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La Pourpre et l'Or : 1 - Le marché aux esclaves >>> Episode suivant

Grossequeue37
14 août 2018
La Pourpre et l'Or

Chapitre 1 - Le marché aux esclaves

54 après Jésus Christ.

L'Empereur Claude est mort. Assassiné. Tout comme son fils, Britannicus.

Ainsi accéda au trône l'Empereur Néron.

Sitôt acclamé par les cohortes prétoriennes, une douce euphorie flotta sur la cité et particulièrement chez les patriciens. L'Empereur étant très jeune, ils allaient pouvoir récupérer leur ancienne puissance et prendre les destinées de l'Empire en main.

Accoudée au balcon de sa villa à quelques stades de Rome, Poppea Sabina réfléchit. L'avènement du jeune Empereur est une aubaine. 


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Aucun homme de Rome n'a jamais refusé ses avances. Âgée de 30 ans, des cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules, des seins généreux ornés de tétons gracieux qui se dressent à la moindre brise, des cuisses et des fesses musclées à souhait et surtout..  une voix terriblement sensuelle et des yeux verts qui aux dires de ses amants aspiraient la vie. Poppée savait pertinemment être la plus belle femme de Rome.. et elle comptait bien en tirer parti. 

- Mon neveu sera bientôt un homme fait, je dois lui trouver des occupations plus matures. Il lui faudra bientôt choisir entre la Légion, la politique ou les affaires.
- Bah, allons donc faire un petit test..

Poppée, qui entend bien séduire l'empereur et par là-même se débarrasser d'Othon, le vieil ours qui lui sert de mari. 

Fils unique de la défunte sœur de Poppée, Titus avait été recueilli par ce même Othon peu après ses fiançailles avec sa tante. Il n'avait alors que 4 ans. Nul n'a jamais pu déterminer avec certitude qui était son père.

- Titus ?! Viens par ici !
- Oui ma tante ?
- Comme tu le sais j'ai affranchi nos derniers esclaves, car je ne souhaite plus tremper dans cet infâme commerce. Cependant j'ai bien conscience qu'il me faudra en racheter d'autres car je ne pourrai te guider à plein temps lorsque tu seras une homme fait. Tu as beau avoir revêtu la toga virilis depuis maintenant un an, tu ignores encore tout de ce qu'est Rome et de ses exigences pour un homme de notre famille.
- Bien, comme il te plaira, quand partons-nous ?
- Sur le champ.

Regardant son neveu marcher devant elle, elle songea:
- Quel bel enfant.. la moitié des filles de Rome doivent mouiller leurs cuisses rien que de penser à lui.. il me faudrait peut-être anticiper le problème d'ailleurs, les hommes sont si faibles..

Devenu un jeune homme, Titus était beau. Mais pas seulement. Tout comme sa tante, il était doté d'un charme assez unique. Certes sa haute stature, sa voix profonde et ses muscles saillants ne gâtaient rien mais ce qui fascinait le plus était son intelligence hors du commun. Le jeune homme paraissait toujours avoir trois coups d'avance sur son monde.

La voix de son neveu la tira de ses réflexions.
- Nous y sommes.
C'était jour de marché, la foule se pressait sur le Forum. Égyptiens vendant des papyrus, Carthaginois proposant leur verre à grand cris, Phéniciens tentant d'entourlouper de jeunes naïfs, Perses à la peau sombre, Grecs en chiton de lin, Gaulois parlant fort pour vendre les chefs d'œuvre sortis de leurs forges, toutes les nations de l'empire y étaient représentées.

Poppée et Titus se dirigèrent vers la partie du marché où étaient regroupés les vendeurs d'esclaves.

L'ambitieuse matrone eut alors une idée:
- Mais oui... je vais faire d'une pierre deux coups: lui apprendre à se comporter en homme et.. vider ses couilles beaucoup trop remplies par personne interposée.

Puis elle songea:
- Quand j'y pense, je ne l'ai jamais surpris à se branler.. à son âge, malgré tous les interdits je le faisais depuis bien longtemps..
- Je n'ai pas non plus trouvé de trace de sperme dans ses draps et Melitta, mon ancienne esclave, n'en a pas trouvé non plus.
- Je ne l'ai même jamais surpris la queue à la main, c'est à peine si je l'ai déjà vu en érection au matin.. Quelle queue d'ailleurs.. Heureusement que j'ai pris soin d'en prendre les mesures pendant une nuit. Ce genre d'information est crucial pour trouver la femme adéquate. Une colonne de chair longue de 23 centimètres, large à tel point que sa main n'en faisait pas le tour. Plus bas, deux bourses, qui, au grand dam de sa tante, demeuraient pleines depuis sa naissance.
- Que ne l'ai-je éduqué moi-même sur ce plan là.. Je suis sûre qu'il m'aurait fait merveilleusement jouir. Il faut vraiment que je m'occupe de cela, sinon la première traînée qui voudra me l'enlever n'aura qu'à le sucer pour obtenir de lui tout ce qu'elle voudra.

Son neveu se contentait de flâner, lui aussi perdu dans ses pensées. Le tirant à son tour de ses rêveries, elle lui prit le bras et lui demanda ce qu'il souhaiterait faire une fois qu'il aurait l'âge de voler de ses propres ailes.

Comme elle s'en doutait, il ne jura que par la carrière des honneurs et aspirait à devenir sénateur. En tante prévenante, elle commença alors à lui prodiguer des conseils pour quand il entamerait sa carrière politique.

Son regard fut alors attiré par un marchand d'esclaves qui semblait particulièrement bien achalandé. Arrêtant son neveu, elle décida alors de placer ses pions :
- Titus, te voilà un homme fait, agis comme tel. Je t'offre trois esclaves. Choisis avec soin car ils te guideront jusqu'à ta mort... ou la leur.  Je ne te demande qu'une chose : choisis au moins une femme parmi eux. Je ne tiens pas à me retrouver seule à la maison, uniquement entourée d'hommes.  

Le visage du jeune homme s'éclaira et sa bouche se fendit d'un grand sourire de reconnaissance. Après avoir remercié sa tante, Titus s'avança alors vers l'étal.

Les marchands le fixaient avec des yeux chargés de convoitise. Un jeune patricien plein aux as, voilà qui pouvait les assurer de rentrer avec une petite fortune en poche.
- Salutations jeune romain, que désirez-vous ? Un thrace ou un gaulois à faire combattre dans l'arène ? Une égyptienne pour vider vos bourses ? Un grec pour éduquer votre futur gamin ? Dites moi tout !
- A dire vrai, je me contentais d'observer.

Déçu, le marchand se renfrogna.
- Comme il vous plaira, jeune maître, comme il vous plaira, prenez tout votre temps !
- J'y compte bien.

Titus n'avait aucune estime pour ces gens, qui vivaient de la guerre, de la misère et de la cruauté du monde. Pour autant, étant de nature assez cynique, il voyait très bien quels bénéfices il pouvait tirer de trois esclaves. Un jour son père adoptif lui avait dit « un bon Roi sait ce qu'il sait.. et ce qu'il ne sait pas. ». Sage conseil, songea-t-il.

Levant les yeux vers le groupe d'esclaves, il remarqua un gaulois géant, de plus de deux mètres estima-t-il. Comme tous les esclaves, il était pratiquement nu. Il n'avait pour tout vêtement que des spallières en cuir. Pour le reste, son corps s'offrait aux regards de la foule.


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Devant l'insistance du regard de Titus, le marchand revint vers lui, espérant enfin tenir sa proie.
- Ce gaulois vous plaît ? Vous avez bien raison, c'est un déserteur de la Légion, d'ailleurs ils doivent bien le regretter à l'heure qu'il est, outre sa taille c'est la plus fine lame que j'aie jamais vu ! Quand je l'ai recueilli il sortait d'une rixe dans un bordel. Même ivre, il est parvenu à fracasser sans peine six hommes à lui tout seul ! En outre, sachez qu'il a beaucoup voyagé et qu'il sait se battre avec la plupart des armes existantes. Vous ne le regretterez pas, je vous le garantis !

Poppée, s'étant placée en retrait depuis le début de la scène, ne pouvait pas s'empêcher de fantasmer sur le gaulois. Doté de muscles en acier, l'homme arborait une épaisse barbe brune et un regard où étincelait une ombrageuse fierté. .. et sa nudité n'arrangeait rien à l'état de son admiratrice.

S'avancant vers son neveu, elle héla le marchand :
- Comment s'appelle-t-il ?
- Crixus, madame.
- Titus, la décision te revient mais.. songe qu'un tel homme peut avoir de nombreuses utilités : il t'apprendra à te battre mais il pourra aussi te protéger si la situation l'exige. Et tu sais combien il peut être précieux d'avoir un garde du corps pareil par les temps qui courent..
- Il est vrai. Marché conclu. Dis moi ton prix, marchand d'esclaves.
- Attendez jeune homme, bien évidemment ce gaulois est cher mais je consentirais à vous l'accorder à un moindre prix si vous me gratifiez d'une commande plus étendue. Si ce n'est pas indiscret, combien souhaitez-vous d'esclaves ?
- Trois, intervint Poppée.
- Fort bien, suivez moi, je pense avoir de quoi vous satisfaire. Retrouvez moi à Ostie, vous ne le regretterez pas. D'ailleurs, pour le simple coût de ce trajet, je vous offre cent sesterces de remise sur le gaulois, qui vous y accompagnera.
- Ce qu'on dit des phéniciens est donc vrai, tu es habile commerçant l'ami. Nous te rejoindrons au port. Crixus, nous t'attendons.
Le gaulois opina, un léger sourire flottant sur son visage.
- Dominus.

Poppée devait absolument changer de robe. Ses cuisses étaient dégoulinantes à force de fixer le gaulois. Un simple regard vers son sexe l'avait faite chanceler. Ce sexe démesurément long et gros qui pendait entre ses cuisses. Plus long et plus gros encore que celui de son neveu. Elle ne pouvait s'enlever de la tête l'image de ce que donnerait cette énorme queue une fois durcie par l'excitation... Elle la voulait dans sa bouche.. Il fallait absolument qu'elle goûte cette queue !


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Puis de s'empaler dessus et de le baiser comme la femelle en chaleur qu'elle était à cet instant.


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Elle n'avait désormais qu'une idée en tête : Jouir. Se caresser.. non, se branler jusqu'à s'offrir un orgasme si puissant qu'elle en tomberait à la renverse.


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- Titus, pouvons-nous rentrer ? La chaleur m'accable et j'aimerais me désaltérer.
- Très bien, de mon côté, je vais aux jeux du cirque. A ce soir très chère, emmène Crixus avec toi, je tiens à ce qu'il assure ta sécurité.

Son neveu venait sans le savoir de déclencher un torrent d'excitation entre ses cuisses. Othon étant au palais impérial, elle avait le champ libre pour s'offrir la queue de Crixus. Alors que son neveu s'éloignait, elle articula péniblement, d'une voix râpeuse :
- Viens Crixus, nous rentrons à la villa, je te ferai faire le tour du propriétaire et je te montrerai là où tu dormiras.

Une fois arrivés à la villa, elle commença par lui expliquer le fonctionnement de la maison avant d'énoncer une règle inédite :
- En raison de la chaleur, tout le monde vit nu à la villa. J'espère que cela ne te dérange pas ?
- Non domina, bien au contraire.
- Parfait.

Se mettant elle aussi nue, elle en profita pour aguicher un peu le mâle qu'elle avait sous la main, espérant découvrir enfin les dimensions de sa queue une fois en érection. Elle sortit dans le jardin puis fit mine de remettre de l'ordre dans ses cheveux, faisant saillir ses seins aux tétons durcis.


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En tant que matrone, elle ne pouvait se jeter sur sa queue directement telle une femelle en chaleur. Il lui fallait un prétexte..

- Crixus ?
- Oui domina ?
- As-tu des vêtements à te mettre malgré tout ? Au cas où nous aurions à sortir pour une durée prolongée ?
- Non domina.
- Je t'en prie, appelle moi par mon nom, je m'appelle Poppée.
- Comme vous voudrez.. Poppée.

Elle sentit que le gaulois était de moins en moins hermétique à ses charmes. Sa queue commençait à durcir mais, manifestement, il tentait de se contrôler, sans doute de peur d'être châtié. La matrone poursuivit :
- Vu que tu n'as plus de vêtements, je dois t'en faire confectionner de nouveaux. N'ayant plus d'esclaves je dois prendre les mesures. Tu permets ?

Sans lui laisser le temps de répondre, elle rentra dans la villa, s'empara d'un mètre de couturier avant de le mesurer dans tous les sens. S'attardant sur son entrejambe elle décida alors de frapper la première.
- Je vais aussi ordonner que l'on te fasse des sous-vêtements. Pour cela je dois avoir certaines mesures..
- Quel genre de mesures ? Demanda Crixus en la fixant d'un air interrogateur.
- Eh bien.. pour que tu ne sois pas indisposé si un accident devait t'arriver, je dois mesurer ta queue.. dure.

Le fixant droit dans les yeux, elle enchaîna d'une voix terriblement sensuelle et empreinte de péché :
- Crixus.. Branle toi. Je veux te voir dur.
L'esclave resta d'abord bouche bée avant d'obtempérer, se branlant prudemment, peinant encore à réaliser ce qui était en train de lui arriver.

Poppée décida alors de pousser son avantage et de torturer ses bourses. Elle avait envie de faire bouillir son sperme, elle le voulait prêt à éjaculer. Depuis toujours, si elle avait un vice, c'était bien celui de rendre les hommes précoces... Elle aimait cette sensation de domination, de pouvoir absolu sur les mâles. Elle se plaisait également à les humilier quand son humeur l'y poussait.
- Dis-moi Crixus, je dois aussi savoir, tes bourses sont-elles pleines ? Tu comprends, pour fabriquer des sous-vêtements, il faut que je sache si elles peuvent encore enfler..

Cette fois, les dernières résistances du gaulois s'effondrèrent. Sa queue s'allongea, devint dure comme l'acier. Elle était énorme. Démesurée. Poppée était bouche bée. Ses plans changèrent en un instant. Tant pis pour son sperme. Elle verrait plus tard. Là elle voulait cette énorme queue en elle. Maintenant.


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La bouche sèche, le gaulois parvint encore à articuler :
- Cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu droit aux plaisirs de la chair, pas même seul, domina.

Un sourire carnassier étira les lèvres de la romaine. Elle se redressa. Crixus n'en pouvait plus. Elle était sublime. Altière. Indécente. Majestueuse. Elle avait tout. Des cheveux blonds tombant en cascade le long de ses épaules, des lèvres charnues appelant aux baisers, des yeux verts étincelants de malice, des seins généreux, une croupe à faire bander une légion entière de pédérastes convaincus.. Poppée était un véritable appel à la luxure.

Lassée de jouer, elle décida d'en finir :
- Parfait, il se trouve que j'ai très soif et que je n'ai plus été satisfaite depuis un moment. Esclave ?
- Oui domina ?


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- Baise moi. Maintenant.


Le sang du gaulois ne fit qu'un tour. Il la pénétra sans préliminaires. Poppée hurla de plaisir et de soulagement.


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Elle était déjà trempée. Son sexe est un véritable volcan. Son vagin broie la queue du gaulois. Jamais il n'avait connu pareille extase.

Le gaulois la baisait comme un animal. En levrette. Poppée était secouée par la vigueur de son amant et la puissance de ses coups de queue.


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Cette queue.. ô par Vénus et tous les dieux elle en redemandait encore. Elle le supplia d'accélérer la cadence, de la baiser encore plus fort.


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Crixus s'exécuta. Cette romaine était décidément une véritable chienne.. il fallait la dresser. La rendre accro à sa queue comme à une drogue dure.


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Il la baisait fabuleusement bien. Ce gaulois était décidément paré de toutes les qualités.. Poppée sentit le plaisir monter.. monter encore.. Elle n'en pouvait plus. Elle allait jouir !


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Crixus le sentit. Poppée gémissait de plus belle. Excité comme jamais par les hurlements de plaisir de sa partenaire, il accéléra encore ses coups de bite. Il n'en pouvait plus. Il était une bête en rut. Il sentit le vagin en fusion de son amante se contracter encore et encore...

Poppée jouit alors en hurlant de plaisir.


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Dieux que c'était bon. Elle n'avait jamais été baisée comme ça. Aucun de ses anciens amants n'arrivait à la cheville de ce gaulois. 

Elle s'effondra sur sa couche, sonnée par l'orgasme.

Abasourdie, elle constata que Crixus n'avait pas encore joui.. elle hésita longuement...

Le sucer sans aucune pitié pour lui prendre son sperme ? Lui demander de l'enculer ? Le baiser ?

Oh oui.. le baiser. Il l'avait baisée comme une femelle en chaleur. A elle de le baiser, en domina cette fois.

Poppée l'attira dehors. Dans la longue liste de ses vices, l'exhibition était l'un de ceux qu'elle affectionnait le plus. Elle ne lui laissa pas le temps de réfléchir. Tout en s'installant sur lui, elle empoigna sa queue toujours dure et l'inséra en elle en le fixant de ses superbes yeux verts.


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Ce simple regard suffit à faire comprendre à Crixus qu'il ne pourrait jamais rien lui cacher. Ces deux émeraudes qui le fixaient semblaient lire en lui comme dans un livre ouvert et percer à jour ses plus noirs secrets sans le moindre effort.

Cette baise était incroyable. Poppée eut son 2e orgasme très rapidement. Elle sentit alors la queue de son amant s'agiter. Il n'allait plus tenir très longtemps.
- Tu baises comme un dieu, esclave. A partir de maintenant ta queue sera à mon service, ton sperme m'appartient !
- Tu ne pourras baiser que moi ou celles que je t'ordonnerai de baiser.
- Tu ne pourras pas te branler à moins que je te l'ordonne.
- Ta queue devra toujours être dure devant moi.
- Ton sperme devra gicler dès que j'en donnerai l'ordre.
- Compris esclave ?

Crixus parvint à articuler un oui dans un râle de plaisir.
- Bonne réponse.

Elle le baisa alors pour obtenir son sperme. Elle le chevaucha encore plus durement.


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Le sentant proche du point de non-retour, elle accentua ses gémissements et s'empala sur sa queue jusqu'aux couilles.


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Elle réalisa soudainement qu'elle ne lui avait pas donné l'ordre de gicler. Cette fois c'en était trop. Elle avait soif de sperme !
- Esclave ! Donne moi ta queue, je veux la sucer ! Gicle dans ma bouche ! Ne te retiens pas, je veux ton sperme !!!


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Elle le suça sans pitié. Sa bouche exerçait une pression folle sur sa queue Sa langue tournoyait autour du gland, happant chaque goutte de pré-sperme. Sa main droite branlait la hampe tandis que sa main gauche faisait rouler ses bourses. Elle ne voulait pas lui laisser la moindre chance.


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Il ne fut pas long à venir. En quelques secondes à peine, l'énorme queue du gaulois se contracta et libéra un flot de sperme.


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Ne pouvant tout avaler, elle laissa le sperme dégouliner sur son menton et planta son regard dans celui de son amant.


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Soudain, un rire sonore éclata et elle entendit une voix amusée derrière eux:
- Je vois qu'on s'amuse bien par ici !

Son neveu venait de rentrer..
- Je.. Titus ?

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