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Legul
17 décembre 2018
Émilie, directrice et traînée de lycée - 10

Pendant les semaines qui ont suivis, j'ai ainsi jonglé avec mes deux amants sans jamais qu'ils se croisent une fois mais en réussissant toujours à me faire sauter le plus souvent possible. Antoine et Florian me baisaient chacun un soir sur deux, parfois les deux dans la même nuit lorsque j'avais encore « faim » après un premier coup. Je profitais aussi des mercredi après-midi pour me faire tringler en extérieur et des pseudos conneries de l'un ou de l'autre pour les sucer ou me faire lécher dans mon bureau.


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Les pratiques se libéralisaient également et, d'occasionnelles, les sodomies devinrent plus régulières. Au début, c'est moi qui freinais leur ardeur à me défoncer le cul en leur faisant comprendre que le plaisir d'une femme vient surtout de choses plus simples : pénétration vaginale, cunnilingus... Des choses pour lesquelles ils s'amélioraient à vue d'œil pour mon plus grand bonheur. Mais avec l'expérience, je découvris aussi que la sodomie me plaisait de plus en plus (autant psychologiquement que physiquement) et je me surpris à leur demander à plusieurs occasions un petit ramonage anal.


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Durant mes périodes de règles, je levais le pied et me contentais de les sucer à la sauvette. Mais les coquins ne pouvaient s'en contenter : ces périodes, surtout si elles duraient trop longtemps à leur gout, devenaient l'occasion pour eux de se concentrer sur mon cul et rien d'autre. Ainsi, une fois par mois pendant trois ou quatre jours, je me faisais enculer dans tous les positions sans que mon vagin ne soit sollicité.


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Je pouvais me faire sodomiser à la sauvette contre un arbre le mercredi après-midi, le pantalon à peine baissé et recommencer le soir même dans les positions les plus acrobatiques.


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Mon cul était de plus en plus sollicité et de plus en plus élastique. En trois mois de relation soutenue, toute douleur avait disparue et, une fois excitée, mon anus n'offrait pas plus de résistance que ma chatte.


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Le pire là-dedans c'est qu'au bout d'un moment, ce ne sont même plus les garçons qui insistaient pour m'enculer tous les jours, c'est moi qui n'arrivais pas à me contenter d'une simple pipe et sous l'effet de l'excitation, leur offrait mon cul. Et ce besoin physique ne se calmait jamais, si bien que les weekends chez moi, où j'aurais pu vouloir reposer mes orifices, je les passais à me caresser ou me goder. Il fallait que je jouisse quotidiennement, que je me fasse pénétrer aussi souvent que possible. J'étais accro ! Accro et perverse car ma lubie pour la pisse ne disparaissait pas et c'est Antoine que j'ai, à son tour, mater en train de se soulager. Lui, par contre, ne s'est pas gêné pour me pisser dans la bouche alors que je voulais simplement lui donner un petit coup de langue.



J'ai évidemment recraché mais, là encore, j'étais plus intriguée que choquée. Et je ne lui en ai même pas voulu. Antoine était plus pervers que Florian, je le constatais, mais j'aimais ça.

De l'extérieur, il est clair qu'un observateur avisé aurait vu les regards complices et les allées et venues. Mais je n'avais ressentis aucune suspicion dans mon entourage, les hommes me considérant de toute façon comme quelqu'un d'extraverti et de courtisé au quotidien. Mes amants eux-mêmes ne soupçonnaient pas ma double relation et ne s'étaient encore pas rendu compte de ma nymphomanie. Car on peut le dire, après avoir regardé les symptômes médicaux sur des bouquins et internet, c'était clair que j'étais nymphomane !

Arrivèrent les vacances scolaires, celles de fin d'année, qui me privèrent de mes chers amants en même temps que mes tenues légères. J'en ai profité pour retourner dans ma famille et la compagnie de personnes que je n'avais pas vues depuis un moment me fit du bien. Durant plusieurs jours je n'ai même pas pensé au sexe. Mais la deuxième semaine fut plus difficile et je dus me masturber à de nombreuses reprises pour me calmer. Ma campagne natale et les repas chez les tantes et grands-parents n'offrant que peu d'occasions de rencontres, je suis restée fidèle à mes amants. Mais leur présence hantait mes rêves et mes fantasmes. Je les imaginais l'un ou l'autre en train de me baiser. Je fantasmais aussi sur le fait qu'ils prennent à deux. Ensemble.


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L'idée que deux hommes me baisent en même temps m'excitait terriblement et cela me surprenait car c'était quelque chose de très hard, réservé aux films pornos ou aux libertines. Seule une salope ou une professionnelle pouvait accepter cela ! Alors pourquoi cela m'excitait tant ?? Peut-être parce que j'étais moi-même une grosse salope...


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Mais comment faire avec Florian et Antoine alors qu'ils croient être les « seuls » à me voir ? Y-a-t-il un risque de les perdre tous les deux s'ils s'estiment trompés ?

Ces questions me tourmentaient encore le jour de la rentrée quand je les vis, indépendamment, et que j'ai mouillé mon string à la simple idée qu'ils me baisent, non pas chacun de leur côté, mais ensemble.

Durant une semaine, j'ai timidement préparé le terrain. Lors de nos rencontres nocturnes, j'ai demandé à l'un et à l'autre s'ils voyaient une autre fille puis, habillement, les ai amenés à me retourner la question.

Je répondais alors stratégiquement :
- Cela te dérangerait que je voie un autre homme ?

Clairement, Florian s'en foutait car il voyait notre relation uniquement du point de vue sexuel. Antoine semblait plus gêné par cette question. Il était peut-être plus sentimental, commençant peut être à s'attacher à moi, il concevait mal de me partager.

- Antoine, tu sais que nous n'avons aucun avenir et que, si l'on se voit, c'est pour le cul uniquement ?
- Je... Je sais, c'est juste que c'est bizarre de vous imaginer avec un autre homme... C'est... dégradant.
- Pour qui ?
- Bin... Déjà les femmes qui couchent avec plein d'hommes différents, c'est des salopes ! Ensuite, il y a les maladies...
- Et une directrice de lycée qui couche avec un de ses élèves, c'est quoi ? Une femme bien ? Et contre les maladies, il suffit de se protéger...
- C'est vrai... Mais du coup, vous voyez quelqu'un d'autre ou pas ?
- Non, mais je suis une femme courtisée... L'occasion pourrait se présenter... Comment réagirais-tu ?
- Je me demanderais si c'est parce que je ne vous satisfais pas... mais j'accepterais, je crois.
- Antoine, tu étais vierge il y a 3 mois et maintenant tu me fais jouir à chaque rapport... je t'assure, tu me satisfais pleinement !

Il semblait rassuré et a eu droit à une pipe, conclue par une éjac faciale « cadeau », histoire de faire du renforcement positif !



Mes amants étaient donc disposés à « être cocu » ; restait maintenant à les faire se rencontrer. Mon raisonnement fut le suivant : leur imposer 1 ou 2 nuits d'abstinence, les inviter le même soir à cinq minutes d'écart, leur expliquer mon addiction et mon envie de triolisme et espérer que le manque de sexe finissent de les convaincre. Et si ça se trouve, je n'aurais même pas à faire tout ce discours : des jeunes de la génération Youporn sauteront sans hésiter sur l'occasion de faire un plan à trois !

La semaine suivante, je décide de sauter le pas et invite mes deux amants le même soir, après les avoir faits poireauter plusieurs nuits. Florian arrive en premier ; j'essaie de le faire patienter avec quelques baisers et caresses. Puis Antoine frappe à la porte à son tour. Florian sursaute de surprise.

- Ne t'inquiète pas, c'est prévu.

Je me dirige vers la porte alors que Florian ne semble pas comprendre et tente de se cacher. Je fais rentrer Antoine qui se fige devant Florian.

- C'est... C'est quoi ce délire ? demande-t-il.

Je décide de faire les présentations :

- Antoine, Florian ; Florian, Antoine...
- On s'est déjà croisé... répond Florian. Donc c'est avec lui que vous baisez aussi ? Je pensais qu'il était puceau... comme quoi !

Après une discussion au début un peu agressive entre les deux, je finis par leur faire accepter le fait que je les vois tous les deux, que cela ne changera que lorsque je le déciderai et que pour me faire pardonner, j'ai une proposition :

- Cela fait des mois que je vous cache la vérité alors pour me faire pardonner je vous propose... (j'hésite une seconde pour faire croire que je me sacrifie !)... un plan à trois.
- Sérieux ?? s'exclament-t-ils en même temps ?
- Parfaitement. J'ai envie de vous faire plaisir en vous offrant un truc dont beaucoup rêve sans jamais y avoir droit. Ça vous tente ?



En réalité, c'est à moi que je faisais plaisir en premier lieu... Et c'est avec un profond soulagement et une énorme excitation que je les vis accepter ma proposition.

- Du... du coup, on fait comment, demande timidement Antoine.
- Vous me laisser gérer, ok ?

Une de mes expériences les plus excitantes commença alors, même si de nombreuses, bien plus hard, suivirent...

En fait, je m'imaginais me déshabiller et jouer avec ma chatte et mon cul pour les rendre bien durs et leur montrer à quel point je suis chaude. Mais en réalité, je cède immédiatement à l'envie de les sucer : je me mets à genoux et palpe leurs paquets déjà bien durs.


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Puis je sors leurs queues et après avoir pris conscience de la situation (à savoir deux bites rien que pour moi, pour la première fois de ma vie), je commence à sucer l'un pendant que je branle l'autre et échange ainsi les rôles souvent.


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Par moment, je me contente de les branler ensemble en les regardant, simplement pour savourer la sensation d'une bite dans chacune de mes mains...



Folle d'excitation, j'approche les queues l'une de l'autre au niveau de ma langue pour les lécher et les sucer les deux en même temps. Cette sensation d'avoir deux glands qui entrent dans ma bouche ensemble me rend dingue et me fait gémir de plaisir et d'excitation.


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Florian me redresse alors et commence, avec Antoine, à me déshabiller et à me caresser. L'un plonge sa main dans ma culotte pour me doigter pendant que l'autre retire mon débardeur pour jouer avec mes seins. Je suis trempée et excitée, je ne me contrôle plus. Je roule des grosses pelles aux garçons pendant qu'ils jouent avec moi.


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Mais alors que je sentais un premier orgasme monter en moi, Florian semble lui aussi céder à l'excitation et m'attrape par les cheveux, me remet à genoux et commence à me baiser la bouche plus violemment qu'il ne me l'a jamais fait.


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Il m'enfonce sa queue à fond pendant qu'Antoine se laisse branler et dégrafe mon soutien-gorge. Puis, à son tour, il enfonce son sexe dans ma bouche, certes moi loin que Florian, mais me baise la bouse comme un fou. Il est en cela aidé par Florian que me tient la tête pour que je ne me recule pas.


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Ainsi, pendant de nombreuses, éprouvantes mais délicieuses minutes, ils se succèdent dans mon gosier et me baisent la bouche en me tenant la tête et en jouant avec mes seins ou ma chatte. Totallement soumise et inactive, je les laisse me malmener et sens, malgré la rudesse du traitement, un fabuleux orgasme en moi.


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J'essaie de me masturber mais mes mains ont surtout le réflexe d'aller se placer sur les hanches des garçons pour me permettre, de temps en temps de les repousser pour respirer...

Mais Antoine comprend mon envie de jouissance et me soulève pendant que j'ai encore le sexe de son copain en bouche. Cambrée en arrière, il retire ma culotte et commence à me doigter efficacement.


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Il ne leur faut pas plus de 2 minutes de ce traitement pour me faire jouir une première fois. Calmée, je reprends le contrôle des évènements. Je fais comprendre à Antoine, en lui tendant mon cul, que c'est à présent sa bite que je veux en moi pendant que Florian instaure un rythme plus raisonnable dans ma bouche. J'ai sens alors enfin une bite dans la chatte alors que j'en ai une autre dans la bouche ! C'est absolument fabuleux et, alors, inédit. C'est devenu très classique aujourd'hui...


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Antoine me baise énergiquement par derrière pendant que Florian essaie de visiter mes amygdales avec son sexe. Au bout d'un moment, ils échangent de place. La grosse queue de Florian vient me dilater le sexe, tant en largeur qu'en profondeur tandis qu'Antoine se place devant moi. Mais là, dilemme : le sexe qu'il me tend est enduis de ma propre cyprine et je n'ai jamais gouté à cela, ni la mienne, ni celle d'une autre femme.

Mais l'excitation est la plus forte. Alors que Florian me burine avec force, la vision de cette bite à quelques centimètres de ma bouche est trop tentante. Je m'en saisi et la lèche avec avidité. Le gout n'est pas acide ni désagréable, au contraire. En faisait abstraction du fait que cela vienne de moi, j'adore ce gout et suce Antoine comme une affamée.


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Durant de longues minutes, les compères s'échangent ma bouche et ma chatte en me donnant au passage un nouvel orgasme. On change ensuite de position : je me place sur Antoine pendant que Florian s'accroche à mes cheveux et me baise la bouche.


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Puis il passe derrière moi et un frisson de frayeur de glace le sang. Que va-t-il tenter ? Il enfonce alors son doigt dans mon cul, d'abord un peu puis entièrement.

J'ai déjà eu un doigt dans le cul, deux, même. Et je suis maintenant adepte confirmée de la sodomie. Mais ce doigt provenant d'un homme alors qu'un autre me baise au même moment... C'est totalement nouveau. Ce doigt est magique et déstabilisant à la fois ! D'autant que Florian n'en reste pas là et va et vient avec son doigt.


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- C'est comment ? demande-t-il alors.
- C'est...mmhhh... particulier... répondis-je en soupirant.
- C'est excellent !! répond Antoine. Il faut absolument que tu essaies !!

Ils s'échangent alors la place, Florian passant sous moi et m'empalant directement. Antoine crache dans sa main, me lubrifie le cul et enfonce son doigt à l'intérieur. Son majeur est long et fin et s'enfonce profondément dans mon cul, compressé par la grosse bite de Florian. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir à cette intromission. Antoine réagit en enfonçant un deuxième doigt. Il va et vient avec, les fait tourner, les écarte l'un de l'autre pour me dilater le cul. De son côté, Florian accélère la cadence et me défonce littéralement la chatte.

Et moi la dedans ? Et bien je gémis de plaisir, je me mords souvent les lèvres pour ne pas hurler et je bave la langue pendue tant le plaisir est grand. Mais je suis soudain rappeler à la réalité. Les doigts d'Antoine se sont retirés et c'est maintenant son gland qui pousse à l'entrée de mon fion.


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- NON ! Antoine pas par-là ! C'est.... trop...
- Mais vous aimez avec mes doigts !
- Ce n'est pas pareil ! Je ne veux pas, c'est tout !
- Bon...

Il me saisit par la taille me soulève et me tire en arrière, ce qui fait sortir Florian de ma chatte et s'enfonce d'un coup dans mon cul bien ouvert en m'arrachant un cri de surprise puis me laboure sauvagement, comme pour se venger.


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Il me lime ainsi durant quelques secondes puis me replace sur Florian, resté couché, qui s'enfonce également dans mon cul.


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Ils se succèdent ainsi dans mon cul encore un moment quand, enfin, Antoine signale qu'il est à deux doigts de jouir. Je suis épuisée par cette baise intense mais je suis encore terriblement excitée. Je leur propose donc de me jouir sur le visage car je veux me faire recouvrir. Je veux vraiment avoir l'impression que mon visage est submergé par le sperme, du sperme venant de deux hommes différents. J'aurais voulu également qu'ils me remplissent ensemble mais je me dis que ce sera pour la prochaine fois !

Je m'agenouille devant eux et les laisse se branler au-dessus de mon visage pour se finir. Alors que je me caresse comme une furie, Florian me demande :

- Vous voulez qu'on vienne sur votre visage, hein ?
- Mmhh oui...
- Alors dites-le !
- Jutez sur moi ! Recouvrez mon visage avec votre sperme !


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Antoine surenchérit :

- Pourquoi vous voulez notre sperme ?
- Parce que j'aime ça !
- Vous aimez quoi ?
- J'aime le sperme !! Foutez-moi en partout !!
- Ce ne seraient pas les salopes qui aiment le sperme à ce point ?
- Oh si, répond alors Florian. Les grosses salopes ! Vous en êtes une, hein Madame Bourgeois ?
- Oui...
- Oui, quoi ??
- Je suis... une salope ! Une grosse salope... qui se fait baiser par ses élèves !
- Et ?
- Et qui avale leur foutre !! HANNNNN allez-y jouissez moi à la gueule !! Allez !! Jouissez à la gueule de votre salope de directrice !!
- Dites-le encore !!
- Je suis votre grosse salope de directrice et je veux votre foutre partout sur mon visage.... Haaaa s'il vous plaît, j'en peux plus....

La libération vient alors sous la forme d'un premier jet puissant suivis d'un deuxième venant de l'autre bite. Je ferme d'un coup les yeux et sens les flots de liquide tiède et visqueux s'abattre sur moi.


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J'en reçois partout et en grande quantité, exactement comme ce que je voulais.


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Durant les éjaculations, je me masturbe comme une folle et me fais jouir une troisième fois. Je sens les gouttes tomber sur ma poitrine, dégouliner de mon nez pour venir à la commissure de mes lèvres et que je récupère avec ma langue. Je les suce également pour pomper la moindre goutte de foutre et joue avec la grosse quantité de sperme dans ma bouche. Je suis une véritable furie se régalement de semence de mâle.


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Je dégage ensuite mes yeux, recouverts de foutre eux aussi, pour pourvoir les ouvrir et constate que les deux compères se serrent la main, l'air satisfait et heureux, alors que je les branle encore doucement. Je suis moi-même aux anges car, d'une part, je viens de prendre un pied d'enfer mais, en plus, je vois à leur réaction que mes deux amants vont bien s'entendre et me baiseront ensemble aussi souvent que je le voudrai !


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Puis ils se rhabillent en me remerciant et en me disant qu'il suffit que je claque des doigts pour qu'on recommence. A volonté !

Alors qu'ils sortent de ma chambre, je suis encore agenouillée au sol, sous l'emprise du plaisir. Je me lève pour aller à la salle de bain et me regarde dans la glace. Mon dieu quel spectacle ! Vous visage est maculé, mes cheveux souillés et ma poitrine mouchetée. Quel spectacle... magnifique. Car je me trouve magnifique ainsi ! Avec mes deux mains, j'étale tout le sperme qui jonche mon visage sur ma poitrine et mon ventre. Je m'enduis le corps de sperme et lèche mes mains comme une possédée pour avaler de cette précieuse substance.


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Puis, l'excitation retombant, je retourne à la réalité et rentre dans la douche pour me laver. Ainsi se termina mon premier plan à trois, le premier d'une longue liste, à trois, quatre, cinq et plus encore. Tellement d'hommes me sont passés dessus au moment où j'écris ces lignes qu'il m'est impossible de donner une estimation.

Le reste de la semaine fût de la pure débauche. Durant toutes mes soirées de présence à l'internat, Antoine et Florian vinrent me baiser à deux, non pas à leur demande, mais à la mienne !

Ils s'échangèrent ma chatte et mon cul dans toutes les positions. Ils me baisèrent la bouches, me doigtèrent le fion pendant qu'ils me baisaient et inversement (ce qui était très agréable également). Mais, bizarrement, ils n'ont pas insisté pour retenter une double pénétration, en affirmant, sûrs d'eux, « que ce serait moi qui allait la réclamer... ».


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Autre exigence de ma part, ceux qui sortait de mon cul et voulais se faire sucer devait passer par la case salle de bain et se nettoyer. Mais mise à part ça, il me faisait tout ce que je leur demandais car jamais ils ne me dominaient pas, sauf quand je leur en laissais la possibilité.

Durant les semaines suivantes, les plans à trois ont continué à un rythme régulier, mais moins intense que la première semaine car mes orifices et moi-même avions besoin d'un peu de repos... Mais malgré cette activité sexuelle soutenue, je ressentais une frustration grandissante. Il m'en fallait plus, toujours plus, et un soir, j'ai craqué. Alors que j'étais en cowboy sur Florian qui me défonçait la chatte et qu'Antoine me doigtait le cul avec un, deux ou plus difficilement trois doigts, je gémis :

- Mets la moi...
- Vous pouvez répéter ? dit Antoine, malicieux
- Encule-moi... Je veux vos deux bites en même temps...
- Haaaa, vous voyez que c'est vous qui alliez le réclamer !!

Antoine passe alors sa jambe droite de l'autre côté de mes fesses et vient appuyer avec son gland sur mon cul. Le début se passe bien, mon anus étant dilaté et son sexe progresse tranquillement. Mais la pression s'exerçant sur mon vagin rempli s'accentue et devient alors... divine. Oui, à ma grande surprise, cette double pénétration est un pur bonheur qui décuple le plaisir de la pénétration vaginale, efface les côtés douloureux de la sodomie et comble mon envie d'aller toujours plus loin.


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J'étais aux anges alors que les deux gaillards me limaient chacun un orifice avec passion. Antoine s'accrochait à mes fesses et m'enculait à fond pendant que Florian jouait de ses hanches pour me baiser aussi vite qu'il pouvait.

- Putain, que c'est bon !! souffla-t-il. Votre chatte est comprimée... c'est excellent !
- Pareil pour son cul, mon pote ! Il est étroit et je sens ta bite aller et venir de l'autre côté... c'est énorme !
- Ooohhhh, taisez-vous un peu, dis-je en gémissant. Taisez-vous et baisez-moi encore !!

Après quelques instants de ce traitement, ils échangèrent de place, Antoine passant sous moi et Florian derrière. Là, les choses furent différentes car le gros sexe de Florian me dilatait le cul énormément, le tout contre le sexe d'Antoine. Mais le plaisir était là et je bavais, langue pendue tant je prenais mon pied.

Nous avons ensuite jouis tous les trois presque en même temps, moi d'abord et les garçons ensuite se sont vider en moi à ma demande. Pour la première fois de ma vie, j'avais mon cul et ma chatte remplis de sperme en même temps. Cette sensation de souillure me rendait heureuse et comblée. Je voulais ressentir cela tous les jours, tout le temps.


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Les jours qui suivirent, Antoine et Florian me rejoignirent ensemble dès que possible et me baisaient en double à chaque fois. Nous avons, je pense, testé toutes les positions possibles pour la double pénétration mais c'est encore par derrière, le cul tendu que je préférais être prise. Presque tous les soirs, je prenais des douches de sperme, me faisait remplir et baiser dans tous les sens. Lorsque je n'avais pas suffisamment jouis, je leur demandais de remettre le couvert et s'ils ne pouvaient pas, je me masturbais et me godais comme une folle pour me soulager.


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Si je n'avais pas de permanence à l'internat, je m'arrangeais pour qu'ils aient un moment le mercredi après-midi et les emmenais dans mon coin tranquille de bois. Là, je me faisais enculer et baiser à la chaine appuyée à un arbre, la jupe juste relevée sur mes hanches. Il est plus inconfortable et salissant de réaliser une bonne dp en extérieur, mais, si le manque se faisait sentir, je consentais à me rouler dans les feuilles pour me faire limer les deux orifices simultanément, quitte à passer chez moi après pour me changer. Rien ne m'arrêtais si j'en avais envie...
J'étais passé de l'autre côté d'un seuil, je pense. A partir de cette période, ma vie s'articulait autour du sexe. Le sexe, s'était double pénétration à l'internat, la journée, masturbation dans mon bureau ou dans les toilettes, chez moi, pénétrations diverses avec des objets de plus en plus variés et de plus en plus gros. Je sortais également dans des bars de la ville voisines et me faisait sauter par quelques inconnus.


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Cela dit, j'ai vite arrêté ce genre de rencontres car cela n'atteignait jamais l'intensité et le plaisir que me procuraient mes deux amants entrainés et je souhaitais en plus préserver ma réputation publique et ma santé. Tout le monde se connaît dans la région et le fait que la directrice du lycée couche facile peut vite devenir un sujet de discussion populaire.
Mais il est vrais que je n'avais pas vraiment besoin de quelqu'un d'autre pour me faire une réputation d'allumeuse voire de salope. En effet, pendant toutes ces semaines où je me suis fait baisée régulièrement par Antoine et Florian, je continuais, évidement, à m'habiller et à me comporter de manière provocante dans le lycée car l'efficacité de cette méthode pour tenir mes élèves et mon personnel n'était plus à prouver. Et ce n'est pas l'arrivée de l'automne et de l'hiver qui m'a refroidit, au contraire. Même si le froid m'obligeait à m'habiller plus chaudement, je faisais en sorte que cela reste le plus sexy possible.


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Et une fois dans mon bureau, dans les couloirs ou en salle de colle, je reprenais mes vieilles habitudes d'allumage et de séduction, rendant fou les élèves, prof et surveillants qui me côtoyaient.



Mes deux amants avaient, quant à eux, droit à des séances d'exhibition plus poussées dès que c'était possible, ce qui m'assurait, entre autre, qu'ils auraient suffisamment envie de me défoncer le soir venu !



Durant trois semaines, donc, le train-train continuait et tout allait pour le mieux. Antoine et Florian venaient me visiter dès que possible, et je ne me souciais absolument plus de ce qu'ils inventaient comme excuses ou des précautions qu'ils prenaient, du moment qu'ils me faisaient jouir comme il fallait. J'avais tort...

A suivre...

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