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Le scoop-4 : Les galons de Rosalie http://xtoires.over-blog.com/2017/03/fantasme-professionnel-4.html Au lendemain de sa séance avec Georges, Rosalie se leva de bonne heure. Elle voulait faire bonne impression sur le client et sur son employeur afin de pouvoir accéder aux hautes sphères de la direction du cabinet. La proposition de Maître Pittet l'avait complètement transformée. Elle, qui espérait trouver un emploi de simple assistante, souhaitait à présent détenir la totalité des parts de la société et se servir de son employeur pour soulager ses envies qui se faisaient de plus en plus perverses. ![]() images similaires La jeune femme se prépara un petit déjeuner équilibré et, après avoir mangé, monta dans sa chambre et ouvrit le tiroir d'une commode ; après de longues hésitations, son choix se porta sur une petite culotte et un soutien-gorge bleus assortis d'un porte-jarretelles de la même couleur et de bas fumés. Rosalie posa les sous-vêtements sur son lit et se dirigea vers la salle de bain ; elle avait une heure devant elle avant de partir travailler. ![]() images similaires Sous la douche, la jeune femme ne manqua pas de se toucher en se remémorant le magnifique cunnilingus que sa patronne lui avait prodigué et la fellation qu'elle avait faite à Georges la veille. ![]() Elle se prit également à s'imaginer en train de se servir de ses talents pour convaincre le client de son patron de confier ses capitaux à celui-ci. ![]() Rosalie prit un peu de savon et l'étala sur son corps, non sans insister sur sa poitrine qu'elle caressa en rêvant de la comparer à celle de Charlotte, qu'elle imaginait flasque et tombante alors que la sienne était lourde et ferme. ![]() images similaires La jeune femme continua de laver son corps en laissant ses délicieuses pensées couler librement dans son esprit, puis elle sortit de la cabine de douche et s'essuya en s'imaginant une nouvelle fois nue devant Georges qui comparait son corps à celui de son épouse. ![]() images similaires La jeune avocate revêtit la lingerie qu'elle avait choisie et se regarda dans la glace. Satisfaite de l'effet pigeonnant du soutien-gorge, elle passa une robe bleu foncé et partit pour le cabinet des Pittet. ![]() À son arrivée, Georges l'accueillit d'un simple « bonjour » et lui demanda ce qu'elle comptait faire pour amener leur éventuel client à se décider. - Alors, Mademoiselle Frei ? Que comptez-vous réserver à notre client ? - Je pense que vais me faire passer pour votre masseuse personnelle. Il sera sûrement un peu stressé : il faudra donc le détendre pour le mettre en condition. Il vous sera ainsi plus facile de le convaincre puisque sa décontraction vous détendra également. J'ai pris ce qu'il faut. - Très bien, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble ; mais je veux conclure ce contrat. Bon, monsieur Edimbourg arrive dans une heure. Je vous laisse vous préparer. ![]() Rosalie prépara son bureau afin qu'il serve de table de massage ; elle rangea les documents dans l'un des tiroirs et, afin d'assurer un bon confort au futur client, elle recouvrit la surface du meuble d'une couverture qu'elle avait prise de chez elle. L'investisseur arriva bientôt. Rosalie entendit la voix de son patron le saluer puis, après quelques échanges banals sur leur santé respective, Rosalie entendit Georges proposer une « mise en bouche ». ![]() images similaires - Vous me semblez un peu stressé, Monsieur. Voulez-vous quelque chose pour vous détendre ? Moi-même, il m'arrive de ressentir du stress durant mes déplacements. C'est pourquoi je me suis attaché les services d'une masseuse. Si vous souhaitez vous relaxer, elle est à votre disposition. - C'est proposé si gentiment ; eh bien, pourquoi pas un massage avant les affaires ? - Dans ce cas, si vous voulez bien me suivre... Les deux hommes se dirigèrent vers le bureau de Rosalie, où ils pénétrèrent. - Bonjour, Mademoiselle ; pourriez-vous faire bénéficier Monsieur Edimbourg d'un massage d'accueil ? ![]() images similaires Rosalie acquiesça et Georges se retira de la pièce. La jeune femme jaugea le client : un homme noir d'environ trente-cinq ans, auxquels la jeune avocate trouva du charme. - Mettez-vous en sous-vêtements et allongez-vous sur la table, lui dit-elle d'une voix douce. ![]() images similaires Monsieur Edimbourg obtempéra et la jeune femme commença à le masser. Elle commença par ses épaules puis descendit lentement le long de sa colonne vertébrale jusqu'à ses fesses, puis elle passa ensuite aux jambes de l'homme mûr, progressant le plus innocemment possible à l'intérieur des cuisses. Rosalie poursuivit son massage durant près de dix minutes avant de s'adresser à lui : - Ça va mieux, Monsieur ? - Oui, Mademoiselle. Merci. ![]() images similaires L'homme se redressa mais ne put dissimuler la bosse qui déformait son caleçon. La jeune femme eut un petit rire entendu. Désirez-vous un massage là aussi ? ![]() images similaires Monsieur Edimbourg ne répondit rien, surpris par la tournure que prenait son rendez-vous. Cependant, Rosalie n'eut pas besoin d'invitation pour comprendre que le client de son patron souhaitait au fond de lui qu'elle lui fasse du bien. ![]() La jeune femme entreprit de caresser à travers le caleçon la verge tendue, puis elle le fit glisser le long des jambes jusqu'à ce qu'un sexe de bonne taille se dresse devant son visage. ![]() images similaires Professionnelle, la jeune avocate résista à la tentation de pousser un ronronnement de gourmandise. Elle se contenta de faire glisser sa robe au sol et de dégrafer son porte-jarretelles et son soutien-gorge, libérant sa lourde et généreuse poitrine. ![]() Se saisissant du membre tendu, elle le masturba lentement avant de le prendre en bouche, pour le plus grand plaisir du client qui laissa échapper un râle. ![]() images similaires La jeune « masseuse » poursuivit ses va-et-vient sur le sexe de monsieur Edimbourg, faisant tournoyer sa langue sur son gland volumineux et massant d'une main les testicules gonflés par l'excitation, tandis que de l'autre elle caressait la toison pubienne. ![]() images similaires Le sentant près d'éjaculer, Rosalie retira le sexe de sa bouche et le coinça entre ses seins. Sa branlette espagnole ne dura que quelques dizaines de secondes. ![]() Dans un râle de plaisir, monsieur Edimbourg sentit son sexe palpiter contre la poitrine de la jeune femme, et quatre jets de sperme vinrent maculer les seins lourds de l'avocate. ![]() Elle étala la semence sur sa poitrine et lécha ses tétons en le regardant l'homme droit dans les yeux. Apaisé, monsieur Edimbourg se rhabilla et félicita Rosalie pour sa performance. ![]() - Votre patron a vraiment beaucoup de chance de vous avoir, petite coquine ! ![]() images similaires Elle sourit et regarda l'homme rejoindre le bureau de Maître Pittet. Leur échange privé ne dura que quelques minutes ; les deux hommes sortirent du bureau et se serrèrent chaleureusement la main. Lorsque Monsieur Edimbourg fut sorti du cabinet, Georges se dirigea vers le bureau de Rosalie. - Bravo, Mademoiselle Frei ! Vous avez réussi ; grâce à vous, nous avons un nouveau client : ce gros investisseur a accepté de placer ses capitaux chez nous. - Vous m'en voyez ravie, Maître. Mais un succès tel que celui-ci mérite d'être arrosé ! ![]() images similaires Tout en prononçant ces paroles, Rosalie s'était agenouillée devant son employeur ; à présent, elle déboutonnait la braguette de Maître Pittet. Lorsqu'elle eut terminé, elle ouvrit la bouche et déploya sa langue humide. Répondant à cette invitation muette mais plus qu'explicite, Georges dégagea de son caleçon sa verge encore molle et en amena l'extrémité au contact de l'organe recouvert d'une douce muqueuse. ![]() images similaires Cette vision d'un érotisme raffiné exacerba sa libido, donnant de l'ampleur à sa verge. Au fur et à mesure qu'elle se déployait sur le délicat support, le prépuce découvrait de plus en plus le gland qui, maintenant gorgé de sang, avait pris une teinte d'un mauve luisant. ![]() images similaires La progression du membre sur la langue procurait à l'avocat de voluptueuses sensations au niveau de son frein, provoquant un gonflement et un allongement accrus de son membre viril qui disparut à l'intérieur de la bouche de Rosalie, qui referma ses lèvres sur la hampe noueuse et entreprit de téter le gland volumineux. - Non ! Pas comme ça ! ![]() images similaires L'ordre avait claqué, sec, brutal. - Ouvrez votre bouche, Mademoiselle Frei, et tirez la langue. ![]() images similaires Maître Pittet était un esthète. Même si les succions de sa jeune assistante venaient de lui procurer un plaisir indéniable, sa prédilection pour le voyeurisme lui dictait le comportement susceptible de lui donner un maximum de plaisir. ![]() images similaires Lorsque son gland violacé réapparut d'entre les lèvres de Rosalie, reposant sur le présentoir velouté, il le fit glisser de quelques millimètres seulement d'avant en arrière en un subtil va-et-vient, tout en surveillant la montée progressive de son plaisir. ![]() images similaires À présent, son membre tressautait et quelques gouttes de liquide transparent s'épanchèrent sur la langue de la jeune assistante. Georges recula de quelques centimètres pour que son frein prenne place juste sur l'extrémité dardée de la langue de Rosalie. ![]() images similaires - Caressez-moi le frein de la pointe de votre langue. Et surtout, ne vous arrêtez pas ! ![]() images similaires L'avocate, attentive au plaisir de son employeur, s'exécuta docilement. Georges Pittet ahanait, le souffle court. Encore quelques secondes de ce délicieux traitement et sa verge se cabra, expulsant une longue traînée de sperme sur le front de son assistante. ![]() images similaires Désireux de ne pas gâcher son plaisir, il saisit son membre pour le maintenir en contact avec la pointe de la langue de Rosalie. Alors qu'il laissait échapper un feulement de soulagement, plusieurs longues salves de liquide crémeux vinrent tapisser le palais de la jeune femme. ![]() images similaires Les saccades succédaient les unes aux autres tandis que l'arrière-gorge de l'assistante se remplissait du sperme de son employeur. Lorsqu'elles cessèrent, Rosalie déglutit ostensiblement. ![]() - À votre santé, Mademoiselle Frei ; voici un contrat arrosé comme il se doit ! - Maître, puis-je vous transmettre la demande d'une amie ? ![]() images similaires L'avocat fronça les sourcils. - À quel propos ? - C'est mon ancienne camarade d'école qui est maître de conférences et praticien hospitalier ; elle subit un chantage : quelqu'un a pris des photos d'elle alors qu'elle se changeait sans précautions particulières. - Mais... cela n'est pas de mon ressort : je ne traite que des affaires financières. Et puis des photos en sous-vêtements, ce n'est pas particulièrement compromettant. Telle que je connais Emmanuelle, elle aura eu quelques gestes plus sensuels ; et puis, elle ne porte pas toujours des dessous BCBG. Mais voilà une information qui pourrait vous intéresser : je sais que sa famille détient des comptes bancaires dans certains paradis fiscaux. ![]() - Mademoiselle Frei, j'ai l'impression que vous pourriez apporter une affaire intéressante à notre cabinet. Trouvez donc un rendez-vous à votre amie, mais préparez-la correctement, si vous voyez ce que je veux dire.. - Très bien, Maître. Je vais vous arranger un rendez-vous avec elle. M'autorisez-vous à prolonger ma pause afin que je puisse la préparer ? - Bien sûr, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble, mais n'échouez pas ! - Oui, Maître. ![]() Rosalie regagna son bureau et composa le numéro de son amie. - Allô, Emmanuelle ? J'aimerais te parler de ton affaire. Non, pas au téléphone. Si on se retrouvait à Intrigo ? Nous y serons mieux pour parler. Je suis en pause jusqu'à 17 heures. On fait comme ça ? Tout de suite, devant Intrigo ? OK, ça marche. À plus. ![]() images similaires Après avoir raccroché, la jeune assistante frappa à la porte de son employeur et pénétra dans son bureau. - J'ai rendez-vous avec Emmanuelle à Intrigo. Comme elle est plutôt pressée et pas mal stressée, elle veut me voir immédiatement. Ça ne vous dérange pas, Maître ? - Du tout, Mademoiselle Frei. Faites comme bon vous semble, mais je veux que votre amie devienne notre cliente. Vous comme moi ne pouvons pas nous permettre de laisser passer une telle opportunité. Et n'oubliez pas : préparez-la comme il se doit... - Comme vous voudrez, Maître. ![]() Rosalie sortit du bureau, passa son manteau sur ses épaules et sortit du cabinet. La jeune femme marcha élégamment le long de la rue de Romont, faisant claquer ses talons sur le sol à chacun de ses pas. Elle descendit ensuite la rue de Lausanne jusqu'au point de rendez-vous. ![]() images similaires À son arrivée, Rosalie remarqua la présence d'une grande jeune femme longiligne - aussi mince que les mannequins actuels - à la longue chevelure légèrement ondulée d'un blond foncé, au visage émacié doté d'une bouche charnue aux lèvres pulpeuses, illuminé par deux immenses yeux verts. ![]() images similaires La jeune femme se dirigea vers elle et lui fit la bise. ![]() images similaires Salut, Rosalie. Ça va ? ![]() images similaires - Oui, très bien. Et toi ? - Ça va. - On va se prendre une glace ? J'ai toujours eu envie de goûter leur glace aux "Ferrero Rocher". ![]() images similaires Les deux blondes entrèrent dans la boutique et commandèrent chacune une boule de glace, que le serveur leur mit dans un charmant petit gobelet en plastique aux couleurs de la maison. Rosalie le remercia et guida son amie à l'étage. Elles s'assirent à une table près de la fenêtre, se garantissant ainsi une certaine intimité. ![]() images similaires - Alors, Emmanuelle ? Qu'est-ce qu'il se passe dans ton hôpital ? - Je te l'ai déjà dit : des infirmiers m'ont photographiée pendant que je me changeais. Et maintenant, ils me forcent à leur faire du bien en menaçant de donner les photos au directeur. - Tu en es sûre ? Parce que des photos en sous-vêtements, en Droit, ce n'est guère compromettant. Tu étais juste en sous-vêtements ou tu en profitais pour te caresser ? - Tu sais que tu pourrais être procureur, toi ? Oui, je l'avoue : je me suis masturbée une fois avant de mettre ma blouse. D'ailleurs, j'ai ces fameuses photos sur moi ; les voici. ![]() images similaires Elle sortit son smartphone de son sac à main et, après avoir cherché dans les répertoires, elle afficha sur l'écran la première d'entre elles et tendit l'appareil à Rosalie. Cette photo n'était pas compromettante du tout : on voyait Emmanuelle déambuler en justaucorps noir largement échancré au niveau des hanches, une blouse blanche à la main. - Ce n'est que ça ? - Attends de voir les autres... ![]() images similaires En effet, la suivante était beaucoup plus suggestive : Emmanuelle était à présent assise par terre ; son sein droit était visible, et le téton qui pointait ne laissait aucun doute sur son état d'excitation. Mais ce qui attirait le regard, c'était la vulve aux lèvres gonflées que dévoilait l'entrejambe du justaucorps qui avait été tiré sur le côté. ![]() Quant à la troisième photo, elle ne laissait aucun doute sur l'occupation à laquelle Emmanuelle était en train de se livrer, les seins à nu et deux doigts dans la chatte. ![]() images similaires - En effet, c'est très compromettant, tout ça... Eh bien, c'est d'accord. J'ai parlé de ton affaire à mon patron. - Et ? Il est d'accord de m'aider ? - Oui, mais il est avocat fiscaliste. Ton affaire n'a rien à voir avec son domaine de compétences. Il a accepté, mais uniquement si tu acceptes de lui confier tes capitaux et, surtout, que ta famille accepte de se faire défendre par lui si l'administration fiscale venait à s'intéresser à ses placements offshore, si tu vois ce que je veux dire... ajouta-t-elle avec un petit clin d'œil complice qui voulait en dire long. - Ah, c'est vrai... Je n'aurais peut-être pas dû te parler de ces comptes bancaires au Luxembourg et à l'Île de Man ; alors, si c'est comme ça, tu as mon accord pour la gestion de mes propres capitaux. En ce qui concerne les placements de ma famille, je me charge d'obtenir son assentiment en cas de problèmes avec le fisc. - Parfait. Il ne te reste plus qu'à prendre rendez-vous ; et il se trouve que mon patron est libre cet après-midi. - OK. J'irai le voir... Au fait, il est comment ? - Sacrée coquine ! Eh bien, c'est un type dans la cinquantaine, charmant, bien bâti... - Bien bâti ? Tu couches avec lui ?! - Pas exactement. Je lui fais des fellations et des masturbations, mais il ne m'a jamais pénétrée. Il est marié. Et sa femme ? Elle sait que tu couches avec lui ? Je ne pense pas, sinon elle t'aurait déjà virée. ![]() - Virée ? Tu parles ! C'est mon patron, Georges, qui décide de tout dans ce cabinet. Elle nous a surpris ensemble dès notre première fois et... Devine ce qu'elle a fait... Elle m'a léché la chatte sur ordre de son mari. Complètement soumise, si tu veux mon avis. - Hum... J'ai hâte de connaître ton boss. ![]() Les deux jeunes femmes finirent de manger leur glace tout en se racontant leur parcours professionnel. Rosalie dit à Emmanuelle comment son patron l'avait surprise en train de se masturber sous son bureau, et comment leur relation était née. Emmanuelle, elle, raconta à Rosalie les innombrables écarts de son patron avec d'autres infirmières qu'elle avait surpris durant ses heures de garde. ![]() images similaires Avant de se séparer, elles se rendirent aux toilettes de la gare toute proche afin de réparer les dommages causés par leur gourmandise. Alors que Rosalie s'appliquait une couche de rouge à lèvres, elle croisa dans le grand miroir le regard émeraude de son amie, qui semblait un peu gênée. - Dis, Rosalie, je n'avais jamais eu l'occasion de t'en parler, mais je suis bi. Et depuis que tu m'as dit que tu t'es laissé lécher le minou par cette vieille rombière, j'aimerais bien te faire la même chose... ![]() images similaires Surprise, la jeune avocate se mit à réfléchir à cette proposition. « C'est vrai, l'épouse de Georges n'est vraiment pas attirante ; même si je me suis laissé faire uniquement par intérêt, pour m'attirer les bonnes grâces de mon patron, elle a su me donner du plaisir. Là, je n'ai rien à y gagner, puisqu'Emmanuelle m'a donné son accord ; mais elle est tellement belle, et ses photos m'ont bien excitée... Rien qu'à imaginer sa bouche pulpeuse sur mes lèvres intimes, j'en mouille déjà ! Bon. Cette fois-ci, ce sera uniquement pour le plaisir ! ». ![]() Elle ne répondit pas, mais se dirigea vers l'une des cabines, y entra, releva sa robe jusqu'à la taille et s'assit sur la cuvette. Elle écarta ses jambes gainées de bas sombres retenus par un porte-jarretelles noir et, tirant sur son string pour laisser apparaître sa vulve ruisselante, elle prononça d'une voix que l'excitation rendait rauque cette parole qu'Emmanuelle espérait : - Viens... ![]() images similaires Ses talons claquèrent sur le sol carrelé lorsqu'elle se précipita pour répondre à l'appel de son amie et, dès qu'elle eût refermé la porte de la cabine, elle se mit aussitôt à genoux et s'approcha de cette fleur vénéneuse pour la humer. Puis, pointant la langue, elle effleura la fissure intime de bas en haut à plusieurs reprises avant d'en introduire l'extrémité juste à l'entrée du vagin de Rosalie, qui commençait à haleter sous les caresses subtiles. Puis elle se mit à aspirer les petites lèvres à l'intérieur de sa bouche tout en les caressant de sa langue habile ; la jeune avocate ne pouvait plus retenir ses râles de plaisir, qui se transformèrent en un long gémissement lorsqu'Emmanuelle se mit à téter le clitoris de son amie. Rosalie sentait l'orgasme monter en elle, tout proche... ![]() - Non ! Arrête ! Tu n'as pas le droit ! Elle venait de surprendre son amie en train de se caresser entre les cuisses. - Pas maintenant : tu attendras d'être chez mon patron pour jouir. Pour l'instant, occupe-toi seulement de moi. Elle suivait à la lettre la recommandation de Georges : « Préparez-la comme il se doit» Un peu frustrée, Emmanuelle se remit à téter le clitoris de son amie, et lorsqu'elle la sentit sur le point de jouir, elle lui introduisit deux doigts dans le vagin pour caresser son point G ; Rosalie explosa dans un long feulement. Elle dut attendre quelques minutes pour que les battements désordonnés de son cœur se calment, puis elle rajusta ses vêtements. ![]() images similaires Lorsqu'elles sortirent ensemble de la cabine, elles eurent à subir le regard réprobateur d'une vieille bourgeoise aigrie qui se repoudrait le nez devant le miroir. - Et maintenant, après le cabinet de toilette, le cabinet d'avocats ! Allons retrouver Maître Pittet. Les deux jeunes femmes sortirent des toilettes en riant du regard de la vieille dame. - Tu as remarqué sa tête quand elle nous a vues ? Je suis sûre qu'elle n'a jamais connu de cunni. Visiblement, le sexe concerne plus la jeune génération qu'on ne le croit. - Ne sois pas si catégorique, Manu. Tu vas voir qu'avec mon boss, le sexe, c'est de haut niveau ! Si tu le dis... On verra bien ![]() images similaires - Fais vite, nous avons déjà un quart d'heure de retard ! Les deux blondes poursuivirent leur chemin jusqu'au cabinet des Pittet. Arrivée à la porte du cabinet d'avocats, Rosalie sonna une fois et entra, Emmanuelle sur ses talons. Sitôt que les deux jeunes femmes furent entrées, Maître Pittet les accueillit chaleureusement : - Bonjour, Mademoiselle. Venez dans mon bureau ; mon assistante et moi allons nous occuper de votre affaire. Emmanuelle y précéda Georges et Rosalie ; Maître Pittet indiqua à sa nouvelle cliente le fauteuil qui faisait face à son bureau et fit signe à Rosalie de prendre note de leurs échanges. L'avocate prit place aux côtés de son employeur et sortit un bloc-notes et un stylo de son sac. - Bon. Racontez-moi votre histoire, Mademoiselle Perrin. Que se passe-t-il avec vos collègues infirmiers ? - Eh bien, comme je l'ai dit à votre assistante, mes collègues ont réussi à prendre des photos de moi en sous-vêtements en train de... vous voyez, quoi. Ils me menacent de les mettre sur le bureau du directeur et en profitent pour tenter de me soutirer des fonds. - Je vois. Mais, comme mon assistante a dû vous le faire savoir, je suis avocat fiscaliste ; par conséquent, votre affaire n'est pas de ma compétence. - Je le sais, Maître, mais il me fallait un avocat de confiance qui n'essaierait pas de profiter des circonstances particulières de mon affaire pour augmenter outrageusement sa rémunération. De plus, si vous acceptez de me défendre, je vous confierai la gestion de l'intégralité de mes capitaux et - ainsi que mon amie me l'a demandé - c'est votre cabinet qui interviendra en cas de litige entre l'administration fiscale et certains membres de ma famille pour leurs placements, euh... un peu particuliers. - La confiance : quelque chose d'important ! N'est-ce pas, Mademoiselle Frei ? - Oui, Maître. - Bon, laissons cela. Avez-vous ces photos ? - Oui, j'ai réussi à me les envoyer via le portable de l'un de mes collègues que j'ai subtilisé pendant ma pause. Vous pouvez me les montrer ? - Bien sûr. Tenez. Emmanuelle montra l'écran à Georges qui émit un sifflement admiratif. - Eh bien, vous êtes plutôt attirante... Un peu comme votre amie. Vous devriez venir travailler chez nous : ici, vous ne risqueriez pas d'être soumise à un chantage ! Bon, assez plaisanté. Je vais stocker vos photos dans mon ordinateur et voir ce que nous pourrons en faire. En attendant, ne commettez pas la moindre imprudence jusqu'à ce que cette affaire soit réglée. Je reviens tout de suite. ![]() images similaires L'avocat se saisit du téléphone d'Emmanuelle et d'un câble USB puis il quitta la pièce, laissant seules Rosalie et Emmanuelle. La jeune assistante fit glisser la fermeture éclair de son pantalon et appela son amie. - Allez, viens. Il faut montrer à mon boss que tu es portée sur le sexe pour qu'il te remarque. Tu crois que j'ai fait comment pour qu'il m'honore autant ? Sans répondre, Emmanuelle passa derrière le bureau de Maître Pittet et fit tomber la petite culotte de son amie au sol. La jeune infirmière passa une main dans le dos de l'avocate et posa son autre main sur l'une de ses cuisses, puis elle approcha son visage du sexe de Rosalie et fit pointer sa langue. Dès qu'elle fut en contact avec le calice déjà suintant, l'infirmière se mit à l'embrasser amoureusement, le parcourant d'une langue habile. L'avocate poussa un gémissement de plaisir alors qu'un ruissellement de cyprine s'écoulait dans la bouche de son amie. ![]() - Allons-y, Manu ; passons aux choses sérieuses. Rosalie repoussa la tête de son amie et défit les boutons de son chemisier, faisant jaillir deux seins lourds sous les yeux d'Emmanuelle. Après avoir enlevé son chemisier, l'avocate enlaça l'infirmière, appliqua ses lèvres sur les siennes en un sulfureux baiser que celle-ci lui rendit. ![]() images similaires Au bout de quelques secondes, les deux blondes interrompirent leur baiser. ![]() - Tu es encore trop habillée, Manu. Vas-y, montre-moi tes attributs. J'ai envie de toi. Sans se faire prier, Emmanuelle fit glisser le zip de son pantalon qu'elle laissa tomber au sol et souleva son tee-shirt, dévoilant deux mignons petits seins bien fermes. Les deux femmes s'enlacèrent à nouveau mais, au moment où elles allaient s'embrasser, la porte du bureau s'ouvrit avec fracas, livrant passage à Georges. ![]() images similaires - Magnifique, Mademoiselle Frei ! J'ai cru que vous n'arriveriez jamais à sortir votre amie de sa bulle. Je ne vous savais pas aussi dévergondée et libérale... C'est tout à votre honneur. Rosalie fit un clin d'œil discret à Emmanuelle et s'adressa à Maître Pittet : - Ne vous formalisez pas, Maître ; Emmanuelle est bisexuelle. Je lui ai parlé de notre relation et elle m'a avoué qu'elle aimerait également beaucoup vous connaître. - Je vois ; mais ça ne se fera pas dans l'immédiat : j'ai d'autres projets pour vous deux. De plus, je constate que vous arrivez avec un quart d'heure de retard ; la ponctualité est une valeur fondamentale : en conséquence, je vais devoir vous punir, Mademoiselle Frei, et je ne ferai pas d'exception à cause de votre joli minois. Quant à vous, Mademoiselle Perrin, j'ai également quelqu'un d'autre à vous présenter Il poursuivit en élevant la voix : - Charlotte, ma chère, veuillez nous rejoindre dans mon bureau. La porte capitonnée s'ouvrit sans bruit, laissant apparaître l'épouse de Georges Pittet, une quinquagénaire aux formes longilignes. Elle s'immobilisa sur le seuil, jeta un bref regard à l'intérieur du bureau lambrissé puis, avisant Emmanuelle, elle se mit à la détailler avec une attention soutenue. Cette fille lui rappelait celle qu'elle avait été trente ans auparavant : très mince - voire maigre - mais sa jeunesse resplendissante la rendait désirable. ![]() Charlotte se remémora sa propre splendeur à l'époque où elle avait connu celui qui allait devenir son mari ; mais toutes ces années passées dans leur cabinet feutré à compulser des dossiers et à plaider des causes inintéressantes dans des prétoires austères l'avaient fanée avant l'âge. Et puis son mari volage s'était rapidement détourné d'elle, passant d'une conquête à l'autre ; elle avait alors assouvi ses envies de sexe en fréquentant des clubs très privés où la bourgeoisie de Fribourg s'adonnait au libertinage au cours de soirées très chaudes... Très vite, elle s'était détournée des hommes, trop égoïstes à son goût, lorsqu'elle connut le plaisir que pouvaient lui procurer des rapports lesbiens ; c'est à cette occasion qu'elle se découvrit un penchant pour le sadisme. C'est donc avec une excitation non dissimulée qu'elle entendit son mari lui annoncer : ![]() - Ma chère, notre jeune recrue ne présente pas toutes les qualités requises pour collaborer efficacement avec nous : elle s'est permis d'arriver avec quinze minutes de retard au rendez-vous que nous avions fixé. Vous allez devoir punir comme il se doit cette jeune effrontée. Allez vous préparer, je vous prie... Sans rien dire, Charlotte fit demi-tour et sortit du bureau de son mari. - Mademoiselle Frei, installez-vous sur le canapé... Non, pas assise : à genoux. Et relevez votre jupe ! Plus haut ; et cambrez votre postérieur... Voilà, comme ça. C'est dans cette position humiliante que Rosalie dut attendre pendant quelques minutes le retour de Charlotte Pittet. Lorsqu'elle revint dans le bureau, elle était totalement transformée : la quinquagénaire effacée s'était muée en une Amazone autoritaire harnachée de cuir noir agrémenté d'attaches métalliques qui luisaient dans la semi-obscurité du bureau. Ses jambes étaient dissimulées par de hautes cuissardes aux talons vertigineux et un phallus factice triomphant s'érigeait au niveau de son bassin. ![]() images similaires Un rictus sadique s'afficha sur son visage alors qu'elle s'approchait de Rosalie, une cravache à la main...À genoux sur le sofa, Rosalie paniquait intérieurement mais ne voulait rien laisser paraître, trop fière pour se mettre à pleurer devant cette momie pseudo-dominatrice qui lui servait de patronne. Elle se fit également la promesse de lui retourner chaque coup de cravache lorsqu'elle en aura la possibilité. ![]() images similaires Charlotte se positionna derrière Rosalie, prête à frapper. Emmanuelle fixait la scène avec effroi : sa meilleure amie, celle qui était en train de l'aider dans son combat, allait se faire fouetter sous ses yeux. Elle lança un regard suppliant à Maître Pittet. Celui-ci se contenta de hausser les épaules et s'adressa à son épouse : - Ma chère, eu égard au travail accompli par notre assistante et à ses apports à notre cabinet, je ne vous accorderai que trois coups de cravache. ![]() Charlotte poussa un grognement de frustration : elle s'imaginait déjà fouetter cette petite salope de Rosalie Frei qui se permettait de la prendre de haut et de tenter de séduire son mari afin d'avoir de l'avancement. ![]() La quinquagénaire ravala sa colère et porta le premier coup de cravache sur le fessier de Rosalie, qui planta ses ongles dans le cuir du sofa afin de mieux pouvoir supporter la douleur. La jeune assistante serra les dents : elle refusait d'offrir à sa complexée de patronne le plaisir de la voir manifester le moindre signe de souffrance. Sous le coup, la croupe de la jeune avocate avait rosi et s'était zébrée d'une striure blanchâtre. Elle sentit une chaleur insolite envahir son postérieur cambré et s'étendre jusqu'à son bas-ventre ; quelques gouttes gluantes perlèrent sur ses lèvres intimes. ![]() Charlotte infligea un deuxième coup. Cette nouvelle frappe ne fit qu'accroître le trouble de Rosalie, qui tendit instinctivement sa croupe vers cette cravache qui - à sa grande honte - lui inspirait de troubles désirs et une excitation grandissante. Cette fois-ci, l'avocate recula de quelques pas et, prenant de l'élan, asséna avec violence le troisième coup de cravache. Rosalie tressaillit sous la douleur et réprima à grand-peine le sanglot qu'elle avait failli laisser échapper ; mais ce qui s'échappait à présent de sa vulve ruisselante, c'était de longs filets de mouille qui s'écoulaient de manière incontrôlable sur ses cuisses. Elle était sur le point de jouir... Georges voulut mettre fin au calvaire de la jeune femme : - En voilà assez. Maintenant, j'ose espérer que vous avez retenu la leçon, Mademoiselle Frei. Il fut étonné de l'entendre geindre, d'une voix suppliante : - Encore, Maître, je vous en prie... ![]() images similaires Répondant au regard interrogateur de son épouse, Georges hocha la tête en signe d'acquiescement. Charlotte abattit par trois fois sa cravache sur les fesses frémissantes de la stagiaire qui jouit en un long feulement de délivrance. Elle s'affaissa contre le dossier du canapé, essoufflée ; entre ses cuisses restées écartées, les petites lèvres de son sexe saillaient, luisantes de son nectar intime. ![]() images similaires À la vue de ce tableau d'une rare obscénité, la verge de Maître Pittet s'était érigée ; il tenta de lui donner de l'aise mais c'était peine perdue, tant elle avait pris d'ampleur. Il se résolut à ouvrir sa braguette ; son pieux jaillit, orgueilleux, son gland arrogant déjà à demi-décalotté. Le regard d'Emmanuelle, fixé sur cette érection triomphante, ne pouvait s'en détourner. Georges s'aperçut de son trouble. - Quant à vous, Mademoiselle Perrin, vous allez faire la connaissance de mon épouse : allongez-vous sur le dos. Mademoiselle Frei, accroupissez-vous au-dessus de visage de votre amie, la tête tournée vers moi. Et vous, ma chère, amusez-vous bien avec notre infirmière. Les deux jeunes filles se mirent dans la position indiquée. À quelques centimètres du visage d'Emmanuelle s'ouvrait impudiquement la vulve de son amie. Elle ne put s'empêcher de passer sa langue sur les cuisses maculées de Rosalie, s'abreuvement de sa cyprine. Lorsqu'elle eut tout avalé, elle se mit à laper directement à la source qui continuait de délivrer son jus savoureux. ![]() images similaires Pas tout à fait remise de son précédent orgasme, la jeune avocate sentit à nouveau une boule de désir grossir dans son ventre embrasé par la langue habile de son amie qui léchait cette vulve épanouie. L'épouse de Georges s'approcha de lui puis, ayant placé sa cravache sous la verge en érection, elle la souleva en lui portant un regard appréciateur. - Eh bien, mon ami, vous êtes en grande forme ! Je vous ai rarement vu dans d'aussi bonnes dispositions... Elle laissa retomber le membre violacé et le tapota de sa badine. Sous l'effet de cet attouchement pervers, une goutte de liquide clair apparut à l'extrémité du gland boursouflé. Elle s'en retourna vers le canapé où les deux amies se livraient à des caresses lubriques. - Rosalie, je n'en peux plus depuis tout à l'heure, dans les toilettes... Fais-moi jouir ! - Tu veux jouir, petite dévergondée ? s'écria Charlotte. Alors, à genoux, et tourne-toi ! Vous aussi, Mademoiselle Frei ! ![]() Côte à côte, les deux amies tendirent leur croupe à la quinquagénaire. Prenant son phallus de cuir en main, elle l'amena à l'orée de la fente de l'infirmière et le fit glisser à plusieurs reprises de toute sa longueur contre le sillon ruisselant. Lorsqu'il fut bien lubrifié des sécrétions intimes d'Emmanuelle, elle se recula un peu, l'appliqua sur l'anus palpitant et s'y engouffra d'une longue et inexorable poussée. ![]() images similaires La jeune fille, le souffle coupé par cette lente progression qui l'écartelait, ouvrit la bouche en une longue plainte inaudible, se crispa convulsivement autour du formidable engin qui lui transperçait les entrailles et jouit immédiatement sans que Charlotte Pittet eût à faire le moindre va-et-vient. Lorsque le phallus se retira, elle s'écroula contre le cuir du canapé, le cul encore offert dévoilant son anus distendu. ![]() images similaires - On va voir si tu es plus résistante que ta copine... ricana la vieille avocate en se plaçant derrière Rosalie. ![]() Elle posa une main au niveau de la cambrure des reins de son assistante, la fit glisser sur la courbure du fessier et, d'un index investigateur, pénétra le vagin encore tout englué. ![]() - Pas besoin de lubrifier cet orifice ! Elle n'eut qu'à appuyer légèrement pour que l'engin s'engouffre profondément dans le ventre de Rosalie. Celle-ci, qui avait déjà joui plusieurs fois en peu de temps, n'atteignit l'orgasme qu'après que le gode-ceinture lui eût fouillé son fourreau pendant pas loin d'un quart d'heure. ![]() images similaires Madame Pittet était tout aussi épuisée qu'elle après cette chevauchée fantastique. Haletante, elle ordonna à Emmanuelle : - Maintenant, tu vas me lécher, petite chienne ! Reconnaissante du plaisir que l'avocate lui avait procuré quelques minutes plus tôt, la jeune infirmière enfouit sa tête entre les cuisses de la quinquagénaire et s'appliqua à introduire sa langue le plus loin possible dans le conduit intime de madame Pittet, tout en alternant avec des succions de son clitoris, qu'elle avait très développé. ![]() images similaires Lorsqu'elle lui introduisit un doigt dans son petit trou, l'avocate se mit à proférer des obscénités que l'on ne pourrait imaginer sortir de la bouche de cette bourgeoise à l'aspect habituellement austère : ![]() images similaires - Bouffe-moi la chatte, espèce de salope ! Sale gouine, tu aimes les vieux trous comme le mien ? Eh bien, régale-toi, petite pute ! Lèche ! Avale-moi ! Oui... comme ça... Aaaah ! ![]() images similaires Elle fut prise d'une jouissance irrépressible qui la laissa pantelante. ![]() images similaires Georges, demeuré à l'écart, le dard agité de spasmes, avait suivi avec intérêt les ébats des trois femelles ; mais à présent, il ne pouvait plus contenir son envie. - À genoux, les jeunes gouines ! Vous allez me sucer toutes les deux ! ![]() Devant tant d'autorité, Rosalie et Emmanuelle s'exécutèrent. Agenouillées côte à côte devant Maître Pittet qui dardait une bite congestionnée, au bord de l'éjaculation, l'une se saisit du membre tandis que l'autre prenait ses couilles en main. Elles commencèrent à le caresser. ![]() images similaires - Vos bouches, salopes ! ![]() Les deux amies approchèrent leur bouche de cette pine majestueuse prête à cracher son venin et, disposant leurs lèvres de part et d'autre de la hampe noueuse, elles les firent courir le long de cette verge arrogante, avalant chacune à leur tour ce gland tuméfié qui laissait perler des gouttes annonciatrices d'un plaisir imminent. ![]() images similaires - Vos langues, maintenant, sur le frein ! Léchez-le ! ![]() images similaires Emmanuelle et Rosalie joignirent la pointe de leur langue sous le gland de l'avocat où elles entamèrent un ballet frénétique sur cette partie si sensible, les langues se mêlant parfois pour un baiser sensuel. ![]() images similaires - Charlotte, à genoux devant moi, vite ! ![]() images similaires Son épouse eut à peine le temps de prendre place qu'un jet de sperme phénoménal vint s'écraser sur son front. Un deuxième atteignit ses yeux ; les suivants achevèrent de lui maculer le visage tandis que son mari hurlait de plaisir. ![]() images similaires Après quelques instants, Rosalie adressa un clin d'œil à son amie et lui souffla à l'oreille : Je te l'avais bien dit : avec mes employeurs, le sexe, c'est un exercice de haut niveau ! ![]() - Vous croyez vous en tirer comme ça, Mesdemoiselles ? La vieille avocate fixait les deux jeunes filles d'un regard furieux, le visage englué du sperme de son mari. S'asseyant sur un fauteuil, elle ordonna sèchement : - Debout, chiennes lubriques que vous êtes ! Approchez, et venez rendre hommage à la semence de mon époux. Nettoyez-moi le visage ; avec vos langues, bien sûr... termina-t-elle en ricanant de manière sardonique. ![]() Intimidées, Emmanuelle et Rosalie rejoignirent Charlotte Pittet et se placèrent de part et d'autre des larges accoudoirs. - Alors, qu'attendez-vous, petites pouffiasses ? Léchez ! Régalez-vous ! Les deux amies s'inclinèrent pour amener leur visage à hauteur de celui de l'avocate et commencèrent à recueillir le sperme à l'aide de leur langue. ![]() images similaires Excitée par la dépravation qu'elle leur imposait, Charlotte sentit des picotements envahir sa vulve qui s'humidifia et se mit à palpiter. Écartant ses lèvres intimes d'une main, elle s'enfila le manche de la cravache dans le vagin et le fit aller et venir tandis que les jeunes filles s'évertuaient à nettoyer son visage, déglutissant ponctuellement lorsque leur bouche s'emplissait du liquide gluant encore tiède. - Aaah... - Vous jouissez encore, chère amie ? ![]() images similaires Maître Pittet était étonné de découvrir les ressources insoupçonnées de son épouse ; mais l'avocat, reprenant le dessus sur l'homme, Georges ordonna : - Cessez tout cela ! Toutes les trois ! Charlotte, allez vous essuyer le visage dans la salle de bain. Mademoiselle Perrin, rentrez chez vous ; nous nous reverrons demain pour discuter en détail de votre affaire. Et vous, Rosalie, restez ici : j'ai à vous parler. Les trois femmes obéirent à l'injonction et Maître Pittet attendit que sa femme et Emmanuelle fussent sorties de son bureau pour s'adresser à son assistante : - Vous me troublez, vous savez ? Comment cela ? La séance de cravache avec mon épouse. Je n'avais ordonné que trois coups et vous, vous en avez redemandé. Au vu de ce que vous m'avez montré jusqu'à présent, cette attitude ne colle pas. Alors, pourquoi avez-vous fait cela ? - J'ai pensé que cela vous ferait plaisir de me voir ainsi. - Eh bien, vous avez eu tort. Au contraire, cela m'a profondément déçu, Mademoiselle Frei. ![]() images similaires Sans répondre, Rosalie sourit à son employeur et enlaça celui-ci en lui donnant un sulfureux baiser sur les lèvres. Maître Pittet voulut lui rendre son baiser, mais la jeune avocate s'était déjà retirée. - Ce baiser, c'était pour m'excuser de vous avoir déçu. Et maintenant, je vais me racheter... ![]() images similaires Rosalie s'agenouilla devant son patron et approcha ses lèvres de son sexe. Elle suçota le gland quelques secondes durant puis, la queue de son employeur étant parvenue à son plus haut niveau de fermeté, la jeune femme se positionna à quatre pattes sur le sofa et invita Georges à s'asseoir à ses côtés. Lorsqu'il l'eût rejointe, Rosalie se releva et se plaça debout devant son patron, dos à lui. - Afin de réparer mon erreur, je tiens à vous offrir un petit cadeau. Votre épouse n'a fort heureusement - pas pensé à le visiter. Je veux donc que ce soit vous qui me preniez par là le premier. ![]() images similaires Sans attendre de réponse de son employeur, la jeune avocate se saisit du sexe de son employeur et s'assit progressivement dessus. Malgré la douleur intense qui la traversait de part en part, elle poursuivit sa descente le long de la colonne de chair. Finalement, après quelques lents va-et-vient sur la queue de Maître Pittet, la jeune assistante ne ressentit plus aucune douleur et se mit à accélérer ses mouvements, lui faisant ainsi comprendre qu'elle était prête à être baisée. ![]() Georges prit Rosalie par les hanches et l'abaissa fermement sur son sexe rigide, puis il la souleva pour l'abaisser une nouvelle fois sur sa queue toute raide d'excitation. Il accéléra son mouvement, ne manquant pas de faire crier de plaisir la jeune fille dont les seins ballotaient au rythme de ses mouvements. ![]() images similaires N'ayant pas l'habitude de prendre une femme par derrière, l'avocat sentit qu'il allait éjaculer sous peu ; il souleva son assistante pour que son sexe émerge de son arrière-train défoncé. ![]() images similaires - À genoux ! ![]() images similaires L'ordre avait claqué, sec. En professionnelle qu'elle était, Rosalie obtempéra et, devinant instinctivement ce que Georges désirait, ouvrit la bouche et tira la langue. Maître Pittet se leva et se branla pendant quelques secondes avant de se répandre en abondance dans la bouche offerte. ![]() images similaires Sans hésiter, Rosalie avala tout le sperme de son employeur. Épuisé, l'avocat se rassit sur le sofa en poussant un long râle d'aise. Son assistante le rejoignit et l'enlaça, ses seins lui touchant l'épaule. Tout en lui caressant le visage, elle lui susurra à l'oreille : ![]() images similaires - Maître, il m'est venu une idée. Je pense que vous allez l'apprécier... - Allez-y, Rosalie. Quelle est-elle ? - Eh bien, j'ai remarqué que votre épouse avait un penchant pour le sadisme et les jeux sadomasochistes. Je pense que ces goûts lui sont venus du fait que vous ne lui faisiez pas assez l'amour, préférant le faire à d'autres femmes. Par conséquent, sachant par expérience qu'il y a beaucoup d'hommes qui apprécient d'être soumis, je pense - sans vouloir vous offenser ni discréditer votre épouse - que la meilleure façon pour elle d'être utile à ce cabinet, ce serait de louer un appartement dans lequel elle pourrait laisser libre cours à ses envies, moyennant un peu d'argent. - Si je comprends bien, vous suggérez que Charlotte se prostitue ? - Je ne voulais pas vous le dire comme ça ; mais, oui, c'est cela l'idée. ![]() images similaires Georges fixa son assistante pendant quelques longues secondes avant de répondre en affichant un sourire satisfait : Fantastique ! Quelle excellente idée, Mademoiselle Frei ! Je pense que, désormais, je peux vous faire suffisamment confiance pour vous accorder des parts de la société. Dorénavant, je vais faire transférer dix pour cent de mes parts et vingt de celles de mon épouse, sans compter le tiers de celles de mon associé qui partira en retraite à la fin de l'année. Vous toucherez également la moitié de l'argent des passes de mon épouse. ![]() - Merci, Monsieur. - Mais à une condition : vous serez ma maîtresse, ce qui veut dire que, dès que je le souhaiterai, vous me servirez de vide-bourses. Bien sûr, je souhaite toujours que vous fassiez correctement votre travail au sein du cabinet. Acceptez-vous ce pacte, Mademoiselle Frei ? - Avec plaisir, Monsieur. - Très bien. Maintenant, rentrez chez vous et reposez-vous bien. Demain, nous parlerons tous les quatre de cette stratégie que vous m'avez proposée. - Tous les quatre ? - Oui ; je pense que votre amie sera également intéressée par la nouvelle. J'ai également une petite proposition pour elle : vous saurez tout demain. Sur ce, bonne soirée à vous et reposez-vous bien. - Bonne soirée, Monsieur. ![]() En rejoignant son domicile, la jeune avocate n'avait qu'une envie : retourner au cabinet des Pittet le plus rapidement possible afin de poursuivre son projet de séduction. ![]() |