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Legul 14 novembre 2018

Émilie, directrice et traînée de lycée - 7 En effet, je n'ai guère résisté car dès le weekend suivant, un phénomène de manque naquit en moi. Une frustration sexuelle qui grandissait un peu plus chaque jour, malgré de nombreuses séances de masturbation et de godage qui me faisaient du bien mais ne me soulageaient pas vraiment. images similaires Je profitais d'ailleurs de mon petit vibro acheté chez « Adam et Eve » il y a quelques temps, dans un moment de grande solitude, pour m'exercer à la sodomie. Le doigt de Florian me faisait déjà pas mal d'effet et mes souvenirs des deux précédentes tentatives catastrophiques de sodomie avec mon ancien copain me faisais beaucoup appréhender. images similaires Les premiers essais furent douloureux (un peu) et le vibro n'entrait que légèrement dans mon cul. Mais plus je m'exerçais, plus je pouvais enfoncer le gode en moi sans avoir mal. images similaires Mais j'étais loin, très loin de pouvoir endurer un enculage en règle avec le calibre de Florian. Je m'interrogeais également sur cette troublante sensation lorsque j'avais vu et aidé Florian à pisser. Est-ce le côté dégradant ? Est-ce juste une curiosité de passage ? J'avais lutté, je l'avoue, contre l'envie de passer ma main sous son urine... juste pour voir ce que ça fait. Lui n'avait pas résisté et l'avait fait avec moi mais j'essayais de me laisser quelques limites... Le weekend avait pris fin avec toujours autant de frustration sexuelle pour moi si bien que, sans m'en rendre compte sur le coup, je m'étais habillée de manière vraiment provocante le lundi. Mon chemisier moulant et décolleté... ... et ma mini-jupe révélant mes bas (résilles) à chacun de croisement de jambes ne passaient pas inaperçus ! Je dois avouer que, ce lundi-là, je me suis vraiment habillée et comportée comme une salope ! Le soir, à l'internat, je profitais de la moindre occasion pour mâter mes pensionnaires : sous les douches quand j'estimais qu'il y avait trop de bazar et en profitais pour y entrer, dans les couloirs quand ils se rendaient aux toilettes, dans leur chambre lorsque j'y entrais sans frapper pour surprendre un fauteur de trouble... Du coup je mouillais en permanence et j'ai dû me masturber deux fois en cours de surveillance pour me calmer ! Au moment de me coucher, j'exerce une nouvelle fois mon cul avec mon vibro, toujours un petit modèle, mais en me doigtant également la chatte en même temps. Je progressais doucement mais surement ! images similaires Je m'endors en passant et fantasmant sur tous ces jeunes me baisant à la chaine, attendant leur tour pour m'enculer, puis, trop impatients, me prenant tous en même temps, par tous les trous. Dans la nuit, prise de rêves aussi troublants qu'excitants, je me masturbe une quatrième fois pour pouvoir, enfin dormir paisiblement. Je devenais nymphomane, au sens médical du terme... Le lendemain a été calme à part le fait que je dû encore me masturber, y compris à mon bureau pour pouvoir travailler un peu. Durant l'après-midi, je reçus dans mon bureau un élève au comportement assez réservé mais aux résultats prometteurs, pour parler orientation avec lui. Mais je l'ai tellement allumé qu'il n'a pas cessé de me reluquer les seins, les jambes ou les fesses et était en permanence rouge pivoine. images similaires Il faut dire aussi que me pencher vers lui en lui offrant une vue imprenable sur ma poitrine n'est pas très sérieux. Tout comme croiser et décroiser les jambes alors que j'étais assise sur le coin de mon bureau en face de lui, au point qu'il pouvait presque savoir la couleur et la matière de ma culotte... Culotte évidemment trempée, vous vous en doutez ! Et la main que j'ai posée sur sa cuisse pour le rassurer quant à son orientation et qui a provoqué une érection qui se devinait sous le jean ? Etait-ce bien professionnel de ma part ? Peu importait, j'avais rendu fou un gamin et assouvi un peu mon gout pour l'exhibition. Le soir à l'internat, l'ambiance était électrique et les jeunes faisaient un bordel assez pénible, si bien que je n'ai pas eu l'occasion de m'isoler pour me soulager, devant en permanence aller d'une chambre à l'autre pour demander le calme. Celui-ci n'arriva qu'à l'extinction des feux. Je voulais en profiter pour aller me changer et me soulager et je rentre donc dans ma chambre, qui, bizarrement n'était pas verrouillée. Je me dis que j'ai certainement oublié de fermer la porte à clef et je m'apprête à refermer la porte derrière moi. Mais une lumière s'allume alors dans un couloir au fond du bâtiment, indiquant que quelqu'un est sorti de sa chambre. Il est 23h30, je soupir de fatigue mais décide donc de refaire une dernière tournée pour voir si un gamin ne serait pas encore en train de foutre le bordel. Toujours habillée avec mes vêtements de travail (tailleur sexy et ma mini-jupe), j'arpente tous les couloirs en me dirigeant discrètement (j'ai, enfin, enlevé mes talons hauts et marche donc pieds nus) vers l'endroit où la lumière s'est allumée. Arrivée au bout du couloir, je ne vois rien d'anormal et commence à faire demi-tour, soulagée. Mais en repassant devant les douches, j'entends un léger bruit que je n'avais pas perçu à l'aller. L'eau ne coule pas mais en tendant l'oreille, il y a bien un bruit régulier. images similaires J'entre discrètement dans la pièce composée de douches séparées par de courtes parois carrelées mais sans portes ni rideaux (un niveau d'intimité insuffisant selon les normes : des travaux étaient d'ailleurs prévus mais sans cesse reportés faute de crédits). En progressant dans les douches, je découvre alors un élève, celui que j'ai allumé dans mon bureau quelques heures plus tôt, en train de se palucher en reniflant un morceau de tissu. En habituant mes yeux à la faible luminosité, je m'aperçois qu'il s'agit d'un de mes string, celui porté la veille et qui trainait dans un sac à linge sale dans ma chambre. images similaires Ce petit coquin se masturbe en reniflant mes odeurs de sueur et de mouille de la veille. Mon exhibition a dû le rendre fou pour qu'il ose entrer dans ma chambre... Il a les yeux fermés et, sans se rendre compte de ma présence, sniffe profondément mes effluves corporels qui imprègnent la fine étoffe. Son sexe n'est pas gros. De taille moyenne, je dirais. Le jeune en lui-même n'est pas, contrairement à Florian, un beau gosse. Il est de taille moyenne et pas vraiment musclé... Pourtant, ce petit pervers me fait mouiller comme une chienne... Légèrement cachée par un angle de la pièce, j'observe le gamin se branler. Très excitée, je commence par me malaxer les seins au travers de mon chemisier, m'imaginant en train de lui faire les plus perverses des cochonneries. images similaires Puis ma main descend le long de mon ventre et commence à caresser mon entrejambe pour apaiser l'excitation qui y grandit. La main sous ma mini-jupe, je sens mon string devenir moite. Je passe ma main directement sur mon sexe et m'aperçois de mon état : je suis trempée, mon clito est gonflé de désir et chaque effleurement me provoque une décharge de plaisir. images similaires Mais je me suis masturbée des dizaines de fois ces derniers jours et ce n'est pas ça que je veux, là, maintenant. J'ai les yeux rivés sur sa main qui s'active sur sa bite et me lèche les lèvres de désir. Pourquoi ce jeune homme au physique banal m'excite-t-il autant ? Parce que je peux l'avoir sous ma coupe et en faire ce que je veux ou simplement parce qu'il a une bite et que je suis en manque ? Toujours est-il que je craque et décide d'aller vers lui. Je sors de ma cachette improvisée, m'approche du jeune d'un pas souple et discret et, alors juste devant lui, lui demande calmement : - Tu veux que je te donne un coup de main ? images similaires Il sursaute alors en ouvrant les yeux et me regarde alors terrorisé, blanc comme un mort, comme si sa vie venait de s'effondrer. Il cache d'un geste la culotte dans son dos et couvre son sexe de son autre main. - Je... Désolé... Je... Je vais rentrer dans ma chambre... pardon... excusez-moi... je - Montre-moi tout de suite ce que tu caches ! - Non... heu, c'est personnel... - Tout de suite !! Il me tend alors le string. Je feins la surprise : - Mais ? C'est un de mes string !! Tu as fouillé dans ma chambre ?? - Non pas du tout ! C'est... à ma copine... - A ta copine ? Oui... Et d'une, je ne t'ai jamais vu avec une fille dans ce lycée et de deux, ta « copine » ne pourrait pas se payer le quart d'un string de cette marque ! Sérieux, tu te rends compte de ta situation ? Tu es entré dans ma chambre, tu y as volé une chose on ne peut plus intime pour te palucher en la reniflant !! Tu es un sacré pervers ! Le gosse se met alors à pleurnicher malgré ses 17 ou 18 ans... - Je suis désolé... c'est juste que j'ai vu votre porte ouverte et votre sac d'habits sales... j'ai pas voulu faire ça mais j'étais trop excité depuis... - Depuis ? - Depuis... votre bureau... - Mon bureau ? Tu as été excité par notre entrevue ?? dis-je en faisant semblant de ne pas comprendre. - C'est votre tenue, vos jambes... votre main sur ma cuisse... je ne suis pas habitué ! - Ce n'était qu'une main sur ta cuisse...Tu es vierge ? Il garde le silence en regardant par terre. Je le relance : - Dans ta situation, rien ne sert de me mentir... Et être puceau jouerai plutôt en ta faveur. - Oui... - Oui quoi ? - Oui, je suis vierge. Durant toute notre conversation, le jeune, Antoine, dissimulait son sexe avec sa main. La vision de ce jeune homme nu m'excitait... Le voir ainsi en situation de faiblesse me faisait encore plus mouiller. Mais hors de question de le brusquer pour qu'il raconte tout ensuite. Il devait avoir envie de moi comme moi de lui. images similaires - Tu as déjà embrassé une fille ? - Bien sûr !! C'est juste que je ne suis jamais allé plus loin... - Tu t'es déjà fait masturber par une fille ? - Hein ? Non, mais c'est un truc perso de toute façon... - Tu as déjà demandé à une fille de te le faire ? - Non, jamais elle accepterait un truc pareil !! - Tu es sûr ? Les filles adorent branler leur copain pour les faire jouir... Enfin, moi en tout cas, j'adore ça... - Ah bon ? Tant mieux pour vous... Heu, je peux rentrer dans ma chambre maintenant, je me sens carrément ridicule... - Tu ne veux pas plus tôt que je t'aide à finir ce que tu as commencé ? - P... Pardon ? - Pour être franche avec toi, j'ai très envie de te branler et de te faire jouir... ça te tente ? - Vous vous foutez de moi ?? C'est encore un de vos trucs pour allumer vos élèves ? - Pas du tout ! Quand je vous allume, c'est juste pour m'amuser... Là, j'ai vraiment envie de tenir ton sexe entre mes mains et de te voir jouir... Alors, c'est d'accord ? - Bon... - Alors demande le moi ! - Ok. Hum, Madame Bourgeois, est-ce que vous pouvez me branler ? - Si tu insistes... Je m'agenouille alors devant lui et commence à caresser son sexe mi mou. Malgré mes attouchements et ma culotte bien visible dans cette position, son sexe a du mal à reprendre de la vigueur. - Et bien... tu semblais plus motivé tout à l'heure... je ne te plais pas ? - Hum... excusez-moi... je suis juste un peu stressé par... vous... la situation... - Détends-toi... Peut-être qu'un petit encouragement pourrait t'aider... J'ouvre alors mon chemisier et tire sur mon soutien-gorge et relève à Antoine mes gros seins. Tout en le masturbant, je lui demande : - Ils te plaisent ? - Ils sont superbes... Vous êtes superbe. - Merci. Ça te dirait de jouir sur mes seins ? - Avec plaisir ! Cette petite conversation et la vue de mes seins doivent l'avoir détendu car son sexe est à présent bien dur, même si je le trouve encore un peu petit. images similaires Je le branle vigoureusement en lui massant les testicules ou en me touchant mes propres seins. images similaires - Tu es encore loin ? - Non... c'est plus très loin... Je décide alors d'ouvrir plus grand mon chemisier et mon soutien-gorge pour lui exposer totalement ma poitrine, histoire d'accélérer un peu l'issue de cette branlette et, accessoirement, ne pas tacher cette tenue que je comptais bien remettre dans la semaine... Je reprends de plus belle ma branlette et, au bout de quelques secondes, le sens frémir : - Oh continuez ça vient !!!!! Je vois alors ses testicules remonter un peu et un premier jet de sperme jaillit de son gland et vient s'abattre sur mon torse. Je dirige les autres jets sur mes seins, me recouvrant ainsi la poitrine. images similaires Je le laisse reprendre son sexe en main pour finir de se branler et étaler lui-même les dernières gouttes de foutre sur mes seins pendant que je les prends bien en main pour lui exposer fièrement. - Ca va mieux ? - Oh putain, c'était génial... vous... êtes très douée ! - Merci... Ça te dirait de me baiser ? De me voir nue et de me prendre dans ma chambre ? - Evidemment ! Attendez, c'est pas une blague ? - Je t'assure que non... Il s'approche alors de moi et tend une main vers ma mini-jupe, seul vêtement que je porte encore. - Eh là, tout doux ! Pas ce soir, ça fait un moment que tu es là, c'est trop risqué... - Quand alors ? - Demain, frappe à la porte de ma chambre une fois que tout le monde sera endormi. Ne te fais pas voir, et ne parle de ça à personne. Sinon, tu te la mettras derrière l'oreille et, en outre, je ferai de ta vie un enfer, ok ? - Ok. - Bien, maintenant dégage ! Antoine récupère alors son caleçon et file vers sa chambre. De mon côté, je constate mon état compromettant : seins nus dans les douches des garçons, poitrine recouverte de sperme tiède, jupe relevée jusqu'au hanches. Encore très excitée car n'ayant pas jouis, je récupère du bout du doigt un peu de sperme et le porte machinalement à ma bouche : bof, pas terrible comme gout. Mais pas écœurant non plus, je pourrai facilement m'y habituer. images similaires Florian serait sans doute content que je lui propose d'avaler son foutre, me dis-je alors. Merde, Florian ! Dire que je lui ai promis de rester fidèle et que je n'ai même pas pensé à lui un instant pendant que je branlais Antoine... Mais peu importe, j'ai trop besoin qu'on me baise et Florian n'est pour moi qu'une queue et Antoine, une queue de substitution. Et c'est celle-là qui, même si elle était plus petite, me limerait la chatte demain ! Le lendemain soir, j'étais évidemment excitée. A double titre car, d'une part, j'allais me faire baiser et, d'autre part, j'allais dépuceler un jeune homme ! A suivre...

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