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Simon
24 janvier 2019
Le stage de restauration - 10b : L'argile


Deuxième semaine : Mercredi après-midi


À la fin du repas, le maître de stage lance un appel :
- Je crois que personne n'a pensé à arroser la fosse d'argile pour qu'elle ne sèche pas... J'ai besoin d'un volontaire car, en plus d'arroser abondamment, un brassage par piétinement est à nouveau nécessaire.
Effectivement, à force de jeux coquins, tout le monde a oublié d'entretenir l'argile pour le torchis mais personne ne semble très motivé par la demande de Sébastien. Finalement, Christine accepte de s'y coller :
- Je veux bien essayer...



Sébastien lui explique rapidement :
- Rien de bien sorcier : il suffit d'humidifier la surface puis de marcher dans la fosse pour malaxer l'argile et l'assouplir.
- J'imagine que ça colle un peu.
- Oui, mais c'est aussi assez glissant.
Sébastien repart et Christine commence à piétiner l'argile de la fosse mais, oubliant la mise en garde du maître de stage, elle glisse et tombe dans la boue.



Willem commence à retirer ses chaussures pour lui venir en aide mais Christine l'arrête :
- Tout va bien.
Comme elle se relève, elle se rend compte qu'une partie de la fosse est beaucoup plus liquide et elle sent qu'elle s'y enfonce. Elle tente de se redresser mais glisse à nouveau. Sa jupe se retrousse alors et elle sent l'argile s'immiscer entre ses fesses et ses cuisses.



Si la sensation est surprenante, elle ne semble pas lui être désagréable. La jeune fille gémit de plaisir, ce qui fait rire les garçons :
- On dirait que ça te plaît, Chris !
- Oui... c'est pas désagréable du tout...
Elle s'amuse à se tourner et retourner dans l'argile sans se rendre compte que son débardeur se retrousse sur ses seins.



Les trois garçons la regardent faire, bouche bée et en érection. Elle rigole en voyant leur tête :
- C'est si incroyable que ça de voir une nana couverte de boue ?
- Si elle est à moitié à poil, oui !
La réponse d'Axel lui fait prendre conscience de l'état de sa tenue et elle se dépêche de rajuster sa jupe et son débardeur :
- Vous auriez pu le dire...



Willem rigole :
- On se rinçait l'œil, ne nous en veux pas...
Christine se redresse :
- En tout cas, le contact de l'argile est agréable.
- Même avec les fringues qui collent ?
- Non... ça faut avouer que je me passerais de cette sensation.



Christine sort de la fosse d'argile et constate l'état de ses vêtements :
- Merde...
- Oui, ça risque de ne pas sentir la rose...
- C'est surtout que si je laisse ça sécher, je vais me transformer en statue...



Willem part chercher le tuyau d'arrosage :
- Mets-toi au pied de l'arbre, Chris. Je vais accrocher le tuyau à la branche, ça te fera une douche.
- Bonne idée. Merci.
Elle se douche sous le jet d'eau froide et essaie de retirer toute l'argile qui lui colle à la peau.



Christine est obligée de frotter énergiquement le tissu de son débardeur pour en chasser l'argile. Comme elle tire beaucoup dessus, elle offre à ses trois spectateurs de sympathiques vues dans son décolleté ou ses mamelons tendant le tissu. Les garçons apprécient particulièrement la vue du débardeur trempé qui se colle aux seins.



Christine interpelle Willem :
- Will, tu peux couper l'eau une minute et me décrocher le tuyau, s'il te plaît ? Je voudrais l'avoir en main pour bien diriger le jet sur mes cheveux.
Quand l'eau s'arrête, Axel et Yves restent béats devant le spectacle du débardeur trempé.



Willem décroche le tuyau d'eau et le donne à Christine :
- Je rallume.
- Heu... oui, mais deux secondes, j'enlève ça...
Christine retire le débardeur trempé et se lave les cheveux.



Elle voit les gars stupéfaits et rigole :
- Vous n'avez pas du boulot sur votre échafaudage ?
Willem rétorque :
- Là tu ne leur donnes pas vraiment envie de partir...
- Et encore, il y a une partie dont je ne me suis pas encore occupée.
Elle retire alors sa jupe pour se laver aussi l'entrejambe.



À peine Willem a-t-il refermé le jet d'eau que le maître de stage est de retour :
- Alors ? Christine s'en sort.
Dans un sursaut de pudeur, la jeune fille a tout juste le temps d'enfiler son débardeur trempé.



Sébastien ne voit Christine au pied de l'arbre que lorsqu'elle termine d'ajuster son débardeur. Il est un peu troublé par le débardeur mouillé :
- Heu... pas trop salissant ?
- Un petit peu d'eau, et ça part, tu vois...



Jetant un œil à la fosse à argile, il fait la moue :
- Je suis désolé, mais j'ai peur que ce ne soit pas suffisant. Il faudra recommencer en fin d'après-midi...
Christine est un peu exaspérée d'entendre que ce qu'elle a fait n'est pas suffisant. Voyant le regard de feu de la stagiaire, Sébastien préfère s'en retourner travailler dans la grange. Chacun regagne son poste de travail mais Willem reste très perturbé par la tenue trempée et transparente de Christine. Le débardeur met une bonne demi-heure à sécher mais, même après, il reste collé à la poitrine de manière très sensuelle.



Christine s'amuse de sa gêne :
- Le tee-shirt mouillé, ça te fait de l'effet, on dirait !
- J'avoue que c'est magnifique.
- Et tu en oublies mes autres charmes...
Souhaitant qu'il ne débande pas, la jeune fille se penche en avant en tournant le dos à Willem pour qu'il voie sa croupe.


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- Tu es diabolique, Chris !
Willem doit redoubler d'efforts pour reprendre le travail sans essayer d'abuser d'elle.
En fin d'après-midi, Sébastien revient et s'adresse à Willem :
- Willem, tu peux peut-être t'occuper du foulage, cette fois-ci ?
Christine soupire :
- Non, ça va. Je vais le faire. Par contre cette fois-ci, je ne vais pas foutre en l'air mes fringues.
Willem est moins étonné par la spontanéité de son consentement que par la façon dont elle compte épargner ses vêtements. Dès qu'elle s'approche de la fosse à argile, elle retire sans la moindre pudeur sa jupe et son débardeur.



Sébastien et Willem viennent la rejoindre au bord de la fosse tandis qu'elle y descend. Sébastien rigole :
- Pour le coup, ça va s'apparenter à un bain de boue plutôt qu'à du foulage...
Elle commence à piétiner l'argile et ça l'éclabousse jusqu'aux épaules.



Elle glisse et se retrouve à quatre pattes. Elle voit les visages béats de Willem et Sébastien devant sa croupe nue souillée de boue :
- Sébastien ? Qu'est-ce qu'il faut faire pour un foulage efficace ?
- Que... quoi ?
- C'est plus efficace debout et c'est mieux si je reste à quatre pattes ?



- ...mieux à quatre pattes...
Willem se demande si Sébastien répond à la question de Christine ou s'il exprime sa préférence personnelle pour cette position particulière. Quand il voit sa copine écarter largement les cuisses en souriant à Sébastien, Willem se dit que Sébastien n'avait sans doute même pas entendu la question.


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Bien qu'il ne soit pas jaloux, Willem dit à sa copine :
- Chris, ta position est particulièrement indécente...
- Tu t'en plains ?
- Oh non, mais...
Christine resserre les cuisses mais perd l'équilibre et bascule en avant.



Elle pousse un cri de surprise et d'agacement :
- Aaaaah ! Qu'est-ce qu'on est instable là-dedans...
Elle se roule sur le côté et s'assoit dans l'argile.



Les garçons l'observent toujours. Christine demande au maître de stage :
- Il faut encore le faire beaucoup ?
- Oui, ce serait mieux.
Christine veut se relever mais ses jambes s'enfoncent dans la glaise :
- Aaaaah ! Je m'enlise !



Connaissant la profondeur de la fosse, Sébastien est peu inquiet mais explique à Christine :
- C'est le principe des sables mouvants. Plus tu vas te débattre, plus tu t'enfonceras. Il faut que tu essayes de t'asseoir.
Christine s'assoit et écoute attentivement les conseils de Sébastien.



Puis voyant qu'elle attend d'autres instructions, Sébastien continue :
- Plus grande est la surface de ton corps que tu appuies sur la boue, moins tu t'enfonceras.
La jeune fille se penche alors en avant, posant ses seins dans la marre d'argile.



Effectivement, elle se rend compte qu'elle arrive plus facilement à extraire ses jambes :
- Yes ! Merci Sébastien, ça fonctionne effectivement.
Elle parvient à atteindre à quatre pattes le bord de la fosse. Les garçons l'applaudissent comme si elle venait de faire un exploit.



Christine rigole :
- Je crois, messieurs, que j'ai échappé de peu à une mort certaine. J'espère que vous saurez reconnaître mon effort et les risques que j'ai pris.
Willem sourit :
- Tu as surtout profité d'un bon bain de boue !
Christine sort de la fosse, couverte d'argile.



Sébastien demande :
- Tu veux une serviette pour aller au gîte te doucher ?
- Non, Will va me remettre le tuyau dans l'arbre, ce sera parfait.
Willem s'exécute aussitôt et réinstalle la douche improvisée. Christine commence à se doucher.


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L'eau, bien que fraîche, semble l'apaiser particulièrement. Même si sa peau ne semble plus avoir de trace d'argile, Christine continue à se doucher sans montrer la moindre pudeur. Voyant les regards appuyés des garçons, elle demande :
- J'en ai encore ? Dites-moi...
Elle se tourne alors lentement, s'exhibant aux yeux des garçons.


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Sébastien s'approche lentement et lui dit :
- Je crois en avoir vu un peu sur tes fesses. Je peux te frotter, si tu veux ?
Bien sûr, Christine a compris le subterfuge mais laisse le maître de stage lui caresser les fesses.



La jeune fille rigole et, écartant les cuisses, elle demande :
- Vous croyez qu'il en reste entre mes cuisses ?
Sébastien ne résiste pas à une telle invitation. Il s'agenouille derrière elle et lui caresse la moule tout en lui léchant l'anus.



Quand le maître de stage commence à lui fourrer des doigts dans la moule, Christine se dit que ce n'est sans doute pas le moment pour de tels attouchements :
- Sébastien... ça va aller.
Elle sort de sous la douche et laisse le maître de stage. Sans se sécher, elle remet le débardeur mais pas la jupe. Willem demande :
- Tu ne mets pas la jupe ?
- Non, là j'en envie d'une douche bien chaude, donc là je remets le minimum pour retourner au gîte.



Comme les garçons doivent ranger le matériel avant de rentrer, elle repart seule. Willem se dépêche quand même de mettre de l'ordre sur l'échafaudage pour pouvoir la rejoindre au plus vite. Yves et Axel en font autant et ils lui emboîtent le pas. Quand ils arrivent au gîte, ils la trouvent penchée en avant au-dessus du lavabo en train de se regarde dans le miroir, exhibant sa croupe magnifique. Willem sourit :
- Chris tu te dépêches de prendre ta douche qu'on puisse tous passer avant le repas.
- D'accord. Je pensais que vous seriez moins pressés en voyant mon cul, mais tant pis...



- On a apprécié, sois en assurée !
- Oh, de toute façon, j'imagine que cette porte ne sera pas fermée et que vous allez vous rincer l'œil tous les trois en attendant votre tour.
- Oui, comme ça on verra précisément quand tu auras fini et on pourra enchaîner.
Christine passe dans la douche sans s'offusquer que les garçons la regardent.



Elle ne se montre pas très pudique pendant ses ablutions et les garçons sont vite en érection. Assis tous les trois sur le lit face à la porte de la salle de bain, la jeune fille les voit tous les trois se trémousser, mal à l'aise avec leurs érections :
- Eh bien, les gars ? Mettez-vous à l'aise !



Pour une fois, ce n'est pas Willem qui est le premier à se mettre nu. Yves se lève et se dépêche de quitter ses vêtements comme si sa vie en dépendait. Christine joue la surprise en découvrant son érection et cache ses parties intimes :
- La vache ! Mais vous ne vous contrôlez donc pas du tout, les gars ?



Willem répond :
- Dépêche-toi donc au lieu de te moquer de nous...
- Moi j'ai une idée pour que vous vous douchiez plus rapidement tout en continuant à vous rincer l'œil.
- Ah oui ?
- Oui. Il suffit que chacun, à tour de rôle, vienne se doucher avec moi... Il y a la place.



Cette fois-ci, c'est Axel qui est le plus réactif. Il se lève et gagne la salle de bain avant que les deux autres n'aient le temps de réagir :
- Allez, je me dévoue.
Sitôt sous la douche avec la jeune fille, il lui caresse les seins. Christine empoigne son sexe et ses testicules pour le masturber :
- Je suis admirative de ton sacrifice !



- Eh oui ! Toujours prêt à rendre service...
- Je pense que ça mérite une récompense.
Axel n'en attend pas moins et continue de la peloter tandis qu'elle le masturbe de plus en plus vite.



En peu de temps, elle l'amène au bord de l'éjaculation et elle se met de côté pour le faire exploser. Elle dirige le sexe turgescent vers la porte en verre et le masturbe tranquillement. Axel ne tient plus. Son sexe se met à cracher plusieurs salves de sperme épais qui vient s'écraser contre la porte de la douche et s'écoule ensuite lentement. Christine est fascinée par toute cette semence qui arrive si rapidement.



Axel termine de se doucher rapidement tandis que Willem fait signe à Yves que ça va être son tour. Celui-ci va attendre que Axel sorte pour le remplacer dans la douche. Aussitôt, Christine saisit le sexe tendu et le masturbe :
- J'imagine que tu n'es pas contre que je te donne un coup de main pour te savonner.
- Un coup de main seulement ?



- Oh ! Petit gourmand ! Tu veux que j'y mette la bouche ?
- Puisque tu le proposes, j'avoue que l'idée me plaît...
Christine rigole et s'agenouille devant lui, mais elle ne le suce pas et continue à le masturber.



Le voyant s'avancer vers elle, pour guider son sexe dans sa bouche, Christine lui sourit :
- Je crois ton sexe a très envie de rentrer dans ma bouche.
- Oui, ce doit être ça le magnétisme sexuel !
La jeune fille rigole et plonge sur le sexe pour lui administrer une savante fellation.



Yves ne se montre finalement pas plus résistant qu'Axel. Sans crier gare, il se met à éjaculer. Surprise par le premier jet au fond de sa gorge, Christine recule et laisse les jets suivants venir s'écraser sur son menton et entre ses seins. Quand enfin la douche de sperme se calme, la jeune fille se rend compte que Willem prend des photos pendant ce temps :
- Will, espèce de petit pervers ! Depuis quand tu photographies ?
- Depuis le début, Chris.



Tandis que Willem confie l'appareil à Axel et lui explique les réglages rudimentaires, Yves termine de se doucher et sort de la douche :
- À ton tour Willem.
Ravi, Willem vient la rejoindre :
- Chris, tes mains, ta bouche, ce n'est pas avec ces méthodes que tu auras un orgasme.
- Will, je savais que tu penserais à moi.
Il la fait s'appuyer contre le mur de la douche et lui écarte les cuisses pour qu'elle se cambre. Il s'agenouille derrière elle et commence à lui lécher la moule.



Christine gémit :
- Will, ta langue n'y suffira pas !
Se redressant, le jeune homme vient caler son sexe entre les fesses de sa copine et la laisse bouger pour le masturber.



Gémissante, elle lui dit :
- Tu sais mon chéri que tu ne me feras pas jouir en te branlant entre mes fesses ?
- Oui, je te chauffe ma belle.
Il lui empoigne les seins et les malaxe.



Impatiente, Christine se penche alors en avant :
- Allez, ça suffit la branlette !
Voyant la croupe offerte de sa copine, Willem ne résiste pas et la pénètre d'une traite pour la prendre en levrette.



La saisissant à la taille, il commence à aller et venir en elle. Cette fois-ci, c'est elle qui, trop excitée, ne parvient pas à contenir son plaisir. En moins de deux minutes, elle est submergée par l'orgasme et se met à gémir tandis que Willem continue à aller et venir en elle sans défaillir. Quand elle reprend enfin son souffle, elle tourne la tête pour l'embrasser :
- Merci mon chéri...



Willem sent alors ses couilles se contracter. Il se retire vivement de la croupe et laisse sa semence jaillir sur les fesses de Christine. Celle-ci attend qu'il ait terminé pour se retourner. Elle l'embrasse à nouveau et le masturbe pour évacuer les dernières gouttes tandis que Willem lui savonne les fesses.



Une fois la douche terminée, ils sortent de la salle de bain et s'habillent. Christine enfile une mini robe rose pour aller manger. Le tissu en est tellement souple qu'il lui suffit de tirer dessus pour rendre le décolleté plus que généreux. Christine voit au regard de Willem que cela lui convient.


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En arrivant à table, Sébastien regarde attentivement la petite robe :
- C'est la même robe qu'hier soir ?
- Non. Hier c'était un débardeur, en fait... Celle-ci est plus habillée et un peu plus longue.
Tournant le dos à Sébastien, Christine se penche alors en avant afin de lui montrer qu'il ne verra pas ses fesses, mais les trois autres garçons, devant elle, en profitent pour se rincer l'œil dans le décolleté.



Christine s'en rend compte et se redresse vivement, un peu vexée de s'être auto-piégée elle-même :
- Allez, les gars. À table !
S'asseyant, elle retire sur le haut de sa robe pour réduire le décolleté que les garçons n'arrêtent pas de mater. En revanche, les mamelons pointent beaucoup plus nettement sous le fin tissu tendu de la petite robe.



Cela calme un peu les garçons et le repas peut commencer tranquillement où chacun raconte l'avancée de la partie du chantier dont il a la charge. Willem commence à trouver cela un peu ennuyeux et s'amuse à faire tomber sa serviette par terre sur les pieds de Christine en faisant mine de ne pas s'en apercevoir. Bien sûr, la jeune fille se penche pour la ramasser, laissant une bretelle de sa robe glisser de son épaule.



Quand elle se redresse, elle tend sa serviette à Willem :
- Tiens...
- Oh, merci Chris. Tu es adorable.
Christine trouve le qualificatif un peu exagéré pour avoir ramassé une serviette, mais ne se rend pas compte qu'il faisait davantage référence à sa tenue puisqu'un sein s'est échappé de son décolleté quand elle s'est redressée.



Après quelques minutes où les garçons sont de plus en plus gênés par la tenue de Christine, Willem n'y tient plus et glisse sa main sur le sein nu pour le caresser et sentir les mamelons s'ériger sous le creux de sa main. Christine comprend alors :
- Hey ! ... Oh ! C'est pour ça que vous étiez bizarres...



Elle repousse gentiment la main de Willem et se tourne vers lui :
- Pourquoi as-tu pris des photos pendant ma douche ? Tu comptes te masturber avec ?
Comme pour faire écho à sa question, elle ouvre le short de Willem et extrait son érection sous la table pour le masturber.



Willem a bien du mal à se concentrer, ni sur son repas, ni sur la réponse qu'il doit formuler à sa copine :
- Je... heu... oui... en souvenir...
Il tient encore moins longtemps qu'elle ne l'aurait cru et se met à éjaculer lentement. Il ferme les yeux et sa semence s'écoule lentement le long de sa verge, sur les doigts de la jeune fille puis sur le bord de l'assise du siège.



Elle s'amuse à le rajuster avant même qu'il n'ait terminé, mouillant son short de sa semence. Portant les doigts souillés à sa bouche, elle se les lèche rapidement. Satisfaite, elle sourit à tout le monde :
- Ce repas était encore une fois excellent. Si vous voulez, les garçons, c'est moi qui débarrasse.



Sébastien se lève de table :
- Merci Christine. C'est très sympa. Dans ce cas, les gars, je vous propose de passer à la caravane pour récupérer les attestations de stage avant de repartir dans votre gîte.


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