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Le plaisir retrouvé d'une femme ronde - 1 Cela faisait quasiment un mois et demi que j'échangeais avec une fille, seule, qui n'avait pas connu un homme depuis trois ans. Nous échangions en toute amitié pendant de longues heures, souvent tard le soir. Cette fille n'avait pas confiance en elle et se dévalorisait mais je la trouvais toutefois mignonne. ![]() images similaires Finalement, après quelques hésitations, elle se décidait enfin à me rencontrer un samedi après-midi. ![]() images similaires Elle est là, face à moi. Nous parlons de boulot, je lui raconte des anecdotes, je la fais rire. Elle est sous mon charme. ![]() images similaires Je la regarde mieux. Sa bouche m'excite tant mieux si ça fait grossir un peu ma bite mais attention à ne pas bander tout de même; Je mate ses seins. Ils ont perdu de leur fermeté sûrement, ils commencent à plonger un peu, mais allongée sur le dos, quand je la fourrerai, je suis sûr qu'ils rouleront tout seul. ![]() images similaires Je vise le cul, pas trop gros. C'est mieux. Je n'aime pas les femmes à trop gros cul. Je préfère les culs bien ronds. ![]() images similaires On bavarde, elle se détend, commence même à me draguer. ![]() images similaires Finalement, nous allons chez elle où elle entre dans sa chambre. ![]() images similaires J'attends un peu. Je frappe à la porte de la chambre. Avant qu'elle ne réponde, j'entre. ![]() images similaires Elle me regarde l'air de ne pas comprendre. Je pense qu'elle attendait ma visite sans oser y croire. Je l'embrasse brièvement puis la regarde dans les yeux. Elle est toujours interdite. Je l'embrasse à nouveau, plus longuement, le temps qu'elle passe la main derrière mon cou. Je l'embrasse à nouveau et caresse un sein. Elle commence à s'échauffer. Mais elle résiste encore. ![]() images similaires Et, sans lui laisser le temps de répondre, je baisse les draps et prends un téton dans ma bouche pour le dévorer avidement, pendant qu'une main descend vers la chatte. En y repensant, c'est à partir de ce moment-là que je l'ai définitivement conquise. Elle est vaincue. Elle me caresse la tête les épaules. ![]() images similaires Je suis arrivé à la toison. Je glisse mon majeur entre les deux lèvres, puis un autre doigt pour les écarter et, enfin je me mets à pincer doucement l'abricot. Elle sursaute, écarte les jambes, s'allonge davantage. ![]() J'en profite donc pour descendre en couvrant son corps de baisers, en lui chatouillant le nombril avec la langue, puis, après m'être installé entre les cuisses grandes ouvertes, j'écarte les plis de la moule et commence à la bouffer lentement. Au mouvement de son bassin je ne peux que constater qu'elle apprécie. Elle se retient pour ne pas gémir trop fort mais ne peut réprimer quelques petits grognements parfaitement significatifs. ![]() Aussitôt, je découvre sa fougue. Elle était comme une pucelle plus impatiente que craintive et, au fur à mesure que ma langue lui ravine le con, elle se libère, me caressant les cheveux de plus en plus vite et de plus en plus fort. Puis elle me dit simplement : "Viens". Ce n'est pas un ordre ni une demande, c'est un vœu, un désir, presque une espérance, un rêve qu'elle craignait de voir s'évanouir. ![]() images similaires Je remonte lentement, lui balayant le corps, qui se tord lascivement, de ma langue agressive. Je prends du temps pour les seins tout en fouillant la chatte de mes doigts, et la godant en douceur. Je me glisse dans le cou, puis l'embrasse à pleine bouche. Ses mains se referment sur mon dos avec une force herculéenne, m'emprisonnant dans une étreinte dont je ne devrai sortir que lorsque je l'aurai satisfaite. ![]() images similaires Ma queue tape à l'entrée de l'orifice. J'appuie. J'ai passé mes mains sous ses bras pour saisir les épaules à revers dans le dos et m'appuyer sur elle pour la pénétrer. Elle mouille abondamment et la verge pénètre centimètre par centimètre et à chaque étape c'est le même petit cri, bref mais de plus en plus fort. ![]() images similaires Une fois le gland, et un peu plus, absorbé, je fais aller et venir le chibre à un rythme très lent, en m'appuyant cette fois-ci sur mes bras. Je peux voir ainsi son visage crispé par la douleur puis déformé par le plaisir, la bouche s'ouvrir peu à peu, à mesure que s'ouvre le vagin, et la langue sortir pour se pourlécher les lèvres que, parfois, les dents viennent mordiller. ![]() images similaires Je sens soudain que les digues lâchent et que je commence à pénétrer plus profond alors, sans crier gare, après avoir presque tout retiré, j'enfonce tout d'un coup. Je lui laisse l'initiative. Elle se met à bouger sans s'arrêter de chanter une espèce de mélopée orgasmique. Elle replie ses jambes sur mon dos et me serre si fort qu'elle en plante ses ongles dans mes chairs. La douleur m'excite. Je reprends le dessus et me mets à la démonter en règle. Plus elle progresse vers l'extase, plus elle parle et gémit. ![]() images similaires Je me mets en "point de 8", bras complètement tendus et accélère le rythme. Mes coups de queue sont rapides et violents et maîtrisés. Vaincue par la puissance du pilonnage, elle a laissé retomber ses bras sur le matelas et à chaque coup de bite elle laisse sortir le même son. Comme je l'avais prévu, les gros lolos tanguent, roulent, valsent en cadence. ![]() Nous nous mettons en levrette une position toujours efficace. Moins fatigante, elle redonne un sursaut de puissance. On peut s'appuyer sur le dos de sa partenaire, se cramponner aux hanches, saisir les seins à pleines mains. C'est à cette dernière besogne que je m'emploie profitant de ces lourdes mamelles qui remplissent bien mes paumes. ![]() Ma conquête ne fait plus attention au bruit et s'ébat sans vergogne. On doit l'entendre de la cage d'escalier. Je décide de pousser l'avantage et m'approche du bord du lit, pour me maintenir toujours derrière elle mais en me mettant debout, cette fois-ci, la maintenant fermement par les hanches. ![]() images similaires Après avoir profité longuement de cette position, je sens le moment venu d'éjaculer, je viens, je ne vais plus tarder, me contrôler encore un peu, retarder l'orgasme, profiter au maximum de la tension extrême de mon sexe ; je la bascule sur le lit, en sens inverse, mets à califourchon sur elle et me branle en lui demandant de se maintenir les seins collés l'un contre l'autre pour que je puisse y insérer ma bite en cravate de notaire avant de décharger. ![]() Mon orgasme arrive, intense et je jute abondamment propulsant le sperme bien au-delà des nichons, sur le cou, le visage et même sur le parquet de la chambre. ![]() Je reste là quelques instants à contempler les dégâts tout en caressant les tétons du bout de mon nœud pour bien étaler la sauce. ![]() Ainsi que je l'avais promis, je me remets à bouffer la moule. Je continue jusqu'à ce qu'elle atteigne un nouvel orgasme clitoridien, ce qui ne n'est très pas long. ![]() Et je m'allonge à côté d'elle, en chien de fusil, blotti, mon sexe contre sa croupe et nous nous endormons ainsi. Ainsi passa la nuit. ![]() Le lendemain matin, elle me réveilla en passant délicatement ses doigts sur mon torse, en chatouillant mes tétons. J'émergeai avec une gaule solidement tendue, sous les draps. Je découvris le monstre. Elle se mit alors à me pomper le dard et à me lécher les couilles avec une maîtrise à laquelle je ne m'attendais pas. ![]() Puis, sans que je lui demande, elle vint s'allonger sur moi et vint s'empaler sur mon sexe pour glisser sur la colonne avec fougue. Mes mains pétrissaient ses seins. Elle était libre, belle, ressuscitée. Elle se donnait à moi sans calcul, autant pour son propre plaisir que pour le mien. ![]() images similaires Nous expérimentâmes toutes les positions possibles et imaginables. ![]() images similaires Je l'emmenai sur des terrains encore inconnus, je lui enseignai à faire du bien à un homme. ![]() Nous essayâmes de multiples positions, assis, debout, allongés, sur le côté. ![]() Elle jouissait. ![]() images similaires Elle s'abandonna encore à mille caresses et, pour finir, je voulus à nouveau m'épancher entre ses seins, étant sûr qu'après la dose d'hier elle était définitivement revenue de sa première et légère prévention. Au moment, enfin, où j'allais jouir, elle passa ses mains derrière mon dos, pour m'attirer à elle. Appuyé sur une main, l'autre branlant mon vit, je basculai en avant. Elle s'empara de ma bite et la plongea dans sa bouche, tout en me maintenant fermement par une pression énergique sur les fesses. J'avais compris ce qu'elle voulait et ne fis rien pour me dégager ou la contrarier. Je laissai venir et éjaculai à gros bouillons jusque sur sa luette. L'afflux de sperme la surprit. Elle se dégagea pour ne pas faire une fausse route mais avala tout ce qu'elle voulut. Puis elle reprit mon nœud pour le lécher longuement avec délice réciproque. ![]() Je me levai après l'avoir embrassée à nouveau et sortis de la chambre. Elle était heureuse et me rejoignait pour le petit déjeuner. C'était le début d'une nouvelle relation. ![]() images similaires |