà qui était amusant... Vincent s'insurgea : le soir venu ; elle avait donc passé l'après-midi avec cette lesbienne ! ![]() Avec Corinne ? mais bien sûr ! confirma-t-elle. Et alors ? Allait-il se montrer jaloux, lui qui venait de la jeter dans les bras de Simon ? À ce propos, qu'il la laisse à l'avenir choisir avec qui elle le ferait cocu, s'il tenait absolument à l'être, cocu ! Mais cocu, il l'était déjà, répliqua-t-il puisqu'avec cette Corinne... C'est de la bagatelle ! tempéra Ève. Avait-elle joui ? demanda Vincent. Elle refusa de répondre. ![]() images similaires Avaient-elles recommencé ? Mercredi prochain, dans l'après-midi, il n'était pas impossible que... Mais alors, non, mille fois non, hors de question que Vincent n'aille pas au bureau ce jour-là et participe à leurs ébats ! Ève avait bien droit à son jardin secret, quand même ! ![]() images similaires |