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Les aventures d'Ève et de Vincent 2 - première rencontre Ève était ma voisine. Elle a un physique magnifique et porte la plupart du temps des vêtements mettant en valeur ses jambes, ses fesses et ses seins, sans pour cela être vulgaire. ![]() Jusqu'à présent, nos rapports s'étaient limités aux sourires et aux traditionnels « bonjour ». Je n'avais jamais eu l'occasion d'engager la conversation. Jusqu'à ce jour... J'étais en train de bricoler, il faisait chaud et j'avais laisser toutes les fenêtres et portes de la maison ouvertes. J'entendis frapper à la porte et je la vis se faufiler dans l'entrebâillement. ![]() - Ça ne vous gêne pas que je jette un œil ? me demanda-t-elle avec un grand sourire. Nos maisons sont identiques et j'avais envie de voir comment vous l'aménagiez, pour me donner des idées... Tout en répondant à ses questions pendant qu'elle examinait mes travaux, je la détaillais du coin de l'œil. Elle portait des escarpins à talons très hauts, une jupe collante fendue jusqu'en haut de la cuisse. Sa jupe lui moulait parfaitement les fesses. ![]() En haut, elle avait une chemisier très léger et décolleté sous lequel on devinait parfaitement le globe et le bout de ses seins mis en valeur par un soutien-gorge transparent. Je sentis mon sexe se redresser dans mon short. - Ce n'est pas mal, me dit-elle avec un sourire coquin et un regard appuyé vers mon short, sans que je ne puisse savoir si cela se rapportait à mon travail ou à mon anatomie. ![]() images similaires - Vous n'avez pas l'impression que mon chemisier est un peu trop décolleté ? continua-t-elle sans transition. Là, j'ai l'impression que mes seins sont un peu trop gros ; vous ne les trouvez pas trop gros ? Le tissu de mon short se tendit à nouveau et je lui répondis d'un ton amusé : - Ils sont parfaits, croyez-en un spécialiste ! - Voyez-vous cela ! Un spécialiste ! Alors pouvez-vous me dire quelle taille de soutien-gorge je fais, Monsieur le spécialiste ? ![]() images similaires - Parfaitement, rien qu'au toucher, je suis capable de le déterminer. - OK, me défia-t-elle, en collant ses fesses sur mon ventre et en me prenant les mains pour les plaquer sur ses seins. - D'accord, mais je gagne quelque chose, si je devine ? - Vous aurez le droit d'aller plus loin, me murmura-t-elle en frottant ostensiblement ses fesses sur mon sexe. ![]() Je lui malaxai alors les seins au travers de son chemisier et j'agaçai ses pointes qui, maintenant, étaient gonflées et très dures. Pendant ce temps, elle avait plaqué ses mains dans mon dos et remuait ses fesses. Mon sexe était très dur et elle me masturbait avec la raie de ses fesses. - 95 C ! laissai-je échapper entre deux soupirs. - Bravo, gagné ! dit-elle ![]() images similaires J'avais entièrement dégagé ses seins en enlevant son chemisier et son soutien-gorge. Tout en lui mordillant l'oreille, je remontai ma main entre ses cuisses. C'était doux, chaud et de plus en plus humide au fur et à mesure de ma progression. Pendant ce temps, elle avait glissé ses deux mains dans mon short. D'une main, elle me masturbait doucement tandis que de l'autre elle me pétrissait et me griffait les couilles. Ma main atteignit sa fente, et je commençai doucement à tirer sur son clitoris ; elle me dit alors entre deux halètements : - Oui, suce-le moi maintenant. ![]() Je lui enlevai sa jupe, l'installai au bord d'un fauteuil et lui fis mettre les pieds sur chaque accoudoir. Je m'installai entre ses cuisses et commençai à lui lécher la fente. Sa chatte était aussi réussie que le reste : entièrement épilée, les lèvres joliment dessinées. Je l'ouvris délicatement avec les doigts et je me mis à lui téter le clitoris. J'aspirais, je suçais, je tirais dessus avec mes dents. ![]() images similaires Elle haletait de plus en plus fort. - Enfonce-moi tes doigts. Je mis d'abord deux doigts et je commençai à l'astiquer puissamment. Elle jouit une première fois. ![]() images similaires Je mis deux doigts de plus et elle poussait de plus en plus fort avec son bassin pour que je la pénètre plus profondément. - Oh oui... c'est trop bon ! éructa-t-elle en jouissant une deuxième fois. Donne-moi ta queue. Tout en continuant à la pistonner avec ma main, je me déplaçai pour lui permettre d'enfourner ma queue. Elle m'attrapa par les couilles et commença à me téter le gland. ![]() images similaires Puis elle l'avala une première fois, et continua son va-et-vient en m'agaçant le manche avec les dents. C'était divinement bon. Je sentais la chaleur monter au creux de mes reins et me dis que si je ne me retenais pas, j'allais tout lui lâcher sur la langue. ![]() images similaires Heureusement, je l'entendis me dire : - Viens m'emmancher, maintenant. J'ai envie de me faire bourrer la fente. Je me mis entre ses cuisses, lui pris les fesses par en dessous pour bien lui écarter les fesses. Pendant ce temps, elle écartait ses lèvres d'une main tout en se masturbant le clitoris de l'autre. Je rentrai dans sa chatte doucement, c'était chaud et très humide. ![]() images similaires Elle me sourit et me dit : - Vas-y ! Défonce-moi fort maintenant ! J'avais lâché ses fesses et, tout en lui masturbant les seins, je m'enfonçai d'un coup jusqu'à la garde. Elle cria : - Oh oui ! C'est bon ! Elle est grosse, je la sens bien. Vas-y, bourre-moi plus fort ! ![]() images similaires Je la défonçai comme un fou pendant une dizaine de minutes. Elle gémissait, criait. Elle me suçait l'oreille et me murmurait des insanités entre deux gémissements. ![]() images similaires J'étais à deux doigts d'exploser quand elle me dit : - Je la veux maintenant dans le cul. Je veux que tu me défonces la rondelle. Elle se retourna et, après avoir lubrifié sa raie avec de la salive, elle positionna ma queue à l'entrée de son anus. Le gland pénétra doucement et puis d'un seul coup, elle s'empala sur mon sexe avec un long gémissement. ![]() images similaires Je la tenais par les seins et je les embrassais avec délice. Je ne sais pas si c'était du 95 C, mais ils étaient très gros, bien gonflés et leurs bouts étaient durs et sensibles. Elle montait et descendait sur ma bite tout en s'enfilant plusieurs doigts dans la chatte, elle haletait très fort... ![]() images similaires Je l'entendis alors dire : - Tiens, voilà un voisin qui s'invite à la fête. Entièrement absorbé par mon pilonnage, je n'avais pas vu mon autre voisin et néanmoins ami, qui, sans doute attiré par le bruit, était entré dans la maison. - Il reste de la place, lui dit-elle en se passant la langue sur les lèvres. Vous avez bien quelque chose à me mettre entre les cuisses. ![]() images similaires Je n'en revenais pas... Lui, ne se le fit pas dire deux fois, il baissa rapidement son short. Il avait la bite très épaisse, elle devait bien faire six centimètres de diamètre. Il s'approcha et la fourra d'un seul coup. Il faut dire que je lui avais bien préparé le travail. Pendant qu'elle faisait coulisser son cul le long de ma queue, il la bourrait comme un fou avec sa grosse queue. ![]() images similaires Elle jouissait de plus en plus vite et je la sentais couler sur mes cuisses. Avant que nous ayons pu tous les deux décharger, elle nous proposa un final un peu inédit. Je m'installai à califourchon sur elle pour une super-branlette espagnole pendant qu'elle enfournait le pieu de mon copain. Mon voisin éjacula le premier. Il lui balança de longues giclées de foutre dans la bouche qu'elle avala avec le sourire. ![]() images similaires Pendant ce temps, je continuais à m'astiquer entre ses seins, tout en lui branlant la fente. ![]() images similaires Au moment où j'étais près à partir, elle m'aspira littéralement et je lui lâchai tout sur le visage. ![]() - C'était très bon, les garçons, nous dit-elle en se rajustant. Sur ce, avec une pirouette, elle nous abandonna, un peu stupéfaits. Elle me murmura cependant en passant, avec un clin d'œil très coquin : - Je t'inviterai certainement bientôt chez moi. J'ai beaucoup de travail en attente et j'adore me faire défoncer par un beau mec bien monté ! ![]() Interloqué par le décalage entre l'idée que je me faisais de cette jolie femme et du récital qu'elle venait de me donner, je me dis que les apparences étaient souvent trompeuses... Vous comprenez maintenant la relation très libre et libérée qui nous unit, Ève et moi, depuis ce jour... |