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Rencontres immobilières

Evevincent
2 janvier 2021
Rencontres immobilières


Vincent habitait un studio dans le même quartier que l'agence immobilière qui le lui avait loué.

Une jolie blonde le lui avait fait visiter.


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Lorsqu'il était venu à l'agence signer le bail, son regard s'était porté également sur la directrice.
Lorsqu'elle s'était levée pour le saluer, au sourire sans chaleur, en bonne commerçante, il avait pu mesurer sa plastique impeccable, seins agressifs, fesses rondes, cuisses solides, le tout perché sur des talons hauts qu'elle faisait claquer sur le plancher avec un air décidé.




Que se passa-t-il alors dans la tête de Vincent ?
Est-ce parce que la directrice l'avait déjà oublié trente secondes après l'avoir vu ?
Est-ce le mouvement rotatif de son cul moulé et l'agitation de ses seins à chaque pas sous la toile légère d'un corsage partiellement déboutonné ?




Toujours est-il qu'il conclut d'un lapidaire : « c'est une femme qui baise ».

Contre toute logique immédiate, il fit de cette directrice d'agence, dont il ne connaissait ni le nom ni le prénom, sa prochaine cible.

Par ailleurs, l'employée de l'agence, qui s'était présentée sous le prénom d'Ève, était parfaitement disposée à se laisser draguer, à en juger par sa propension à lui mettre son joli décolleté sous le nez.


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Mais pour l'heure, c'était sa patronne qu'il voulait baiser...

Cependant, l'affaire s'annonçait mal.
Rien ne laissait supposer dans l'attitude de cette femme une envie d'adultère, a fortiori avec lui, Vincent.
Il avait enquêté par internet et découvert qu'elle se prénommait Lisa.
Mais cela ne l'avançait pas pour autant.
Aussi mit-il au point un plan.

Après avoir visionné les annonces en vitrine de l'agence, il repéra la plus chère, une grande maison vendue plus d'un million d'euros.
Il attendit un soir où la directrice était seule dans l'agence et, à proximité de la vitrine, il l'appela.

Le soir, elle se mettait visiblement à l'aise et sa tenue ainsi que sa posture étaient très décontractées.
Il la vit décrocher et répondre.


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Contrefaisant sa voix en roulant les « r », il se fit passer pour un Russe qui se montrait intéressé par l'annonce et demandait si elle était toujours disponible :
- Mais bien sûr monsieur. Vous pouvez même la visiter si vous voulez.

La voix de Lisa était claire, enjouée, très commerciale.
- Je désirrrerrrrais visiter, mais je ne suis pas librrrre en ce moment. Mais je peux vous envoyer mon fondé de pouvoirrrrr en qui j'ai toute confiance.
- Pas de problème monsieur. Quand voulez-vous ?
- Le plus tôt serrrra le mieux.
- Alors demain si vous voulez.
- Oui, en fin de jourrrrrnée si possible.
- D'accord, disons 18h30, ça vous va ?
- Parrrrrfaitement. Mon fondé de pouvoirrrr s'appelle Vincent, c'est un jeune homme sérrrrrieux, vous pouvez lui fairrrre confiance. Mais je tiens absolument à ce que ce soit vous qui lui fassiez visiter cette maison et que vous soyez mon interrrrlocutrrrrice. Pas d'employée, hein ?
- Très bien monsieur, je recevrai Vincent avec plaisir.


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Et elle raccrocha après les salutations d'usage.

Vincent n'avait plus qu'à espérer qu'elle ne se souvienne pas de lui en tant que client du studio, ce qui était plus que probable, vu l'indifférence qu'elle lui avait montrée.
Il ne restait plus qu'à attendre le lendemain et cette visite après la journée de boulot.

**********

La dénommée Lisa se présenta souriante et décidée, les cheveux dénoués alors qu'elle les portait habituellement en chignon, elle jouait manifestement sur sa sexualité pour obtenir cette vente.




Assis à ses côtés pendant qu'elle conduisait sa voiture vers le lieu du rendez-vous, il put mater à loisir les cuisses généreusement dénudées et légèrement écartées, comme une promesse hypothétique.




Des jambes de joggeuse et, quand il lui en fit la remarque, elle confirma :
- Oui, je cours tous les week-ends, c'est ma soupape. Et vous ?
- Moi aussi, mais je fréquente aussi une salle de fitness pour travailler ma musculature.
- C'est vrai que vous avez l'air très musclé.

Ils rirent ensemble.
Vincent dut lui faire bonne impression car, durant la visite, elle se montra rayonnante et enjouée, ne ménageant ni risettes ni regards pétillants.


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La maison n'avait pas été encore déménagée de ses meubles.
Vincent joua le jeu du visiteur intéressé de la cave aux combles, faisant mine d'écouter les propos détaillés et extasiés de la vendeuse, mais la déshabillant du regard dès qu'il le pouvait.

« À poil, ça doit être quelque chose », se disait-il, admiratif.
Elle dut s'en apercevoir, car elle força sur sa cambrure et sur le redressement du buste.


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À la fin de la visite, Vincent déclara :
- Je vais rendre compte de tout ça à mon patron. Faites-moi passer des photos, mais je crois que ça devrait lui plaire. Je vais en tout cas plaider pour ça.
- Ah merci monsieur. Cette vente est importante pour nous. Le marché est un peu atone en ce moment.
- Que diriez-vous d'une invitation à déjeuner ou à dîner pour que vous m'expliquiez bien le marché, justement ?
- Avec plaisir, Vincent. Dès demain si vous voulez, je suis libre à déjeuner.

Et c'est ainsi que Vincent obtint son premier rancart avec la femme de ses rêves érotiques.


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Il ne se faisait cependant pas trop d'illusion.
Si Lisa avait joué la séductrice et flatté son ego, c'était pour vendre sa maison, pas pour le mettre entre ses belles cuisses.
Mais un Don Juan ne renonce jamais, par principe.
Ce déjeuner serait capital pour la suite de son projet...

**********

Le lendemain, lorsque Lisa se présenta, il était difficile de ne pas penser au sexe en la voyant, mais aussi de ne pas soupçonner une allumeuse qui se déroberait à la moindre tentative.




Durant le repas, elle posa beaucoup de questions sur le patron russe.
Mais Vincent, tout en écoutant et en parlant, regardait surtout les seins de Lisa qui pointaient avec arrogance sous la toile légère de son chemisier.

Il percevait le regard amusé qu'elle lui adressait, comme si elle était consciente de son attrait sur lui.


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En fin de repas, alors que le vin avait fait son œuvre, Vincent changea volontairement de sujet :
- Mon patron m'a posé une question à laquelle je n'ai pas su répondre. Il y a combien de cheminées dans cette maison ?
- Euh... deux je crois, mais vous me posez une colle.
- Alors, allons vérifier, ça ne prendra pas trop de temps.
- D'accord, j'ai les clés avec moi.

Une demi-heure plus tard, ils entraient dans la maison, Vincent la laissant passer par galanterie avait les yeux fixés sur Lisa qui commençait à l'exciter de façon assez embarrassante.


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Il y avait bien deux cheminées et, passant par le salon, Lisa se posa devant bureau face à la fenêtre pour observer le parc attenant au bâtiment.
- C'est vraiment ce qui fait le prix de ce produit, ce parc, n'est-ce pas Vincent ?


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Ils s'assirent alors de part et d'autre du bureau pour poursuivre la négociation.
La généreuse poitrine de Lisa était pratiquement offerte au regard de Vincent.
Il ne faisait plus aucun doute qu'elle avait volontairement dégrafé un peu trop son chemisier afin que ses seins arrogants soient visibles, mis en valeur par son soutien-gorge pigeonnant.

Le regard de Lisa en disait long sur ses attentes.
Sous le bureau, elle remontait sa jupe déjà courte pour se préparer à ce qu'elle attendait.


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En quittant son bureau, elle se pencha en avant pour attraper son sac.
Elle était certaine qu'ainsi Vincent aurait une vue complète sur son cul qu'elle savait joli et mis en valeur par ses bas et son porte-jartelles.


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C'était le moment où jamais.
Vincent vint se plaquer contre elle, son sexe bandé collé à sa chute de reins et commença à lui caresser les seins dont il perçut immédiatement les pointes durcies au travers de son chemisier.
- Non non, s'il vous plaît, pas ça, pas ici.

« Pas ici », cela voulait dire « oui, ailleurs ».
C'était donc un début d'approbation.

Vincent insista.
Il délaissa ses seins pour descendre jusqu'à ses cuisses, relever la courte robe et glisser un doigt sous l'élastique de son string, en direction de la fente de son sexe.
La légère masturbation produisit immédiatement une humidité ne laissant plus place au doute : elle avait envie de baiser là, tout de suite, ici même.

Elle aurait pu alors se dégager, le gifler peut-être, mais elle n'en fit rien.

Il la souleva avec aisance sur le bureau.


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Allongée, elle le laissa retirer son string et engouffrer sa tête entre ses cuisses.
Il sentit les mains de Lisa rivées à sa nuque pendant qu'il procédait à un cunnilingus très appuyé, sa langue se délectant de la cyprine abondante.

Tout en léchant, il leva les yeux pour observer son visage.
Les yeux clos, la langue entre les lèvres, laissant échapper parfois un petit gémissement, elle savourait.
Une crispation de sa main sur sa nuque et un petit cri le renseigna : elle avait connu un premier orgasme.


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Voudrait-elle en rester là, remettre son string et lui demander la discrétion pour ce moment d'égarement ?
Mais la réflexion suivante de Lisa le rassura :
- Tu m'as mis le feu. Maintenant, il faut l'éteindre. Tu as intérêt à le faire, sinon je te pourris.

Et Lisa, en se dirigeant vers le canapé, fit descendre sa jupe pour s'en débarrasser, fit passer son chemisier par-dessus sa tête, détacha son soutien-gorge et s'allongea sur le canapé, la tête sur l'accoudoir et un pied sur le dossier, totalement ouverte.




Lorsqu'il fit surgir son pénis, gonflé et épais, Vincent perçut dans le regard de Lisa une lueur qui confirma une fois de plus son intuition.
Lisa, la directrice d'agence immobilière, était « une femme qui baise ».

La voracité avec laquelle elle goba le gland qu'il lui tendait démontrait un appétit de pénis et qu'elle était une sacrée cochonne.


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Cela fut vite confirmé par la manière dont elle lui palpait les couilles et glissait même, tout en suçant, un doigt dans son anus, à la recherche de sa prostate.
Comme s'il avait besoin d'être excité davantage...

Après qu'il se fut déshabillé entièrement pendant qu'elle le pompait, elle le fit coucher sur le canapé et, sans transition, s'empala sur lui.
La manière avec laquelle elle fit virevolter ses hanches en fixant son regard en disait long sur son appétit sexuel.

Elle sautait et tressautait, tantôt en appui sur les genoux, tantôt sur ses pieds, tantôt à l'endroit, tantôt à l'envers, redressée ou pliée en deux, active pendant qu'il était passif, scandant ses coups de cul par des « ah », des « oh », des « c'est bon » et autres onomatopées de plaisir.
C'est elle qui menait la danse, en manager.




Lorsqu'elle se mit sur le canapé en position agenouillée, les bras sur le dossier, Vincent se trouva face à un cul somptueux.
« Un cul qu'on encule », se dit-il.

Il la prit néanmoins classiquement en levrette, heureux de retrouver un peu d'initiative et surtout de cogner dur pour lui faire comprendre qui était le mâle.
Les peaux claquèrent dans le salon poussiéreux.
Lisa venait le chercher à grands coups de fesses et il répondait à grands coups de bite.


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Lorsqu'il voulut monter d'un étage, elle ne fit pas de manière et dit simplement :
- Si tu veux ça, fais-le bien.

Après l'avoir humectée de la langue, il s'enfonça dans son rectum beaucoup plus facilement qu'il l'aurait cru, signe qu'elle n'était pas une pucelle de ce côté.
Elle avait la sodomie enthousiaste et encourageante, si bien qu'il dut se retenir pour ne pas gicler prématurément.


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Lorsqu'elle poussa un long feulement, signe d'un orgasme anal, il se retira prestement en se comprimant la queue pour étouffer son éjaculation.

Elle avait bien failli l'essorer avec ses roulements de hanches.

Il s'offrit à la pénétrer à nouveau :
- Eh ben dis donc, tu me sers comme un chef ! souffla-t-elle, encore palpitante de sa jouissance. Tu me veux comment ?
- Couche-toi, je veux bien te voir.

Elle s'exécuta sans rechigner, un pied sur le dossier du canapé, l'autre dans ses reins à lui quand il la pénétra à nouveau.
Ils clapotèrent les yeux dans les yeux, observant la montée progressive du plaisir.


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Il quitta son regard pour observer la houle de ses seins sous l'effet de ses coups de cul et elle quitta le sien pour observer, tête redressée, le travail de sa bite.
Dans les deux cas, le visuel participait au sensuel.

Le pied gauche de Lisa vint quitter le dossier du canapé pour rejoindre son pied droit dans les reins de Vincent et la forte pression qui en résulta, accompagnée d'un roulement de hanches et de gémissements de plus en plus sonores, renseigna le baiseur : elle était mûre à point.

Il augmenta nettement le rythme de ses coups de boutoir et une série de « ahooh ahooh ahouii ahouii » eut raison de sa résistance à éjaculer.
Il gicla en grognant dans son cou tandis qu'elle l'encerclait de ses jambes comme pour l'empêcher de se retirer.


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Ils restèrent inertes pendant quelques minutes, peau contre peau, avant qu'un début d'engourdissement de son bras ne l'incite à se dégager et à s'asseoir sur le canapé.
Elle le rejoignit en se lovant contre lui et lui murmura :
- Tu m'as vraiment fait jouir, merci.

Il y avait encore de l'eau chaude dans la salle de bains et ils se lavèrent ensemble sous la douche.
Elle lui dit, tout en lui serrant fermement le sexe :
- Maintenant, après ça, ton patron a intérêt à me prendre cette bicoque.


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Il revint alors à la réalité de cette supercherie.
Certes, il avait obtenu ce qu'il voulait : baiser la directrice de l'agence immobilière, mais maintenant, il fallait sortir d'une manière ou d'une autre de ce mensonge éhonté.

Il l'aurait bien baisée à nouveau, car un coup pareil méritait un bis repetita.
Alors qu'il se préparait à contrefaire à nouveau la voix du pseudo Russe, en vue d'un nouveau rencart, Lisa l'appela :
- Dis à ton patron de se dépêcher s'il veut la maison. J'ai un nouveau client qui m'a l'air très intéressé.

C'était la porte de sortie, même si elle impliquait la fin de leur relation sexuelle a priori.
Deux jours plus tard, il lui téléphona pour lui dire qu'un contretemps financier obligeait son patron à surseoir à l'achat et qu'elle pouvait se consacrer à l'autre client.




Elle le remercia, mais sans lui proposer une nouvelle rencontre.
Il avait compris que l'aventure était terminée.
C'était peut-être aussi bien ainsi.

Fin de l'histoire immobilière, donc.


Enfin, pas tout à fait...

On sonna un jour à sa porte et il découvrit l'employée de l'agence Ève, la blonde qui lui avait permis de louer son studio.
- Bonjour, je viens voir si tout va bien chez vous, lui dit-elle.




Elle portait un chemisier dévoilant un profond sillon mammaire.
Cette démarche, inhabituelle de la part d'une agence, révélait-elle un soupçon de la patronne ?
L'avait-elle identifié ?
Envoyait-elle son employée en éclaireuse ?

Il la fit entrer, un brin inquiet, mais à sa manière de s'asseoir, de croiser les jambes sous sa mini-jupe et de tendre son buste comme une offrande, il comprit que sa démarche était personnelle et même carrément sexuelle.


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De propos badins en propos badins, il l'invita à dîner et il lui fit parler de Lisa.
Ève confirma son efficacité en matière de vente, au point selon elle de se servir généreusement de ses charmes sans que son mari ait à redire :
- Un drôle de couple, mais c'est leur affaire, dit-elle.
- J'avais cru le comprendre, répondit-il laconiquement.
- Et vous, Vincent, vous avez quelqu'un ?

L'appel du pied était clair.
Une heure plus tard, écartelée sur le canapé, elle bramait de plaisir sous ses assauts.




Ce fut le début d'une nouvelle liaison pour Vincent, moins élevée socialement, mais tout aussi ardente sexuellement.




Il y avait juste un petit hic : Ève ne comprit jamais pourquoi son nouvel amant refusait obstinément de venir la chercher à son travail lorsqu'ils sortaient ensemble le soir...

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