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Le plug - 1 >>> Episode suivant

Legul
27 juin 2019
Le plug - 1

14H, Laurent est à l'heure devant le bureau de sa collègue responsable des aménagements forestiers à l'ONF. Lui n'est que « simple » agent patrimoniale, ceux qu'on appelle encore, par habitude, les gardes forestiers.

Aujourd'hui est un jour assez important car Laurent emmène sa collègue sur le terrain pour qu'elle se rende compte des milieux dont elle va ensuite orienter la gestion pour 20 ans. Mais même si cette femme est plutôt jeune pour un tel poste (31 ans) et plutôt bureaucrate, elle est néanmoins ouverte aux avis de ses collègues du terrain, admettant sans souci qu'un certain nombre de compétences lui font défaut et est fort sympathique, au demeurant. De plus, c'est probablement la plus belle femme de l'ONF dans le secteur, alors Laurent ne se plaint pas, il va passer un après-midi agréable !

Enfin si elle veut bien se montrer car il est 14h15 et Céline, c'est son nom, ne sort toujours pas de son bureau. Cette attente est l'occasion pour Laurent de peaufiner dans sa tête le parcours qu'ils vont faire pour voir un maximum de parcelles dans une seule demi-journée. Les jours disponibles pour faire du terrain se font rares...

Malgré son professionnalisme, l'esprit de Laurent ne peut s'empêcher de divaguer en direction du corps de sa jeune collègue. Céline est une magnifique femme et qui sait le montrer, juste ce qu'il faut. En réunion de pôle, ses mini-jupes et décolletés font toujours le plaisir de ses collègues masculins et cela ne semble d'ailleurs pas la déranger vu la manière avec laquelle est joue à la séductrice.


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Mais c'est aussi une jeune femme en couple et jamais Laurent ne l'a vu dépasser les bornes avec un autre : jamais de provocation outrancière ou de comportement déplacé, uniquement une féminité assumée et une franche camaraderie avec certains agents, dont lui !
Pourtant, Laurent se mentirait à lui-même s'il n'admettait pas déjà avoir fantasmé sur Céline, l'imaginant ouvrant en grand les jambes rien que pour lui alors qu'ils sont en réunion, lui offrant ainsi une vue magnifique sur sa chatte.


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Et se serait également mentir que de dire que, dans la plupart de ses fantasmes, Céline ne finissait pas prise par tous les trous et à la chaine par moitié de l'ONF...



A force de repenser à toutes ces images, Laurent se rendit vite compte qu'il avait à présent une énorme érection, que son pantalon de travail en toile souple et légère (chaleur oblige) cachait mal. Et comme les choses sont évidemment bien faites, c'est à ce moment précis que Céline sortit de la porte du bâtiment où se trouve son bureau pour rejoindre, en trottinant, Laurent dans sa voiture de terrain.

- Bonjour Laurent, excuse-moi du retard !! Je sors tout juste de réunion...
- C'est rien, ne t'inquiète pas. Cela explique ta tenue parfaitement adaptée au terrain !

Céline rit de bon cœur. Elle était en effet vêtue de manière relativement décontractée pour une réunion mais sans pour autant que se tenue ne convienne à de la marche longue. Elle portait un haut assez léger et court, laissant apparaitre son nombril et un beau tatouage, un jean bien moulant et des chaussures à talons.


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Une tenue qui, mine de rien, n'arrangea pas du tout l'érection de Laurent, embarrassé.
Mais Céline ne remarqua rien ou en tout cas n'en fît rien paraître et, toujours de bonne humeur, montra un petit sac qu'elle portait dans son dos.

- Sache que je suis une professionnelle !! J'ai toujours des vêtements de terrain dans mon bureau. Heureusement d'ailleurs car j'avais un petit peu oublié notre rendez-vous, pour tout te dire !
- Une professionnelle, tu disais ?? Haha, allez, monte, on a du chemin et ensuite pas mal de marche...
- Ok ! Il faudra juste que je me change...
- Ouh laaa, il faudra trouver un coin discret sans témoin ! Je ne veux pas d'ennui avec ton mec, moi !
- Alors là, me voir me changer en public est typiquement le genre de trucs qui lui plairait, au contraire !
- Ah ? répondit, gêné, Laurent qui ne savait comment réagir à une telle phrase...

Céline, consciente du malaise provoqué par sa phrase, changea de sujet alors que Laurent quittait le parking de l'ONF, direction la campagne et la forêt. Alors que Céline attachait sa ceinture, il ne pût s'empêcher de regarder, admiratif, le décolleté qu'une telle position lui faisait.


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Et même si Céline n'avait pas placé la ceinture entre ses seins, il ne pût non plus s'empêcher de s'imaginer ce que cela donnerait avec son haut...


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... et même sans son haut !



Laurent fût soudain sorti de son imagination perverse par un feu rouge qu'il vît au dernier moment et qui l'obligea à piler un peu brusquement.

- Alors, on rêve ? dit Céline avec un regard amusé qui le laissa à nouveau embarrassé.

Laurent se fît donc la réflexion qu'il serait peut-être temps d'arrêter de fantasmer sur sa collègue s'il voulait que tout le monde arrive vivant à la forêt !

Mais alors qu'ils attendaient que le feu passe au vert, Céline se pencha en avant pour replacer son sac, tombé lors du freinage. Et c'est un magnifique string dépassant d'une belle paire de fesses que vît ainsi Laurent, alors qu'il essayait justement de ne pas mater son décolleté !



Décidément, l'après-midi promettait d'être longue pour l'imagination et l'érection de Laurent qui, décidément, ne se calmait pas !

Après une petite demi-heure de route, les deux agents arrivèrent finalement dans le secteur en question, où la forêt était en cours d'étude. Mais pour arriver aux parcelles précisément, il fallait maintenant emprunter des chemins cabossés, certains à la limite du praticable.

D'ailleurs Laurent dû s'excuser de la qualité du chemin restant lorsqu'il vît la réaction de Céline au premier trou.

- Heu... Il y en a long, comme ça ? demanda-t-elle, inquiète.
- Oui, pas mal. Et après il faudra marcher pour accéder aux stations... Pourquoi ?
- Pour rien... Si tu peux juste y aller un peu molo !
- Ok...

Laurent ralenti donc la cadence dans les trous du chemin pour atténuer les secousses, mais, malgré cela, il voyait l'inconfort de Céline. Elle se tortillait, cherchait une position plus agréable et semblait avoir mal au dos à chaque grosse secousse.

- Tu as mal au dos ??
- Hein ? Heu oui, un peu... Des courbatures du yoga d'hier, le prof y est allé un peu fort !


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Ah, le fameux yoga de Céline... Cette activité était une source de commentaires et de plaisir visuel depuis que Laurent et d'autres collègues avaient appris par un des agents que sa femme allait à la même séance que Céline et que celles-ci, fières de leurs performances, postaient régulièrement sur Facebook des photos d'elles (et d'autres membres du club) dans des positions impressionnantes.


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Chaque semaine, les collègues masculins de l'ONF se réunissait donc autour de l'ordinateur d'un des leurs, se connectait à Facebook et allaient voir les nouvelles photos postées par Céline. Même si celle-ci postait dans un objectif sportif avant tout, les hommes de l'ONF ne voyaient, eux, que ses courbes avantageuses mise en valeur par des tenues toutes plus moulantes les unes que les autres.


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Et si la plupart des photos étaient on ne peut plus convenables, certaines étaient plus sexy, notamment lorsque les séances étaient en été, et que les pantalons de yoga se transformaient en petits shorts...


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Manifestement fière de son corps, Céline n'hésitait pas à poster des photos qui la mettaient bien en valeur, pour le plus grand bonheur de ses collègues.


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Parfois c'étaient aussi des amies de Céline qui publiaient des photos d'elle en plein effort, sans se rendre compte que grâce à la magie de Facebook et du réseau d'amis, les maris, depuis leur bureau, pouvaient également les voir !


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Laurent, homme de 45 ans, divorcé et père d'un enfant qu'il ne voyait guère, dévorait chaque semaine ces images même si, au fond, il s'en voulait de fouiller ainsi l'intimité d'une collègue. Mais, pour se déculpabiliser, il se disait aussi que si Céline ne voulait pas que quelqu'un voit ces photos, elle n'avait pas qu'à les poster ! Comme, par exemple, ces photos prises en vacances, sans doute par le compagnon de Céline, où on la voyait en bikini très sexy.


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La photo datait d'une époque où Céline ne travaillait pas encore à l'ONF et Laurent ne savait pas si sa collègue oserait republier cela aujourd'hui. En tout cas, c'est dans ce même album de vacances qu'il avait vu, pour la première et dernière fois, les magnifiques seins de Céline qui était en train de bronzer à la plage, durant des vacances.


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Cette photo, également prise par son compagnon, avait été supprimée peu de temps après que Céline ait monté en grade pour devenir aménagiste. Heureusement, Laurent l'avait sauvegardée et il ne se priait pas de la regarder régulièrement chez lui, comme le ferait un croyant avec une image de la vierge...

Une nouvelle secousse ramena Laurent à la réalité et il constata que sa collègue était toujours aussi gênée au niveau de l'arrière-train.
Après 15 min de trajet difficile, la piste arriva enfin à son terme et l'unique possibilité pour accéder aux parcelles de forêts était maintenant de marcher. Laurent descendit de la voiture avec Céline et fît un point « carto » avec elle pour lui annoncer la couleur : de la marche et toujours de la marche, avec des pentes et des descentes bien raides.

- Heureusement que j'avais ces affaires de terrain, commenta Céline, tu ne m'épargnes rien aujourd'hui ! Du coup, je vais me changer dans la voiture.
- Ok...

Céline retourna donc dans le 4x4 pendant que Laurent cherchait à s'éloigner un peu, par politesse. Mais au bord d'une piste de montagne, et à flanc de coteau, difficile de prendre beaucoup de distance sans faire de l'escalade ou tomber dans un ravin. Et à sa grande surprise, il constata que Céline commençait à se changer, portière ouverte, sans se soucier que Laurent soit encore dans son champ de vision.



Céline commença par enlever son haut « de bureau », peu confortable et se retrouva donc en soutien-gorge.


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D'où il était, Laurent ne voyait Céline que de côté mais la regarder ainsi se déshabiller en direct, même de manière un peu cachée, l'excitait terriblement. Il essayait évidement d'être discret mais sa collègue ne faisait vraiment rien pour l'aider. En effet, plutôt que d'enfiler un haut tout de suite pour cacher sa poitrine, elle continua de se déshabiller et enleva sont jean moulant, en se contorsionnant sur le siège.


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N'apercevant que le haut du corps de Céline, Laurent ne pouvait que l'imaginer en culotte dans sa voiture de terrain... Plus jamais il ne lavera sa voiture, se dit-il !
A nouveau à la surprise de Laurent, Céline continua de s'effeuiller, en retirant son soutien-gorge, cette fois-ci.


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Laurent n'en revenait pas et avait les yeux rivés sur le dos nus de Céline et ses gros seins, dont l'arrondi dépassait légèrement sur les côté de son corps. Mais, cette fois, Céline s'aperçu de son exposition et se couvrit les seins aussitôt en lançant dans le rétro un regard mi amusé mi réprobateur à Laurent.



Celui-ci, gêné, détourna complètement le regard et laissa donc Céline enfiler des vêtements appropriés au terrain, en l'occurrence, plutôt des vêtements de sport : basket, t-shirt et legging.

En sortant de la voiture, Céline ajusta son legging qu'elle n'avait pas pu enfiler correctement dans la voiture en le remontant bien sur sa taille, montrant au passage à Laurent le haut d'un string assez simple mais tout de même sexy sur de si belles fesses.


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Puis elle se tourna vers Laurent en attachant ses cheveux et demanda avec un sourire en coin :

- Alors, le spectacle t'a plus ?
- Désolé... je.... bégaya Laurent qui ne savait pas vraiment de quelle partie de son voyeurisme elle parlait !
- Arrête, je te fais marcher ! Si j'étais pudique, je ne me serai pas changée ici, comme ça !

Rassuré, Laurent commença à marcher vers la première parcelle à visiter et mais entendit Céline s'écrier qu'elle avait oublié son sac à dos. Il s'arrêta donc, se retourna pour ouvrir à distance la voiture et permettre à Céline de récupérer son sac. Celle-ci se pencha alors vers son siège, les fesses tendues vers Laurent qui rendit compte que le legging qu'elle allait porter toute l'après-midi était presque transparent.




Il se résolut alors à passer devant pour marcher car s'il avait ces fesses sous le nez en permanence, il allait finir par faire une connerie !

Enfin, après un trajet en voiture riche en émotions du début à la fin, ils pouvaient commencer à travailler ! Ils marchèrent d'abord une bonne dizaine de minutes à flanc de coteau pour accéder à un premier petit plateau. Céline était à la traine et semblait plus ralentie par ses douleurs au dos que par une condition physique limitée. Au contraire, elle était sportive et Laurent s'agaçait de devoir l'attendre si souvent.

Arrivés à une première station composée de beaux et gros hêtres associés à des épicéas, ils firent ensemble un point sur les préconisations de gestion adaptées à ce peuplement. Céline enregistrait au dictaphone les échanges et conseils de Laurent.

Au bout d'une dizaine de minutes, ils conclurent qu'ils avaient vu ce qu'il y avait à voir et qu'il était temps de se diriger vers un autre secteur. Laurent annonça une marche d'environ 20 min et Céline parue désespérée.
Les 10 premières minutes se passèrent à plat et Céline put suivre le rythme malgré une gêne encore présente. Mais ensuite, le sentier plongeait dans un ravin pentu et la descente s'annonçait rude, notamment pour les articulations des jambes et le bas du dos.


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Il s'engagèrent dans la descente mais au bout de 2 minutes, en plein milieu du ravin, Céline s'accrocha à un arbre et dit :

- Désolé, Laurent, j'ai besoin d'une pause...
- Ok, pas de souci... On finit la descente, ça craint un peu de rester là...
- Non... je peux à peine marcher là.... Je... Il faut que j'aille faire pipi.
- Heu... d'accord... je t'attends ici.

Laurent tourna alors le regard vers le bas du ravin pendant que Céline se décala et s'accroupit derrière un gros tilleul.


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Laurent patienta un temps qui lui semblait plus que long pour un petit pipi de demoiselle et entendit alors Céline geindre :

- Putain de merde... Comment peut-on être aussi conne... Quel gros con aussi... Bordel de merde...

Laurent, affolé par autant de jurons et se sentant concerné, demanda :

- Heu... c'est moi le gros con ??
- Mais non ! répondit Céline, essoufflée. Laisse-moi encore un instant.

Ce que fît Laurent, poliment, même si sa patience touchait à son terme. Puis Céline l'appela :

- Je... Laurent, j'ai besoin de ton aide... Putain j'y crois pas...

Laurent se retourna et vis Céline debout, le legging remis en place et le visage défait.

- Laurent, tu dois me promettre que tu ne répéteras à personne ce que je vais te dire et te demander, ok ?
- Mais de quoi tu parles ??
- Promet-le ! C'est tout !
- Ok, c'est promis, rien ne sortira de cette forêt.
- Merci... Je... En fait, je n'ai pas mal au dos et je n'ai pas envie de faire pipi. J'ai un objet... qui me fait mal et que je n'arrive pas à enlever.
- Un objet ?
- Un plug, Laurent. J'ai un plug dans les fesses et c'est ça qui me fait souffrir...

Laurent regarda, interloqué, Céline puis éclata de rire !

- Putain, j'ai failli marcher !!! Un plug, n'importe quoi ! Dis-le si tu veux rentrer au bureau....

Passablement énervée, Céline se tourna alors, baissa son legging juste sous ses fesses et tendit celles-ci en direction de Laurent qui, d'un coup, cassa de rire.




Il voyait en effet que Céline ne plaisantait pas car, sous ces yeux, il pouvait admirer les fesses nues et ouvertes de sa collègue, le legging et le string baissés juste ce qu'il fallait pour révéler un magnifique et assez gros plug, en effet bien enfoncé dans le cul de Céline.

- Mais... Mais c'est du délire !!! commenta alors Laurent, complètement estomaqué. Pourquoi tu me montres ça... et surtout pourquoi tu t'es enfilé ça aujourd'hui ??
- Arrête d'être con, putain ! cria alors Céline en se tournant à nouveau vers Laurent. Si je te le montre c'est parce que je n'arrive pas à l'enlever. Et si je ne l'enlève pas, je ne vais pas pouvoir continuer de marcher ni même rentrer à la voiture. Si je te le montre, c'est que je panique, putain !!
- Mais qu'est-ce qui te fais croire que je vais arranger quelque chose à ça ?? J'en n'ai jamais vu ni touché, moi, des plug !
- C'est pas compliqué ! Tu tires sur la partie qui dépasse et tu me sorts ça du fion ! Moi, je n'y arrive pas, je me crispe, je panique... Plus j'essaie, plus je me bloque et plus ça me fait mal...
- Mais enfin Céline... Je.... On est collègue, on se croise 3 fois par semaine au bureau. Je ne peux pas te sortir ça du derrière.... C'est délirant comme histoire !

Excédée, Céline, remet en place son legging et dit à Laurent d'une voix à la fois grave et déterminée :
- Ah tu ne peux pas parce qu'on est collègue ? Quand tu m'as maté les seins tout à l'heure, ça te dérangeais moins, hein ? Et quand tu mates sous ma jupe à la moindre occasion ou que te connectes à mon Facebook, c'est professionnel uniquement, t'es sûr ?

Laurent rougissait de honte et ne savait pas où se mettre en réalisant que Céline n'ignorait rien du fantasme qu'elle représentait pour lui. Il était également incapable de prononcer le moindre mot, complètement déboussolé par les évènements récents.

Heureusement pour lui, c'est Céline qui enchaîna :
- Écoute, je suis complètement coincée et, tu t'en doute morte de honte... Tu as des scrupules mais mets-toi à ma place... Imagine mon humiliation si, par exemple, tu racontais ça au bureau ! Alors je vais te simplifier la tâche : arrête de me considérer en collègue pendant 5 min, s'il te plaît. Considère moins comme une salope exhibitionniste que tu aurais croisée sur le terrain... Je suis sûr que ça t'arrive souvent. Tiens regarde...

Céline fit alors un pas en arrière pour prendre du recul et baissa d'un coup son haut de sport pour exhiber ses seins à Laurent.


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- Voilà... tu vois encore la collègue ou juste une inconnue à poil ?
- Céline, je ne sais pas où tu comptes en venir mais...
- Putain, t'es dur en affaire toi, hein ? Peut-être que maintenant ça va aller.

Sans attendre, Céline baissa alors son legging et son string d'un seul coup et exposa, de face, sa chatte à Laurent.


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- Et là, ça va mieux ?? Tu vas enfin t'occuper de moi ou il faut que je te laisse me toucher les seins aussi ?

En mode « pilote automatique » et uniquement guidé par son excitation, Laurent tendit le bras et caressa machinalement les seins de Céline, titillant au passage des tétons bien dures.



- Voilà... il me semble que tes réticences sont tombées... Maintenant, s'il te plaît, retire-moi ce plug des fesses qu'on se remette au boulot !

A nouveau, Céline tourna le dos à Laurent et lui exposa ses fesses ainsi que le plug. Laurent, toujours aussi déboussolé mais à présent très excité par le comportement provocateur de Céline, n'hésita pas à poser les mains sur les fesses de sa collègue et les écarta pour se rendre mieux compte de la situation.



- Putain ce truc est énorme... Comment tu...
- Ne pose pas de question maintenant ! Je dois me détendre, sinon ça ne sortira jamais....
- Et si on essayait molo, comme ça....

Laurent commença donc à tirer sur le plug qui, sous la contrainte, déforma légèrement l'anus de Céline.


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Mais alors qu'il sentait une résistance, Céline l'implora :

- Arrête, s'il te plaît ! Va falloir y aller plus progressivement et surtout il faut VRAIMENT que je me détende.

Pensant avoir compris la requête, Laurent cesse de tirer sur l'objet et se met à caresser Céline délicatement.


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Laurent s'attendait une réaction outrée de Céline mais celle-ci soupira au contraire en sentant son doigt entrer en elle. Mis en confiance, Laurent continua donc de la doigter, de la caresser pour que ces sphincters se détendent complètement.


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Rassuré par les gémissements de Céline, Laurent enfonça un deuxième doigt dans son sexe pour la masturber plus sérieusement et pousser depuis l'intérieur le plug vers la sortie.


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Entre deux gémissements, Céline commenta :

- Tu as une drôle de façon de sortir un plug d'un fion, toi...
- Peut-être... mais c'est efficace. Tu sens comme il bouge beaucoup plus facilement ?

Céline devait bien reconnaître que les caresses habiles de son collègue l'avaient détendue, comme demandé, et que l'objet qui lui posait tant de problèmes au fondement allait bientôt sortir de lui-même. Laurent retenta sa chance et tirant de nouveau sur le plug. Celui-ci déforma encore l'anus de Céline et il pensa alors que celle-ci allait lui demander d'arrêter.


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Mais, au contraire, elle gémit un « vas-y » qui donna une furieuse envie à Laurent de sortir son sexe et de la baiser sauvagement. Cependant, il réussit à se contenir et continua de retirer doucement le plug.


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Il senti la résistance s'accentuer, les gémissements de Céline se faire plus audibles et d'un coup, la pression se relâcha... Le plug, imposant, était sorti.


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Céline poussa alors un soupir de soulagement indescriptible et, pendant une seconde, ne bougea pas, profitant du moment. Laurent, toujours en face de ces fesses, pût ainsi observer son anus ouvert, encore un peu distendu par le plug.



Puis, rapidement, Céline remonta son legging, se redressa en se tenant les fesses encore douloureuses, se retourna vers Laurent et remis son haut en place sur ses seins.


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- Alors, pas trop difficile ? demanda-t-elle sur le ton de l'humour pour détendre une atmosphère électrique.
- Ça dépend... Difficile de l'enlever, un peu. Difficile de résister, beaucoup !
- En tout cas, merci, c'est un vrai soulagement !! Et désolé de t'avoir crié dessus, je commençais sérieusement à paniquer...
- Pas de souci... Mais est-ce que tu veux bien maintenant me dire ce que tu faisais avec un truc comme ça dans le derrière ? demanda Laurent en reprenant la marche.
- Ça te tracasse, hein ? C'est pas très compliqué à comprendre en fait : mon copain est un pervers et moi je suis... son esclave, en quelque sorte ! Il adore jouer avec moi, m'imposer des défis, me mettre dans ces situations toutes plus chaudes les unes que les autres et moi, lorsque je suis en mode « esclave », je dois juste lui obéir et faire ce qu'il veut.
- Son esclave ?? Mais tu acceptes cet état ? Tu sembles avoir pourtant un caractère bien trempé, avec un féminisme et une féminité assumés...
- Peut être qu'esclave n'est pas le bon mot... En fait, je suis aussi perverse que lui et si son truc c'est la domination, moi c'est la soumission. Mais ça ne change rien à ma façon d'être au quotidien. C'est juste une tendance sexuelle, une préférence.
- Désolé, je ne vois pas comment c'est possible.
- Et bien, pour te faire un dessin : je peux très bien engueuler des agents et tenir tête au directeur en journée et, le soir venu, marcher à quatre pattes devant mon maître comme une chienne en attendant qu'il me saute. Tu vois ?
- Je vois... Putain je ne t'imaginais pas du tout comme ça... Et donc pour ce matin ?
- Et bien, ce matin, mon mec a décidé de me faire porter ce gros plug toute la journée avec interdiction stricte de l'enlever. Je savais que j'avais une réunion et ça m'excitait de devoir porter ça en public. Mais, comme je te l'ai dit, j'ai oublié qu'on avait prévu cette sortie. Du coup, j'ai essayé de garder le plug jusqu'au bout, avec le succès que tu connais.
- Tu vas le dire à ton copain ?
- Non ! Jamais de la vie, il pourrait me punir sévèrement ou pire, me priver de sexe.... Jamais je n'oserai !
- Donc tu vas devoir... le remettre ?
- Et oui... et je pense que je devrai le remettre après notre marche avant de remonter dans ta voiture, sinon, je devrai faire ça dans le parking de l'ONF et c'est moins discret...
- Et qu'est-ce qu'il dirait s'il savait que c'est un autre homme qui t'a retiré le plug ?
- Bonne question... D'un côté il est assez possessif avec sa petite chienne, mais d'un autre, quand il est vraiment excité, il me prête sans souci à des inconnus, alors va savoir !!

La franchise de Céline sur ces expériences sexuelles et son côté totalement déluré rendait dingue Laurent d'excitation. Celui-ci marchait à côté d'elle, parfois un peu derrière, et ne pouvait décoller son regard de ses fesses qu'il avait vu nues et écartées. Il bandait comme jamais et avait le cœur en pleine palpitation.

- Donc, il ne faut vraiment pas que j'ébruite ce qui s'est passé, hein ?
Céline s'arrête alors net, se retourne vers Laurent et le fixe durement.
- C'est une menace de chantage ??
- Hein ? Non, c'est juste une blague... j'ai mal dosé, je suis désolé...

Céline fit un pas en direction de Laurent et lui dit :

- C'est vrai, en même temps. Je suis à ta merci... Tu pourrais m'imposer des tas de choses et ce serait risqué de te dire non !
- Sans doute mais... je ne veux pas te faire chanter, je t'assure !

Céline se rapprocha à nouveau de Laurent et une fois face à lui, elle continua :

- Je ne te crois pas ! Toi aussi tu aimerais que je sois ta chienne et là tu as enfin un moyen de pression. Avoue que tu crevais d'envie de m'enculer, tout à l'heure, hein ?
- Céline, je te jure que... tenta Laurent, déboussolé.

Mais Céline s'accroupit alors au pied de Laurent, déboutonna puis baissa avec expérience le pantalon ainsi que son caleçon, faisant jaillir une belle et grosse queue en érection. Céline ouvrit grand les yeux, admirative devant l'engin, le saisi à pleine main et continua :


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- M'obliger à te sucer la queue en échange de ton silence et contre ma volonté... Quel salaud tu fais ! Mais puisque je n'ai pas le choix...
- Céline, arrête !! Je te jure que jamais...

Mais Céline le coupa et goba alors d'une bouchée la queue tendue de Laurent qui compris alors que sa collègue était en effet une incroyable nymphomane dépendante à la soumission et qu'elle se créait elle-même une situation de chantage, par jeu, par fantasme !


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Céline suça et dévora la queue de Laurent comme une hystérique. Mais une fellation normale ne lui suffisait pas, il en fallait plus à une nymphomane comme elle. Elle aspira les couilles de Laurent pour jouer avec dans sa bouche et lécha la hampe, se donnant même des coups de sexe sur la joue.


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Puis elle prit la main de Laurent qu'elle posa sur sa tête et s'enfila profondément la queue dans le gosier.


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Elle se retira d'un coup pour reprendre sa respiration et dit à Laurent, entre deux crachats de bave épaisse :

- Espèce de pervers... tu me forces à te sucer et en plus de me baise la bouche ! Salaud, t'as pas intérêt à recommencer !!

Puis elle ouvrit en grand la bouche et attendit. Elle attendait que Laurent comprenne le message et, enfin, prenne les commandes de la pipe et le fasse fermement ! Surexcité, Laurent décida de ne pas décevoir sa collègue dérangée et lui saisit la tête à deux mains, lui enfila aussi loin qu'il pouvait sa queue et commença à faire d'amples allers-retours.


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Pendant de longues et savoureuses minutes, Laurent matraqua le gosier de Céline qui, loin de s'en plaindre, semblait prendre un pied d'enfer et se masturbait d'ailleurs furieusement, une main glissée dans son legging.
Laurent sentit alors que s'il continuait à ce rythme, cette incroyable séance de sexe se finirait bientôt. Il pensa donc à se retirer de la bouche de Céline mais celle-ci s'empala encore plus profond sur sa queue, sorti sa langue et, tout en faisait coulisser le sexe dans sa gorge, titilla ses couilles.


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S'en fût trop pour Laurent qui, sans prévenir, craqua et commença à éjaculer directement dans l'estomac de sa collègue. Celle-ci avala les premières giclées puis se retira en gardant la bouche ouverte pour permettre à Laurent de continuer de lui remplir la bouche.



Soulagé, ce dernier fit un pas en arrière et regarda alors Céline, à genoux en train d'avaler une dernière gorgée de son sperme, ce qu'aucune femme n'avait fait avec lui jusqu'à présent.

- Pfffiuuu.... Soupira-t-il, c'était incroyable.... Et tu as tout avalé.
- Évidemment ! J'adore le jus de mâle et j'ai horreur du gaspillage. Tu as été vite, mon cochon !
- Oui, je suis désolé... Toute cette histoire, le plug, tes aventures et cette pipe diabolique... j'ai pas tenu le coup.
- Ne t'inquiète pas, je comprends, j'ai pas été tendre avec toi, il faut dire. Du coup, ça ne te dérange pas si je me finis ?
- Fais-toi plaisir, Céline...

Céline se redressa, baissa à nouveau son legging devant Laurent et s'appuya sur un tuyau de captage d'eau (alimentant la ville dans la vallée et probablement les bureaux de l'ONF...) pour commencer à se caresser.



Laurent, admiratif devant Céline, n'en revenait toujours pas de ce qu'il était en train de vivre avec elle, cet après-midi. L'aimable et sexy collègue, presque supérieure, était devenue une salope nymphomane en 1 heure. Et alors qu'elle s'enfilait des doigts, visiblement proche de l'orgasme, il se demanda si les choses se seraient passé comme ça si Céline était allé aujourd'hui sur le terrain avec un autre garde, dans une autre forêt. Ce serait-elle offerte ainsi à un autre ? Et d'ailleurs, s'était-elle déjà offerte à d'autres collègues de l'ONF avant lui ??

Un bip de portable, caractéristique d'un sms reçu, tira Laurent de ses considérations et de sa jalousie mal placée. Il regarda le téléphone et lût le sms d'un collègue.

- C'est qui ? Demanda Céline, toujours en train de se doigter.


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- C'est Hervé... Il me demande si ça se passe bien ma journée avec toi...
- Je suis sûr qu'il a utilisé un terme romantique pour me désigner.
- On ne peut rien te cacher ! Il a écrit « petite cochonne ».
- Ce fossile dégueulasse... Dit-lui que je suis en train de me branler devant toi !
- Oui, bien sûr.... Avec lui, tu peux être sûr que la rumeur sera arrivée au siège avant que l'on soit revenu à la voiture !

Laurent répondit laconiquement que « oui, tout se passait bien » et ferma l'échange de sms. Mais il garda le téléphone en main et demanda à Céline s'il pouvait prendre une photo souvenir.

- Tu ne vas pas la montrer à tes collègues, au moins ?
- Jamais... Sauf si tu veux que je te fasse à nouveau du chantage !
- Allez, vas-y pervers, prends moi en photo, filme moi, ça me va. Mais tu dois me promettre que tu vas te branler en les regardant !
-C'est justement pour ça que je veux des souvenirs !
- Hum, parfait... gémit Céline qui semblait apprécier la perspective de servir de fantasme masturbatoire à Laurent.



Laurent pris donc quelques photos de sa collègues en pleine masturbation et filma ensuite le dénouement de la scène qui ne tarda pas à arriver, Céline montant d'autant rapidement à l'orgasme qu'elle entendait les « clics » des photos prises.

Céline jouit enfin bruyamment et intensément, en se mordant la lèvre inférieure et en fermant les yeux.


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- Magnifique, commenta Laurent qui n'avait probablement assisté à une scène aussi érotique depuis longtemps.
- Je suis d'accord avec toi, c'était excellent ! On se remet au boulot ? Sinon, il faudra revenir et, sérieusement, je n'ai guère le temps.
- Comme moi ! Ok c'est parti !

A suivre...

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