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Les aventures d'Ève et de Vincent 5 - raconter et exciter Ce dimanche matin, grasse matinée. Vincent et moi, nous sommes dans notre lit, à nous renifler, nous regarder, nous toucher... Nous nous dirigeons doucement vers quelque chose de plus intense... Vincent promène ses mains de ma poitrine à mon ventre... Je soupire pendant qu'il descend promener ses lèvres, sa langue sur mon clitoris, puis je pousse un petit cri quand il enfonce un doigt dans ma chatte, pendant que mes mains s'emparent avidement de sa tête pour la plaquer contre mon sexe brûlant... ![]() images similaires Sa bouche abandonne mon ventre pour venir embrasser mes lèvres, puis mon cou, mes oreilles... Il se met à me parler doucement... - Tu te rappelles ? Surprise, je lui demande : - Quoi ? - Le mois dernier, quand Simond t'a baisée, c'était comment, raconte-moi... je n'arrête pas d'y penser. --------- Bien sûr que je m'en souviens ! Comment oublier l'intensité de telles émotions ? Non seulement Simond m'avait très bien fait jouir sous les yeux de Vincent, mais Vincent avait aussi participé à mon plaisir... ![]() images similaires Et le chassé-croisé qui a suivi...! Chacun d'eux a bien joui de moi, mais moi, j'ai joui plus qu'eux deux réunis... ![]() images similaires --------- Réveiller ce souvenir me rend encore toute chose... Mais je ne savais pas que Vincent aussi. - C'était bon, très bon même. - Mais encore... - Tu aimerais que je te raconte ? Ça te plairait, vraiment ? - Oui, dis-moi tout, ce qu'il t'a fait, ce que tu as ressenti, tout, quoi... Je suis troublée... Vincent veut revivre, par ma voix, notre séance du mois dernier... Pourquoi pas, après tout, si c'est pour lui faire plaisir ? Mon souvenir est encore bien vivant et, en entamant mon récit, je sens une douce humidité envahir mon ventre... ![]() --------- Ce jour-là, tu m'avais dit que tu ne rentrerais pas avant 19 h, et que je devais accueillir Simond. La dernière fois qu'il était venu, j'avais remarqué que ses yeux s'étaient attardés sur mon corps et, me sentir désirée, m'avait excitée. ![]() images similaires En y repensant, j'avais senti mes tétons pointer et ma chatte s'humidifier. J'ai hésité à prendre les devants, voire même à le provoquer, en l'accueillant les seins nus... ![]() images similaires J'étais à deux doigts de le faire, mais, après hésitation, je me suis contentée de retirer mon soutien-gorge, afin de lui montrer que... ![]() images similaires C'est donc avec un grand sourire que je l'ai accueilli. Mes tétons qui pointaient attirèrent son regard concupiscent et il ne se priva pas de les fixer avec une lourde insistance. ![]() images similaires Il s'approcha lentement de moi, les yeux rivés sur mes seins. Puis il enserra ma taille de ses bras et plaqua mon ventre contre le sien, comme pour me faire sentir son désir (le cochon avait les mêmes bonnes intentions que moi...). Puis il couvrit ma bouche de sa bouche, et sa langue la pénétra lentement. Alors, ses mains firent plus audacieuses, parcoururent mon dos, remontèrent jusqu'à ma nuque, qu'elles effleurèrent légèrement, puis caressèrent, me faisant frissonner. Ensuite, ses mains retroussèrent mes vêtements et confirmèrent l'entière liberté de ma poitrine, ce qui le fit grogner de satisfaction. Elles mirent mes seins à l'air, s'emparèrent d'eux, les soupesèrent, les caressèrent, les pétrirent lentement, puis il se mit à jouer délicatement avec mes tétons, les titilla, les suça et les téta avec avidité et gourmandise. ![]() images similaires --------- Vincent, en m'écoutant, sentait son sexe durcir, devenir exigeant, prendre les commandes, mais il résista, il n'en avait pas encore assez entendu. - Tu as aimé qu'il joue avec tes nichons ? --------- - Oh que oui, mais ça ne faisait que commencer. En gémissant langoureusement, je m'abandonnai, à sa lubricité. Sa main droite lâcha mes seins et descendit jusqu'à mon pubis, me faisant pousser un profond soupir. Sans cesser de m'embrasser, il me poussa contre le mur et ses doigts trouvèrent mon clitoris qu'ils caressèrent jusqu'à me donner du plaisir. Puis ses doigts explorèrent consciencieusement ma chatte. Je ne me retenais plus et, collée contre lui, la tête sur son épaule, je déposais des rafales de halètements, de gémissements, de cris dans son oreille. ![]() - Puis il joua au macho vulgaire et me demanda : « Tu veux que je te la mette ? » Sans attendre ma réponse, il dégrafa sa ceinture, descendit son pantalon et son slip et me pénétra debout, à la hussarde. Flattée par son enthousiasme érotique et le ventre brûlant d'envie de sexe, je ne pus me retenir de saluer l'entrée de son sexe en moi par un râle de plaisir. ![]() --------- Mon récit excitait de plus en plus Vincent. - Je suis trop excité, je n'en peux plus, je vais te la mettre, moi aussi... Je vais te faire une bonne missionnaire. Écarte bien les jambes... Voilà, ma queue est bien au fond de ton ventre... Tu la sens bien ? - Oui, mets-la-moi, comme ça, oui... je te sens bien... c'est aussi bon qu'avec lui... - Pas meilleur ? - Différent... et meilleur, bien sûr... oui... j'aime ta queue. ![]() - Continue de me raconter, ça m'excite. --------- - Il me ramona un peu, debout, mais trouva vite inconfortable la position. Puis il ressortit sa queue de ma chatte et m'entraîna, sans cesser de me caresser les seins et les fesses, vers notre chambre, pendant que ma main ne lâchait pas sa queue, dont la dureté me faisait frissonner. ![]() images similaires - J'étais dans une telle transe érotique que je ne me souciais de rien, si ce n'était de sa queue, de ses mains, et de ma chatte, bien sûr... Arrivés à la porte de notre chambre, je l'ai arrêté : « Non, pas ici, non... ». Je ne voulais pas profaner notre chambre conjugale. Il me doigtait à nouveau, en pressant son ventre contre mon ventre. Ma chatte brûlait d'envie de se faire pistonner à nouveau. Je réussis cependant à l'entraîner vers la chambre d'amis, où tu nous as trouvés. Nous nous sommes allongés sur le lit, il s'est couché sur moi, a relevé mes jambes dans son dos et a glissé à nouveau son sexe dans mon vagin bien lubrifié. Je ne cessais de gémir, d'ahaner, puis de crier pendant qu'il ne cessait de me pilonner. ![]() images similaires --------- - Tu as joui ? - Oh que oui ! Mais moins qu'après ton entrée en jeu... - Quand je suis arrivé, j'ai été surpris de ne pas vous trouver, mais tes soupirs, venus de la chambre d'amis m'ont révélé votre occupation. J'ai été surpris, parce que je ne m'y attendais pas. Ma première réaction a été la jalousie, mais j'ai été surpris de commencer à bander. J'ai attendu un peu, mais je me suis rendu compte qu'écouter tes gémissements et tes cris de plaisir renforçait mon érection. Alors j'ai décidé d'aller vous rejoindre. Juste avant d'entrer, j'ai entendu ton cri, rauque, et quand je suis entré, je t'ai vue nue, si belle, couchée, empalée sous lui, qui te caressait les seins. Tu avais les yeux encore révulsés par le plaisir que tu avais pris, et il était encore sur toi, sans bouger. ![]() - Il avait fini ? Sa queue était encore en toi ? - Oh que non ! Il avait arrêté ses va-et-vient dans mon ventre, pour me permettre de savourer mon orgasme, mais je sentais bien sa queue encore en moi, dure, insatisfaite. Quand il t'a entendu, puis vu, il m'a adressé un petit sourire, a recommencé à bouger doucement son sexe dans le mien, puis il a accéléré ses mouvements dans ma chatte jusqu'à me faire jouir à nouveau, devant toi ! Je t'ai regardé, puis j'ai fermé les yeux, pour digérer mon nouvel orgasme, l'un des plus forts de ma vie. Quand il s'est cambré, j'ai vu dans ses yeux qu'il allait jouir à son tour. Il a aspergé mon vagin de son sperme en rugissant, puis il a retiré son sexe de ma chatte larmoyante, s'est couché à côté de moi, tout en m'embrassant et en me caressant les seins. ![]() - Et je suis venu, à mon tour, te baiser, encore toute brûlante et pleine du plaisir de ton amant momentanément repu. Oui, je me souviens encore comme ta chatte était douce et bien lubrifiée. ![]() --------- Visiblement ce souvenir était très aphrodisiaque pour Vincent... - Rien que d'y penser, je sens que je vais éclater ! - Attends encore un peu, Vincent, je veux jouir avec toi, comme nous avons joui ensemble ce jour-là... Il m'a fait jouir si fort, j'ai aimé sa queue... je la sentais bien... C'était bon... oooh... je vais jouir... jouis... Oui... ![]() images similaires Encouragé par les mots et la pression de mon ventre, qui allait avec enthousiasme à la rencontre du sien, Vincent reprit sa course effrénée, jusqu'à notre jouissance commune... ![]() J'adore la complicité que j'ai avec Vincent et son ouverture d'esprit. On peut tout faire et tout se raconter... Ève |