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Legul
11 novembre 2019
Émilie, directrice et traînée de lycée - 31

Comme je vous le disais, Jean-Claude et Séverine étaient de plus en plus ouverts et les orgies qu'ils organisaient pour moi ou avec moi étaient de plus en plus chaudes. De fait, les questions logistiques commençaient à être problématiques car trouver un endroit sain et pratique pour des orgies à 15 personnes n'est pas tous les jours évident.

Ainsi, lorsque j'ai appris que mon mari partait en déplacement une semaine, j'ai naturellement proposé ma grande et luxueuse maison pour une partouze de folie. Reprenant un peu la main sur l'organisation et sur mon activité de prostituée, j'ai invité plusieurs de mes clients, beaucoup d'hommes et quelques femmes, à cette soirée avec, évidemment Séverine et Jean-Claude en guest stars !

Cette soirée allait suivre deux journées absolument paradisiaques où nous avons vécu et baisé à trois sans complexe, sans avoir à se cacher.


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J'attendais donc cette partouze avec impatience et espérait qu'elle soit inoubliable : je n'ai pas été déçue sur ce dernier point...

Nous avons donc débuté cette magnifique soirée en buvant du champagne et en baisant tous ensemble, dans tous les coins de la maison. La totalité des participants, hommes ou femmes, usaient et abusaient des deux putes à disposition : Séverine et moi-même.



J'ai été prise dans tous les sens et par tous les trous et j'ai jouis un nombre incalculable de fois.


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Séverine elle-même m'a impressionnée par ses capacités, recevant sans broncher des doubles pénétrations classiques...



... des doubles vaginales...


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... et même une double anale incroyable !


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Nos anus ont, toute la soirée, été mis à rude épreuve, les clients présents profitant à fond de cette incroyable occasion de tester des positions inédites pour eux.



Une jeune femme présente lors de cette soirée, d'à peine 25 ans, était particulièrement perverse et s'amusait à nos « fister » copieusement.



Elle-même n'était pas en reste quand il s'agissait de se faire enculer et c'est surtout Jean-Claude qui en a profité, trop content de défoncer une jeunette si expérimentée !


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Il y a eu aussi des phases plus calmes lors de cette orgie, durant lesquelles je m'occupais de mes invitées pendant que les garçons nous mataient et se reposaient un peu. Nous pouvions alors, entre filles, être soit perverses...



... ou plus romantiques, recherchant un plaisir simple et reposant.



Mais ces phases de pauses très agréables avaient comme conséquence de remonter à bloc les garçons qui, du coup, s'occupaient de nous avec d'autant plus de bestialité !



Et même si la jeune femme était manifestement amatrice de sexe en général et d'anal en particulier, lorsqu'il s'agissait de se faire prendre par plusieurs mecs, elle montrait ses limites et c'était donc souvent à moi d'assurer dans ces moments là, en essayant de satisfaire le plus de participants possible à la fois.



Séverine a aussi été régulièrement au centre de la partie et je n'hésitais pas à tester sur elle des trucs fous, qu'elle acceptait sans broncher et qui rendaient Jean-Claude particulièrement fier.



Bref, cette soirée s'est déroulée dans une ambiance jouissive, lubrique, festive et conviviale. Comme tout le monde commençait à être fatigué et que les hommes présents crevaient d'envie de jouir, de nous recouvrir, nous nous sommes mis à genoux à leurs pieds pour les sucer, les branler et recevoir la divine semence.



Rapidement, les éjaculations ont commencé à se succéder, essentiellement sur Séverine et moi-même, notre jeune compagne s'occupant surtout de faire juter les hommes avec sa main. Ils nous remplissaient la bouche, nous recouvraient le visage.


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Séverine et moi, comme à notre habitude, nous amusions à nous lécher mutuellement pour nous nourrir de foutre en attendant les prochaines livraisons qui se cessaient de se succéder.


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Tout en recevant des flots de sperme sur le visage, je pensais déjà à la prochaine soirée que j'allais organiser. J'étais aux anges. Mais alors que la soirée touchait à sa fin et que Séverine et moi étions nues, agenouillées, entourées d'hommes, et dans un état lamentable, mon mari fit son entrée dans le salon !

Le voir ainsi à la porte du salon me pétrifia d'horreur et je fus incapable de réagir.


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Mon mari, si faible, si impuissant, se transforma alors en brute épaisse. Il me gifla sans sommation et me tira par les cheveux hors de la pièce tandis que la plupart des invités fuyaient (lâchement) la maison. Seule l'intervention de Séverine et de son mari me sauva d'un passage à tabac.

Jean-Claude maitrisa mon vieil époux pendant que Séverine me ramena à leur voiture. J'ai juste eu le temps de récupérer quelques affaires les plus précieuses: papiers, argent liquide, quelques vêtements, avant de m'enfuir chez Séverine. Pendant que je prenais ces affaires, mon mari, toujours maintenu par Jean-Claude, hurlait qu'il allait tout dire à la presse, à mon lycée, que j'étais finie.

Une fois en sécurité chez Séverine, et après avoir digéré le fait que ma vie ici était terminée, je pris très rapidement la décision de quitter la France. Il était hors de question d'affronter mon mari, le regard des gens, et de revivre ce que j'avais déjà vécu il y a plus de 10 ans. Je ne voulais plus qu'on me juge, qu'on dise que j'étais une immonde salope. Je voulais vivre ma vie de nymphomane, d'accro au sexe, de pute à 100%. Je ne voulais plus faire semblant, ne plus le faire de manière cachée.

Le choix des Etats-Unis a donc pour moi été presque évidement car quel endroit plus indiqué pour refaire sa vie et vivre de son corps ?

Avec l'argent accumulé, j'ai pu facilement me payer un billet d'avion direction Los Angeles et là-bas, un appartement d'abords bon marché. Je me suis refait un réseau de clients d'abords modestes plus de plus en plus huppés qui adoraient l'idée d'avoir une petite française comme jouet sexuel.


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En quelques mois, grâce à mon énorme expérience et à des affaires florissantes, j'ai pu déménager dans une villa plus confortable et j'ai engagé d'autres filles pour répondre à la demande, créant ainsi ma propre agence d'Escort.



Moi-même, devant l'énorme travail qu'est de gérer tout ce personnel, j'ai dû faire des choix et j'ai donc sélectionné drastiquement mes propres clients, me réservant les hommes les plus beaux, les plus doués, les mieux montés mais aussi, je l'avoue, les plus pervers qui pouvaient faire avec moi, ce que toutes les autres refusaient.


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La France, malgré tout, me manquait souvent et je revenais donc régulièrement au pays pour voir Séverine, Jean-Claude et d'autres amis, sans que mon mari ne le sache, évidement. Celui-ci n'a jamais essayé de divorcer et je ne l'ai plus jamais revu après la soirée fatidique mais finalement libératrice.

J'ai proposé à Séverine et Jean-Claude de me rejoindre mais ils avaient constitué leur propre réseau libertin ici et ne souhaitaient pas bouger. Par ailleurs, leur propre famille avait évolué puisqu'un jour, alors qu'elle s'amusait avec un copain de son fils, Séverine s'est fait surprendre par ce dernier, en pleine fellation, avec Jean-Claude en train de mâter !


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Elle a géré la situation à sa manière un peu spéciale pour calmer son fils et c'est en voyant ma tête choquée alors qu'elle me racontait cela qu'elle m'informa que son fils était en fait celui de Jean-Claude seulement, qu'elle en était donc la belle-mère.


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C'est donc sans aucun complexe que père et fils ont progressivement transformé Séverine en esclave sexuelle, celle-ci devant être sans cesse disposée à leur vider les couilles, n'importe où dans la maison.


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Ils la prenaient donc régulièrement, soit chacun de leur côté au grès de leur envie...


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... soit ensemble, entre père et fils, où même avec des amis.



Ils déclinèrent donc ma proposition de venir vivre aux Etats-Unis avec moi mais acceptèrent volontiers mon invitation à des vacances tous frais payés ! Nous nous sommes ainsi revu de temps en temps, soit en France, soit aux Etats-Unis et nous baisions comme au bon vieux temps !

Je suis également retourné dans mon premier lycée où j'ai rencontré la nouvelle directrice, mon ancien patron ayant pris sa retraite. J'ai ainsi pu retrouver la trace de Lia qui, après que son contrat de pionne se soit terminé, a enchainé les petits boulots pour finir serveuse dans une boite un peu chaude. Là-bas, je l'ai découverte légèrement vêtue en train de servir des vieux clients vicelards.


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Je l'ai observé quelques soirs de suite, discrètement, pour savoir comment elle allait. Manifestement, elle avait l'ai éteinte mais son misérable boulot lui permettait d'avoir quelques aventures et j'ai vite compris qu'elle arrondissait ses fins de mois en réalisant des prestations spéciales dans cette boite.


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Un soir, je me suis donc manifestée et après avoir parlé de longues heures, et pleuré aussi en repensant à ce qui s'était passé, je lui ai proposé de venir avec moi pour cogérer ma société d'Escort. Elle pourrait se faire plaisir si elle le veut, comme elle le veut en choisissant, comme moi, ses clients. Et j'avais besoin d'elle aussi pour gérer les filles qui bossaient pour moi, comme elle l'avait fait avec moi.

Après un premier refus à regret, elle m'a finalement recontacté alors que j'étais à Paris juste avant que je reparte. Nous sommes donc allés toutes les deux à Los Angeles et nous y vivons toujours aujourd'hui.

Lia s'occupe des ressources humaines de notre petite société et moi les aspects commerciaux, relationnels et administratifs. Nous nous gardons pour nous nos clients préférés qui paient d'autant plus cher que nos prestations sont rares mais exceptionnelles !




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A côté de notre partenariat professionnel, nous formons dans la vie un couple presque normal, amoureuses et parfaitement intégrée dans une société californienne bien plus ouverte qu'en France.



Mon histoire se finit donc ici, à mon bureau avec vue sur la plage, tandis que j'attends un de mes chouchous : un immense black sur-membré (mais vraiment, genre comme un cheval...) tatoué de partout, appartenant à un gang local.



Il est un de mes clients les plus fidèles car je suis la seule à sa connaissance à ne pas avoir peur de sa monstrueuse queue et j'arrive donc à la satisfaire à sa convenance.


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Mais ce qu'il préfère surtout chez moi, c'est entendre un petit accent frenchy dans mes hurlements alors qu'il me défonce l'arrière train avec fougue !



Lia est d'ailleurs un peu jalouse à propos de cet étalon que je me réserve... Il faut dire que la première fois que je l'ai vu, j'ai eu vraiment peur de le laisser seule avec elle. Elle semblait si petite, si fragile à côté de ce monstre !



Mais, après tout, Lia m'impressionne tous les jours un peu plus avec ces performances sexuelles... Peut-être que je pourrais le partager avec elle, finalement...


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Cela serait une belle preuve d'amour pour notre mariage, non ?


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Fin !

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