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Davidhandballeur
6 août 2019
Incertitudes hivernales - 5

Je me réveille à 14h et je file à la douche. Mon téléphone est pleins de messages de Maryline, mais rien de la part de Jessica. Maryline n'a aucune nouvelle non plus. Incroyable. J'essaye d'appeler Jessica mais elle ne répond pas. J'allume la télévision mais je suis incapable de m'y concentrer. Je suis arrivé chez Jessica chamboulé de ma semaine chez Cathy et les derniers évènements n'ont rien arrangé. Je prends une feuille de papier et tire un trait vertical au milieu. Je laisse aller mon esprit à Jessica et note les points positifs de ma relation avec elle : ses gros seins, toujours en jupe ou robe, toujours sexy, son port fréquent de lingerie fine, ses fellations, les quickies. Jessica est clairement une cochonne et j'adore ça.



Dans le négatif, les points s'enchaînent plus vite que je ne l'imaginais : le manque de vie intellectuelle, son coté gamine qui prend le pas sur son côté mature, son sale caractère qui nous empêche d'avoir des amis autres que les siens. Je remarque que je me suis éloigné de plusieurs copains avec qui j'aimais passer du temps depuis que je suis avec elle. Ce n'est pas de sa faute, mais c'est ainsi. Je me rends compte que je suis tout à fait capable d'imaginer la vie sans elle... et j'y trouve plus d'avantages que de rester avec elle. Le constat est sans appel.


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Trois jours plus tard, le mercredi 14 janvier, je vais chez Jessica. Par chance, ses parents sortent au cinéma. Je lui dis que c'est fini. Que ce n'est pas un coup de tête mais que "l'affaire Maryline" m'a permis de faire le point. Nous parlons, elle me dit que je ne suis plus le même depuis quelques semaines. Je lui dis que je suis lassé, c'est tout. Si ce n'est jamais facile, je ne pars pas en mauvais terme. Je rentre et fonds en larmes.


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En fin de journée, Cathy m'appelle. Je lui dis en deux mots que j'ai quitté
Jessica.


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- Tu peux passer si tu ne te sens pas bien.
- Je préfère rester ici pour l'instant.
- Ce week-end, j'ai les enfants, mais je peux trouver un moment pour toi si jamais.
- C'est gentil, mais je préfère rester seul.

Cathy n'insiste pas. Maryline m'écrit le lendemain. Jessica lui a raconté. Ses messages sont des mots de réconfort et j'apprécie. Cependant, je ne lui réponds pas. Durant une dizaine de jours, je ne vois que mes collègues de travail. Le jeudi 22 janvier, Cathy m'appelle et me propose de monter à la montagne.


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- Il faut te changer les idées. On monte en amis.

Je réfléchis durant la soirée et accepte. Je viens chez elle, mais nous partons immédiatement avec sa voiture. Nous nous sommes juste étreints à mon arrivée. Sur la route, il y a du monde, mais je me sens bien. Nous mangeons en chemin puis allons directement à son chalet. Magnifique. Il est tard, mais nous prenons le temps de boire une tisane. Cathy demande :

- Tu veux qu'on fasse chambre à part ? Ça ne me dérange pas du tout.
- Non, on dort ensemble. Mais en amis.


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Elle sourit. Durant tout le week-end, elle ne se changera jamais devant moi, pas plus qu'elle se montrera en petite tenue. Le lendemain, nous faisons une très longue balade en raquette. Près de quatre heures à marcher dans la neige. Nous rentrons très fatigués, mais heureux de cette marche. Nous allons tout de même manger une pizza dans la station. Nous nous couchons dès notre retour au chalet.


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Nous nous reposons au chalet le dimanche. Le temps est maussade et nous redescendons un peu plus tôt que prévu. Chez Cathy, nous nous embrassons alors que je vais rentrer chez moi. Notre seul baiser du week-end. Je dis à Cathy combien j'ai apprécié ces deux jours avec elle au chalet. Elle me promet que nous y retournerons.


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J'ai des nouvelles de Jessica par Maryline. Elle ne va pas très bien, mais je me force à ne pas lui écrire. Je ne veux pas remuer le couteau dans la plaie. Maryline continue ses allusions et je m'en amuse. Je constate qu'elle aussi prend cela à la légère. Amusante, déconcertante, coquine, Maryline me surprend agréablement. Je ne voulais pas continuer à communiquer avec elle, mais j'y prend énormément de plaisir.



Le jeudi 29 janvier, je vais passer la soirée chez Cathy. Elle est très à l'écoute, très proche, sans que je ne sente la moindre pulsion sexuelle de sa part. Une amie, une confidente. Je passe la nuit chez elle et nous avons un rapport d'une douceur absolue au moment d'aller nous coucher. Je suis aux anges.


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Au matin, elle me propose de passer durant le week-end. Elle aura ses enfants. Mais je ne me sens pas prêt à me confronter à eux. Cathy comprend.


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Samedi 31, alors que je suis au restaurant avec deux amis, je reçois un message de Maryline : "Dans deux semaines, ce sera la Saint-Valentin. Il y a une très forte probabilité que je la passe seule, comme toujours. Pourtant, cette année, c'est différent : j'ai fait l'amour pour la première fois et je serais la plus heureuse des femmes si je passais cette soirée avec l'homme avec qui je l'ai fait. Mais comprends-moi bien : je ne cherche pas à te mettre le grappin dessus si tu ne le souhaites pas. Je veux juste être à tes côtés. En amie. En tout bien tout honneur. Alors si tu es seul aussi et que l'idée te plaît, appelle-moi. Gros Bisous. M"



Je regarde le message avec une certaine tendresse. Maryline est une fille adorable et je refuse de la faire souffrir. J'avoue que je pensais évidemment passer la Saint-Valentin avec Cathy. Mais elle aura ses enfants et un week-end de ski avec des amis est prévu de longue date cet week-end là. Je serai donc seul. J'appelle Maryline le lendemain.


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- Ton message est adorable.
- Merci... Je sais que ça fait un peu "vieille fille", la nana qui est toujours seule à la Saint-Valentin, mais bon, je vois que tu es assez intelligent pour comprendre !

Nous rions.

- Je serai seul également et ta proposition me plaît.

Maryline ne dit rien au bout du fil. Puis :

- Si tu dis ça pour me faire marcher, ce n'est pas drôle.
- Je ne dis pas ça pour te faire marcher.
- Je dois réserver ma soirée alors ?
- Oui. Mais si tu n'y vois pas d'inconvénient, je préfère ne pas sortir ce soir-là et organiser quelque chose à la maison.
- Chez... Chez toi ?
- Oui, pourquoi ? Un dîner entre amis, à beaucoup papoter, rire bruyamment, trop manger, boire en excès.
- Heu pas sûre pour le dernier point. Il faudra quand même que je rentre chez moi.
- Tu resteras dormir.
- Je valide chaque point de cette organisation !


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J'éclate de rire. Nous papotons encore un peu puis prenons congé. Durant les jours suivants, nous échangerons peu.


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Nouvelle soirée romantique chez Cathy le jeudi 5 février et week-end suivant chez elle. Le temps est affreux. Nous voulions aller skier, mais c'est juste impossible. Les intempéries sont très importantes : beaucoup de neige en montagne et beaucoup de pluie en plaine. Nous allons au cinéma et au restaurant le samedi soir. Le reste du temps ? Sexe. Je la désire à nouveau ardemment et Cathy n'attendait visiblement que ça. Cinq rapports entre le vendredi soir et le samedi soir. Six le dimanche. Je viens à trois reprises entre ses fesses. Ni elle ni moi n'avions jamais autant baisé.



Cette frénésie sexuelle se prolonge durant la semaine puisque je viens la "quicker" à sa porte le mardi 10 février en soirée et nous fêtons la Saint-Valentin deux jours plus tard.


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Ce jeudi 12 février, j'arrive chez Cathy directement après le travail. Elle en revient également et nous baisons dès notre arrivée chez elle.


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Nous nous préparons ensuite et allons manger au restaurant. Cathy porte un robe rouge absolument fantastique, mi-longue, manches courtes, col en V profond, étroite sur le haut, évasée à partir des hanches. Ses jambes sont gainées de nylon noir opaques et ses pieds d'une paire de talons compensés. Elle n'a jamais été aussi séduisante que ce soir.



Je l'emmène dans un restaurant dont nous avions déjà parlé et le choix se révèle judicieux, tant nous sommes bien reçus. Alors que nous sommes au café, la petite cuillère de Cathy tombe de la table. Je me penche pour la ramasser et à ce moment-là, la jolie blonde décroise et écarte les jambes. Elle est tout aussi discrète pour soulever légèrement sa robe.



Je me tape la tête à la table en me redressant. Ce que je viens de voir est fou. Évidemment, Cathy est tout sourire. Elle me fait nonchalamment du pied.



- Je ne l'avais jamais fait.
- De... de... de...

Elle murmure :

- De tout raser.
- Et d'oublier ta...
- Ça, ça arrive l'été. En Martinique, c'est arrivé deux fois, notamment quand nous avons été faire les courses au grand supermarché. Mais tu n'étais pas très attentif.



Elle rit.

- Et la seconde fois ?
- La première soirée, à notre arrivée.



Nous nous regardons. Je fais signe au serveur d'amener la note. Il l'accompagne de deux limoncello. Cinq minutes plus tard, nous sortons du restaurant. Nous nous embrassons et j'ai une furieuse envie de soulever sa robe et caresser ses fesses. Cathy le sens. Nous allons vers sa voiture qui est garée dans une petite rue sans issue. Cathy y pose son sac et m'embrasse sur le trottoir. Je caresse ses fesses. A une vingtaine de mètres des voitures descendent une grande artère, perpendiculairement à la ruelle où nous nous trouvons. Derrière nous, une immeuble ancien en contrebas de notre rue, mais des balcons à notre hauteur. En face, un remblai sur lequel se dresse une maison ancienne dont les fenêtres sont allumées. Malgré cela, Cathy s'accroupit et commence à me sucer.



Plus tard, quand elle se redresse, c'est une invitation au cunnilingus. Je la lèche comme jamais je ne l'ai fait jusqu'ici.



Cathy jouit avant que je ne la prenne, debout contre la voiture.


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Cathy m'avait donné le petit tube de gel et je n'attends pas sa demande pour en glisser une noisette sur sa rondelle je m'enfonce quelques minutes plus tard. J'encule la quadra en plein centre-ville. Elle jouit dans un cri.



J'explose peu après. Lorsqu'elle se tourne, c'est pour me prendre dans ses bras et me dire :

- J'espère que tu es en forme, car ce n'est pas fini.


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Nous rentrons chez elle. J'ouvre une bouteille de champagne et sert deux coupes. L'instant est magnifique et je me sens extraordinairement bien. Nous dansons tendrement avant de nous offrir mutuellement des présents. Cathy m'offre une bouteille d'un grand vin ainsi qu'un bon pour un soin dans un institut situé... dans le village de montagne où se trouve le chalet.

- Ça t'obligera à y remonter.
- Tu en doutes ?

Elle sourit.

- J'ai probablement besoin d'être un peu rassurée. Je sors avec un homme qui a treize ans de moins que moi. Je profite de sa présence, de sa douceur et bien sûr, de sa vigueur.

Nous sourions. Cathy poursuit.

- Mais je suis mère de famille, j'ai des responsabilité que tu n'as pas et parfois, j'ai peur du vide, car je sais que notre relation peut s'arrêter du jour au lendemain. J'ai envie de te présenter mes enfants, Florent. J'angoisse à mort de faire ça, vraiment. Et en même temps, je veux qu'ils sachent que leur maman a le cœur qui bat pour un homme charmant, certes un peu plus jeune, mais sacrément attachant.


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Nous nous embrassons. Elle dit encore :

- Je sais qu'il est agréable de vivre au jour le jour, j'aime la spontanéité de notre relation, etc. Mais par exemple, cet été, les enfants vont partir trois semaines avec leur père et j'aimerais bien savoir si pendant cette période, je dois voir avec mes copines s'il y en a un qui veut partir avec moi ou si nous partons ensemble.
- On réserve dès que possible.

Elle me serre dans ses bras. Longuement. Quand elle relâche son étreinte, Cathy a les larmes aux yeux. Nous nous embrassons à nouveau. Je lui donne ses cadeaux. Le premier est une paire de boucles d'oreille qu'elle avait vu dans une bijouterie à la montagne.


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- Tu as été l'achetée là-haut ?
- Presque ! Non, j'ai appelé, j'ai décris les boucles et l'endroit où elles se trouvaient dans la vitrine. Le vendeur m'a envoyé une photo et donné la référence. J'ai été dans la même boutique ici pour l'acheter.
- Tu es fou, Florent. Entre le restaurant de ce soir et cela... Je ne veux pas que tu dépenses autant pour moi.
- Je suis heureux d'être avec toi, c'est tout.


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Je lui donne encore une petite boîte en carton, blanche, neutre. Cathy l'ouvre et déballe une combinaison en résille. Elle sourit et dit :



- Tu sais, je me suis toujours achetée moi-même ma lingerie fine, car les hommes avec qui j'ai été n'osaient pas le faire. Plusieurs me l'ont dit et ça me frustrait. Et toi, tu m'offres une pièce que je n'aurais même pas osé acheter moi-même tellement elle est hot !


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Nous rions. Elle ajoute :

- Bon, à part ça, je pourrais mal le prendre.
- Je ne crois pas. Peut-être je te cerne mieux que tes ex, c'est tout.
- Et qu'aurais-tu mieux cerné ?
- Qu'il y a une partie de toi qui aime être sexy et coquine.


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Elle m'embrasse.

- Peut-être que c'est toi qui me donne envie d'être sexy et coquine.



Puis elle ajoute :

- Et une salope qui se faire enculer en pleine rue.


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Nous faisons à nouveau l'amour. Si l'entame est brûlante suite aux derniers mots de Cathy, nous nous calmons petit à petit et finissons avec douceur. Nous nous déshabillons ensuite mutuellement et allons nous doucher ensemble. Au lit, nous papotons encore un peu puis nous nous endormons. Au matin, Cathy met le réveil plus tôt pour que nous prenions le temps de coucher ensemble.



Voilà un mois, je quittais Jessica et je pense que c'était la meilleure décision à prendre. J'ai revu de nombreux potes que j'avais bêtement délaissés. Je suis heureux de ressortir avec eux et il me semble que je retrouve un équilibre. Je ne cours plus. Je prends le temps. Et il y a Cathy. Je ne sais pas où nous emmènes notre relation. Comme elle, je ressens beaucoup d'appréhension avant de rencontrer ses enfants, sa famille, ses amies. Quelles seront leurs réactions ? J'ai moins de différences d'âge avec le fils ainé de Cathy (10 ans) qu'avec elle (13 ans). Mais je constate surtout à quel point Cathy me fait grandir, mûrir. Nos discussions profondes, nos échanges stimulants, je ne me suis jamais senti aussi bien avec une femme. J'éprouve une immense fierté à sortir avec elle. Elle me fait découvrir de nouveaux horizons et je me sens évoluer. Et puis, il faut bien avouer qu'au niveau sexe, outre la sodomie, Cathy me surprend agréablement.



Je ne pensais pas qu'elle serait si demandeuse, si aventureuse ni qu'elle apprécierait autant les quickies. J'aime son approche de la sexualité, sans tabou et assumée. Cathy sait ce qu'elle veut.


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Enfin, j'ai été ravi d'apprendre le soir de la Saint-Valentin qu'en trois mois, Cathy s'était achetée cinq jupes et trois robes, soit, selon elle, "autant que lors cinq dernières années".



J'ai des sentiments pour elle, ça ne fait aucun doute. Et je sais qu'elle en a pour moi, même si nous ne nous l'avouons pas. Je me sens ainsi très léger ce vendredi matin au travail. A midi, j'appelle Maryline :

- C'est toujours bon pour demain ?
- C'est étrange, mais je n'ai pas trouvé de mec depuis notre coup de fil. Alors oui, c'est toujours bon.



Je ris.

- Tu viens à quelle heure ?
- Bah, je ne sais pas, 18h-19h, à toi de me dire.
- Tu arrives à être chez moi à 9h ?
- 21h donc ?
- Non. 9h du matin.

Un blanc.

- Tu veux que je vienne à 9h du matin ?
- Oui, on descend en ville prendre le petit-déjeuner, on se balade, on fait les touristes.
- T'es fou, mais à 9h, je serai chez toi.


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