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Émilie, directrice et traînée de lycée - 19 Alors à mon poste de travail, le lundi suivant, j'ai essayé de me concentrer sur mon retard phénoménal à résorber. En effet, depuis des mois que je me faisais baiser partout et tout le temps, j'avais abandonné mes habitudes de travailler à l'internat. Chez moi, plutôt que de me plonger dans mes dossiers, je me remettais des orgies de la nuit précédente et prenais des forces pour celles des nuits suivantes. Même la journée, Laurent venait me solliciter pour des pipes ou des coups de bite vite faits qui me déconcentraient. ![]() images similaires Et là, alors que je pouvais travailler, je ne pensais qu'à la surprise de ce soir. Paradoxe : alors que le niveau de mon lycée était en hausse du fait de mon « implication », la qualité de mon travail était en baisse. Loin de ces considérations, Laurent passa me chercher chez moi, à 22h. J'avais suivi les consignes et m'étais habillé classe et sexy. Je portais une robe noire moulante, fendue sur un côté jusqu'en haut de ma cuisse et absolument aucun sous-vêtements. Malgré que cette robe soit si moulante que l'absence de sous-vêtement était évidente, j'ai tout de même dus le lui prouver... ![]() images similaires - Whoa, vous êtes superbe ! - Merci, Laurent. - A partir de maintenant, vous allez suivre mes consignes, d'accord ? - Très bien. Il s'approche alors de moi et me bande les yeux avec un foulard noir qui m'occulte totalement la vue. Il me fait monter dans sa voiture puis démarre. J'ai l'impression que nous roulons assez longtemps mais il tourne sans cesse à gauche et à droite, si bien que j'ai du mal à m'orienter et suis incapable d'estimer la distance. ![]() Une fois à destination, il me fait descendre et me tient la main. Nous marchons ainsi sur un sol gravillonné sur une centaine de mètre puis je l'entends ouvrir une porte dans un grincement qui, bizarrement, me dit quelque chose. Nous entrons dans une salle, manifestement peu éclairée et assez grande car le bruit de mes talons résonne. Nous nous arrêtons enfin et il me glisse à l'oreille : - Bon anniversaire... Profitez-bien de votre surprise. Mais n'enlevez le foulard sous aucun prétexte ! Promis ? - Promis. - Autre chose : pas la peine de vous retenir de crier ici, personne ne vous entendra. Prenez votre pied aussi fort que vous le voulez. Je l'entends alors s'éloigner puis entends des bruits de pas de rapprocher de moi. A posteriori, c'était très imprudent de ma part d'accepter ce petit jeu mais sur le moment, j'étais excitée et envieuse de savoir ce qui m'attendait. ![]() images similaires Je sens alors des présences m'entourer, des respirations excitées dans ma nuque, sur mes côtés, devant moi. Des gens m'entouraient. Des mains se posent alors sur mon corps. ![]() Il n'y a que quelques mains au début, puis de plus en plus... Un nombre de mains que je n'arrive pas à estimer me caressent le corps, partout. Certaines s'attardent sur mes seins, mes hanches, mes fesses, mon sexe. Rapidement, on sort mes seins du haut de ma robe puis on m'en soulève le bas et les commentaires fusent sur le fait que je ne porte pas de culotte. Mon sexe est sollicité directement et je mouille déjà très fort. ![]() images similaires Des lèvres se posent sur mon cou et des mains soulèvent les bretelles de ma robe de soirée et la font tomber au sol. Je suis maintenant nue et aveugle devant des inconnus. Ils me lèchent et me caressent aussitôt les seins, jouent délicatement avec mes tétons. Une main me caresse le sexe pendant que d'autres m'écartent les fesses et qu'un doigt joue avec mon vagin et mon anus. De mon côté, je respire de plus en plus fort, voire gémis au contact de ces mains sur mon corps. Moi-même, je caresse les hommes qui m'entourent, les cheveux de ceux me léchant les seins, les corps de ceux me doigtant. J'en profite pour essayer de savoir si je les connais. Il y a déjà au moins un chauve, un aux cheveux longs, et un mec franchement gros et poilus. Ceux-là ne font pas partie des élèves que je fréquente. Laurent m'a donc offert, en tout cas en partie, à des inconnus. Soudain, je sens quelqu'un me soulever comme une mariée et me déplacer. Il me pose sur une sorte de tapis/matelas à la texture bizarre, mais confortable. Il me met à genoux et je sens alors un gland se porter à mes lèvres. Sans me poser de question, je le prends en bouche et suce cette bite inconnue. Des gens se saisissent de mes mains et me les placent sur leur sexe. Je masturbe donc ces inconnus pendant que d'autres continuent de me caresser, de me doigter. ![]() J'essaie de compter le nombre de participant : 3 sont occupés par ma bouche et mes seins, 2 autres, au moins, me caressent. Au moins 5 hommes pour moi. Et je ne sais même pas si Laurent en fait partie... L'homme que je suce se retire et laisse sa place à un autre. Mais aucune des personnes que j'ai comptées ne bouge alors. J'en conclue donc qu'il s'agit d'un sixième larron qui attendait son tour. Peut-être y en a-t-il d'autres ! Ensuite, j'avoue avoir perdu le compte car ils s'échangent mes mains et ma bouche, reviennent me doigter, s'en vont, parlent entre eux... Je dirais alors qu'entre 6 et 10 hommes vont me faire ma fête... Ça ne tarde d'ailleurs pas à monter d'un niveau car, alors que je suce un mec et que j'en branle deux autres, quelqu'un me tire les hanches vers l'arrière et pose son gland sur ma chatte. Je sens alors qu'il est recouvert d'une couche plastique... Une capote ! ![]() images similaires Dieu merci, Laurent a dû faire passer la consigne de se protéger. Le sexe enveloppé de latex me pénètre alors doucement, me faisant gémir un bon coup malgré ma bouche pleine. Cette première pénétration fût le déclanchement d'une magnifique et énorme orgie dont vous raconter chaque détail m'est difficile. Je peux vous dire que les hommes se sont d'abord succédé dans ma chatte et ma bouche à un rythme effréné. Ils me doigtaient régulièrement le cul pendant qu'ils me baisaient, me massaient les seins, me pinçaient les tétons. ![]() Je devais du coup sucer leurs bites recouverte de latex car ils ne se découvraient évidemment pas à chaque fois qu'ils sortaient de moi. Les capotes étaient aromatisées mais le gout du plastique n'était franchement pas terrible. Mais peu importe car l'essentiel était que chacun des hommes qui me pénétrait était protégé. J'ai pris un pied d'enfer et je gémissais et criais sans me retenir. J'entendais ma voix résonner dans cette grande salle et cela me faisait plaisir de pouvoir enfin crier sans retenue pendant que je me faisais défoncer, après des mois et des mois passés à devoir me contenir. En parlant de crier, je me souviens avoir poussé un cri de surprise quand une queue, d'un diamètre plus que correct, a entrepris de m'enculer. Il m'a cependant lubrifié beaucoup et pénétré mon anus sans trop de difficulté. ![]() images similaires Il était large et prenais a priori beaucoup de plaisir à me la rentrer à fond, lentement, en se régalant de voir mon anus s'ouvrir pour l'accueillir. Et à nouveau, c'est une succession de queues de toute forme qui m'ont défoncé le cul. L'orgie avait commencé depuis une bonne demi-heure et certains participants commençaient alors sans doute à montrer leur limite car un premier homme a retiré sa capote et m'a collé sa queue en pleine bouche pour me faire le plein. ![]() images similaires Il ne m'a d'ailleurs pas prévenu et s'est vidé d'un coup sur ma langue alors que je pensais qu'il voulait juste une pipe. Un sperme abondant et amer m'a remplit la bouche et je n'ai pas eu d'autre choix que d'avaler. Il m'a ensuite demandé de tirer la langue pour lui prouver que j'avais bien gobé sa semence. Derrière, le mouvement s'est alors accéléré. On me prend par les hanches, on m'allonge sur un homme (bedonnant) qui me baise pendant qu'un autre vient m'enculer. Je crie de jouissance car cette première double pénétration me déclenche un bel orgasme qui commençait à monter depuis un moment. ![]() images similaires On me remplit aussitôt le gosier avec une queue voulant manifestement jouer avec mes amygdales. Ils me « double-pénètrent » comment ça pendant un long moment puis me retournent, sur une autre queue, et me reprennent en sandwich les uns après les autres. Un autre homme vient se vider dans ma bouche, me demande d'avaler. Cela fait deux participants hors-jeu mais j'ai l'impression qu'ils sont toujours autant à me baiser. ![]() La curée ne s'arrête jamais et je jouis à plusieurs reprises. A un moment, ils m'ont positionnée à quatre pattes et se sont reconcentré uniquement sur mon cul, plus dilaté que jamais. ![]() images similaires Durant au moins 10 minutes, je suis restée ainsi cul tendu, la tête allongée sur le tapis, pendant qu'ils se succédaient dans mon fion, sans rien solliciter d'autre chez moi. J'étais réduite à mon seul trou du cul, et ils l'ont pénétré, défoncé, matraqué à volonté, jusqu'à ce que je demande un peu de répit, tant la douleur commençait à devenir grande. Compréhensifs, ils m'ont allongé sur le tapis pour me prendre en missionnaires, de manière plus classique. Certains me baisaient la chatte comme des tarés mais d'autres me pénétraient tranquillement en se collant à moi, pendant que ceux qui attendaient leur tour m'embrassaient et me caressaient. Mais ce romantisme ne dura pas éternellement et fût est rompus quand un des mecs me souleva, toujours bien enfoncé dans ma chatte, pour se mettre debout pour donner à ses copains un accès privilégié à mon cul. Je suis à nouveau défoncée en double, accrochée par devant à celui qui me baisait en m'embrassant et offerte par derrière à ceux qui m‘enculaient. ![]() images similaires Cela faisait plus d'une heure que je me faisais baisé, sans la moindre pause, et je commençais sérieusement à être fatiguée et endolorie de tant d'allers-retours en moi et de tant d'orgasmes. J'avais aussi, c'est assez drôle, mal à la gorge à force de crier, d'hurler, de gémir. Jamais je n'avais été aussi bruyante. Du coup, je grimaçais de plus en plus à chaque fois qu'une bite pénétrait mon anus en feu et je demandais de plus en plus souvent du répit ou les suppliais pour qu'ils soient moins bourrins. Laurent dût s'apercevoir de mon état car il déclara : - Messieurs, je pense que notre invitée à bien profité de son cadeau d'anniversaire... il va être tant de conclure. Je vous propose un bukkake pour finir en apothéose. Enfin ! me dis-je intérieurement, en étant à la fois impatiente de me faire recouvrir de foutre et d'en finir avec ce gangbang pour rentrer chez moi. Les hommes m'ont du coup allongé sur le tapis et m'ont demandé de ne pas bouger, d'attendre sagement ma récompense. J'entends alors les capotes être retirées et les mecs se branler juste au-dessus de moi. Puis ce fût une véritable averse de sperme. J'ai reçu du foutre absolument partout et en quantité impressionnante. Evidemment, mon visage est la partie la plus touchée mais j'en sens tomber également sur mes seins, mon ventre, mon sexe et me jambes. Cela me donne vraiment l'impression d'une douche car le foutre s'abat sur moi sans interruption et une couche uniforme se forme sur ma peau. ![]() Je passe mes mains dessus pour constater la quantité qui me recouvre et dégager un peu mon nez pour respirer. Mais le flot continue sur et dans ma bouche, sur mes seins, et le reste de mon corps. Il y a même un mec qui s'est branlé avec mes pieds et m'a juter dessus. Il me semble alors qu'il y a beaucoup plus de sperme « émit » que ne le laissait envisager le nombre de participants. ![]() images similaires Puis, alors que la dernière goutte m'atteignait, un salve d'applaudissement a conclu l'orgie et j'ai entendu tout le monde se rhabiller et s'éloigner. Ils sont sortis par cette porte qui grinçait et décidément, je me suis dit que ce bruit ne m'était pas étranger. Je palpe alors le tapis sur lequel je suis couchée et un éclair de lucidité me vient. C'est un tapis de judo, un tatami, et la porte qui grince est celle de la porte du gymnase ! Ce salop m'a fait croire qu'il m'emmenait loin alors qu'on retournait au lycée ! Du coup, je me suis fait prendre en gangbang au lycée, à quelques pas de l'internat, par des inconnus. Et j'ai crié autant que j'ai pu, me croyant tranquille. Pour la réputation, c'est génial !! Je cache d'abord ma découverte à Laurent qui m'aide à me relever. - Cela vous a plu ? - Beaucoup, merci ! Ils sont partis ? Je peux enlever mon foulard ? - Ils sont partis, mais gardez encore le foulard. Je veux garder l'endroit secret... - Tu sais, je connais très bien mon gymnase... - Hein ? Q... Je retire alors mon foulard d'un coup et découvre, effectivement, le gymnase de mon lycée. - Espèce d'enfoiré ! Tu m'as mentis depuis le début ! - C'est bon... c'est un endroit discret comme un autre... - Et c'étaient qui ces gars ? - Ça dépend... - De quoi ? - De ceux qui vous ont baisé ou pas ! Ceux qui vous ont sauté, c'est des potes à moi. Et les autres, c'est vos élèves/amants qui n'ont eu le droit que de regarder et... de se vider sur vous. - Tes potes ? D'où tu te permets de me donner à tes potes ?? Et ils étaient combien au total ? - 15... - Putain mais t'es dingue !! - Du calme, vous avez pris un pied d'enfer avec soit des gars qui vous baisent déjà, soit des inconnus qui ne savent pas qui vous êtes. J'ai pensé à tout ! Mais je n'avais pas prévu qu'ils vous mettent dans un état pareil ! Il est vrai que depuis que j'avais retiré mon foulard et commencer d'engueuler Laurent, je ne m'étais pas préoccupée de mon état. Je regarde mes seins et mon sexe... recouverts de sperme. Je passe la main sur mon visage... du foutre épais partout, sauf autour des yeux qui étaient couverts par le bandeau, même si le sperme qui recouvrait mon front commençait à dégouliner. Mes cheveux étaient lézardés de trainées blanches. J'étais aussi mouchetée de semence sur mes mains mes jambes et mes pieds. Des gouttes tombaient au sol, d'autres pendant à mon nez ou au bout de mes doigts. ![]() images similaires - Putain... Je file directe à la douche ! - Dommage, vous êtes très belle comme ça. Je me rends aux douches collectives du gymnase et commence par me regarder dans un miroir. Mon visage était méconnaissable et à présent entièrement recouvert de sperme. Je prends une longue douche chaude pour me débarrasser de ma souillure Puis, n'ayant aucune serviette, je me sèche à peine avec ma robe et décide de ne pas la remettre. - Vous allez sortir à poil ?? - Au point où j'en suis... Nous sortons donc du gymnase et courons vers la voiture de Laurent, fesses et seins à l'air en ce qui me concerne. ![]() images similaires Je suis silencieuse et en colère durant le trajet (plus court qu'à l'aller...) mais une fois devant chez moi, je lui demande : - Tu en as profité, au moins ? - Non, j'ai laissé ma place aux copains. - Tu m'as juste juté dessus ? - Même pas ! - Je te fais plus bander ou quoi ?? Tu as dû à peine me baiser 2 fois ce mois-ci et là que je suis totalement offerte, tu ne participes même pas !! - Je surveillais pour que tout se passe bien pour vous... - Et bien là, plus besoin de surveiller ! Je lui saute alors dessus alors qu'il est encore assis à la place du conducteur, dégrafe son pantalon et sors sa queue. Je le suce avidement, le branle pour le faire bander et me place à cheval sur lui, dans une position scabreuse entre le levier de vitesse et la portière ouverte. Je l'enfonce en moi directement et fais mouvoir mes hanches pour le baiser. ![]() images similaires Je fais le plus vite et le plus efficacement possible, et réussis à le faire jouir en 2 ou 3 minutes. Il me remplit le sexe dans un râle de plaisir. La sensation de son foutre chaud dans mon vagin me fait un bien fou après tous ces contacts « plastifiés ». Encore empalée sur lui, je tapote sa joue comme pour un animal de compagnie : - Tu vois, à la base, c'était ça le deal... Toi, moi, où tu veux, quand tu veux. Je ne sais pas à quoi tu joues, mais ça ne me plais pas, je te le dis. Je me relève alors et laisse volontairement couler le sperme sur son pantalon, m'essuyant même la chatte sur son genou. Puis je sors de la voiture en récupérant ma robe et rentre chez moi, à la fois comblée de sexe mais énervée par des évènements qui m'échappent. Tout allait s'éclaircir le jeudi, alors que je recevais Mathieu, le nouvel élève qui m'envoyait Laurent. Laurent frappa à ma porte à 20h30, durant l'étude et me présenta Mathieu. - Vous avez une demi-heure... Puis il sortit en me laissant seule avec le jeune homme. ![]() - Mme la Directrice... - Bonjour Mathieu. Que puis-je faire pour toi ? - Vous déshabiller... pour commencer ! J'étais estomaquée par le manque de délicatesse du gamin. Il venait là pour tirer sa crampe et c'est tout. Mais, obéissante, je me déshabille et me retrouve entièrement nue devant lui. Il avait, entre temps, sortit son sexe de son pantalon et se masturbait en me regardant. ![]() images similaires - Parfait... Venez me sucer. - Un « s'il vous plaît » t'arracherait la gueule ? - S'il vous plaît, Mme la Directrice, pouvez-vous me sucer la bite ? - C'est mieux, dis-je malgré le ton sarcastique qu'il avait pris. Je me mets à genoux devant lui et commence à lui sucer la bite. Je ne mettais aucune bonne volonté à cet acte que je n'ai pas choisi de faire. Mais il se montre brutal et me force à l'avaler le plus loin possible. Il est loin d'avoir une grosse bite et s'enfonce dans mon gosier sans trop de difficulté. ![]() images similaires - Aaahh putain, c'est bon ! Vous aimez vraiment ça, la bite, hein ? - A ton avis ? Je n'avais vraiment aucune envie d'être charmante avec ce petit con. Lui non plus, d'ailleurs... Il me met à quatre pattes sans délicatesse et crache dans sa main. - Tu sais que j'ai mes règles ? - Je sais et ce n'est pas votre chatte que je vais défoncer ! On m'a dit beaucoup de bien de votre cul ! - On ?? - Oui, enfin, Laurent quoi.... Sans perdre de temps, il enfonce sa petite bite dans mon cul qui l'avale sans aucune difficulté. Il commence aussitôt à me limer en faisant des commentaires forts romantiques sur les femmes qui comme moi, aiment se faire enculer et tape violement contre mes fesses pour me la mettre à fond. ![]() images similaires Régulièrement il se retire, joue avec mon anus en y enfonçant 2 doigts et en l'écartant sur le côté. Je ne réagis pas et fait en sorte de n'exprimer aucun signe de plaisir (ce qui n'est guère le cas, de toute façon...). ![]() images similaires Il me sodomise et me doigte depuis un moment et je trouve qu'il abuse de plus en plus de la souplesse de mon anneau. C'est avec 3 doigts qu'il me doigte, et me dilate. Puis il dit : - Préparez-vous, ça va peut-être piquer... - Hein ? Mais sans répondre, il enfonce son petit doigt en plus dans mon anus et appuie fort avec sa main. - Tu comptes faire quoi, au juste ? - Vous mettre mon poing dans le cul... - T'es taré ?? C'est hors de question !! Mais il ne m'écoute pas et ajoute son pouce, joint aux autres doigts dans mon anus. - Arrête ça tout de suite !! ![]() images similaires Mais il accentue encore la pression et essaie réellement de me rentrer toute sa main dans le cul. A mesure que les doigts s'enfoncent, mon fion se dilate et la douleur, ainsi que la sensation de me faire violer, augmente. Je me relève d'un bon, faisant sortir de fait sa main de mon anneau. - Putain, t'es sourd ?? Je t'ai dit non ! Maintenant dégage de chez moi ! dis-je en allant vers la sortie - Vous déconnez ?? J'ai payé pour ça... - Qu'est-ce que tu as dit ?? - Rien... Enfin si, j'ai dit : vous allez payer pour ça ! Je le regarde, convaincue qu'il me ment et d'avoir très bien entendu ce qu'il avait dit au début. - Alors écoute-moi bien, petit con. Quand on la chance d'enculer une femme, qui plus est sa propre directrice hyper canon, il faut s'estimer heureux et ne pas abuser. Surtout quand on n'est pas spécialement bien monté comme toi ! Alors maintenant, tu vas me foutre le camp et je dirais à Laurent que tu as essayé d'abuser de moi, ce qui est l'entière vérité. Rien que pour ça, il pourrait de péter la gueule... Ensuite, si tu essaie de m'emmerder, je ferai en sorte que tes années dans ce lycée deviennent un enfer et que, malheureusement, il t'arrive des bricoles. Est-ce que c'est clair ? - C'est très clair, répondit-il l'air terrorisé. - Maintenant, tu vas disparaitre d'ici et si jamais je croise un jour un regard pervers dans les couloirs du lycée, je te défonce... Si tu t'avises de redemander à Laurent de me voir à nouveau, je te défonce. Bref, si tu fais quoi que ce soit qui me déplaît, je te défonce, compris ? - J'ai compris. - Bien. Dégage de chez moi ! Je referme la porte, me rhabille en ruminant la phrase qu'il a dit : « j'ai payé pour ça ». Serait-il possible que Laurent l'ai fait payer pour qu'il puisse me sauter ? Quelle horreur ! Mais alors, s'il l'a fait avec lui... avec qui d'autre encore ? Pas Florian et Antoine, que je connaissais d'avant. Avec Arnaud, c'est possible. Pour Kévin, j'ai un doute car il a été si doux et patient la première fois... Donc Laurent me prostituerait en me faisant croire que c'est à ma demande qu'il m'envoie ses « clients »... Quelle espèce de salopard !! Et en parlant du loup, Laurent frappa à ma porte peu de temps après le départ du gamin. - Alors ? - Alors ce petit con a voulu me fister le cul ! Il était violent et n'a pas écouté mes protestations. Donc je l'ai viré de chez moi... Tu as intérêt à lui faire comprendre que ce n'est pas comme ça qu'on fait avec moi ! - Je vois... - Tu peux surveiller l'étude pour moi, il faut que je sorte prendre l'air. - Pas de problème. Nous sortons de ma chambre et je me dirige vers la sortie, à l'étage inférieur, pendant que Laurent se rend vers les chambres où les étudiants font leurs devoirs. Arrivé à un angle, je bifurque et me dirige vers la chambre de Laurent, avec le trousseau des doubles dans la poche. Il avait verrouillé sa porte mais ce n'est pas ça qui va m'arrêter. Avec le double, j'entre chez lui. La pièce est petite et la lumière éteinte. Sur la table, un ordinateur portable est ouvert et allumé. Je coupe l'écran de veille et découvre un bureau avec, en fond, une photo de Lia, la surveillante. Un répertoire à son nom me permet d'ailleurs de voir qu'il s'adonne à la photo amateur avec elle et qu'elle est vraiment très jolie nue, même avec sur sperme sur le visage... ![]() images similaires Je réfléchis : si je dois prostituer quelqu'un, c'est une liste de nom et une sorte de comptabilité que je tiendrais. Je fouille son bureau, retourne des papiers mais je ne trouve rien. Je regarde à nouveau son ordinateur et ouvre l'onglet « démarrer ». Dans les « documents récents », je vois toute une liste de documents Word et Excel. Après plusieurs essais infructueux, je prends un document daté d'aujourd'hui, appelé « prestations », et l'ouvre avec le cœur qui bat à 100 à l'heure. ![]() images similaires Je découvre alors une liste de noms, assez longue, dont je connais certains (Kevin, Arnaud, Mathieu) et d'autre que je ne connais pas, des dates en face, certaines passées et correspondant par exemple au gangbang de lundi, à la visite d'Arnaud la semaine dernière et dans la colonne d'en face, les prestations choisies ainsi que le prix. En cliquant sur la case, je constate qu'il s'agit d'une formule et d'un renvoi à un tableau. Je l'ouvre et découvre l'ensemble des prestations qu'il a prévu pour moi : branlette, pipe, baise, anal, dp, gangbang, fist, uro, exhib, sm, etc. En face, les prix : 10€ pour une branlette ou une pipe. 50 pour une baise, 10 de plus avec anal. Tarif de groupe pour une dp : 70 € par personne, seulement 50 € pour participer à un gangbang (au moins 4 participants). Si quelqu'un veut me baiser, m'enculer, me fister et me pisser dessus pendant que je le suce, cela lui coutera au moins 200 €... Dans un autre onglet, je découvre un calendrier avec les semaines à venir en train de se remplir gentiment pour moi. Ça y est, je suis une pute, me dis-je en pleurant devant cette liste. N'ayant pas de clé USB sur moi, je prends une photo du tableau avec mon portable et fais une sortie papier de chaque page avec son imprimante. Je ne savais alors pas ce que j'allais en faire, mais il me fallait des éléments bétons. ![]() images similaires Je referme la porte en sortant de chez Laurent et retourne chez moi. Il est repassé me voir dans la soirée mais j'ai refusé tout net de le « soulager ». Le lendemain, j'ai prétexté des douleurs au ventre pour rentrer chez moi puis, dans l'après-midi, j'ai dit que je ne reviendrais pas lundi, car j'étais en arrêt. Il me fallait du temps pour réfléchir. A suivre... |