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Legul
16 juillet 2019
Émilie, directrice et traînée de lycée - 22

Pendant des semaines, je me suis convaincu que je maîtrisais encore mon établissement mais seuls les profs, le CPE et les surveillants avaient encore de l'autorité sur les élèves. J'avais laissé tomber mes rendez-vous d'orientation dans mon bureau car, une fois sur deux, même si le jeune en face n'était pas un client (la grande majorité de mes élèves de m'était pas encore passé dessus...), il était au courant de mes activités et se foutait de ma gueule.

Durant un moment, la situation se rétabli car j'ai renvoyé définitivement des élèves m'ayant manqué de respect en public. Les autres se calmèrent donc pour un temps mais l'augmentation du nombre de mes clients faisait enfler une rumeur au sein du lycée qui disait que « la dirlo couchait pour pas cher... ». Même si j'avais facile à démentir cette rumeur devant les profs, en montrant des exemples dans la presse de calomnies montées de toute pièce par des élèves contre des profs, mes clients et leurs amis savaient, eux, que c'étaient vrais.

La situation se dégradait d'autant plus que Laurent rajoutait des prestations : séance lesbienne, pipe à mon bureau en pleine journée (celle-là était chère), branlette dans les toilettes, strip-tease pour des groupes (le mercredi après-midi ou le soir pour toute une chambre d'internat). Je songeais de plus en plus à tout arrêter mais Laurent me tenait autant que je le tenais. Et, autre problème, j'aimais ça.

Un jour, dans les couloirs, alors que tout le monde était au réfectoire, deux élèves que j'avais eu comme clients, me coincèrent dans un coin. C'étaient des terminal et faisaient une tête de plus que moi.

- Alors, on se voit bientôt, madame la Pute..., pardon, la Directrice
- Ne me parlez pas sur ce ton !!
- Ah bon ? Pourtant vous m'avez bien demandé de vous insulter pendant que je vous enculais ?
- Tu l'as enculé, toi ? demanda l'autre à son copain. Tu as les moyens, veinard !
- J'ai rien eu à payer, c'est elle qui me l'a demandé ! Une pute accro à la sodomie, pas vrai Madame ?
- Tu l'as enculé gratos ?? J'ai pas eu droit à ça moi, c'est dégelasse !

Il commence alors à soulever ma mini-jupe.



- Arrête ça tout de suite !! lui ordonnais-je. J'offre ce que je veux à qui je veux.
- Et si j'allais plutôt en parler à ton mac ? Je ne suis pas sûr qu'il soit ravi d'apprendre ça. Alors je vais récupérer mon dût ici et maintenant.

Je me retrouve donc forcée de ces deux élèves au milieu d'un couloir...



... et celui qui s'estimait lésé m'a sauvagement enculé contre un mur de mon lycée, la jupe relevée et le string tiré sur le côté.



Le soir-même, convaincue qu'il fallait que je me barre, je donnais au Directeur de mon lycée de rattachement ma demande de mutation dans un lycée proche, assez huppé. Avec mes points et mes résultats dans ce lycée, elle serait acceptée sans problème. Mais en attendant, il fallait finir l'année et les clients se succédaient, encore et toujours. Il ne restait qu'un mois et demi avant les vacances scolaires mais cela a duré une éternité.

Pourtant, chaque soir je jouissais, je prenais ma dose de sexe et de sperme, j'amassais un beau pactole. Mais la journée, le revers de la médaille revenait inlassablement : alors que les élèves étaient censés me respecter, on me sifflait, me faisait des gestes déplacés, me touchait, me doigtait, me baisait...

Durant le mois de mai et le début juin, j'élargis considérablement mes compétences et mes clients ne se résumaient plus seulement à des puceaux inexpérimentés ou des pervers.

Un soir, par exemple, je reçus deux filles absolument superbes, de 17 et 18 ans, qui étaient lesbiennes mais ne parvenaient pas à avoir suffisamment d'intimité à l'internat, d'autant que même chez les filles, il y a des homophobes...



Les jeunes filles entrèrent donc chez moi, durant l'heure d'étude, avec leur petit ticket. Il s'agissait de deux magnifique brunes pulpeuses : l'une était grande avec de seins assez gros, fermes et un beau cul. L'autre était un peu plus ronde, plus ronde mais avec des nibards énormes et une paire de fesses généreuse, à faire bander un saint. Les deux étaient entièrement épilées et leurs petites chattes vierges glabres me firent vibrer de désir.


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Toutes les trois, pendant plus d'une heure, nous nous sommes caressées, léchées, doigtées. Elles me fistèrent la chatte mais très délicatement car elles n'imaginaient pas cela possible et ne le firent qu'à ma demande. Elles eurent droit à de nombreux orgasmes grâce à ma langue experte et mes doigts habiles. Mon majeur visita leur anus serré, et j'ai adoré les voir paniquer mais finalement en redemander. Je leur ai laissé un moment entre elle où elles ont pu se faire jouir mutuellement et amoureusement pendant que je les regardais en train de me masturber. Ce soir fut un moment de pur romantisme et de pur plaisir.



A l'extrême opposé de cette soirée romantique et sensuelle, il y a eu cet autre soir où je fus convoquée par deux élèves dans les toilettes, vers minuit, et que je dû sucer (subir une gorge profonde violente serait une plus juste expression...) entre deux urinoirs et qui me pissèrent dessus après m'avoir tartiné le visage de sperme.


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J'avais évidemment vu le ticket avant et avait pris des habits ne risquant rien.

Ces deux expériences représentaient en quelques sortes les deux extrêmes de mes prestations. Un soir, je pouvais sucer un gamin n'ayant pas les moyens pour autre chose (et lui offrir tout de même un petit extra) et le lendemain, me faire enculer à la chaine par deux blacks sur-membrés qui avaient décidés de tester la résistance de mon anus.


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Un autre soir, encore, toute une chambre (4 élèves) avait commandé un striptease. Ils ne m'avaient encore jamais baisé et voulaient, je pense, se branler en me matant, à peu de frais. Lia avait exigé de m'accompagner car c'était tout à fait le genre de situation qui pouvait dégénérer. Elle me connaissait bien...

Alors que je déambulais au milieu de la pièce et que j'enlevais mes vêtements progressivement, la pression montait.


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Les mecs se masturbaient doucement, profitaient du spectacle et n'étaient pas gênés par la présence de Lia, bien au contraire. Elle-même se caressait, d'abord les seins, en me regardant nue au milieu de ces quatre bites, et cela leur plaisait énormément.


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Etre le centre de leur attention, presque autant que moi, plaisait également beaucoup à Lia qui, malgré ce soit toujours limitée à faire ce que lui imposait Laurent, à savoir m'accompagner avec stricte interdiction de participer, commençait à se dévêtir pour se caresser plus confortablement.

Pour commencer, elle a simplement enlevé son mini short pour se mettre en culotte, en gardant son haut au travers duquel elle se pelotait les seins plus franchement...


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.... alors que je continuais mon show.


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Visiblement de plus en plus excitée, Lia se trémoussait sur le bord du lit où elle était installée, écartant au passage ses jambes, je pense accidentellement.


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Lia ne se rendait pas compte qu'elle me volait presque la vedette, bien que cela ne me gêne absolument pas, et ne voyait sans doute pas non plus que sa culotte, en apparence assez sage, était un peu transparente.


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Elle s'aperçoit soudain que tous les regards sont braqués sur elle et se redresse en maintenant les jambes écartées. Puis elle commence à retirer doucement son haut, mais, alors que ses seins allaient bientôt apparaitre, marque alors une pause en voyant les mecs se branler face à elle.


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Elle lance un regard de braise à l'assistance, moi y compris, si désireuse de la voir se déshabiller puis déclare aux garçons :

- Dans vos rêves, les gosses !

Elle laisse alors retomber son haut sur son ventre et se met à l'aise sur un des lits. La déception est palpable mais je reprends mon show de plus belle, retrouvant l'attention de mon public.


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Pendant ce temps, Lia continue sans gêne de me mater et de mater les 4 bites bien dures en glissant sa main dans sa culotte pour reprendre ses caresses.


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De mon côté, je continuais de me déshabiller et de m'exhiber devant mes élèves comme une professionnelle. Il ne me restait à présent que mes bas et mes talons hauts pour seuls vêtement. Cela faisait 15 minutes que j'exposais mes parties intimes devant eux et tout le monde était à présent très excité.



Moi, en premier lieu, qui mouillait comme une folle et les mecs qui se branlaient en nous matant. Ma belle surveillante était également sur le point de craquer : elle se masturbait littéralement dans sa culotte et ne se souciait guère de savoir si les garçons pouvaient apercevoir son sexe à la faveur des mouvements de sa main.


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Dans la chaleur torride qui régnait dans cette chambre d'internat, je décide de jouer un peu avec mes élèves et je me penche en avant pour montrer mon cul bien tendu et dégoulinant à l'un d'entre eux.


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Il s'approche alors de moi, pose ces mains sur mes fesses et les écarte en grand.

- Hé, pas touche ! intervient Lia qui restait vigilante malgré ses doigts enfoncés dans son sexe.
- C'est bon, tant qu'il ne va pas plus loin, répondis-je.

Le garçon contemplait mon chatte et mon anus, totalement offerts à lui, et je sentais son souffle sur mes lèvres humides de mouille.


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- Les mecs, c'est absolument superbe, dit-il, admiratif. Faut absolument que je la baise !
- T'as vu le prix ? réagis un de ces copains.
- Je m'en fous, regarde comme elle est trempée ! Une meuf comme ça, prise à quatre, ça n'arrivera qu'une fois dans ta vie ! Lia, ce serait combien en plus ?
- Si vous voulez la baiser ensemble et lui faire la totale, c'est 100 € par personne.
- Attends, on a déjà payés 20€ chacun juste pour qu'elle se désape ! Fais-nous un prix !
- Demande leur 70€ chacun, dis-je à Lia qui semblait inflexible. Je me serais déshabillée de toute façon s'il avait pris ça dès le début !
- Toi, tu as envie de te faire baiser ?
- J'avoue...
- Ok pour 70 chacun, considérez ça comme une super promo... Mais vous me donnez ça demain au plus tard, sinon Laurent va gueuler !
- Pas de soucis, génial, merci !

Et une nouvelle fois, ce fût la curée pour moi. Une excellente curée. Je vous passe les détails de la scène, baise, pipe, anal, une série de doubles pénétrations dans plusieurs positions, etc.


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Ce qu'il faut surtout retenir de cette soirée, c'est le comportement de Lia. A plusieurs reprises, des mecs voulurent la sauter, ce qui est bien normal vu la beauté de cette fille. Mais elle refusa systématiquement qu'un mec l'approche.

Pourtant, elle était, elle aussi, très excitée et se masturbait sans complexe, la main dans sa culotte. Elle s'amusait à tendre le tissu de sa culotte trempée ou à la glisser un peu sur le côté mais ne révélait jamais complètement son sexe.


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Elle oscillait en permanence entre la nymphomane et la sainte-ni-touche, ce qui désorientait les garçons. Elle gifla même un gamin qui avait osé lui toucher le cul alors qu'elle le tendait de manière vraiment provocante.



J'ai alors cru que cela avait cassé l'ambiance, mais au contraire, elle finit par se laisser un peu aller et accepta de retirer son haut, sous la pression conjuguée des garçons, de moi, et de sa propre excitation.



Je n'en revenais pas de la voir enfin s'effeuiller en public, moi qui fantasmais sur son corps et sur le fait de la faire participer à mes orgies depuis des semaines.

Simplement vêtue d'une petite culotte trempée, Lia rendait encore plus dingues les garçons qui l'étaient déjà bien assez.


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Comme ils ne pouvaient la baiser, ils se rattrapaient avec moi en était particulièrement pervers et imaginatifs...


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Lia était absolument ravie de voir l'effet qu'elle faisait aux gars et de voir comment ils se déchainaient sur moi ! Et elle en rajoutait en jouant avec sa culotte au point de presque montrer son sexe.

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Elle jouait également la provoc avec eux et s'approchait de moi, m'embrassait ou me doigtait pendant qu'ils me baisaient. Elle leur parlait mal, les insultait tout en leur montrant ses seins. Une vraie allumeuse !


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Ce climat d'excitation poussé au maximum ne pouvait durer longtemps et elle explose de jouissance en se doigtant et se malaxant les seins alors que les garçons se vidaient les uns après les autres dans tous mes orifices.



Alors que je dégoulinais de sperme, je vois Lia se vautrer sur son fauteuil, profitant de son orgasme et ce que j'aperçois alors me ravi autant que m'étonne. En effet, à force d'être malmenée et étirée dans tous les sens, sa culotte avait fini par ne plus cacher grand-chose et, que Lia en ait conscience ou non, sa chatte était presque complètement visible.

Les garçons, eux, n'ignoraient rien de cette exhibition, sans doute involontaire, et se rinçaient l'œil sans rien dire !



Malgré cette écart de conduite à la fin de ma prestation, Lia, comme à son habitude, allumait les clients et les chauffaient à l'extrême en se déshabillant plus ou moins mais sans jamais leur donner un gramme de distraction physique et je me disais qu'un jour, elle allait le payer.

A suivre...

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