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Le Tour de France Le Tour de France passe ce dimanche dans la rue devant chez Cédric et Pauline. Le couple est installé dans cette petite commune de l'Ouest depuis un peu moins d'un an. Ils se sont connus sur les bancs de la Fac et ont rapidement aménagé ensemble. Si Pauline a très tôt exprimé son souhait de se faire passer la bague au doigt, Cédric était beaucoup moins pressé et Pauline a dû se montrer très persuasive pour obtenir de sa part qu'ils se marient. Elle a dû accepter beaucoup de petits jeux d'exhibition pour son compagnon, dont elle a découvert l'étendue de la perversité. Mais le meilleur en cela, c'est que Pauline y avait pris beaucoup de plaisir et qu'elle était devenue au moins aussi perverse que lui. Ils étaient donc faits pour s'entendre. Ainsi, Cédric accepta le mariage et la date fut fixée pour l'automne. SAMEDI APRÈS-MIDI : L'apéro Le samedi après-midi, Cédric rappelle à sa future femme l'événement de ce weekend : - Pauline, tu te souviens que demain il y a le Tour de France ? - Pfffff, je t'avoue que ça ne me motive pas plus que ça de voir des vélos et encore des vélos passer, même si c'est devant chez nous. ![]() - Allez, on peut quand même sortir pour les encourager. - Vas-y si tu y tiens, mais moi je trouverai certainement mieux à faire, surtout avec la canicule. - Tu as tant de choses importantes que ça à faire ? - Oui. Pendant que tu encourageras ces types, moi je ferais du bronzage intégral derrière sur la terrasse ! Pour illustrer son projet, Pauline tire sur son décolleté et exhibe à Cédric ses seins sortis de son soutien-gorge. ![]() - C'est Pierre qui va être content, s'il sort dans son jardin ! Pauline se rajuste en rigolant : - Même pas, puisque notre cher voisin m'a dit ce matin qu'il comptait justement, comme toi, regarder passer le Tour. Cédric sait très bien qu'elle ne fera pas ça et qu'elle évoque cette possibilité uniquement pour le provoquer. Il joue son jeu : - C'est dommage de rater le passage de beaux sportifs aux cuisses musclées... Pauline sourit : - Des cuisses musclées ? ![]() - Oui et sûrement tout un tas de jolis petits culs. - Mais qui ne font que passer super vite... - Et alors ? Juste pour le plaisir des yeux, ça mérite d'y être non ? - Salaud, tu marques un point. ![]() - Ahah, j'étais sûr que j'éveillerai ton intérêt avec quelques arguments. Et je n'ai même pas eu à évoquer les shorts qui moulent les bites de ces athlètes. - Putain, oui, tu as raison. Il faut que je vois ça. - Et s'il y en a un qui te plaît au passage, tu l'attrapes et on l'enferme dans notre chambre pour que tu puisses abuser de lui. - Mmm oui, tu commences à me faire mouiller, salaud... ![]() Pauline vient se coller à Cédric et l'embrasse amoureusement. Tandis que leurs langues s'enroulent, Cédric pose une main sur les fesses de sa fiancée et une autre sur sa poitrine. Quand ils finissent de s'embrasser, Cédric s'écarte et lui dit : - Comment peux-tu supporter de porter des sous-vêtements alors qu'il fait plus de 30 dehors ? - Je te vois venir... - Juste une petite robe légère suffirait, non ? Pauline soupire comme si elle était exaspérée par les fantaisies de Cédric, mais en réalité, ça lui plaît énormément de répondre à sa demande pour l'exciter. Elle va dans la chambre. Cédric la suit à distance mais reste dans le couloir, se contentant d'ouvrir la porte qu'elle vient de refermer. Pauline est en train de retirer sa robe : - Je m'en doutais que tu viendrais me voir me changer... ![]() - Et pourquoi je me priverai de ce petit plaisir ? - Par respect pour mon intimité ? - Tu déconnes là ? - Mais oui, je te taquine. La robe retirée, Pauline passe les mains derrière son dos et dégrafe le soutien-gorge. Puis elle resserre les épaules pour faire glisser les bretelles de ses épaules et ainsi dégager ses seins. Cédric retenait son souffle jusque-là et pousse un soupir de contentement en voyant les deux globes mammaires apparaître : - Voilà, tu peux respirer à nouveau, mon chéri ! ![]() - Ah, Pauline ! Tu es si merveilleuse ! Tu éveilles en moi un désir incommensurable ! - Oui, en fait, je te fais bander. - Oui, mais c'est plus fort que ça... Quand je vois tes seins, il n'y a plus qu'eux qui comptent et je n'ai plus qu'une idée en tête : les caresser. Pauline cache sa poitrine derrière ses bras : - Sauf que là, moi je ne veux pas... Cédric entre dans la chambre : - Et pourtant, tu sais que je ne te lâcherai pas tant que je ne les aurais pas empoignés. ![]() Pauline lève les yeux au ciel : - Oh que oui, ! Je te connais si bien... Elle vient se coller à lui, dévoilant sa poitrine pleine. Cédric ne se précipite pas et lui passe un bras autour de la taille. - Tu ne les caresses pas ? ![]() - Si, mais je profite. Ce n'est pas qu'une paire de seins. Ce sont tes seins. Et c'est de voir aussi ton désir à toi, dans tes yeux, qui me plaît encore plus. Cette attente avant que mes doigts entre en contact avec ta peau soyeuse et aussi... Pauline l'interrompt : - Ah t'es lourd ! Impatiente, telle une tornade, elle lui retire son débardeur en une seconde et lui abaisse son pantalon avant même qu'il n'ait le temps de réagir. Son érection semble jaillir comme libérée d'une prison étroite. Pauline lève les bras et lui tourne le dos en se cambrant pour frotter ses fesses contre son entrejambe qu'elle sait déjà bien dure : - Caresse-moi, abruti ! Aussitôt, elle sent les mains de Cédric empoigner ses seins avec fermeté. ![]() Elle sent ses mamelons se tendre entre ses doigts... De délicieux petits frissons lui parcourent l'échine et elle sent la chaleur envahir son entrejambe. Les yeux fermés, elle profite de cette douce caresse. Les mains de Cédric abandonnent les seins et descendent sur le ventre de sa fiancée. Ses doigts se glissent dans la culotte et commencent à la faire glisser. En sentant les doigts effleurer sa fente brûlante, Pauline feule de plaisir et commence à pivoter pour se tourner vers son amant. Cédric se penche pour accompagner la course de la culotte jusqu'aux chevilles, embrassant au passage le ventre de sa fiancée. Quand il se relève, il s'arrête au niveau de la poitrine et hésite à embrasser le téton tendu. ![]() - Qu'est-ce qui t'arrête ? - Rien ne m'arrête. Juste que j'aime te faire attendre, te voir trépigner d'impatience. Je suis sûr que ça te fait mouiller davantage. - Tu n'as qu'à venir voir ! Pauline se laisse aller sur le lit derrière elle et écarte les cuisses : - C'est l'heure de l'apéro. Viens déguster ce fin nectar... Elle n'a pas besoin de lui dire deux fois. Cédric s'agenouille entre ses cuisses et plaque sa bouche contre les lèvres de sa fente humide, faisant glisser sa langue sur toute la hauteur. Pauline gémit. ![]() - Oh la vache ! C'est trop bon... Cédric sent son érection se tendre. Cela lui fait toujours le même effet quand il suce la moule de sa copine. Quand il commence à faire tourner sa langue autour du clitoris tendu, Pauline lui met la main sur la tête pour l'empêcher de s'arrêter. - Oh Cédric ! Tu es divin ! ![]() Cédric ne se précipite pas. Il sait qu'elle aime quand cela dure un peu. Mais soudain, elle pose la paume de sa main sur son front et le repousse. Il se redresse interloqué : - ? - ... tu y étais presque... - Si vite ? - Oui, j'étais à deux doigts de jouir... ![]() Cédric sourit : - Pourtant, je n'ai pas mis les doigts. Pauline rigole. - Idiot ! Elle regarde le sexe tendu de son copain et se passe la langue sur les lèvres : - Maintenant, je veux que tu me prennes. Elle se retourne et se positionne à quatre pattes sur le lit, offrant sa croupe. ![]() - Yes ! Par contre, je vais y aller doucement car moi aussi je suis passablement excité et je ne veux pas que tout parte d'un coup... Cédric prend position, s'agenouillant sur le lit entre les jambes écartées de sa compagne. Il lui caresse les fesses, la moule trempée de mouille, puis il se redresse pour présenter son sexe dressé dans la fente offerte. Lentement, il fait pénétrer son gland. Pauline retient son souffle. Quand le gland finit de rentrer et que le reste continue à la pénétrer tout doucement, elle reprend son souffle et pousse de petits gémissements de plaisir. ![]() Excitée, Pauline commence à onduler et à aller au-devant de la queue qui la pénètre. Cédric grogne : - Mmmm, c'est bon, mais vas-y doucement où bien tu vas m'avoir dans dix secondes... - Pffff, c'est quoi cette performance d'amateur. Tu ne pourrais pas tourner dans un porno... - Dixit la fille qui était à deux doigts de jouir après moins d'une minute de cunnilingus ? - Tais-toi et baise-moi. ![]() Le programme convient tout à fait à Cédric. Saisissant sa copine à la taille, il commence à bouger lentement, d'avant en arrière, faisant coulisser sa lame de chair palpitante dans le délicieux fourreau. Pauline gémit de plus en plus. L'orgasme approche. Elle prévient son homme : - Je... je vais venir... - Si tu jouis, ça me fera jouir aussi... ![]() Alors qu'il s'apprête à lui proposer une pause, la sonnette de la porte d'entrée retentit. Ils s'immobilisent et Cédric demande : - Qui ça peut être ? - Une livraison ? - A cette heure ? Cédric regarde l'heure sur le radioréveil de la table de chevet : 18h57. Il a alors un déclic : - Merde ! L'apéro avec Pierre !!! Cédric se dégage et fait le tour du lit pour se rhabiller : - Quel con ! J'ai zappé... - Moi aussi... ça tombe vraiment mal... j'ai trop envie moi ! ![]() - Et bien tu n'as qu'à rester dans cette position et on vient s'occuper de toi tous les deux. - Idiot ! Tu n'oserais pas me partager... - Ah oui ? Je crois que ça mérite réflexion. Je ne considérerais pas ça comme du partage au sens où tu l'entends... Pauline semble outrée par sa réponse : - Tu voudrais me prendre avec un autre mec ??? ![]() - Disons que nous serions à deux pour nous occuper de toi et que cela me permettrais de te voir jouir sous un autre angle. Pauline envisage alors la chose sous cet autre angle : - Je reconnais bien là ta perversion. - Mais je note que tu n'as toujours pas dit non... Ceci dit, Pierre est un peu vieux... - Il n'a que dix ans de plus que nous je crois et je te rappelle que mon précédent mec était beaucoup plus âgé que moi. ![]() - Ah oui ? Il faudra qu'on en parle. En attendant, rhabille-toi, je ne vais pas le faire attendre davantage Cédric va ouvrir à Pierre. Quand la porte s'ouvrir, celui-ci brandit victorieusement une bouteille de Monbazillac devant Cédric : - Salut les jaunes ! Je suis un peu en avance mais je ne viens pas les mains vides ! - Merci Pierre, c'est super. Pauline adore ça. C'est son péché mignon. Alors que Cédric le laisse entrer, Pierre lui fait un clin d'œil et lui dit tout bas, sur le ton de la complicité : - Je m'en suis souvenu. Elle me l'avait dit quand vous étiez venu à la maison. Cédric referme la porte. Pierre est un grand gaillard fort sympathique qui a une bonne dizaine d'années de plus qu'eux. Appréciant son amabilité et sa courtoisie, Pauline a déjà avoué à Cédric qu'elle lui trouvait beaucoup de charme malgré son léger embonpoint. Et il sait que si sa fiancée lui a avoué cela, c'est qu'elle nourrit un véritable fantasme pour Pierre. - Installe-toi, Pauline finit de se préparer. Je vais chercher des verres et de quoi grignoter. A peine est-il arrivé dans la cuisine qu'il entend la voix de sa femme dans le salon : - Bonjour Pierre. - Bon... Bonjour Pauline. Tu... tu vas bien ? Intrigué par le trouble évident de leur voisin, Cédric va à la porte, craignant un instant que sa fiancée ne soit venue accueillir leur voisin en tenue d'Eve, comme il l'avait suggéré pour plaisanter. Heureusement, elle a bien passé une robe. Elle lance un regard vers lui en se rendant compte de sa présence. ![]() Rassuré, Cédric retourne préparer l'apéritif, portant sur le plateau trois verres, un tire-bouchon, un bol de pistaches, un bol de cacahuètes et un bol de fruits secs. Quand il apporte le plateau sur la table basse du salon, Pauline est toujours debout et il prend conscience que la robe est très courte et que c'était peut-être la raison du trouble de Pierre. - Oh, je ne connaissais pas cette jolie robe, ma chérie. - Ce n'est pas une robe mais une tunique... ![]() - Ah ? Et une tunique ça ne se porte pas avec quelque chose en dessous ? - Pas nécessairement si elle est assez longue... Pierre gêné par la conversation, s'attèle à ouvrir sa bouteille sans oser regarder Pauline. Celle-ci en profite pour faire remonter le bas de sa tunique sur son aine et dévoiler à Cédric qu'elle ne porte réellement rien dessous. ![]() - Tu ne t'assois pas, ma chérie ? - Non, en bonne maîtresse de maison, je vais vous servir messieurs. Pauline s'approche et tend la main au-dessus de la table vers Pierre. Celui-ci lui donne la bouteille et la voit alors se pencher pour servir le nectar doré dans les verres, laissant le temps à Pierre de se délecter de son décolleté. ![]() Après avoir servi un premier verre, elle tend celui-ci à Pierre, restant penchée. Cédric voit les yeux de Pierre exorbités en face de lui. Il sait ce que Pauline vient de lui offrir. Il sent un début d'érection le gagner. Pauline se redresse et regarde Cédric avec un sourire espiègle : - Toi aussi ? ![]() - Evidemment ! Pierre lève son verre pour le regarder dans la lumière : - La robe est magnifique ! J'adore. Cédric sourit en se disant que Pierre s'amuse peut-être à faire référence à la tunique de sa fiancée : - C'est bien de ton verre dont tu parles, Pierre ? - Bien sûr. Mais j'admets que la petite robe de Pauline, pardon la tunique, est parfaitement charmante. reposant le regard sur la tenue de sa fiancée, Cédric se rend alors compte que le tissu de la tunique, très léger, laisse deviner les aréoles des seins de Pauline. Pierre l'a aussi certainement remarqué. Quand Pauline fait le tour de la table pour se retrouver face à lui, Cédric se dit qu'elle va lui offrir la même vue. Pauline se penche. Cédric plonge à son tour son regard dans le décolleté généreusement offert. ![]() Elle redresse la tête et lui fait un clin d'œil : - La même chose ? - Oh oui, volontiers ! Cédric sourit car il sait très bien qu'elle parle de son décolleté et pas du verre de vin. Mais comme elle se penche encore un peu plus pour lui en montrer encore davantage, il s'aperçoit que la vue porte jusqu'à l'entrejambe dénudée et, voyant le sol clair entre ses cuisses, il se dit qu'il est possible que Pierre soit en train de se délecter de la vue sur sa croupe nue. ![]() Il est presque certain que ses fesses sont exposées, mais peut-être également son petit abricot d'amour. Quand elle lui tend son verre, elle lui fait un clin d'œil et se redresse. Pierre est blême et ne dit pas un mot. Cédric pense que son hypothèse se vérifie : - Pierre ? Tout va bien ? - Oui ! Très très bien. Je suis parfaitement installé. Un vrai pacha. Pauline refait alors à nouveau le tour de la table basse et se sert son verre. Cédric profite alors de ce qu'a sans doute vu Pierre juste avant. ![]() Comment n'a-t-il pas remarqué cela quand elle a servi la première fois. Sans doute pas le bon angle... Pauline s'assoit, les cuisses serrées. Pierre semble très émoustillé par sa tenue et Cédric se rends compte que ça l'excite de le voir mater sa copine en douce. Cédric lance la conversation : - Alors Pierre ? Prêt pour le Tour de France ? - J'ai acheté pleins de petites bouteilles d'eau. Je voulais vous proposer de m'aider à les distribuer aux coureurs pendant la course. Vous seriez partants, les jeunes ? - Bonne idée ! Alors au Tour de France ! Cédric lève son verre pour trinquer. Il voit alors un détail dans le verre et l'approche de ses yeux pour le scruter. Il met alors deux doigts sur le bord et semble tirer un fil invisible : - Pauline, je crois que c'est un de tes cheveux... - Mince, désolée... C'est vrai que j'aurais dû me les attacher. Se levant, elle rassemble ses cheveux pour les attacher. ![]() Cédric admire la poitrine saillante sous la fine tunique où il distingue même les mamelons. - Ce n'est pas grave ma chérie. J'aime bien quand tu gardes tes cheveux détachés. - Oui mais ça me tient aussi moins chaud quand je les attache. Et toi Pierre, tu préfères quand j'ai les cheveux attachés ou détachés ? Le pauvre voisin ne s'attendait pas à une telle question : - Oh euh. Attaché en queue de cheval, ça donne un côté étudiante très sexy je trouve. - Pierre ! Tu me trouves sexy ? - Heu, oui... Bien sûr. Pauline s'amuse de voir qu'elle gêne finalement plus Pierre par ses questions embarrassantes que par sa tenue, pourtant loin d'être innocente. Cédric regarde alors Pierre pour voir s'il essaye lui aussi de voir les seins de Pauline sous la tunique légère tandis qu'elle rassemble ses cheveux. Mais ses yeux sont plus bas : au haut des cuisses de la jeune fille. En effet, les bras relevés ainsi, le torse bombé, Pauline fait remonter sa robe juste assez pour révéler l'ombre de son ventre. ![]() Cédric est mal à l'aise car son érection commence à être douloureuse dans son short et il se dit que Pierre pourrait sans doute le remarquer. D'un autre côté, les yeux de Pierre sont déjà accaparés par un spectacle bien plus intéressant. Faisant tomber son élastique, Pauline abandonne sa tentative pour attacher ses cheveux. Quand elle se rassoit, Pierre pousse un profond soupir de soulagement, comme si quelque chose d'horrible aurait pu se passer si Pauline était restée debout quelques minutes de plus. Pauline embraye : - En tout cas, demain, on te donnera un coup de main pour les bouteilles d'eau. Tu en as pris pour tout le peloton ? - Oh bah non, ce serait impossible. Ce sont des packs de douze et j'en ai pris quatre. Mais de toute façon on ne pourra pas en donner à tout le peloton, donc ce sera déjà pas mal d'en donner à ceux qui passeront juste devant nous... Et puis pour les retardataires après le peloton qui méritent d'être encouragés. Le reste de l'apéritif se poursuit sur le même ton mais Pauline semble ne pas vouloir aller plus loin dans l'exhibition. Cédric remarque pourtant les regards que Pierre lance à sa fiancée. Le voisin porte un jeans qui ne semble pas révéler son émotion. Pourtant, Cédric en est sûr, il doit certainement bander. Après une demi-heure, Pierre finit par se retirer, prétextant une casserole sur le feu : - Désolé de devoir vous quitter mais il faut que je rentre. Grand merci pour votre accueil les amoureux. - Merci pour ta bouteille Pierre, elle était excellente ! Le Monbazillac, c'est mon préféré. - Je le sais, petite. Tu me l'as déjà dit... Allez, à demain ! Il fait un clin d'œil à Pauline et sort, laissant à Cédric le soin de refermer la porte. Celui-ci se tourne alors vers sa fiancée : - Là tu as été particulièrement forte avec cette tunique ! - Tu crois que c'était trop ? ![]() - Ce n'est jamais trop avec toi, tu le sais. Cédric retourne s'asseoir dans le canapé et constate qu'il est gêné par un objet coincé entre l'assise et le dossier : - Mince, des clés de voiture. C'est sûrement à Pierre, il était assis juste ici. - Tu veux que j'aille lui porter ? - Non, il reviendra sonner quand il s'en rendra compte. Je veux pouvoir être là quand il te dévorera du regard. - Donc tu as aimé ? - Oui, beaucoup. Il a tout vu... - Surtout mon cul. ![]() - Oui, surtout ton magnifique cul. - Et tu crois qu'il a vu mes tétons ? - On les devine par transparence mais tu ne te penchais peut-être pas assez. En tout cas, il a quand eu une chouette vue dans ton décolleté. - J'aurais peut-être dû faire glisser un peu plus les bretelles... ![]() - Ne t'inquiète pas, je suis certain que tu l'as fait bien bander. - Tu crois ? - Autant que moi, je pense. Il n'était pas insensible au charme de la petite jeunette. - Mmmmm... Cédric sourit en fronçant les sourcils : - Tiens oui. On a été coupé dans notre conversation concernant ton ex... - Karl ? ![]() - Oui, tu m'as dit qu'il était plus vieux que toi. - Comme Pierre je pense, une dizaine d'année. Onze ans, je crois. - Et c'était bien de sortir avec un vieux ? - Pas vieux, expérimenté. Il m'a appris à aimer mon corps. Il m'a fait découvrir la fellation. Tu peux le remercier, c'est grâce à lui que je te fais de si belles pipes. Cédric hoche la tête : - Et pourquoi tu l'as quitté ? - Je ne l'ai pas quitté. C'est lui qui m'a larguée pour une autre nana plus de son âge. Bon... il me semble qu'il n'y a pas que notre conversation qui a été interrompue par notre cher voisin... Pauline fait glisser une bretelle de sa tunique pour révéler un sein et relève le bas pour exhiber son entrejambe ![]() Cédric sourit : - Je vois que ça te stimule la présence d'un homme mûr... - J'avoue que ça ne me laisse pas indifférente. Karl, c'était mon premier amour et même si ça n'a duré que quelques mois en Terminale, j'avoue que j'en garde quelques bons souvenirs. - C'est à ce gars que tu as offert ton pucelage ? - Oui, et il a fait ça avec beaucoup de tendresse. Il m'a aussi donné mes premiers orgasmes, ce soir-là... - Ah oui ? Plusieurs le premier soir ? - Oui... le premier orgasme m'a donné envie d'en essayer d'autres... C'est depuis ce jour que je suis une petite salope assoiffée de sexe. En disant cela, elle se dénude encore un peu plus tandis que Cédric rigole de sa dernière remarque. ![]() - Mmm, je sens qu'il m'incombe la lourde tâche de te satisfaire... - Oui, là j'en ai vraiment besoin ! - Mais je pense que je manque un peu de maturité... Je vais aller te chercher Pierre. - Idiot, Pierre est un jeu, un fantasme. C'est toi que j'aime, tu le sais ! ![]() - Je le sais mais ça ne fait jamais de mal de l'entendre... - Allez, approche, mon amour. Cédric vient la rejoindre et l'enlace. Tandis qu'ils s'embrassent, une de ses mains descend sur les fesses pour les caresser. ![]() images similaires Pauline se décolle un instant et baisse les yeux : - Je ne sais pas ce que tu as dans la poche, mais il y a un truc très gros et très dur... - Petite coquine... Pauline lui masse son entrejambe à travers son jeans. Leurs bouches se retrouvent à nouveau. Cédric glisse une main entre ses cuisses et caresse sa moule humide d'excitation. ![]() Quand leurs bouches se séparent, Pauline sourit en continuant à masser la protubérance de l'entrejambe : - En tout cas, mon fantasme des hommes plus âgés ne semble pas trop t'inquiéter. - "Des" hommes ? Tu t'imagines déjà avec plusieurs retraités s'occupant de toi ? - Idiot ! Pas retraités, expérimentés ! Pauline lui retire son tee-shirt et continue à se justifier : - Et j'ai dit "des" pour signifier que ce n'était pas un en particulier. Ne t'inquiète pas, je ne prévois pas de m'envoyer en l'air avec pleins d'hommes. - Oh mais ça ne m'inquiète pas. Au contraire, regarde. Cédric déboutonne son jeans et libère son sexe déjà bien gonflé et tendu. ![]() images similaires Pauline se passe la langue sur les lèvres : - La vache ! C'est de m'imaginer avec Pierre ? - Avec Pierre et d'autres. - Pffff, tu es vraiment un pervers... ![]() - Oui, mais je sais que tu adores ça. - Tu rigoleras moins quand on se retrouvera dans cette situation. - Quelle situation ? - Moi avec Pierre... voire avec un autre homme en plus. Pauline saisit son sexe et Cédric approche sa tête de la sienne pour l'embrasser à nouveau. ![]() - Je veux être cet autre homme, ma belle. - Alors, baise-moi d'abord que je vois ce que tu vaux ! Pauline accroche ses mains à son cou et Cédric la saisit à la taille pour sa soulever contre son ventre. Elle enlace Cédric de ses jambes et il passe ses mains sous ses cuisses pour la faire lentement descendre sur son sexe dressé. Le gland s'insinue doucement dans la fente trempée de mouille et Cédric fait lentement descendre sa fiancée sur son membre tendu. ![]() Pauline feule de plaisir : - Ooooooh ! La vache, j'ai pensé à ça pendant tout l'apéro... - Sauf que tu imaginais que c'était avec Pierre. - Mon cher, tu ne le sauras jamais. Un peu par vengeance, Cédric s'amuse à la pénétrer avec un peu plus de violence. ![]() Mais Pauline aime ça, il le sait. Elle miaule : - Aaah... Aaaah... doucement, tu vas me faire jouir... - Attends, j'ai une idée. Tout en la gardant emmanché sur sa virilité, Cédric la porte jusque sur la terrasse. Pauline chuchote : - Arrête, t'es con ! Pierre pourrait nous voir ! - C'est justement le but du jeu... ![]() Pauline ne discute pas. Elle sent que Cédric bande encore plus fort en elle. Sans doute est-il particulièrement excité à l'idée que leur voisin puisse se rincer l'œil en les regardant faire l'amour. Pauline n'ose pas tourner la tête pour voir si Pierre les regarde effectivement. Elle aussi est finalement très excitée par cette prise de risque. Elle imagine Pierre caché derrière sa haie. Peut-être en train de se masturber en s'imaginant à la place de Cédric ou, mieux, venant la sodomiser pour la prendre en sandwich. Cette seule idée, complètement folle, achève d'amener Pauline au plaisir. L'orgasme la gagne et elle se met à gémir avec de petits cris aigus, tel un rongeur pris au piège. Il n'en faut pas davantage pour que Cédric jouisse aussi. Bien campé sur ses deux jambes, il sent sa sève envahir le fourreau de sa fiancée. ![]() Ils restent alors immobiles pendant quelques minutes, profitant de ces instants délicieux qui suivent la jouissance. Ils s'embrassent. Puis Cédric soulève Pauline pour la dégager de son sexe encore tendu et la repose au sol. Elle lui murmure alors : - Pierre nous regardait ? Avec un petit sourire taquin, il répond : - Ma chère, tu ne le sauras jamais. Pauline retourne vers la maison mais ne peut s'empêcher de jeter un œil vers la haie qui sépare leur jardin de celui de Pierre. ![]() L'ensemble de l'histoire dont fait partie cet épisode est inspiré par le texte "Patou d'un coup..." de Lexdepenny publié le 26 mars 2020 sur Revebebe http://revebebe.free.fr/histoires/rvb195/reve19506.html |