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Incertitudes hivernales - 1 >>> Episode suivant

Davidhandballeur
3 juillet 2019
Incertitudes hivernales - 1

https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,incertitudes-hivernales,35356.html

Le soleil s'est couché depuis longtemps sur la mer des Caraïbes. Dans la soirée, depuis le bord de la piscine, nous l'avions regardé descendre dans les flots, subjugué par la beauté de ce moment. J'avais osé poser une main discrète sur les hanches de Cathy. Depuis notre arrivée en Martinique cinq jours plus tôt, Cathy et moi avions fait connaissance et nous nous étions rapprochés. Ce mercredi soir avait marqué un tournant dans notre relation et nous nous étions retrouvés sous la pergola quand tout le monde était allé se coucher. Peu après, sur la plage, Cathy, de treize ans mon ainée, me suçait avec un plaisir non-dissimulé.


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Et pourtant, quelques jours plus tôt, je ne connaissais ni Cathy, ni aucun des participants à ce voyage, à l'exception de Daniel, l'ami qui m'y avait entraîné.


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Nous nous étions "greffés" à un groupe de randonneurs dont faisait partie Cathy, ainsi qu'Albert, un quinquagénaire jovial et ami de Daniel. Albert avait proposé à Daniel de participer au voyage car il savait que Daniel était sportif. Même s'il n'était pas randonneur, sa condition physique lui permettait de suivre sans problème le groupe. En août, Daniel m'avait parlé du voyage avec l'accord d'Albert. Si Albert ne voulait pas d'"élément perturbateur" pour le séjour et souhaitait néanmoins adjoindre deux personnes supplémentaires pour faire baisser le prix du voyage et du séjour de manière assez substantielle. Il avait ainsi accepté que Daniel me propose de les accompagner :

- Réfléchis-y ! C'est une occasion en or d'aller là-bas. On n'est pas obligé d'aller marcher avec eux et de toute façon, ils ont bien l'intention de profiter aussi du voyage pour se reposer.
- Jess serait juste folle de joie ! Je vais lui en parler.


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"Jess", c'était Jessica, ma copine. Daniel la connaissait, l'appréciait et il savait qu'elle se fondrait facilement dans un groupe de personnes qu'elle ne connaîtrait pas. Cela faisait alors un peu plus de dix-huit mois que Jessica et moi sortions ensemble. Cette petite blonde à la chevelure magique et bouclée m'avait séduit timidement lors de... son anniversaire en novembre 2001.


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J'y avais accompagné une connaissance commune. En fin de soirée, Jessica m'avait embrassé :

- Je n'aurais jamais espéré avoir un cadeau tel que toi.

Elle fêtait ses 18 ans. J'en avais 24. A ce moment-là, je n'envisageais rien. Pourtant, malgré la distance (Jessica habitait à une heure de chez moi), nous avions développé une relation.


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Jessica vivait chez ses parents et n'avait pas le permis de conduire. Elle m'avait ainsi rapidement présenté à ses parents qui m'avaient vite adopté et j'ai très vite passé mes week-ends chez eux. Par chance, à l'écart de la maison, il y avait une cabane de jardin qui avait été aménagée en chambre d'amis. Avec l'accord du père, j'y avais installé un chauffage d'appoint afin que Jessica et moi puissions y résider durant mes visites. C'est dans ce cabanon que Jessica avait su dévoiler ses atouts avec parcimonie et finesse.


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J'y avais tout d'abord découvert sa belle poitrine, ses seins qui m'avaient impressionnés, tout comme la taille de son soutien-gorge.


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J'étais ensuite resté en admiration devant son ventre plat et sa taille très fine, contrastant avec ses hanches un peu larges.


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Une petite culotte de cheval sur les hanches, mais rien sur des fesses bien généreuses et rebondies. Le soir de ce premier effeuillage, Jessica avait gardé son string et nous n'avions pas fait l'amour.


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Ce n'est ainsi que la semaine suivante qu'elle m'avait dévoilé son sexe tondu de près, un ticket de métro joliment soigné.


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Dans la foulée, notre premier rapport sexuel avait été maladroit et hésitant. Rapide et frustrant. Néanmoins, j'avais eu le temps d'être saisi par l'intensité et la sensualité débordante dégagés par Jessica lors de ce rapport. Brûlante, cette fille avait le diable au corps et cela augurait des lendemains délicieux.


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Le lendemain matin, justement, Jessica m'avait sucé pour la première fois et j'avais pris un pied hallucinant. J'étais son second petit ami et je n'en revenais pas qu'elle me suce avec autant d'habileté et me donne autant de plaisir. C'était loin d'être ma première fellation, mais c'était l'une des plus intenses !


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Les premières semaines de notre relation avaient également permis à Jessica de m'habituer petit à petit à sa garde-robe élégante, essentiellement faite de jupes avec chemisiers et de robes. J'avais effectivement été surpris par des tenues qui auraient été plus adaptées à une assistante de direction plutôt qu'à une lycéenne. La maturité de Jessica transpirait à travers ses vêtements.


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Et puis, il y avait eu ce dimanche pluvieux de fin janvier 2002. Cela ne faisait pas tout à fait trois mois que nous étions ensemble. Nous étions seuls chez elle, ses parents étaient partis en week-end avec sa petite sœur. Nous venions de faire l'amour et, avec sa permission, j'avais ouvert sa commode de dessous. J'avais trouvé le porte-jarretelles tout au fond du dernier tiroir, dissimulé derrière une boîte en carton :

- Oh ! C'est à toi, ça ?
- Oui...
- Tu l'as déjà mis ?

Jessica avait immédiatement rougi.

- Oui, oui...
- J'adore. Et j'adorerais te voir dedans.


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Elle m'avait regardé curieusement durant un instant avant de se lever précipitamment.

- Tu aimerais que je le porte juste une fois ou... ou plus régulièrement ?

Elle était si hésitante, j'avais éclaté de rire et j'en avais plaisanté :

- Tous les jours ! Ce serait juste un rêve !

C'est à ce moment-là que j'ai compris que Jessica avait quelque chose à dire. Elle ne riait pas. J'avais attendu quelques secondes. Jessica semblait désemparée. Elle s'était finalement lancée :

- Florent, il faut que je t'avoue quelque chose.
- Oui ?
- En fait, le porte-jarretelles, je le mets régulièrement depuis un an environ. Personne ne le sait, ni ma mère, ni ma meilleure amie. Je...


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Elle baisse les yeux, visiblement émue, avant de poursuivre :

Un soir, c'était la Saint-Valentin il y a trois ans, le 14 février 1999. Je suis entrée dans la chambre de ma mère et elle était en train d'attacher un porte-jarretelles. Elle et mon père allaient au restaurant. Je l'ai regardée et je l'ai trouvée super belle. Elle m'a expliqué ce que c'était car je n'en avais jamais vu. Le lendemain, j'ai trouvé le porte-jarretelles dans le panier de linge sale et je l'ai essayé avec les bas. Je ne peux pas te dire ce que ça m'a fait, mais ça a été un moment très fort, comme un choc. Je me suis sentie incroyablement bien et belle.


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Ensuite, je le passais quand j'étais seule à la maison. L'année suivante, au printemps, j'ai acheté le mien.



Jessica marque une pause. Elle est au bord des larmes :

Je n'osais pas le mettre pour sortir. J'ai hésité dix fois, vingt fois. Finalement, j'ai osé. J'ai sauté le pas l'année dernière à la rentrée pour aller faire des courses avec ma mère. Je me sentais tellement fière, tellement belle et tellement... femme. Alors j'ai décidé de le mettre pour aller au lycée. J'avais 16 ans. Et depuis, je le mets régulièrement.


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- Mais depuis que nous sortons ensemble, tu ne l'as pas mis ? J'ai été comblé que tu mettes des Dim'Up à Noël et lors de plusieurs sorties...

Jessica s'était alors mise à pleurer :

- Mais j'ai peur, Florent ! J'ai peur du regard des autres, de ton regard, peur d'être prise pour une pute ! J'ai peur qu'on me juge là-dessus !

Nous avions discuté. Je l'avais rassurée et j'avais dédramatisé la situation :

- Ne crains rien. J'adore aussi et personne ne te jugera. Mais là, c'est un sommet d'absurdité : là où la majorité des mecs doivent parfois insister pour que leurs copines en mettent, la mienne pleure parce qu'elle aimerait en mettre tout le temps.


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Ainsi, le nombre de parures de lingerie de Jessica a rapidement accru. Et si elle se limitait à de discrets porte-jarretelles pour aller en cours, elle a découvert les guêpières et s'est mise à en porter lorsque nous sortions. Elle les trouvait plus élégantes.


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J'étais aux anges. Je planais. Même si, à 24 ans, je devais faire des efforts vestimentaires pour sortir avec Jessica, dont l'élégance jurait avec mes tenues d'étudiant attardé. A partir de ce dimanche, elle n'a remis des pantalons qu'à de rares occasions. Notre entente était parfaite. Comme nous ne nous voyions que les week-ends, nous "rentabilisions" au maximum le temps passé ensemble. Jessica me comblait et répétait souvent n'avoir jamais été aussi heureuse de toute sa vie. J'aimais particulièrement ce que je considérais comme les "personnalités multiples" de Jessica. En société, sa timidité la rendait parfois distante et, mine de rien, son style vestimentaire mettait également une barrière invisible avec des gens de nos âges. Elle était d'ailleurs plus à l'aise avec les personnes plus âgées. J'avais d'ailleurs eu droit à des remarques de quelques copains qui la pensaient hautaine. Mais il y avait cette autre personnalité, au lit, cet ouragan sensuel, cette jouisseuse puissante, cette hédoniste du sexe. Jessica adorait faire l'amour et jouir. Nos rapports étaient très rarement décevants et régulièrement fantastiques. A 18 ans, Jessica était une bête de sexe.


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Et puis, petit à petit était apparu un versant coquin de Jessica. La confiance aidant, nos rapports sexuels se sont "désacralisés". Le conformisme des premiers mois avait gentiment évolué à mesure que Jessica s'était détendue. Nouvelles positions pour de nouveaux plaisirs ; des éclats de rire lors d'acrobaties impossibles à réaliser ; des fellations bien plus décontractées qu'au début ; nos regards qui se croisent pendant qu'elle me suce ou pendant que je la lèche ; son anus qui participe désormais aux plaisirs buccaux...



Hors du lit, cette personnalité de Jessica allait se manifester de deux manières avec l'arrivée des beaux jours. Premièrement, la sortie de l'hiver allait aller de pair avec le port de vêtements plus légers mais aussi avec l'achat de lingerie nouvelle. Les jupes et les robes raccourcirent et s'allégèrent ; les porte-jarretelles et les guêpières furent remplacés par des strings minuscules, parfois ouverts, et des soutiens -gorges demi-sein ; les nuisettes sexys firent place à des babydolls minimalistes et torrides.


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Ensuite, Jessica allait très vite prendre goût aux quickies. Je l'avais convaincue un soir pour un rapport express alors que nous arrivions chez une de ses amies qui vivait à la campagne. Jessica et moi avions baisé juste avant d'arriver, à une centaine de mètres de chez son amie, dans une grange au bord de la route.



Jessica avait adoré l'excitation que le stress avait provoquée. Dès lors, nous pouvions le faire n'importe quand et n'importe où : toilettes d'un bar, d'une boîte de nuit, chez des amis ou durant des soirées, dans et sur la voiture, au cinéma, dans l'ascenseur, dans les cabines d'essayage, et même chez Ikea !


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Et Jessica était le plus souvent à l'origine de ces séances de sexe rapide et cet été- là, il n'était pas rare que Jessica ne porte rien sous ses jupes ou ses robes, même les plus courtes.


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A l'automne 2002, Jessica réussissait son permis de conduire et nous passions désormais autant de temps chez moi que chez ses parents. Elle avait également commencé une formation dans le domaine informatique. Celle-ci se déroulant dans la ville où elle résidait, nous avions dû renoncer à son emménagement chez moi. J'avais pensé déménager, mais aucun appartement visité ne nous avait plu. Jessica venait néanmoins vivre chez moi lorsqu'elle était en vacances et cela se passait très bien.


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Durant l'été 2003, Jessica avait trouvé un stage de deux mois dans ma ville et qui plus est, non loin de mon lieu de travail. Cela avait été l'occasion de vivre ensemble. L'occasion aussi de réaliser un fantasme en baisant sur mon bureau un soir, fin juillet.


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Niveau sexe encore, j'avais joui dans la bouche de Jessica pour la première fois. Elle n'avait pas aimé du tout et avait recraché.


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Mais à vrai dire, je n'en avais rien à faire que ma copine avale ou pas. D'ailleurs, l'initiative venait d'elle.



De ma part venait la proposition de sodomie. Jessica avait refusé jusqu'à cette soirée, toujours en juillet. Elle avait eu mal et je n'avais pas insisté. Cependant, c'est elle qui avait proposé quelques jours plus tard que nous réessayions. En tout, nous avions essayé quatre fois durant l'été. J'avais pénétré mon sexe à moitié lors du dernier essai. Mais Jessica avait toujours aussi mal malgré mes minutieuses préparations.


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Mais cette cohabitation estivale allait aussi laisser apparaître les premiers nuages dans notre relation. Le fort caractère de Jessica m'était plus pesant au quotidien. Nos premières vraies disputes eurent lieu et j'avais eu beaucoup de mal avec le côté rancunier de ma partenaire. Même si elle m'avait rapidement manqué, j'avais tout de même apprécié qu'elle retourne durant deux jours chez ses parents début août.


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Néanmoins, lorsque Daniel évoque le voyage en Martinique à la fin de ce même mois d'août, je n'imagine pas une seule seconde m'y rendre sans Jessica. Et quand je lui en parle, elle est effectivement aux anges. Daniel m'indique également que le voyage pourrait avoir lieu lors de la première semaine du mois de novembre et cela ne fait qu'exacerber l'envie de Jessica : nous y fêterions alors ses 20 ans. Jessica me parle désormais du voyage chaque fois que nous nous voyons.


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Elle réfléchit déjà à ses tenues, dit qu'elle va s'acheter des bikinis string "pour bronzer des fesses en te faisant plaisir".


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En septembre, Jessica reprend les cours et retourne vivre chez ses parents. Les examens ont lieu en fin d'année et nous envisageons d'emménager ensemble début 2004.


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A la fin du mois, Daniel me transmet le programme définitif du voyage et m'indique l'agence de voyages où réserver mon vol. Concernant le gîte où nous logerons, le règlement s'effectuera sur place. Tout en joie, je fonce chez Jessica avec le papier. Elle remarque immédiatement le problème. Les dates ne sont pas celles évoquées par Daniel en août. Ainsi, au lieu de correspondre avec sa semaine de vacances estudiantine, nous partons durant... la semaine d'examens.


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C'est la douche froide. Jessica est toute triste. Je lui dis :

- Bah, c'est pas grave, allez. Nous irons une autre fois.
- Comment ça "nous" ?
- Ben oui, nous irons une autre fois.
- Écoute, je suis vraiment touchée que tu réagisses ainsi, mais tu ne vas pas te priver d'un tel voyage à cause de mes examens. Je veux que tu y ailles.
- Et ton anniversaire ?
- On fêtera à ton retour.


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Je la regarde, l'embrasse.

- Je vais y réfléchir.
- Si tu n'y vas pas, tu es un idiot.

J'accepte alors de partir et Daniel m'informe que nous bénéficions tout de même de tous les rabais bien que nous soyons neuf et pas dix. Une consolation.


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