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Legul
5 mars 2019
Émilie, directrice et traînée de lycée - 15

Je le pousse contre le bureau sur lequel je venais de faire la poupée pendant au moins 20 min et je m'agenouille devant lui. Puis je rouvre le pantalon qu'il avait remis au moment de notre petit jeu pour en sortir son sexe, si gros, si dur. Je commence à le masturber d'une main et lui palper les couilles de l'autre. Il semble beaucoup apprécier ces caresses d'autant que je donne un petit coup de langue de temps à autre.


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Puis je craque, sans le prévenir, lui prend le sexe à pleine bouche.


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Il pousse un râle de surprise et de plaisir et se laisse aller à ma fellation. Je le dévore tant je suis affamée et tant son sexe est appétissant. J'essaie de le prendre le plus loin possible et, pour paraitre encore plus experte, j'enlève mes mains de son torse et les met dans mon dos.


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Je gobe également ses grosses couilles, joue avec dans ma bouche. J'adore la taille de ces boules et imagine le foutre que je vais me prendre dans la chatte.
Ma chatte... Et MERDE !! J'avais complètement oublié le fait que je tenais absolument à avoir des rapports protégés avec mes nouveaux amants, au moins au début. Et là je me retrouvais en train d'en sucer un sans même lui avoir demandé s'il avait une capote. Je me sens terriblement gênée pour lui comme pour moi de devoir arrêter les choses et je croise donc les doigts pour qu'il soit venu me voir avec un préservatif.

- Kévin ?
- Oui ?
- Je suis désolé de te demander ça seulement maintenant mais... tu as un moyen de protection ?
- Vous voulez dire une capote ? Non... désolé. C'est important ?
- Quelle question ! Evidemment que c'est important ! On ne se connait pas... Toi comme moi pouvons être porteurs de tout un tas de saloperie !
- Putain, merde... Qu'est qu'on fait alors ?
- Ecoute... C'est ma faute, je n'ai pensé à ce détail que trop tard... On ne va pas baiser ce soir mais je ne peux pas te laisser dans cet état. Donc je vais m'occuper de toi... et la prochaine fois, viens équipé... ou avec un test négatif !
- La prochaine fois ? Vous voulez qu'on se revoie ?
- Tu ne crois quand même pas que je vais me contenter de ça ? J'ai hâte que tu me baises avec ta belle et grosse queue ! J'ai hâte que tu me prennes comme une chienne...
- Ouaahh quel programme...J'ai hâte également ! Je... Ouh là...je suis plus très loin, là...

En effet, j'ai oublié de préciser que pendant notre petite discussion, je continuais le branler énergiquement et à lui donner d'habiles coups de langues. Si bien qu'avec toute l'excitation de son petit jeu, il commençait à suinter !

- Attends, j'ai une idée pour te finir en beauté... lui dis-je, vicieusement.

Je lui demande donc de s'allonger sur mon lit puis le chevauche et prend son sexe à deux main pour le placer bien contre ma chatte.


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Puis je commence à aller et venir le long du gourdin, l'enduisant de mouille au passage, pour le branler.


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Le frottement m'est également très agréable et c'est une sorte de masturbation mutuelle qui s'engage alors. J'alterne entre mouvements rapides et mouvements plus lents, plus amples, durant lesquelles son gland vient presque rentrer en moi. D'ailleurs, je sens son bassin s'incliner et ses mains me retenir pour me pénétrer mais d'un mouvement habile des hanches et en disant « non, non, non... » avec un sourire joueur, je m'esquive et redescend le long de sa hampe.


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Ce petit jeu se reproduit à de nombreuses reprises et je vois que ne pas pouvoir me pénétrer le torture un peu plus à chaque fois. Enfin, je décide de l'achever en accélérant mon jeu de hanche un bon coup et en m'approchant de lui pour l'embrasser.


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J'accélère la cadence pendant que nous nous roulons de grosses pelles et qu'il me malaxe les fesses. Je dois moi-même résister pour ne pas le laisser glisser en moi tant l'envie est forte de me faire baiser. Je sens également un orgasme monter en moi et je sens que s'il fait preuve d'encore un peu d'endurance, je pourrais me faire jouir en me frottant sur sa queue. Mais il ne me laisse pas le temps de céder à la tentation car il m'annonce qu'il est sur le point de jouir.

Je me redresse donc pour prendre son sexe en main et continue de me frotter à lui tout en le branlant.


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Un premier jet s'échappe soudain de son sexe en s'élevant quasiment à hauteur de ma poitrine et vient s'abattre sur le bas de son ventre.


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Le reste de sperme sort par giclées massives et enduit ma main en train de le branler et sa queue secouée de spasmes. C'est finalement une mare de foutre épais qui se créé sous mes yeux impressionnés autour de son sexe et entre mes doigts.


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- Oh mon dieu... Quelle réserve tu as !!
- Et encore là, ce n'est pas parti très loin, dit-il encore essoufflé par son orgasme.
- Heureusement pour toi !
- Oui, mais je suis quand même dans un bel état...
- Ne t'occupe pas de ça...

Je commence par plonger mes doigts dans la mare de sperme qui macule le ventre de Kévin et reste assez impressionnée par la quantité...


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Puis, comme promis, j'entreprends de le nettoyer en commençant par porter un doigt à ma bouche afin de gouter à ce nouveau sperme.


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Voyant qu'il me convient tout à fait, je nettoie complètement mes doigts et avale plusieurs gorgées de sperme frais.


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Je continue le nettoyage en m'attaquant à la queue et au ventre de Kévin. Je me déplace entre ses jambes pour aller l'éponger avec ma langue, lapant directement le foutre à la source.


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Voyant qu'il se délectait de ce spectacle, je lèche son ventre et avale une grosse lampée de sperme. Je suis très excitée par cet acte inédit pour moi (j'ai déjà bu du sperme mais seulement à la source, jamais en le léchant au sol ou sur un homme) et par ces frottements qui ont été absolument divin mais qui ne m'ont pas permis de jouir.
En trance, je colle mon visage à son ventre pour lécher, aspirer puis finalement avaler toute la semence. Il ne reste bientôt plus la moindre trace de sperme sur lui. Je me redresse, rassasiée mais toujours excitée, et lui demande :

- Tu as déjà vu une femme se masturber ?
- Oui, bien sûr !
- Je veux dire en vrai, juste devant toi...
- Ah... Non.
- Alors regarde et profite.

Je voulais absolument me finir. Pourquoi ne pas le faire devant lui ? Je me mets à genoux sur mon lit tandis qu'il se redresse et s'assoit pour profiter confortablement du spectacle. Je lui fais face, lui jette un regard vicieux et commence aussitôt à me faire tournoyer le clito. Je ne mégotte pas et alterne entre doigtage profond et masturbation rapide.


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Il ne tente même pas de me toucher, me laisse me faire du bien toute seule et attends patiemment que je jouisse. Cela ne tarde d'ailleurs pas et un orgasme délicieux vient me secouer les tripes et me fais m'écrouler sur le Kevin qui me félicite pour joli show.

Satisfaite, je descends du lit et file à la salle de bain pour essuyer le mélange de cyprine, sueur et sperme qui souille le bas de mon ventre. De son côté, il se rhabille en me regardant me nettoyer et en me remerciant chaleureusement.

- Vous avez été extraordinaire, Madame. Merci infiniment.
- Tu as été très bon également. J'ai hâte de te revoir pour, cette fois-ci, que tu me baises en bonne et due forme,
- Ce sera avec plaisir ! Quand ?
- Pour moi, le plus tôt possible, dis-je en sortant de la salle de bain, encore nue, et en me collant à lui. Mais il faut que tu voies ça avec Laurent. C'est lui qui assurera la discrétion de nos rendez-vous. Je peux compter sur toi pour garder le silence ?
- Evidemment ! répond-il en me malaxant les fesses.

Nous nous séparons en nous embrassons langoureusement. Quelques dizaines de minutes après son départ et l'extinction des feux, je sors de ma douche et je vois alors ma porte d'entrée s'ouvrir et Laurent entrer chez moi.

- Alors... comment c'est passé ce premier rendez-vous ?
- Très bien, lui dis-je, enjouée. Il est très beau et bien membré !
- Il baise bien ?
- Je ne sais pas, nous n'avions pas de capote et je tiens à me protéger quand je suis avec des inconnus.
- Je comprends.
- Mais nous allons nous revoir, n'est-ce pas ? Tu vas nous arranger ça.
- Pas de problème, maintenant qu'il est dans le coup, je trouverai une excuse. Du coup, vous n'avez pas baisé ?
- Non...

Il me saisit alors sans ménagement alors que je venais de finir de me sécher, ouvre simplement sa braguette et m'enfile sa queue dans la chatte par derrière après avoir craché dessus pour se lubrifier un peu.


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Où il veut, quand il veut, tel était les termes de notre relation ! Ce soir la relation c'est résumée à une brutales séries d'allers-retours dans mon vagin, au terme desquels il a jouit et est repartit aussitôt en me laissant souillée de son foutre. Là, j'ai vraiment l'impression d'avoir servi de vide-couille. Mais finalement, ça m'allait...


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Je suis donc retournée ensuite à la douche puis me suis enfin couchée, très satisfaite de cette soirée et de cette nouvelle queue à ma disposition. Quatre hommes étaient désormais disposés à me baiser à volonté, comme la salope que j'étais à présent.

Le lendemain, à mon bureau, Laurent m'appris que Kevin viendrait me voir à la rentrée des vacances d'hiver, dans quinze jours et que d'ici là, Antoine et Florian voulait me voir (me baiser en fait), mais pas dans ma chambre, dans une salle de cours. Je souris à cette demande car il est vrai que même si j'étais la directrice d'un lycée, jamais ils ne m'avaient prise dans une salle de cours... Durant la journée, cela était évidemment impossible mais, ayant les clés de tous les bâtiments, cela ne posait aucun problème de nuit. Il suffirait juste de faire sortir les garçons de l'internat pendant une heure ou deux.

J'allais donc me faire prendre en gangbang dans une salle de classe. Cool !

Le reste de la journée a été très calme et Laurent n'est même pas passé pour se soulager dans un de mes orifices. Et même si je me suis bien tenue, l'idée de ce prochain gangbang m'a terriblement fait mouiller. Et comme je ne portai ce jour-là pas de culotte, je coulais littéralement ! La cyprine suintait de ma chatte et enduisait mes cuisses. Heureusement que ma jupe n'était pas trop courte car cela se serait vu à coup sûr...


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La fin de journée a également été calme car, ce soir-là, j'étais de permanence à l'internat mais pas Laurent. Je suis donc restée chez moi tranquille et pour la première fois depuis des semaines, je me suis couchée sans que rien de sexuel ne se produise. Mais c'était parfait car j'imaginais bien que la soirée de demain allait être intense !

Nous étions donc jeudi soir, dernier moment disponible avec mes amants avant les vacances, après l'extinction des feux. L'internat étant un peu plus vide en cette veille de congés, Laurent avait demandé à sa collègue Lia, la surveillante de l'internat des filles, de le remplacer pour ce soir. Moi, je n'avais pas de permanence ce soir-là et donc pas d'excuse à donner.

J'avais choisis une salle de classe discrète, donnant sur une cour intérieure pour que personne ne remarque la lumière ou des mouvements suspects en pleine nuit. C'était une salle pluridisciplinaire, équipée avec des tables rondes pour que les étudiants travaillent en groupe. On n'était donc pas vraiment dans le cliché de la salle pleine de tables carrées bien alignées mais ça allait quand même le faire !

J'étais debout à côté de la porte d'entrée quand, enfin, Laurent, Antoine et Florian font leur apparition dans la salle. Les deux garçons comment à s'approcher de moi pour m'embrasser en disant :

- Désolé pour l'attente, s'excusa Florian, mais les gars de ma chambre ont mis du temps à s'endormir.
- Je ne veux pas de vos excuses ! les coupais-je alors sèchement. Installez-vous et prenez des notes, le cours va commencer !

Ils paraissent d'abord surpris mais comprennent vite que je leur faisais un petit scénario prof/élèves pour pimenter cette séance. J'avais, pour l'occasion, revêtis le parfait uniforme d'enseignante salope : talon hauts, mini-jupe laissant dépasser mes bas, un chemisier décolleté et carrément transparent et pour couronner le tout, une paire de lunettes absolument factices mais carrément sexy. La soirée promettait d'être jouissive !




A suivre...

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