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Boris 15 septembre 2019

Les cousins - épisode 2 : les souvenirs Le lendemain matin, Boris se lève tôt pour aller travailler. Avant de partir, il réveille Camille qui dort encore : - Bonne journée ma chérie. Tu diras au revoir à Antoine et Raphaël de ma part ? - Mmmm... OK... Réveillée, Camille sort de la chambre. La porte de la chambre d'amis est fermée. Elle l'entrouvre. images similaires Antoine et Raphaël dorment encore. Elle referme la porte. Elle se sent poisseuse, surtout le ventre. Elle s'est endormie sans essuyer le sperme de Boris. Elle sent d'ailleurs assez fortement le sperme. Elle ne compte pas prendre le petit déjeuner avec ses cousins en sentant ainsi le sperme. Elle passe donc à la salle de bain pour prendre une douche, en espérant que le bruit ne réveillera pas ses cousins. Elle ouvre le robinet et attend que l'eau tiède arrive pour se mettre sous le jet d'eau. images similaires Même si elle n'a pas ouvert en grand le robinet, le bruit de l'eau qui claque en éclaboussant le carrelage de la douche n'est pas très discret. Camille se dit que si le bruit les réveille, au moins la porte est fermée et ils entendront nécessairement qu'il y a quelqu'un à l'intérieur. Dommage que Boris n'ait jamais pris le temps de poser un verrou sur cette porte. Camille coupe l'eau et prend un gant et du savon pour commencer à se savonner le ventre et l'entrejambe. Quand elle rouvre l'eau pour se rincer, le bruit l'empêche d'entendre le bruit de la porte qui s'ouvre. Comme elle se rince aussi la tête, elle garde les yeux fermés et ne voit pas Antoine qui passe la tête, sans doute pour vérifier qu'il s'agit bien de Camille et non de Boris. Rassuré, il entre discrètement dans la salle de bain et reste à admirer sa superbe cousine en train de se rincer. Ce n'est que quand elle coupe l'eau et qu'elle rouvre les yeux qu'elle se rend compte de sa présence. Aussitôt, elle cache sa poitrine et son entrejambe : - Antoine ! Qu'est-ce que tu fais là ? - Désolé Camille... J'étais venu chercher mes fringues. Je me suis changé ici hier soir... - Tu es là depuis longtemps ? - Heu, non, à l'instant... Désolé, je n'ai pas fait gaffe que c'était une cabine de douche transparente sinon, je ne me serais pas permis... Il commence à ressortir : - Je repasse quand tu auras fini. - Attends ! Camille se montre moins pudique : - Puisque tu es là, passe-moi la serviette et récupère tes vêtements. Antoine est trop heureux de pouvoir encore se rincer l'œil. Il referme la porte et attrape la serviette pour la tendre à sa cousine. Pendant qu'elle se sèche, il se met devant le tabouret où il a laissé ses vêtements. Camille croit halluciner en le voyant baisser son boxer devant elle : - Hey, qu'est-ce que tu fais ? images similaires - Bah, j'ai eu l'impression que la pudeur était une notion toute relative pour toi donc je me suis dit que ça ne te choquerait pas si je m'habillais ici. Raphy dort encore. - Ah ? Heu, Ok... images similaires Camille ne cherche même pas à détourner le regard. Elle admire les fesses musclées de son cousin. Elle regrette presque qu'il ne lui montre pas l'endroit car elle aurait aimé voir le membre qu'elle a seulement deviné sous le boxer la veille au soir. Antoine attrape son jeans et l'enfile directement, sans caleçon. - Merde, ça rentre plus... - Quoi ? Ton jeans à pris l'humidité ? Quand Antoine se retourne, Camille comprend : il parle de son érection qui l'empêche de fermer son jeans. images similaires - Oh... désolée... j'imagine que c'est un peu de ma faute... En se contorsionnant, Antoine parvient à faire rentrer son sexe tendu dans son jeans. Dès qu'il a enfilé son tee-shirt, il quitte la salle de bain : - Je vais réveiller Raphy. images similaires Camille est un peu troublée par ce qu'elle vient de voir. Elle sent la cyprine venir humecter sa moule. S'enroulant dans sa serviette, elle regagne la chambre pour choisir sa tenue. Elle opte pour une mini robe grise. Elle ne se pose pas de question concernant le soutien-gorge qu'elle est certaine de ne pas vouloir mettre mais se pose quand même des questions concernant la culotte. - Il sera toujours temps d'en enfiler une si nécessaire... Quand elle sort de la chambre, elle trouve la porte de la chambre d'amis grande ouverte et personne à l'intérieur de la pièce. Elle retrouve Antoine et Raphaël dans la cuisine. - Bonjour Camille. On s'est occupé du café mais il faut que tu nous aides pour le reste. - OK. Camille se hisse sur la pointe des pieds pour attraper les bols en haut du placard. S'est-elle rendu-compte que sa minirobe s'est un peu retroussée et qu'elle révèle son sexe nu ? Les garçons se gardent bien de lui faire remarquer. - Vous prenez du sucre avec ? - Oui ! dit Raphaël avec empressement. Antoine fronce les sourcils : - Ah oui ? Tu prends du sucre toi maintenant ? Raphaël lui donne un coup de coude dans les côtes pour lui intimer de se taire. Antoine comprend la stratégie de son frère quand il voit Camille se pencher en avant pour attraper la boîte à sucres dans le placard du bas, exposant ainsi sa sublime croupe nue. Elle-même s'en rend compte : - Mince ! Je crois que ma robe n'est pas très adaptée pour ce genre de mouvement. Une fois installés autour de la table, les garçons se calment et la tension retombe un peu. Camille leur demande : - Vous êtes attendus à quelle heure à Bourges ? - Oh, on n'a pas d'heure. On va voir des potes. On leur a dit qu'on arriverait dans les trois jours. - Trois jours ? - Oui, ce sont les aléas de l'autostop. - Quoi ? Vous faites votre périple en autostop !? Dans ce cas, pourquoi ne pas rester une nuit de plus ? images similaires - Heu, oui... pourquoi pas... mais on ne veut pas s'imposer. - Mais c'est tout vu. J'envoie un texto à Boris pour le prévenir. Voyant son portable à l'autre bout de la table, Camille se penche pour tenter de l'attraper offrant à ses cousins une généreuse vue dans son décolleté. Camille ne parvient pas à l'atteindre et demande de l'aide : - Raphy... Tu peux décrocher tes yeux de mon décolleté et me passer mon portable ? - Ah... Heu oui... Désolé... Raphaël est gêné de s'être fait prendre mais Camille lui fait un sourire qui semble indiquer qu'elle ne lui en veut pas du tout. images similaires - Ne t'en fais pas. Après tout, vous m'avez déjà vu toute nue à plusieurs reprises. Raphaël et Antoine deviennent rouge de honte et Antoine s'apprête même à nier mais Camille poursuit : - Vous vous souvenez tous ces étés où Mémé nous laissait à poil dans le jardin ? Antoine et Raphaël souffle de soulagement. Camille se lève et commence à débarrasser la table du petit déjeuner. Camille s'amuse à effleurer ses cousins au passage, allant même jusqu'à laisser les bretelles de sa mini robe glisser et dévoiler partiellement ses seins. images similaires Une fois la cuisine rangée, Camille propose aux garçons de passer au salon : - Je fais mon SMS à Boris. Vous m'attendez au salon ? Les garçons ne discutent pas et vont s'installer pour l'attendre. Elle les regarde quitter la pièce avec envie. Leur petite conversation l'a un peu excitée. Une fois son message envoyé, elle va rejoindre ses cousins : - Voilà, on va attendre sa réponse mais ça m'étonnerait que ça lui pose problème que vous restiez une nuit de plus. Et puis ça nous laisse le temps de faire ressurgir le passé. Et pose le téléphone sur la table basse et, alors qu'elle s'assoit en face d'eux, le téléphone lui signale l'arrivée d'un SMS. - Ah, c'est Boris ! Camille se relève et reste penchée au-dessus de la table basse pour consulter son SMS. Elle le lit à haute voix, sans se douter que ses cousins sont surtout intéressés par le spectacle que son décolleté offre : - "Super ! Vous allez avoir plus de temps pour évoquer vos souvenirs. Ce sont des moments précieux. Bise à ce soir". Camille repose le téléphone et se rassoit : - Voilà c'est officiel, vous restez une nuit de plus chez votre cousine ! Raphaël semble prendre au sérieux la remarque de Boris concernant les souvenirs et demande : - Mais pourquoi Mémé nous mettait à poil les étés. Quand on était bébé, je comprends, mais arrivés à l'école élémentaire, c'était un peu étrange, non ? Camille explique : - Mémé pratiquait le naturisme quand elle était plus jeune... J'imagine que ça vient de là. Raphaël hoche la tête : - Je comprends mieux. - C'était quand même un peu étrange, intervient Antoine, les dernières années où on commençait à sentir l'arrivée de la puberté... Camille rigole : - Oui, je me souviens d'un après-midi où on s'était étonné du gonflement de ton zizi ! Un peu excitée à ce souvenir, Camille bouge un peu sur le canapé et écarte un court instant les cuisses, laissant voir fugitivement son entrejambe nu. Raphaël a remarqué mais Antoine semble concentré sur ses souvenirs : - Et tu commençais à avoir des seins et tes hanches s'arrondissaient... - Hihi, on a changé depuis. Moi, j'ai une chatte et vous des bites... Un silence gêné suit cette remarque pourtant pertinente. Le cœur de Camille bat la chamade. Comme si elle n'était pas tout à fait consciente, elle s'entend demander, pas très fort : - On se les montre ? Les garçons ont pourtant tous les deux entendus. Ils restent muets, n'osant pas répondre oui au cas où la proposition de leur cousine serait une blague mais Camille voit bien qu'ils en ont très envie. Prenant les devants, elle écarte les cuisses et exhibe son entrejambe nu. images similaires Antoine et Raphaël sont scotchés. Depuis qu'ils avaient débarrassé la table du petit déjeuner, ils avaient tous les deux commencé à avoir une érection. Là, ils bandaient à tout rompre. Camille insiste : - Maintenant, c'est à vous. Sinon, je vais passer pour une idiote nymphomane à m'être exhibée ainsi... Les garçons en conviennent et retirent tous leurs vêtements, exhibant leurs sexes tendus. Camille est troublée. Elle reste émue de voir les bites de ses deux cousins tendues ainsi pour elle. Eux-mêmes sont subjugués par la jolie moule luisante de cyprine que leur cousine exhibe. Après de longues secondes à s'observer, Camille rabaisse la robe et resserre ses cuisses : - Hop ! C'est l'heure de la toilette. Qui va le premier à la salle de bain ? Les garçons se rajustent précipitamment et Raphaël est le premier à se lever pour passer à la salle de bain. Camille reste dans le salon avec Antoine. Celui-ci repense à la conversation : - Mémé naturiste... j'aurais pas imaginé... Camille sourit en le voyant relever les yeux sur elle : - J'imagine que tu te poses la question et bien, non, je n'ai pratiqué le naturisme depuis notre enfance, mais c'est vrai que ça me démange d'essayer. Et toi ? images similaires - Heu non... Antoine se lève soudain et se dirige vers la chambre : - Excuse-moi... Camille comprend son départ précipité en voyant son entrejambe énormément déformé et imagine que cela doit lui être douloureux. Très excitée par tout ça, elle décide d'aller dans la chambre pour se masturber, se disant que c'est peut-être aussi ce que va faire Antoine. En passant devant la porte de la salle de bain, elle ne peut s'empêcher d'ouvrir discrètement la porte pour observer son cousin sous la douche. images similaires Celui-ci est en érection, sans doute qu'il pense à sa cousine. Laissant la porte ouverte, Camille entre dans sa chambre et laisse également sa porte ouverte. Elle monte sur le lit et s'agenouille dessus. D'où elle se trouve, elle voit la porte de la chambre d'amis, mais surtout elle voit Raphaël et son sexe tendu, bon support pour se masturber. Elle retire sa petite robe. Cuisses écartées, elle commence à se caresser l'entrejambe déjà luisante de mouille. Ses doigts s'activent surtout sur le clitoris tendu. Même si elle n'est pas particulièrement pressée, elle ne veut pas se faire surprendre et veut donc se soulager assez rapidement. C'est en voyant Raphaël commencer à se masturber que son regard remonte un peu et découvre que son cousin l'observe également. images similaires Ce petit jeu d'exhibition l'excite au plus haut point. Elle et Raphaël font comme s'ils n'étaient pas vus de l'autre. Certes, la paroi vitrée de la douche, les portes à demi fermées et la distance font qu'ils ne se voient pas parfaitement mais ce que chacun voit de l'autre est bien suffisant pour savoir ce qu'il fait. images similaires C'est alors que le regard de Camille est attiré vers la droite. La poignée de la porte de la chambre d'ami est en train de s'abaisser lentement. Elle se rend compte que si Antoine sort de la chambre, il va nécessairement la voir. Elle s'apprête à se cacher avec la couverture mais la lenteur de la course de la poignée lui laisse penser qu'Antoine ne souhaite pas sortir mais plutôt jouer les voyeurs. Elle commence donc à se fourrer deux doigts dans la fente pour se masturber. La porte s'entrouvre et Camille ne peut pas voir Antoine dans la chambre qui semble être dans l'obscurité. Elle prend garde de ne jamais regarder directement dans la direction de la porte de la chambre d'amis pour qu'Antoine puisse jouer les voyeurs en toute impunité. Peu à peu, la porte s'entrouvre davantage et elle finit par distinguer la silhouette de son cousin, de toute évidence en train de se masturber lui aussi. images similaires Camille n'en peut plus. Tout cela l'excite trop et elle finit par se donner un petit orgasme. Elle se mord les lèvres pour retenir ses gémissements. Malgré le regard un peu perdu, à demi consciente, elle voit que Raphaël aussi est en train de se soulager discrètement. Elle distingue le sperme s'écouler lentement de son gland, s'écrasant en flaque à ses pieds sur le sol de la douche. Antoine aussi semble arriver au bout de son plaisir. Il fait même un pas en avant dans l'embrasure de la porte au moment où son sperme se met à sortir, comme s'il voulait maintenant être vu de sa cousine. Une petite giclée de sperme vient s'écraser sur le chambranle de la porte. Le reste s'écoule lentement le long de la verge et sur les doigts d'Antoine. images similaires Antoine se recule ensuite dans l'obscurité et referme lentement sa porte. Camille se lève et va également fermer la porte de sa chambre. Pendant qu'elle enfile sa robe, elle entend que Raphaël sort de la salle de bain. Antoine et lui échangent des murmures mais elle ne parvient pas à distinguer ce qu'ils disent même si elle se doute qu'elle est le sujet de cet échange. Antoine remplace Raphaël à la douche. Camille attend de l'entendre sortir pour à nouveau rouvrir sa porte de chambre. images similaires Il est déjà presque midi. Camille et les garçons préparent sagement le repas. Les garçons se gardent bien de prévenir Camille quand sa robe se retrousse un peu trop haut sur ses hanches. Peut-être n'est-elle d'ailleurs pas si innocente que ça. Le repas se fait dans un silence quasi religieux. Personne n'évoque ce qui vient de se passer. Personne ne parle. Juste sont échangés des regards et des sourires. Ce n'est qu'après le repas que l'atmosphère commence à se faire moins pesante quand ils vont s'installer au salon. Camille soupire : - c'est quand même agréable d'évoquer ces souvenirs d'enfance. Je trouve que ça fait beaucoup de bien. Antoine et Raphaël se demandent si elle évoque l'orgasme qu'elle s'est donnée en les regardant. Plus détendue, Camille se laisse aller sur le fauteuil sans se préoccuper que ses cuisses écartées et sa robe retroussée révèlent son entrejambe. Voyant leur expression, Camille sourit et renchérit : - Et je pense que ça vous a fait du bien aussi de prendre une petite douche, non ? - Haha oui ! L'évocation s'arrête ici. Mais cela rappelle à Camille un autre souvenir : - Vous vous souvenez qu'on prenait aussi nos bains tous les trois ? images similaires - Evidemment... - Et on s'interrogeait sur les différences de nos sexes... - Je me souviens que tu demandais souvent à toucher nos zizis, dit Antoine en souriant. - Et que vous avez plusieurs fois inspecté en détail ma minette ! - C'était innocent... Camille sourit : - Je vous vois venir... Mais si on commence à se tripoter, je doute que ça garde la même innocence ! images similaires Raphaël se mord les lèvres : - On ne peut pas savoir avant d'avoir essayé... Camille soupire, comme si elle était obligée d'accepter une demande de ses cousins : - Ok, ok... En plus ce matin, vous n'avez même pas demandé à voir mes seins... Raphaël sourit en la voyant remonter sa robe pour exhiber sa moule et dégager ses seins du décolleté. - On en avait déjà aperçu pas mal... Et puis c'était déjà beaucoup, ce que tu nous montrais. Désolé si cela t'a vexée. - Je vous pardonne. Camille se lève et vient s'asseoir entre ses deux cousins : - On est bien d'accord que si je vous laisse toucher, moi aussi j'aurai le droit de toucher. Les gars ne répondent pas et soulève la petite robe pour la passer au-dessus des seins. Chacun de ses cousins lui empoigne un sein et la pelote. images similaires - Je vois que vous vous rattrapez vite... J'étais quand même étonnée que vous n'exigiez pas de les voir ce matin. - On les avait déjà vu. Là on peut toucher, c'est le top ! - Vous pouvez même les embrasser si vous voulez... Raphaël n'hésite pas une seconde et se penche pour sucer un mamelon tendu. images similaires Après quelques secondes, Camille se dégage de leur emprise et se lève : - Bon je crois que moi aussi, j'ai le droit de toucher, non ? Antoine se lève, lui faisant face : - Bien sûr. Je te laisse la déballer toi-même. Camille se colle à lui et abaisse son pantalon, dégageant une belle érection. Elle s'amuse à lui masser les testicules tandis qu'il glisse sa main sous son ventre pour lui doigter la moule. images similaires Camille est prête à se laisser aller à un orgasme et elle commence à masturber la hampe de chair de son cousin. C'est celui-la-même qui la rappelle à l'ordre. - Heu Camille... Tu es certaine qu'il s'agit encore d'innocents attouchements ? Camille, le souffle court, lâche le sexe d'Antoine et se recule d'un pas. - Non, tu as raison, Tony... je me laisse aller. Elle s'assoit pour se calmer. images similaires Raphaël lance un regard noir à son frère : - On peut quand même continuer à se tripoter gentiment, non ? - J'ai peur que ça ne puisse pas être aussi innocent qu'au bon vieux temps, Raphy... dit Camille. - Nous sommes des adultes désormais. On saura s'arrêter avant que ça ne dérape, n'est-ce pas ? Camille n'ose pas lui dire qu'elle-même s'en sent parfaitement incapable mais, soumise, elle termine de retirer sa petite robe. Elle se lève et se place devant Raphaël : - Tu ne m'as jamais touché les seins quand nous étions petits... C'est le moment de te rattraper. Raphaël empoigne aussitôt les seins de sa cousine pour les malaxer et il gobe la pointe d'un sein pour le sucer. Camille se sent à nouveau partir et se sent prête à s'abandonner aux plaisir entre les mains de ses deux cousins. Mais elle sait qu'elle ne doit pas faire ça. Elle peste contre elle-même. - Bon sang ! Ce n'est peut-être pas si grave si on jouit en se caressant, si ? images similaires Raphaël, très intéressé, la conforte aussitôt : - Non. Je suis entièrement d'accord. S'agenouillant devant elle, il commence à lui caresser la moule. La jeune fille se met à gémir de plaisir en sentant les doigts de son cousin explorer son intimité. Elle le fait s'asseoir et s'installe à côté de lui. Elle saisit son sexe turgescent et commence à le masturber lentement. De sa main gauche, Raphaël continue de visiter la moule de sa cousine tandis que sa main droite caresse sa généreuse poitrine. images similaires Camille veut faire durer le plaisir et, comme elle sent que Raphaël n'est pas très loin de l'éjaculation, elle le laisse se reprendre et se tourne vers Antoine : - Viens t'asseoir ici. Je vais m'occuper un peu de toi. images similaires Alors que Raphaël continue de lui peloter les seins et de s'amuser avec sa moule, Camille saisit le sexe tendu d'Antoine et commence à le masturber. De son autre main, elle lui caresse doucement les testicules. Elle murmure à son oreille : - Quand je fais ça, Boris ne tient jamais plus de deux minutes... images similaires Si Antoine a montré quelques réticences plutôt pour éviter un dérapage, ce n'est désormais plus le cas. Il sait qu'il est entre de bonnes mains et qu'il va adorer éjaculer comme ça. Il n'est pas loin d'y parvenir quand un coup de klaxon retentit devant la maison. Camille se lève d'un bon et va à la fenêtre pour voir. - Merde... C'est Boris. Je n'aurais pas dû parler de lui, ça l'a fait venir... Les cousins se rhabillent précipitamment. En regardant Camille enfiler sa robe, Antoine demande : - Tu le trompes souvent ? - Quoi ? Mais bien sûr que non ! Et là je ne le trompe pas que je sache. Ce sont juste des jeux entre cousins. Rien de bien méchant. La porte d'entrée se fait entendre : - Salut, c'est moi ! J'ai terminé plus tôt. Vous avez passé une bonne journée ? - Très bonne oui. On a passé en revue beaucoup de vieux souvenirs. Dis-moi, c'est nouveau que tu klaxonnes en arrivant. - Ah oui, je ne sais pas. J'étais content de rentrer, c'était ma manière de l'exprimer. Il pose ses affaires et vient embrasser Camille. images similaires Puis, il salue les cousins : - Bonjour les gars. Content de savoir que vous restez un peu plus. Mais continuer de discuter, je vais m'occuper de préparer le repas. - Merci mon chéri. Pour le coup, la discussion ne tourne pas sur les souvenirs, peut-être par crainte que ça ne dérape. Ils échangent sur leurs situations professionnelles respectives et le fossé qu'il y a entre ce qu'ils voulaient faire étant plus jeune et ce qu'ils font réellement.

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