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Legul
7 février 2019
Émilie, directrice et traînée de lycée - 13

Le lendemain, un vendredi, se déroula sans que rien de notable se produise, à part le travail normal d'une directrice de lycée qui a du mal à s'assoir et je profite du weekend pour me reposer, moi et mes orifices.

Le lundi suivant, Laurent vint me voir dans mon bureau.

- Alors, me demande-t-il avec un grand sourire, remise de vos émotions, madame la Directrice ?
- Hum, oui, répondis-je avec le rouge aux joues, le weekend fut réparateur...
- Parfait, maintenant que vous êtes « calmée », nous allons pouvoir revenir à quelque chose de plus classique... Rien que nous deux.
- Tu rigoles ? On va remettre ça le plus souvent possible ! Je vous veux, vous trois, au moins une fois par semaine... Et je veux d'autres hommes aussi !
- Q... Quoi ?!?
- Tu as très bien entendus... Si tu veux continuer de me baiser quand tu veux, il va falloir que tu me trouve d'autres amants. Je veux de la nouveauté... Je veux voir d'autres corps, d'autres bites...
- Comment voulez-vous que je fasse ça ??
- Débrouilles-toi !! Je veux pouvoir me faire sauter quand je veux et où je veux ! Tu as intérêt à me constituer un beau réservoir de mâles.
- Bon, je vais voir ce que je peux faire... Mais je ne promets rien...
- Je suis sûr que tu y arriveras... Et, Laurent, que des élèves, évidement. Pas de vieux garçons de la campagne et pas de profs non plus... Je ne veux pas que ça sorte du Lycée.

Durant 3 semaines, j'ai été très occupée... Comme convenus, Laurent réinvita Antoine et Florian une fois par semaine à des parties à quatre. Et à chaque fois, je me faisais baiser dans tous les sens. L'intensité de la première fois s'estompait mais elle était remplacée par l'efficacité croissante des garçons à me faire jouir et l'originalité de leurs idées de positions farfelues ou leurs scénarios coquins.



A force de se voir, je me demandais même si je n'étais pas en train de tomber amoureuse. Pas des garçons individuellement, mais plutôt du groupe. Comme on peut être très attaché à un groupe d'ami, je m'attachais terriblement à ce groupe d'amants qui me donnait tant de plaisir.


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En l'absence de ce qu'on pourrait appeler mon maître, Laurent, Florian et Antoine avaient interdiction de me voir et c'est donc lui seul qui profitait de moi à volonté. Il s'était en effet octroyé le droit, au moment où il m'avait surpris avec les deux élèves, de me prendre où il voulait, quand il voulait, de jour comme de nuit. Du coup, si ça lui chantait, il venait se faire sucer vite fait à mon bureau...



... il venait me rendre visite à l'internat et exigeait que je rampe devant lui en le suppliant de me baiser...



... il m'enculait dans les toilettes en fin de journée quand le lycée était presque vide... ou pas. Parfois, c'était à la sauvette avec la jupe relevée, mais parfois il exigeait que je me déshabille complètement et il me baisait alors longuement, sans se soucier des personnes qui entraient dans les toilettes alors que j'étais empalée sur lui.


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Il me faisait courir des risques de plus en plus grands et moi, je ne disais rien. Du moment qu'il me baisait bien. J'étais devenue sans chose et je n'étais plus capable de raisonnement correctement lorsque j'étais avec lui et que j'étais excitée, ce qui était souvent le cas ! Lorsque, par exemple, il me baisait dehors, dans des coins connus des exhibitionnistes et voyeurs, je ne me disais même pas que je pouvais parfaitement être matée par des parents d'élève ou des profs... Il me défonçait le cul pendant que des pervers regardaient et je trouvais ça excitant.



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Parfois, je recevais un sms me demandant de le rejoindre dans sa chambre et je le découvrais en train de se branler devant un film porno. Je servais alors uniquement de « mouchoir » : il jutait dans ma bouche et me demandait de repartir. Alors que cette façon de me considérer aurait dû me révolter, là encore, j'étais parfaitement épanouie. J'étais une femme objet et ça me convenait !


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Durant cette période d'insouciance et de plaisir pur, j'ai constaté que mes trois amants devenaient de plus en plus pervers et tentaient de nouvelles choses, au fur et à mesure où je prenais plaisir à faire ce que je refusais peu de temps avant... Par exemple, après m'avoir fisté la chatte une première fois et avoir ensuite renouvelé l'exploit de nombreuses fois, ils se sont mis en tête de faire la même chose avec mon cul ! Leur imagination n'avait pas de fin ! En l'occurrence, ils ne sont pas parvenus à leur fin et même si leurs doigts étaient entrés profondément en mois, le reste de la main était restée à l'extérieur. Je pensais que cet acte correspondait à une limite infranchissable, mais j'allais bientôt exploser cette limite !


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Ma relation avec deux de mes élèves ne m'empêchait pas d'avoir envie de continuer mes petits jeux d'exhibition et de provocation avec tout mon entourage professionnel.


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Mais alors que je voulais être le plus discrète possible, Laurent, très joueur et dominateur, n'hésitait maintenant plus à m'exposer de plus en plus au risque d'être surprise : il me prenait en levrette dans le couloir de l'internat et s'amusait à prendre des photos de moi déambulant nue dans les salles de classe du lycée. J'insistais juste pour qu'il ne cadre pas mon visage, histoire d'éviter tout chantage ultérieur, mais j'admets que me faire sauter sur les tables de mes élèves m'excitait carrément. Il insistait aussi que je ne porte pas de culotte pendant mes heures de garde en étude ou en colle et venait, évidement, vérifier si je lui avais obéit.


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Il m'arrivait donc de plus en plus souvent d'être chatte à l'air lorsque je surveillais des élèves. Dans ces situation, je jouais un peu moins avec mes croisements de jambes qu'avant car je leur aurais alors exposé trop ostensiblement mon sexe... Cela dit, il devenait plus que probable qu'un certain nombre d'élèves avait déjà remarqué l'absence de culotte sous mes jupes si légères et avait donc pu apercevoir la chatte de leur directrice...


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Pour mon rapport au sperme, mes amants et devenions également plus pervers... Avant je n'avalais que rarement, lorsque la situation l'exigeait (une pipe dans mon bureau en pleine journée) ou pendant une orgie, dans le feu de l'action. Mais plus je devenais vicieuse, plus Laurent voulait que j'avale son sperme. Et il prenait de plus en plus de plaisir à me voir me délecter d'un verre remplis du foutre tiède issu de mes pervers d'amants après une heure de double pénétration.


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Et le pire là-dedans : j'aimais ça ! J'aimais les voir juter dans ce verre, j'aimais touiller avec mon doigt ce liquide épais et j'aimais leurs sourires lorsque j'avalais jusqu'à la dernière goute en les fixant avec un regard de salope.


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Le problème, comme tout le reste de cette histoire, c'est que nos jeux ont fini par prendre des proportions ingérables. Comme je devenais franchement accro à cette pratique de boire du foutre, j'autorisais mes amants à aller toujours plus loin. Et plus je devenais soumise, plus ils étaient pervers !

A plusieurs reprises, lors de nos séances à quatre, ils finissaient non pas sur moi ou dans moi, mais dans une écuelle ou un bol que je devais ensuite vider en lapant le sperme, comme une chienne. Evidemment, je m'en mettais partout... Mais le pire, c'est que cette humiliation m'excitait terriblement et je prenais donc mon rôle de chienne très au sérieux : je ne laissais pas le moindre atome de semence au fond du bol.


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Du coup, les garçons n'hésitaient pas une minute pour pousser le bouchon toujours plus loin. Certains jours, par exemple, j'avais l'obligation de me nourrir uniquement de sperme. J'avais droit à une dose de semence le matin, le midi et le soir, généreusement fournie par mes 3 amants. Mais ils ne jouissaient pas dans ma bouche, non. Durant ces journées un peu spéciales, ils jutaient dans des verres ou des assiettes et je me servais de cuillères ou de ma langue pour tout boire.


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Puis, tout au long de la journée, Laurent passait pour m'apporter des petits encas, se contentant de se branler et de juter directement dans mon mug de café (j'avais quand même le droit de boire...).



A la fin de ces journées, j'étais affamée car, tous bons amants qu'ils étaient, Laurent, Antoine et Florian n'étaient que trois et passées les éjaculations abondantes du matin, je n'avais plus grand-chose à me mettre sous la dent ensuite.

C'est d'ailleurs lors d'une de ces journées que j'ai enfreint pour la première fois la règle de Laurent de ne baiser qu'avec son autorisation. Un soir, après une journée passée à ne me nourrir que de sperme tiède et après avoir eu ma trop petite dose du soir, j'avais tellement faim que je suis sortie me promener dehors pour fumer une cigarette et essayer de penser à autre chose. Dans une ruelle non loin du lycée, j'ai alors rencontré un sdf.


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Je lui ai donné une pièce et en guise de remerciement, il m'a dit que ça faisait longtemps qu'il n'avait pas vu un aussi joli cul que le mien, et que ça lui faisait au moins autant de bien que l'argent que je venais de lui donner.

Le compliment était sincère et je l'ai remercié d'un sourire en m'éloignant. Mais mon estomac m'a alors rappelé que j'étais affamée et je me suis dit que les couilles de ce SDF devaient être magnifiquement pleines ! J'ai donc fais demi-tour et lui ai proposé sans détour si ça le disais de me voir à poil et de se branler sur moi.

Il a évidemment accepté. Je me suis donc déshabillée pendant qu'il se paluchait et m'a annoncé au bout de quelques secondes seulement qu'il allait venir. Je me suis alors accroupie pour qu'il me remplisse la bouche.


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Une quantité phénomènale de sperme est sortie de sa bite dégoutante et j'ai absolument tout avalé. Je me suis ensuite très vite rhabillée pour rentrer au lycée. Mais sur le chemin, l'envie d'autres grosses quantité de sperme chaud et facile à obtenir l'a emporté. J'ai donc passé une partie de la soirée à arpenter les rues du quartier à la recherche de sans-abris.

J'ai laissé ceux que je rencontrais se branler en me matant et venir dans ma bouche en évitant au maximum le contact avec ces hommes à l'hygiène inexistante et à l'état sanitaire douteux. J'ai tout de même branlé le dernier qui était trop bourré pour le faire lui-même...



J'ai avalé le foutre d'un total de quatre sdf cette nuit-là et suis rentré au lycée finalement rassasiée. Vous vous demandez sans doute pourquoi, quitte à enfreindre une règle, je ne suis tout simplement pas aller acheter un kebab ?? Bonne question... La réponse c'est que j'étais et suis encore une incroyable trainée et que sur le moment, je n'ai même pas pensé à autre chose que du sperme pour me nourrir !

Le lendemain, Laurent est venu me voir pour me demander si mon nouveau régime alimentaire me convenait et à sa surprise, je lui ai dit que, finalement, ça callait plutôt bien ! Il a donc recommencé à plusieurs reprises ce traitement durant les semaines qui ont suivis et, à chaque fois, j'allais chercher mes compléments alimentaires chez les sdf du quartier.


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Le deal était toujours le même : je me mettais à poil, ils se branlaient en me regardant et me remplissaient la bouche une fois le moment venu. En principe, j'évitais tout contact avec eux, à cause de leur hygiène mais il m'arrivait quand même d'en finir les plus propres à la main. Certains sans-abris commençaient à connaître mes habitudes et se réservaient toute la semaine pour me garantir une quantité énorme de protéines que je peinais à avaler du premier coup !


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D'autres s'étaient plus organisés et se donnaient le mot lorsque le jour de la récolte était arrivé. Du coup, lorsque j'arrivais dans les ruelles habituelles, à quelques dizaines de minutes de marche du lycée, j'y découvrais des groupes de sdf, parfois d'une bonne dizaine. La première fois, j'ai eu franchement peur et j'ai failli faire demi-tour. Mais la faim et surtout l'insistance des clochards qui attendaient ce moment depuis des jours m'ont convaincu. Je me retrouvais donc à poil, entourées de pleins d'hommes se paluchant au-dessus de moi et me remplissant la bouche à la chaine.


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Evidemment, malgré le fait que le but de ces séances collectives soit de me nourrir, le nombre de participants, l'excitation incontrôlable des uns et les éjaculations trop fortes des autres faisait qu'ils finissaient par m'en mettre partout.


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Autant lorsque je gérais un sdf ou deux, je n'avais aucun mal à rester propre et à simplement me faire remplir la bouche rapidement puis repartir tranquillement. Mais lorsqu'ils se réunissaient, les séances de nourrissage viraient rapidement au bukkake et, à la fin, personne ne se souciait de viser ma bouche : ils me recouvraient le visage !


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Durant ces situations franchement folles, l'excitation était à son comble et l'odeur enivrante de la semence fraiche me faisait perdre tous mes moyens. Les sexes et les éjaculations se succédaient dans une telle confusion qu'il m'arrivait de pomper ou lécher certains sexes alors que j'avais toujours fait en sorte d'éviter tout contact avec eux.



Je suçais et branlais donc des tas que bites dans ces ruelles sombre mais je gardais suffisamment la tête froide pour ne pas les laisser me baiser. Mais cela ne m'empêchais pas de finir souvent dans un état absolument lamentable et je passais ensuite de longues minutes à me nettoyer en récoltant et avalant le sperme qui recouvrait mon visage et ma poitrine, pendant que les sdf filaient discrètement chacun de leur côté. Je ne leur en voulais, pas puisque j'allais les revoir la semaine suivante !



Je restais ainsi nue dans la ruelle dans un état appelant franchement au viol collectif, à la merci du ou des premiers pervers venus. A y réfléchir, ces bukkake étaient absolument délicieux mais me mettaient en danger comme jamais.

De la même manière que ce que je viens de vous raconter à propos de mon gout pour le foutre, la pratique de l'uro devenait également de plus en plus banale et, paradoxalement, me faisait faire des choses de plus en plus trash. Avant, je voulais juste, par curiosité malsaine, voir pisser mes deux élèves chéris. Mais, ça, c'était avant ! Quand j'ai demandé la première fois à Laurent si je pouvais lui aussi le regarder pisser, il a été si excité qu'il m'a ensuite pris sauvagement sur le sol des toilettes. Il m'a obligé à rester allongée sur ce sol puant pendant qu'il me déchirait le cul, la tête collée au sol, au milieu des gouttes de pisse d'un internat composé en majorité de mecs...



C'était on ne peut plus dégradant et j'ai difficilement enduré ce moment. Mais malgré ça, je n'ai pas pu m'empêcher de lui redemander quelques jours plus tard de me baiser aux toilettes tant l'odeur et l'ambiance m'excitaient finalement.

Il a accepté et a exigé que j'aille l'attendre, après l'extinction des feux, dans les toilettes de l'internat, entièrement nue... Comme si m'exposer au risque était pour lui un jeu. Mais, trop excitée pour refuser, j'ai joué le jeu.

J'attendais à poil dans ces toilettes puantes depuis un moment quand, enfin, il est arrivé. Mais il m'a d'abord ignoré et est directement allé pisser.



Je n'osais pas l'avouer mais j'étais très attirée par la scène se déroulant sur mes yeux et je mouillais abondamment, depuis déjà plusieurs minutes, rien que d'aticiper ce qu'il allait me faire. Mais en chienne docile, j'attendais patiemment que mon maître veuille bien m'honorer.

Il s'égoutte et s'approche de moi.

- Ça te plais de me voir pisser, hein ? L'odeur, l'ambiance, le fait d'être humiliée, abaissée à l'état d'objet... tout ça t'excite, n'est-ce-pas ?

- J'avoue, oui...

J'étais interpellée par l'analyse si précise qu'il venait de faire de mes pulsions. Laurent commençait à bien me connaître et il savait en jouer.

Soudain, il me plaque contre le mur des toilettes et commence à me doigter le cul, sans ménagement. Il me glise à l'oreille :

- Je vais te donner ce que tu veux... je vais te défoncer le cul dans ces chiottes dégeulasses, je vais te baiser la bouche sans aucune considération pour toi et je vais te pisser dessu, si tu es sage... Tu seras traitée comme tu le souhaite : comme un objet, comme un urinoir. Tu pourras tout arrêter si tu le veux mais je suis certain que tu ne le feras pas !



- Aller, maintenant, accroupie et ouvre la bouche... Je m'occupe du reste.

Je m'exécute sans même me demander ce qu'il allait faire avec ma bouche grande ouverte. Satisfait il s'approche de moi et me crache au visage et dans la bouche. Puis il ouvre son pantalon, sort son sexe et me l'enfile dans le gosier. Sans aucune précaution, il me baise la bouche en y enfonçant à chaque passage la totalité de son longue et large queue.


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Cette gorge profonde me donne des haut-le-cœur et me fait saliver énormément mais cela ne le fait pas ralentir pour autant ! Au contraire, il joue avec, récupérant ces glaires et me les étalant sur le visage.


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Au bout d'un long moment, il me redresse, m'appuie sur les lavabo, cul tendu vers lui et me pénètre le cul, sans plus de ménagement pour mon anus qu'il n'en a eu pour ma bouche.


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Il m'encule brutalement, sauvagement mais de ma bouche ne sortent que des gémissements de plaisir... Je n'arrive pas à comprendre comment je peux prendre du plaisir avec ce qu'il me fait mais je dois me rendre à l'évidence : me faire baiser et traiter comme de la merde me plait.

Il se retire parfois pour oberser le trou béhant qu'est mon cul à ce moment là puis déclare :

- Ce n'est plus un cul que tu as, mais une bouche d'égouts... D'ailleurs...

Il se retire alors à nouveau et reste un moment à l'extérieur de mon fion. Puis je sens un liquide tiède ruissement sur moi : il me pisse dessus, il me pisse dans le cul.


Mais il ne s'agit que d'un petit filet, Laurent s'étant vidé la vessie juste avant. Il reprend dans la foulée son enculage puis se retire à nouveau pour me prendre par les cheveux et me baiser la bouche.


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Sa queue à un gout de salive, de cul et de pisse. Elle est absolument dégeulasse mais mon gosier est tellement en feu que je ne rescent aucun dégout, aucune gène.

Puis, toujours en me tirant par les cheveux, il m'entraine vers le siège des toilettes et me place à quatre pattes pour m'enculer encore. J'ai la tête quasi dans la cuvette et pourtant je le laisse continuer sans même résister.


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Il me reprend ensuite par les cheveux pour me redresser et me baise à nouveau la bouche pour, enfin craquer et me juter sa semence directement dans l'estomac.


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Il se retire pour me laisser respirer et observe mon état lamentable, manifestement content de son œuvre.

- Tu as été une bonne chienne bien docile... Une poupée gonflable aurait peut-être plus résisté que toi ! Tu as donc mérité ta récompense... Tu la veux ?

- Sachant très bien de quoi il parlait, je hoche la tête en signe d'approbation et ouvre la bouche. J'ai, je le sens, le sourire aux lèvres...


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Un faible jet d'urine apparait alors au bout de son gland, entre pendant une seconde dans ma bouche puis s'arrête rapidement, comme la dernière fois.


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Les dernières gouttes de pisse ruissellent sur mes seins et mon ventre. Je dégloutis pour avaler ce qui se trouve alors dans ma bouche, mélange de salive, de sperme et d'urine. C'était, comment dire : à la fois dégueulasse et excitant. Et j'étais aussi très heureuse d'avoir fait plaisir à mon maitre !

- Bien... je suis fier de toi... Nous allons faire de grandes choses, ensemble !

Que voulais-t-il dire par là ? Je n'en savais rien et m'en foutais. Je restais là, avachie sur le sol des toilettes de l'internat, encore en trance. Je caressais mon visage et me cheveux trempés et gluants, j'étais aux anges ! Laurent me regarde, ammusé, puis constatant que je reste encore par terre en train de comater, il essaie de me secouer.

- Allez, rentre chez toi ! Si tu restes là, tu vas finir te faire prendre ! Allez, viens...

Toujours aussi délicat, Laurent me relève alors en me tirant par les cheveux et me ramène sans ménagement vers la porte des WC.



Il passe une tête par la porte pour vérifier qu'il n'y a personne dans le couloir, me dit que c'est bon, puis s'en va dans sa chambre, me laissant rentrer seule de mon côté.

Je marche vers ma chambre lentement, totalement nue, trempée de pisse, les cheveux laissant des goutes odorantes sur le lino. Si quelqu'un sortait de sa chambre à ce moment, j'étais foutue...

J'aurais dû au moins me dépêcher de rentrer mais, au contraire, je traine, je colle aux portes des chambres où des dizaines d'étudiants sont en train de dormir, comme pour provoquer volontairement ma propre chute et montrer ma vraie nature à tous mes élèves.

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Mais finalement, j'arrive à ma chambre sans rencontrer personne et file directement sous la douche. L'eau sur mon visage me ramène à la réalité et je réalise à présent ce que je viens de faire. Je suis d'abord prise d'une honte terrible qui me fait pleurer abondement.


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Je sens un profond dégout pour moi-même et ce que je viens de faire m'envahir. Je me savonne et me lave donc avec frénésie, plusieurs fois de suite, pour être sûr d'enlever toute trace de souillure.


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Puis je reste ainsi immobile sous l'eau chaude, repesant à ce que j'ai fait et sombrant par moment dans de nouvelles crises de larmes.


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Enfin je trouve la force de sortir de la douche et de me sécher. Devant le miroir, j'arrive à me calmer et à me regarder droit dans les yeux. Je repense à l'excitation et au plaisir que j'ai ressenti à être traitée de la sorte. Pourquoi alors en avoir tellement honte ? Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit, complètement perturbée, oscillant en permanence entre la honte et l'excitation.

Après cette séance dans les toilettes, il m'a fallu plusieurs jours pour assumer totalement ce côté de ma personnalité. Pour me déculpabiliser, j'ai aussi regardé sur internet cette pratique et me suis rendu compte qu'elle était assez courante dans le porno mais surtout j'ai appris que l'urinothérapie était très courante, notamment dans les sociétés asiatiques qui considèrent que l'on récupère ainsi énormément de vitamines et minéraux indispensable à l'organisme. Génial, me dis-je, je protège ma santé tout en prenant du plaisir !!

Je tiens tout de même à rassurer ceux qui lisent mon histoire : ces envies qu'on me pisse dessus ne sont que des phases, des moments où j'ai envie d'être humiliée. J'aime également dominer mes amants, entre défoncée par tous les trous ou tout simplement baiser comme papa et maman. Cela dépend juste de mon humeur du moment... Mais ce qu'il y a de sûr, c'est que l'ambiance et l'odeur des toilettes publiques provoquent dorénavant chez moi une vive excitation. A partir de ce moment, sans même parler de mes délires uro, j'odorais me faire baiser dans les toilettes et le faisais à la moindre occasion.


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Ainsi se déroulèrent les semaines qui suivirent mon premier gangbang (certes, en privé et avec un nombre limité de participants). Nous étions en février, peu de temps avant les vacances, quand, enfin, Laurent me trouva un nouvel amant. J'adorais Florian et Antoine mais j'avais aussi envie de nouveauté. D'autant qu'à chaque fois que je les voyais, cela signifiait pour moi une série de doubles pénétrations, de fist, etc qui m'épuisaient. J'adorais ça mais j'avais aussi besoin de sexe plus classique... Un nouveau jeune homme découvrant mon corps, juste lui et moi, allait être rafraichissant.

A suivre...

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