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Legul
30 octobre 2019
Émilie, directrice et traînée de lycée - 29

Durant environ 2 ans, ce fonctionnement me combla de bonheur. Ce que je préférais, c'était l'absence totale de routine. Tous les jours, toutes les semaines, je découvrais de nouveaux partenaires, je vivais de nouvelles expériences, je devenais une véritable experte dans mon domaine.

Et chaque jour, je repoussais mes limites au point que j'ai finis par de plus en avoir guère. Mes semaines étaient très chargées et toutes très diverses... En voici une typique de cette période de ma vie :

Lundi : en générale, mes weekends étant très chargés, je me contente, pour commencer la semaine d'une petite baise sur un parking avec un inconnu au retour du lycée. Je rentre ensuite chez moi apaisée et embrasse mon mari comme une bonne épouse fidèle...


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Mardi : rendez-vous fixé dans un hôtel par un client voulant rester anonyme. Je l'attends donc sur le lit, offerte, en lui tournant le dos. Il me baise sans montrer son visage, ni même dire un mot...


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Cette baise très bien payée mais trop sage à mon gout me laisse sur ma faim et je décide donc de me rendre en voiture vers un coin bien connu des libertins. Là, à poil à la fenêtre de ma voiture, j'attends les voyeurs et curieux...


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Les premiers voyeurs arrivent, ils me reluquent et, à mon invitation, s'approchent et commencent à me peloter.


Puis, voyant que j'étais manifestement là pour un peu plus que simplement me faire reluquer, ils sortent leurs queues pour que je les branle. Ce que je fais, évidemment, avec joie !


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Mais je n'en reste pas là et commence rapidement à les sucer, toujours depuis la fenêtre de ma voiture.



Ensuite, à la grande surprise de mes visiteurs, je me retourne et sors mes fesses par la fenêtre de la portière pour qu'ils me prennent à la chaine. Ils ne devaient guère avoir l'habitude de tomber sur une nympho dans mon genre vu leurs commentaires. Pendant deux heures, les inconnus se succèdent dans ma chatte, certains jouissant en moi, d'autres sur mes fesses.


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Au milieu de la nuit, fatiguée et avec le dos endolori à cause de la position, j'annonce la fin de la soirée et propose aux derniers qu'ils se finissent dans ma bouche.



Puis je rentre enfin à la maison, souillée mais comblée.

Mercredi : après une matinée au lycée ennuyeuse et au moins deux jours sans me faire péter le cul, je suis en manque de sodomie ! Du coup, affamée, je me suis offerte gratuitement à un sdf qui errait dans un parc. Il s'est avéré être monté comme un âne et m'a défoncé le cul comme un enragé. Il m'a fait mal, mais cela m'a fait beaucoup de bien !


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Jeudi : après avoir essayé de retrouver mon sdf bien membré, sans succès, je me retrouve à force d'airer aux portes d'un petit camp de gens du voyage, en limite d'un village. Trop excitée pour rebrousser chemin, je frappe à la porte d'une des caravanes et, en échange d'un petit billet, son occupant me baise sans ménagement.



Le problème des gitans, c'est qu'ils sont très « famille »... Du coup, le mec m'a offert ensuite à tous ses cousins du camp ! Une demi-douzaine d'hommes peu enclins au romantisme me sont donc tombé dessus...



Ils ont abusé de tous mes trous et m'ont traité comme une chienne sans valeur, ce qui était mon cas à ce moment... Ils ont finis par me laisser repartir au bout de plusieurs heures, après que chacun me soit passé au moins deux fois dessus !


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Vendredi : comme souvent ce jour-là, Séverine vient manger à midi avec moi au bureau pendant que mes collègues sont à la cantine.

Ce n'est, évidemment, pour nous qu'une excuse pour nous envoyer en l'air tranquille, loin de nos maris suspicieux et dans le cadre excitant de mon lieu de travail.


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En fonction de nos envies du moment, nous fricotons soit à mon bureau...


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...soit dans des endroits moins discrets, plus risqués et donc, plus excitants, comme les toilettes de l'administration du lycée ou les vestiaires hommes du gymnase...



Ces séances de sexe lesbien sont savoureuses mais ont l'inconvénient de plus m'ouvrir l'appétit que de me rassasier ! Du coup, en général, le vendredi en fin d'après-midi, c'est tapinage discret dans la rue...


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... ou un peu moins discret si le client se fait timide...


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... ou pas discret du tout lorsque les clients se font rares et que j'ai besoin de ma dose, peu importe du « qui », du « où » et du « comment »...



...sachant que peu importe l'approche, ça se finit toujours plus ou moins de la même manière et c'est ça qui compte !



Samedi : journée particulière, qui dépend de mon emploi du temps au lycée. En effet, je dois souvent m'y rendre le matin pour surveiller des colles, des rattrapages ou simplement faire acte de présence. Du coup, comme je m'y ennuie souvent, Séverine a pris l'habitude de me donner des gages auxquels je dois répondre, photo à l'appui. De ma réussite dépendra l'originalité des soirées qu'elle doit organiser. Plus je réussi ses gages, plus elle me prépare des soirées de folies !

Ses gages commencent toujours de la même manière : lui exposer mes sous-vêtements dans un des couloirs du lycée...



Ensuite, ça varie selon son humeur ou l'endroit dans lequel je me trouve... Elle va aussi bien me demander de m'exhiber au CDI, juste mes bas pour commencer...


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... puis carrément ma chatte.



Elle peut aussi me demander d'aller au lycée avec un long manteau et absolument rien en dessous, excepté un plug anal que je devais évidemment lui montrer en photo.



Elle me faisait prendre beaucoup de risques mais je m'en foutais et le fait d'être, à nouveau, considérée comme une salope par mes élèves et mes collègues ne m'effrayait pas vraiment. Je sentais que je glissais vers une autre vie, entièrement dévouée au sexe, où rien d'autre ne comptais.

Samedi (lorsque je ne me rends pas au lycée) : pas de tapinage ou d'humiliations diverses car je réserve en général ce moment pour mes clients les plus fortunés. Je passe la journée avec mon mari à mener une vie de femme mariée bien sous tous rapports puis le soir, je prétexte un resto avec Séverine pour en réalité rejoindre mon client. D'habitude nous mangeons réellement au restaurant puis allons baiser dans un hôtel luxueux. Mais ce soir, c'est différent... Mon client est un pervers assumé et le restaurant dans lequel nous sommes lui appartient.

C'est donc dans la salle que celui-ci me demande d'abord de montrer mes sous-vêtements à lui, évidemment, mais aussi au serveur qui passait par là et aux autres clients du resto.


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Puis il exige que je me masturbe, toujours observée par moitié de la salle...



Alors que je me doigte sans retenue, l'excitation ayant fait disparaitre toute gêne d'être observée, il sort sa queue et demande que je le branle, ce que je fais évidemment avec plaisir.


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Mais il trouve que je suis encore trop discrète et que les clients ne profitent pas assez du spectacle. Il exige donc que je m'expose d'avantage !


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Puis, évidemment, la branlette se mue en fellation, sans que j'essaie de moins du monde de me cacher.



Surexcité, le client arrache ensuite mon chemisier pour m'exposer d'avantage aux clients,...



... renverse ce qui était sur notre table et m'y allonge pour me bouffer le cul.


Evidemment il n'en reste pas là ! Il se redresse et m'enfile d'un coup sa queue dans la chatte, celle-ci étant trempée et ne demandant que ça !



Alors que je me fais troncher brutalement au milieu du restaurant, les autres clients observent avec délice la scène, certains continuant même de manger tranquillement. J'imagine que cet endroit n'est fréquenté que par des habitués, proches de mon client.

Celui-ci me redresse, enlève complètement mon chemisier, ma culotte et se déplace avec moi sur le mur vitré de son resto puis me prend debout, à la vue des passants et des occupants des bâtiments voisins.



Enfin, je me demande de s'accroupir et me jouis dans la bouche. Il me demande d'avaler car cette semence s'avère être mon dessert. Cela tombe bien : le jus d'homme est mon met préféré !



La salle nous applaudit chaleureusement ou plutôt l'applaudit lui car il se rhabille rapidement et quitte la salle en remerciant les clients. Il me laisse donc ainsi au sol, essoufflée et souillée de sperme au milieu d'une salle qui, d'un coup, ne fait plus attention à moi.



Pendant quelques secondes, je panique en me demandant comment je vais rentrer chez moi. Puis finalement, un chauffeur entre dans le restaurant, me relève et me reconduit à mon domicile. Dans la voiture, des vêtements de rechange et une liasse de billet m'attendent... avec un petit mot me remerciant de la soirée et me demandant d'offrir mon cul au chauffeur en guise de pourboire.

Je finis donc ma soirée par une sodomie aussi rapide que brutal pour récompenser le chauffeur de sa serviabilité !



Dimanche : pas de rendez-vous en ce jour « saint » et obligation familiale : j'accompagne mon mari à un repas chez des amis à lui. Le repas en lui-même est parfaitement ennuyeux et je me contente de faire la plante verte. Mais je peux me livrer à mon activité de « faiseuse d'homme » avec l'ado de la famille.



Voilà donc à quoi pouvait ressembler une semaine classique pour moi. Evidemment, rien n'était inscrit à l'avance et, en fonction des opportunités, je faisais quelques folies.

L'une d'elle a d'ailleurs failli mal tourner mais c'est révélé être une très bonne chose. Un soir où je savais que Séverine était seule, je lui fais la surprise d'une visite chez elle. Sans trop se soucier de ce qui pouvait se passer, nous nous retrouvons rapidement en train de faire l'amour sur le canapé, en plein milieu du salon.

Et c'est alors que Jean-Claude, son mari, est rentré à l'improviste et nous a vu. Nous étions nues, enlacées, en train de nous embrasser et de nous caresser ; difficile donc de nier l'évidence !


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Jean-Claude est rentré dans une colère noire, hurlait sur moi et sur sa femme. Comme il ignorait la teneur de notre relation et pensait sans doute que je n'étais pour Séverine qu'une pute qu'elle se payait, il m'a renvoyé chez moi sans trop s'occuper de mon cas. J'étais sortie d'affaire mais j'étais morte d'inquiétude pour Séverine.

Le lendemain matin, alors que j'étais chez moi, inquiète de ne pas avoir de nouvelles de mon amie, on frappe à ma porte. Mon mari, dans son bureau proche de l'entrée, va ouvrir puis rapidement m'appelle :

- Chérie, c'est pour toi... me dit-il depuis l'entrée.

« Chérie », pensais-je alors en me dirigeant vers l'entrée... Si tu savais à quel point je suis une horrible trainée, tu ne m'appellerais pas comme ça, mon cher époux...

J'arrive à la porte d'entrée et découvre Séverine, en pleur devant la porte. Philippe nous dit alors qu'il va nous laisser discuter tranquillement et il monte à l'étage.

Dans le salon, devant un verre de whisky qu'elle avait déjà vidé 2 fois, Séverine m'a alors annoncé que Jean-Claude et elle s'était disputé toute la nuit, qu'il avait voulu savoir tout ce que nous faisions ensemble et qu'elle avait fini par lui avouer qu'elle m'accompagnait dans certaines soirées et qui lui était arrivé de toucher d'autres hommes. Elle n'avait pas trop donné de détails sur l'étendue de sa perversité mais cela avait suffi à mettre Jean-Claude dans un état terrible. Blessé, trompé, il lui a dit qu'il voulait rompre et lui a demandé de quitter la maison. Elle était désespérée.

Je me sentais alors terriblement fautive dans cette histoire car même si c'est Séverine qui a repris contact avec moi et qui a insisté pour continuer à me revoir, c'est moi qui l'ai entrainé dans mes folles nuits et qui ai révélé la salope bien cachée en elle. Je devais donc faire quelque chose pour les réconcilier, d'autant que Jean-Claude, j'en étais sure, aimait encore profondément Séverine.

J'ai proposé à mon amie de rester chez nous pendant un moment et j'ai réfléchis à une solution.

Le lendemain, après une journée de travail classique au lycée, je me suis rendue chez Jean-Claude. Lorsqu'il a ouvert la porte et qu'il m'a aperçu, il a d'abord essayé de me chasser de chez lui. Mais j'ai fini par le convaincre de m'écouter.

Assis dans le salon, nous avons pu calmement discuter de la situation.

- Jean-Claude, je suis vraiment désolée d'avoir détruit votre couple, je sais que tout est de ma faute.

- De votre faute ? C'est bien Séverine qui a voulu vous revoir ! Et vous ne l'avez pas contrainte à devenir une pute comme vous ! Elle a largement sa part de responsabilité, n'essayez pas de la dédouaner !

- Je sais mais vous devez savoir une chose : elle n'a jamais couché avec un autre homme que vous. Jamais

- Mensonge !! Comment peut-on branler des inconnus pendant une de vos orgies et de pas coucher avec ?? Et même si elle ne l'a pas fait, comment peut-elle s'estimer fidèle ??

- Je suis d'accord que ça peut paraitre très bizarre... Ecoutez, Séverine adore le sexe. Elle est probablement aussi nymphomane que moi, elle est très imaginative et elle m'a fait vivre autant d'expériences que je lui en ai fait vivre.

- Et c'est censé me rassurer ???

- Non... Ce qui est censé vous rassurer, c'est le faite que malgré toutes ces orgies, elle n'a jamais couché avec un autre homme, n'a jamais sucé un autre homme. Oui, elle a touché le sexe d'hommes qu'elle ne connaissait pas mais elle n'ait jamais allé plus loin. A chaque fois que je la tentais, elle refusait tout net et même se mettait en colère si j'insistais. Ce que je veux dire, c'est qu'elle vous aime plus que tout et qu'elle a tout fait pour contenir sa soif d'expériences sexuelles pour vous rester la plus fidèle possible. Et je voulais aussi vous faire comprendre une chose : vous êtes le garde-fou de Séverine, sa bouée. Sans vous elle sera perdue, et surtout elle sera sans limite... J'ai peur qu'elle se livre totalement à la luxure et devienne, au mieux, comme moi, une pute et au pire, qu'elle mette sa vie en danger.

- Vous voulez dire qu'il faut que je la reprenne pour qu'elle ne devienne pas le vide-couille du département ??

- On peut dire ça... Séverine a des envies, des fantasmes mais rien que vous ne puissiez pas lui apporter. Si vous l'aimez vraiment, vous pourriez non seulement lui pardonner son comportement passé mais surtout devenir son complice durant ses fantasmes. Je veux dire... elle vous a offert une pute pour vos 50 ans, moi, j'imagine donc que l'idée de coucher avec d'autres femmes, des couples, de faire de l'échangisme, etc. vous a déjà effleuré l'esprit... non ?

- Evidemment que si... Mais ce qui m'a le plus blesser là, c'est que Séverine ai fait toutes ces choses seule, sans moi... Elle est allée très loin dans ses fantasmes sans m'y associer et cela me tue.

- Elle essayait de vous préserver, de ne pas vous faire souffrir... Mais répondez-vous moi, l'aimez-vous encore ?

- Evidement ! Plus que tout... Mais je n'arriverai plus à la croire, à lui faire confiance.

- Comment pourrait-elle retrouver cette confiance ? Je vous assure que ce que je vous dis est la vérité...

- Ça n'est pas suffisant. Je veux qu'elle le jure devant Dieu, qu'elle se confesse !

- Dieu ?? Vous êtes croyant ?

J'étais un peu surprise car, autant ce couple avait un côté très traditionnel, autant que n'aurait pas cru Jean-Claude pratiquant. Mais il me surprit encore plus ensuite :

- Moi, pas spécialement... Mais Séverine, oui.

- Séverine est croyante ?? Je l'ignorais totalement...

- Elle est d'une famille très croyante, très traditionnelle. Et même si elle n'est pas trop pratiquante, encore que, elle est très respectueuse de la religion et pense vraiment que Dieu existe... Du coup, je veux qu'elle se confesse, qu'elle avoue tout. Ensuite je pourrai éventuellement la croire.

Une idée de génie naquit alors dans ma tête de perverse.

- Jean-Claude, je veux sauver votre couple, je veux que vous soyez le complice de Séverine, avec ou sans moi peu importe, et je sais comment faire. Nous allons faire en sorte que Séverine dise la vérité devant Dieu, je vais vous prouver que vous êtes, tous les deux, fait pour le sexe et que votre couple n'en sera que plus fort, votre amour plus intense.

Je me lève alors en lui tendant la main et en lui disant :

- Si vous voulez la récupérer et avoir de nouveau confiance en elle, faites ce que je vous dis. D'accord ?

Il se lève à son tour, me serre la main et me répond qu'il est d'accord, qu'il fera comme je veux.

- J'ai besoin de 2 ou 3 jours pour mettre en œuvre mon idée. Séverine restera chez moi en attendant et je vous promets qu'elle ne verra pas un seul homme et que nous ne ferons rien ensemble. Rien. Mais d'abord, cher Jean-Claude, pour passer à la phase du pardon, vous devez purger cette colère en vous... Vous devez vous venger. Je fais alors tomber mon long manteau à mes pieds, et me retrouve en lingerie fine sans aucun autre vêtement. J'avais évidemment prévu le coup, le sexe facilitant toujours les négociations...


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Je m'agenouille immédiatement devant lui et, avec adresse, lui ouvre son pantalon. Alors que je sors son sexe de son caleçon, Jean-Claude bafouille :

- Mais qu'est-ce que vous faite ?? Arrêtez...

- Jean-Claude, faites-moi confiance... Même si Séverine n'a jamais sucé un autre homme que vous durant nos soirées, vous allez aujourd'hui me baiser la bouche pour vous venger d'elle et de moi. Vous allez me faire ce que vous voulez, ou vous voulez, du moment que cela soulage votre colère et vous aide à nous pardonner. Je ne vous laisse pas le choix.

Et sur ces mots, je gobe le sexe encore mou de Jean-Claude et commence à le sucer.


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Malgré mon jeu de langue sur son gland et ses couilles, je sens qu'il ne se détend pas et constate que son sexe reste assez flasque, moi qui l'ai connu si dur et efficace... Je décide donc de le motiver un peu ! Je le prend en main et lui dis :

- Faudra être plus dur que ça avec Séverine.... Tu sais, elle les aime bien dures, les queues, ta femme...

- Arrêtez de parler d'elle....

- Si tu veux.... Je dis juste que par rapport aux grosses queues de black qu'elle a branlé, là c'est un peu juste...

Pour me faire taire, il me recolle la bite dans la bouche en me tenant par la tête et commence immédiatement à durcir.


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Satisfaite de moi, je le pompe avec délice et le sens progressivement grossir dans mon gosier à un point où je dois l'en faire sortir pour respirer un peu.

Mais Jean-Claude me gifle alors avec son sexe à présent très dur et d'une taille plus qu'honorable et me la réenfile sans me demander mon avis en s'agrippant à mes cheveux. Comme je lui avait proposé, il me baise la bouche avec fureur et semble réellement se venger de moi et de sa femme.


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Alors que je pensais qu'il allait me baiser la bouche jusqu'à se vider dans ma bouche, il se retire au contraire et commence à m'étrangler légèrement en me chuchotant des mots doux à l'oreille :

- Ah tu veux que je me venge, salope ? Et bien tu vas être servie ! Séverine ne t'a peut-être pas dit à quel point, moi aussi je pouvais être pervers !


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Et là-dessus, il me penche en avant, appuyée sur la table basse de leur salon, écarte mon string sur le côté et m'enfile à sec sa queue dans le cul.


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Il progresse péniblement en moi, mon conduit manquant de lubrification. Il arrange cela en crachant à plusieurs reprises sur mon œillet, ce qui facilite ses violents allers-retours.


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Mais m'enculer ainsi brutalement ne semble pas lui suffire :

- Ton trou du cul est bien serré, pour une pute de ta catégorie... On va élargir tout ça !

Il entreprend donc de m'enfoncer son poing dans le cul, en commençant par plusieurs de ses doigts. Il appuie fort sur mon anus pour tout y faire rentrer. Mais pour l'instant, son poing reste coincé dehors.


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Il reste cela dit motivé et réenfile régulièrement sa bite en moi pour me ravager le cul tout en m'étranglant, en m'écrasant la tête au sol avec son pied ou autre moyen de me faire comprendre que j'étais alors sa chose.


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Sentant que je me détends, surtout au niveau de mon fion, il retourne à la charge avec son poing et parvient enfin, après plusieurs essais, à me l'enfoncer complètement.


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Satisfait de cette réussite, il me repositionne le cul en l'air, la tête sur la moquette et me démonte le derrière, brutalement, méthodiquement, magistralement. Presque malgré moi, je sens un orgasme monter de manière fulgurante, le début de cette séance ayant été jusque-là un peu trop violent pour que je puisse en jouir. Mais là, alors que ces allers-retours se font plus réguliers mais toujours aussi brutaux, le plaisir me submerge et j'hurle alors sous l'effet d'un magnifique orgasme.

Surpris, Jean-Claude se retire, me laissant tremblante avec l'anus béant et m'observe, amusé, profiter de mon orgasme anal.


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Puis il se redresse et me dit :

- Il faut vraiment aimer la sodomie et la soumission pour jouir comme ça avec ce que je te faisais... On va voir jusque où tu aimes ton cul...

Il se place alors devant moi et m'enfonce son sexe dans la bouche, jusqu'à la garde. Mais il ne fait pas d'aller-retours : il se contente de la maintenir bien enfoncée et me demande :

- Alors... Tu aimes le gout de ton propre cul ? Je suis sûr que oui, salope...


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Ne voyant pas de raison de lui mentir, j'approuve d'un geste de la tête et sors ma langue pour lui titiller les couilles. Cela me fait évidemment baver et provoque chez lui un dernier sursaut de vigueur. Il me baise alors la bouche furieusement pendant un court instant puis se retire et me recouvre le visage d'une longue et massive éjaculation.

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Epuisée et souillée, je m'effondre au sol pendant que Jean-Claude s'assoit sur le canapé et semble reprendre ses esprits, comme s'il revenait à son état normal après avoir été possédé. Il me regarde alors que je pêne à me redresser, le derrière endolori et se prend la tête entre les mains. Puis il bafouille :

- Je... je suis désolé.... Je ne me rendais pas compte.... Je suis allé trop loin, vraiment...

Essoufflée mais comblée, je m'assois à côté de lui et lui dit :

- Jean-Claude, il n'y a vraiment pas de quoi être désolé. J'ai pris mon pied comme rarement ! Et maintenant tu sais que tu es fait pour le sexe extrême... tout comme Séverine. Fais-moi confiance, tu vas récupérer ta femme et votre vie ne sera plus jamais la même !

Après quelques échanges sur le plan que je voulais mettre en place, je me nettoie un peu puis rentre chez moi où mon mari et Séverine m'attendaient. Nous avons passé une soirée tout à fait normale et j'ai respecté ma promesse envers Jean-Claude : Séverine et moi n'avons rien fait ce soir-là.

Le jour suivant, j'ai peaufiné mon plan pour le lendemain avec un double objectif : réconcilier Séverine et Jean-Claude en prouvant à ce dernier que sa femme disait la vérité, puisqu'elle allait le faire devant Dieu ET faire de ce couple des complices libertins et, si possible mes complices durant mes soirées.

A suivre...

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