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[gage] Une journée dans la Ville Lumière

Lisa
7 avril 2021
Une journée dans la Ville Lumière


- Allo ?
- Bonsoir, Marc-Antoine.
- Bonsoir... ?
- Tu reconnais ma voix ?
- Lisa ? Mince, ça fait plaisir d'entendre ta voix ! Qu'est-ce qui me vaut le plaisir de cet appel ?
- Te souviens-tu du gage auquel tu m'avais soumise sur le forum le 1er juin 2018 ?
- Heu... là, je t'avoue que non... plus du tout. J'étais encore à Tours à cette époque.
- Et bien, je suis en train de le faire.
- Ah ?
- Et tu vois, je t'appelle. Comme tu me l'avais demandé. Et je vais te raconter en détail toute la première partie du gage. J'espère que ça va te rafraichir la mémoire.
- Je t'écoute.
- Je suis retombée sur ton message il y a quelques jours. Du coup, je me suis dit que ce weekend serait idéal pour le réaliser. Aujourd'hui donc.
Ce matin, je suis sortie du sommeil en pensant aussitôt à cela. J'ai commencé à réveiller Simon en lui caressant doucement le torse. Il a ouvert les yeux et m'a souri.


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Il m'a attiré à lui pour m'embrasser. Tandis que nos langues s'enroulaient, je me suis hissée sur lui. Je sentais son sexe se tendre peu à peu contre mon ventre. J'avais les cuisses écartées, car à cheval sur lui, mais je sentis bien vite ses mains sur mes fesses. Il me les caressait en me les remontant, libérant ma fente. Je sentais qu'il voulait que je remonte un peu sur lui. Le connaissant, je sais tout l'intérêt qu'il pouvait tirer de cette translation : apporter mes mamelons à sa bouche, accéder de ses doigts à ma fente déjà humide et mettre son sexe au contact du mien pour passer à l'étape suivante.


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Pour ma part, j'avais une tout autre idée. Il me fallait essayer autant que possible de suivre le scénario imposé par ton gage. Je devais donc me mettre à genou sur ses cuisses et le masturber. Je me redressai donc et je pris sa verge tendue dans une main pendant que l'autre lui caressait délicatement les testicules. Il me caressait la cuisse et me souriait. J'étais sur la bonne voie et la première partie de ce gage m'apparaissait comme la plus facile.


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Tu te souviens, Marc-Antoine ?
- Je crois que oui...
- Tu vas aimer. J'ai bien réussi.
Je le masturbais donc. Je le regardais. Amusé, il me demanda si je comptais juste le masturber ce matin. Je lui répondis que c'était effectivement mon intention. Il sembla surpris mais me laissa opérer, sachant sûrement qu'il ne le regrettera pas.


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Puis j'ai remonté mon bassin. Ma moule chaude s'est retrouvée au contact de ses couilles fraîches. Cela sembla lui plaire particulièrement. Moi aussi. Pour que cette partie du gage soit consommée, il me fallait lui faire prendre conscience de ce qu'on attendait de moi.
- Je me souviens maintenant. Je voulais que tu te positionnes sur lui pour faire comme si c'était ta queue que tu branlais.
- Ah, heureuse que la mémoire te revienne. Je lui ai donc dit cela : "Regarde, c'est ma bite. Je me branle et je vais gicler sur ton ventre."


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Il fut surpris. Je crus déceler d'abord une certaine incompréhension. Puis, il sembla comprendre le jeu et je sentis qu'il se contractait. Il m'a dit : "C'est quoi ça ? Un nouveau gage ?"
Je lui répondis par la négative : "Non, pas nouveau... plus de deux ans". Il a fermé les eux et se laissa aller à l'éjaculation. Son sperme gicla furieusement en de multiples gouttelettes qui mouchetèrent son ventre et son torse.


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Quand il rouvrit les yeux, il semblait curieux : "J'imagine que le gage ne s'arrête pas là. Je dois te rendre la pareil ?". Je secouai la tête et me levai : "Pas dans l'immédiat. La suite se passe dans la salle de bain." J'étais au-dessus de lui, cuisses écartées et il avait une vue parfaite sur entrejambe humide d'excitation. Il rigola : "Alors, c'est un vrai gage parce que, à ce que je vois, tu en aurais pourtant très envie.". Je portai une main à ma moule pour me rendre compte de l'état de ma fente.


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Je le laissai donc pour aller à la salle de bain. Tu te souviens de la suite, Marc-Antoine ?
- Vaguement.... Mais peu importe, ça me fait carrément de l'effet de t'entendre me raconter ça.
- Tu bandes ?
- Si tu voyais...
- Baisse ton pantalon et sort ta queue.
- OK...


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- Tu te masturbes ?
- Pas encore. Tu m'autorises ?
- Non. Tu voulais jouir précocement. Mais tu me laissais le choix de t'autoriser ou non à te branler. J'ai décidé que pour l'instant, tu m'écoutes, sans te caresser.


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- OK. Je reste comme ça.
- Tu es chez toi ?
- Oui, dans mon appart'.
- Bien, alors je continue.
J'attendais Simon sous la douche. Bien sûr, il avait bien compris le message et il ne fut pas long à venir me rejoindre.



Il ne se rappelait pas du tout du contenu de ce gage et je ne pouvais pas lui en vouloir car moi-même ça m'était complètement sorti de la tête et je ne m'en serais sans doute pas souvenu si je n'étais pas retombé sur le message en question. Toujours est-il qu'il était curieux. Il me demanda quelle était la suite du programme. Je lui répondis de manière évasive : "Une douche, c'est pour se laver, non ? Alors, on se lave. Et s'il se passe quelque chose, qui sait ? Tu le découvriras bien assez vite".


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Je commençais à lui savonner le torse. Bien vite, je pus constater que sa queue se redressait. Il posa une main sur un sein et me caressa mais je lui écartai la main : "Je me suis déjà savonnée. Laisse-moi m'occuper de toi". Il n'a bien sûr pas discuté. Même s'il avait très envie de me caresser, il semblait trouver un certain intérêt à ce que je m'occupe de lui. Peu à peu, mes mains glissèrent de son torse à son ventre, effleurant son sexe dressé. Puis, il laissa pousser un soupir de soulagement quand une main empoigna sa virilité et que je commençai à caresser ses bourses de l'autre.


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A nouveau, il tenta de me caresser, sa main glissa sur mes fesses et tenta d'atteindre mon sexe entre mes cuisses. Je ne lui en laissai pas l'opportunité. Je le grondai et lui retirai sa main. Je lui demandai de se tenir tranquille et de me laisser faire. Je vins alors me plaquer dans son dos, lui épargnait ainsi la tentation de me caresser. Je repris ma masturbation et son sexe était devenu dur comme du bois. Malgré les règles que j'avais énoncées, il ne put s'empêcher de passer une main derrière lui pour me caresser la hanche. Je remontai alors la cuisse pour qu'il puisse au moins s'occuper et cela me permit de vraiment me coller à lui.


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Il devait sentir mes seins dans son dos, mon ventre contre ses fesses. Je sentais qu'il était au bord de l'éjaculation. Je m'arrêtai alors et me plaquait contre son dos en lui caressant le torse à deux mains. Il bafouilla : "Tu... Tu ne vas pas me laisser comme ça ?". Je lui répondis : "Dommage que tu ne te souviennes plus de ce gage car c'était explicitement indiqué que je devais t'abandonner juste avant le point de non-retour". Il se retourna et me sourit. Puis, il me traita de "garce" en souriant avant de m'embrasser.


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- Et il a réussi à ne pas éjaculer ?
- Bien sûr ! Il est bien élevé et très obéissant, mon Simon.
- Bon sang, je crois que je n'aurais pas résisté et que je me serai branlé pour me terminer.
- Ah oui ? Et tu te branles, là ?
- Bah oui, j'ai la queue complètement raide et tu me rends fou avec ton histoire.


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- Pourtant, il me semblait bien te l'avoir interdit... pour le moment.
- Mais je ne vais pas tenir moi, Lisa !
- Bien sûr que si. Laisse ta queue sortie mais ne la touche pas, sinon...
- Sinon ?
- Sinon tu n'auras pas la suite de cette histoire.
- Ok, tu as gagné.


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- Donc je continue.
Comme tu me l'avais demandé explicitement, je l'ai laissé mariner quelques minutes, tout en lui caressant le torse et les fesses, mais sans toucher son sexe tendu. Il me suppliait de lui dire la suite mais je me contentais de lui sourire et de le laisser me caresser les seins. Puis, d'un coup, comme tu le voulais, je me suis accroupie et j'ai pris en bouche son membre turgescent.



Il m'a aussitôt prévenu qu'il n'allait pas être en mesure de résister très longtemps.
- Tu l'as laissé éjaculer dans ta bouche ?
- Attends. Laisse-moi raconter. Tu crois que je pourrais passer à côté de ce détail ?
Comme tu m'avais laissé le choix, je me suis dit qu'il fallait que je me décide. Dans la bouche et avaler ou bien sur mon visage, plus spectaculaire ? Je me dis que j'allais tenter de combiner un peu tout ça. J'ai donc ouvert la bouche et me suis mise à lui lécher le dessous du gland, point faible très efficace.


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Simon s'est mis à râler et a rejeté la tête en arrière. Le premier jet ne tarda pas. Une grosse giclée, épaisse et puissante vint fouetter mon palais. Je fermai alors la bouche pour avaler cette première livraison. Le second jet ne put donc pas trouver d'exutoire dans ma bouche et vint s'écraser sur ma joue. J'ouvris aussitôt la bouche pour capter le troisième. Tandis que j'avalais encore, les jets suivants, moins puissants, s'épanchèrent autour de ma bouche et sur mon menton. J'étais plutôt contente de moi et je pensai fortement à toi. Si tu avais pu voir ça, Marc-Antoine !!!



- Si j'avais pu voir ça, je me serais branler, c'est certain.
- Ah ? Et là, tu te masturbes ?
- Bah, non. Tu me l'as interdit. Mais c'est pas l'envie qui me manque... Tu continues ?
- Oui. Une fois l'éjaculation terminée, je l'ai repris en bouche et lui ai tété le gland pour en aspirer les dernières gouttes.


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- Ah Lisa. Je... je ne tiens plus... il faut que je me branle !
- Tu ne peux vraiment plus t'en empêcher ?
- Non, c'est insupportable... Désolé.


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- L'histoire est loin d'être terminée donc si tu te masturbes maintenant, tu ne tiendras pas jusqu'à la fin....
- Je... je vais essayer quand même.
- Écoute, je te propose de juste la prendre en main mais de ne pas l'astiquer, tu fais juste jouer la pression avec tes doigts et c'est tout.
- Ok. J'essaye.
- Tu vas y arriver ?
- Oui, je crois...


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- Surtout que la suite va te plaire. Tu m'avais commandé une scène dans une cabine d'essayage de magasin de fringues. Comme tu l'avais indiqué, j'ai laissé Simon choisir la robe qui le stimulait le plus ! Il a sélectionné une mini robe rouge très courte et assez prêt du corps. Il bandait déjà avant même qu'il ne me l'enfile, la robe.
- Il t'a demandé de retirer tes sous-vêtements, bien sûr ?
- Franchement ? Tu ne nous connais pas encore suffisamment. Tu crois vraiment que je m'étais encombrée avec des sous-vêtements ?


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- Oui... question idiote...
- Il l'a trouvée très à son goût, comme tu le souhaitais. Il avait une belle bosse à l'entrejambe. Il m'a regardé de haut en bas et à murmurer "Merci Marc-Antoine". On faisait attention à chuchoter pour éviter qu'on nous entende à l'extérieur de la cabine. Il m'a dit de remettre mes chaussures à talon. Ce que j'ai fait tandis qu'il s'accroupissait derrière moi. Je n'étais pas dupe. Je savais qu'il me matait me cul. Mais mon homme sait se contrôler et il a seulement touché avec les yeux. Quand je me suis dressée, une fois les chaussures attachées, ma robe était remontée sur ma taille et dévoilait mes fesses. J'ai voulu la réajusté mais il m'a dit de laisser comme ça.


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Je me suis alors tournée vers lui et j'ai relevé un peu ma robe pour bien découvrir ma chatte.
- Il t'a fait minette ?
- Mais laisse-moi raconter ! Ne sois pas impatient. Oui. C'était ce que tu m'avais demandé et je n'ai même pas eu à lui formuler ta requête. Cela semblait aller de soi, naturellement. Il a plongé son visage contre mon ventre et posé ses lèvres autour de mon clitoris. La pointe de sa langue s'est mise à tourner autour de mon petit bouton d'amour.


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Je me suis mise à dégouliner. Je sentais ma jute couler le long de mes cuisses et le plaisir me donnait quelques spasmes au bas-ventre. Simon s'est vite rendu-compte qu'il était en train de provoquer une inondation. Il a arrêté de torturer mon clitoris pour lécher les gouttes de cyprines sur mes cuisses, remontant jusqu'à ma vulve. Il s'est mis à lécher ma moule, mes lèvres, aspirant ma mouille. C'était terriblement bon et ce qu'il me faisait n'allait pas permettre à la source de se tarir.


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Puis il s'est arrêté. Il m'a dit "Je ne vais peut-être pas te donner un orgasme ici". Je l'ai regardé, un peu surprise, et je lui ai demandé : "Et pourquoi pas ? Depuis quand le sexe en public te pose un problème". Il m'a dit me trouver trop excitée et que j'allais sans doute avoir du mal à jouir discrètement. Il n'avait pas tort. Je lui dis que je pouvais parfaitement avoir un orgasme silencieux. Il s'est foutu de moi. Il m'a dit qu'il ne m'en croyait pas capable et que, de toute façon, les clients dans le couloir et les vendeuses se doutaient sans doute de ce que nous faisions dans la cabine tous les deux. D'imaginer qu'il y avait du monde juste derrière la porte m'excita et je portai la main entre mes cuisses pour sentir ma cyprine couler.



- Il y avait du monde ?
- Non, pas foule mais on entendait du passage. Sans doute une ou deux clientes et une vendeuse. Mais je ne voulais pas que ces réticences puissent nuire à mon projet. Mais j'avais quand même dans l'idée qu'il n'allait lui aussi pas vouloir en rester là. Moi, j'avais un gage à réaliser et, là, il ne m'aidait pas. Je l'ai donc intimé de continuer en promettant de me retenir. Il s'est donc remis à la tâche, entreprenant de me sucer la rondelle pendant qu'il me branlait doucement avec son index.


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Je mouillais comme une folle. J'avais envie qu'il me prenne.
- Et pas lui ?
- Bien sûr que si ! Je l'ai fait se relever et je lui retiré son froc, exhibant une magnifique érection. Je l'ai fait asseoir sur le petit banc. Sa queue était magnifiquement dressée.


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J'avais très envie de la sucer mais, dans l'état de Simon, je me dis que je risquai de le faire éjaculer en un rien de temps. Et je me suis souvenue que tu m'avais explicitement demandé qu'il me baise.
- Ah oui ?
- Oui. J'ai essayé de respecter au mieux le cahier des charges. Je me suis tournée contre la porte de la cabine et me suis cambrée pour lui présenter ma croupe. La levrette est une des positions préférées de Simon. Une main entre les cuisses, je me suis mise le majeur dans la fente pour lui montrer ce que je voulais.


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- Et il n'a pas eu envie de ton petit trou ?
- Peut-être mais il savait sans doute que cela risquait de me faire gueuler et comme il semblait tenir à une certaine discrétion, il ne semble pas avoir retenu cette option. Il s'est donc levé et a guidé son membre parfaitement raid dans ma fente humide. J'ai presque cru défaillir quand j'ai senti sa grosse queue s'enfoncer lentement en moi.


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- Sa grosse queue ? Qu'est-ce que tu aurais dit si ça avait été moi ?
- Pffff. Si ça avait été toi, c'était foutu pour la discrétion. Avec ton machin, j'aurais forcément crié de plaisir. Mais là, je contrôlais. A peu près. Il m'a pénétrée lentement, par des mouvements de bassins d'avant en arrière, à la fois amples et souples. Mais l'orgasme est arrivé. C'était trop tard pour moi.


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- Tu as crié ?
- Non, j'ai réussi à me retenir. Je me suis mordu les lèvres, j'ai retenu ma respiration et je n'ai échappé que quelques petits gémissements à peine perceptibles. Mais mon orgasme avait aussi déclenché le sien. Il s'est alors retiré en enserrant son membre turgescent pour bloquer l'éjaculation. Puis, une fois sa queue sorti, dans un profond soupir contenu, il a relâché la pression d'un coup et tout son sperme et venu gicler sur mes fesses. Il y en avait tant que ça me coulait sur les cuisses.


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- Putain...
- Marc-Antoine ? Tu en es où ? Tu te masturbes ?
- Non mais j'ai putain de barre prête à exploser.


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- Alors vas-y ! Branle-toi et lâche tout. A ton tour de me raconter.
- Quoi ?
- Je veux que tu me dises où tu en es en directe.
- Je... je viens...
- Déjà ?
- Putain, oui... je... le sperme sort... lentement... c'est chaud... épais... ça coule sur ma main...


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- Arrête de te branler et laisse ta semence sortir sans aide.
- Aaah, oui...
- Tu éjacules encore ?
- Oui... le... le sperme continue de couler. Ça coule le long de ma tige... ça me chatouille les couilles.


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- Bien. Maintenant, Tu reste la queue à l'air, pleine de sperme et tu vas ouvrir la porte.
- Quoi ?
- Tu vas ouvrir la porte de ton appartement.
- C'est pas un très gros challenge... j'ai un voisin de pallier, un couple, mais à cette heure-là, ils pioncent.
- Ne discute pas. Tu peux raccrocher ton téléphone.
Communication coupée. Marc-Antoine regarde l'écran de son portable. Fin d'appel. Il repense à la demande que vient de lui faire Lisa et hésite. Il se lève. Son sexe reste tendu. Malgré l'éjaculation, il ne semble pas vouloir perdre de la vigueur. Quelques gouttes de sperme tombent sur le carrelage. Marc-Antoine s'approche de la porte. Il écoute avant d'ouvrir. Il croit percevoir un mouvement. Qu'est-ce que c'est que ces conneries ? Qui peut être là à cette heure-là ? Il entrouvre la porte pour passer la tête tout en restant derrière pour ne pas montrer qu'il est à poil.
Marc-Antoine est scotché. Il y a un couple sur son palier. Mais pas ses voisins. Surtout, il y a Lisa. Lisa qui semble porter la robe qu'elle vient de lui décrire au téléphone. Elle lui sourit.


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Marc-Antoine n'en croit pas ses yeux :
- Lisa ? Simon ?
- Bonsoir Marc-Antoine. Apparemment, c'est une vraie surprise ! Tu ne t'y attendais pas ?
- Putain, mais comment vous avez su que j'habitais ici ?
- J'ai un copain flic. Avec une adresse mail, il remonte à une IP et de l'IP, il trouve l'adresse par le fournisseur d'accès...
- C'est... c'est légal ?
- Bien sûr que non. Mais il est débrouillard. On peut entrer ?
Marc-Antoine laisse passer la jolie brune et son compagnon. En passant devant lui, Lisa fait glisser son index sur le bout de sa verge toujours tendue et maculée de sperme. Elle lui murmure :
- Mmmm, je vois que tu t'es mis à la muscu depuis que tu as déménagé...
Dès qu'elle entre dans la pièce principale, Lisa remarque le bureau et va s'y asseoir. Marc-Antoine ne peut s'empêcher d'admirer les magnifiques jambes et la robe, très courte, quand elle croise les jambes.


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- C'est fou, dans le gage que tu m'avais donné, je devais te surprendre en pleine écriture de récit érotique. Et je constate que tu étais effectivement en pleine écriture. La suite de la Pourpre et l'Or ?
- Je... oui... Désolé, je suis encore sous le choc. Que vous ayez pu me trouver aussi facilement, c'est hallucinant ! Et ce gage que tu viens de me raconter...
Simon vient derrière Lisa et, voyant qu'elle est concentrée dans la lecture du nouveau récit de Marc-Antoine, il poursuit les explications :
- Lisa m'a aussi fait la surprise. Elle a loué une chambre d'hôtel dans la Ville Lumière pour le weekend sous prétexte de faire des visites et du shopping. Ce n'est que ce matin qu'elle m'a parlé de ce gage. Et m'a tenu toute la journée avec ça. Tout ce qu'elle t'a raconté au téléphone.
Simon masse les épaules de sa femme. Marc-Antoine note que les mamelons de Lisa pointent à travers le fin tissu de la robe.


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Lisa abandonne sa lecture et reprend les explications :
- Il y a une demi-heure, j'ai conduit Simon en bas de ton immeuble et je t'ai appelé. La suite, tu la connais.
- Et après ? demande Marc-Antoine.
- Après ? Tu ne te souviens donc plus du gage que tu avais écrit ?
- Plus trop non... ça fait plus d'un an... presque deux.
Lisa rigole :
- Simon non plus ne s'en souvient plus, mais, toi, tu aurais pu avoir la curiosité de chercher sur mon site pour le retrouver, ce gage.
- Je... ça ne m'est pas venu à l'esprit... Je buvais tes paroles...
- Alors je vais te rafraichir la mémoire. Pour la fin, ça parle de Simon, toi et moi. Et ça reste assez libre sur ce qui arrive.
Simon commence à caresser les seins de Lisa à travers le tissu de la robe.


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Lisa soupire d'aise et poursuit :
- Voilà. Il peut s'agir d'initiatives de votre part ou que je vous raconte ce qui va se passer...
Simon regarde Marc-Antoine et lui fait un clin d'œil :
- On la laisse nous raconter ?
Marc-Antoine hoche positivement la tête, fasciné. Lisa sourit et indique comment les événements présents se déroulent :
- Tout d'abord, je crois que Simon a très envie de te montrer mes seins.
Simon fait glisser les bretelles de la petite robe sur les épaules et tire sur le décolleté pour dégager la poitrine. Lisa poursuit :
- Et ensuite, il m'a pelotée allègrement pour te montrer comme mes seins sont fermes et comme mes tétons réagissent vite aux caresses.
Ravi, Simon empoigne les globes mammaires et les caresse doucement, tout en faisant tourner les pointes entre ses doigts.



- Puis, il va me laisser et se mettre à coté de toi.
Simon s'exécute sans discuter. Lisa sourit :
- Simon, retire ton pantalon, je veux que tu sois dans la même tenue que Marc-Antoine.
Quelques secondes plus tard, Lisa se trouve avec devant elle deux hommes magnifiques, la queue à l'air et en érection. Elle fait saillir sa poitrine et écarte les cuisses :
- Maintenant, regardez-moi. Désirez-moi ! Bandez !!!


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Lisa n'a pas besoin de commander cela et sait parfaitement que les gars ne peuvent avoir de contrôle là-dessus. Les deux sexes sont parfaitement dressés et celui de Marc-Antoine affiche fièrement une longueur et une largeur supérieures à celle de Simon, pourtant déjà bien monté.
- Mmmm... Vous êtes à croquer, les garçons.


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Lisa se lève alors et vient rejoindre les garçons. Elle avance lentement et, tout en marchant, elle fait glisser sa robe sur des hanches jusqu'à ce qu'elle tombe à ses chevilles et qu'elle l'enjambe pour l'abandonner derrière elle. Les deux hommes admirent la jeune femme s'arrêter devant eux, à portée de mains. Simon comme Marc-Antoine semblent en arrêt, fascinés. Aucun n'ose toucher et pourtant Lisa lit dans leurs yeux à quel point ils ont envie de tendre les mains pour la caresser. Après quelques secondes interminables où seuls les yeux semblent servir de contact entre eux, Lisa lance l'invitation :
- Vous êtes dociles, les gars, c'est bien. J'admire. En récompense, je pense que vous pouvez chacun me sucer un mamelon.
Aussitôt, les deux hommes se penchent en avant et embouchent chacun un téton tendu pour le sucer goulument.


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Quand Marc-Antoine se redresse, Lisa admire son sexe tendu :
- Je t'avoue que j'attendais ce moment avec impatience.
- Quoi ? Qu'on te suce les seins ?
- Non, de revoir ta queue. Ton énorme queue...
Lisa se laisse alors glisser au pied de Marc-Antoine et se retrouve avec la phénoménale érection au niveau des yeux, la faisant loucher. Elle la saisit et la guide dans sa bouche pour le sucer.


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Marc-Antoine ferme les yeux et soupire de plaisir :
- Pffffff... moi aussi ça m'avait manqué...
Après une bonne minute de fellation, Lisa se relève souriante et se tourne vers Simon :
- Je ne t'ai pas oublié, mon amour. Tu fais bien partie du gage proposé par Marc-Antoine.
Elle saisit le sexe de son mari et, posant un pied sur l'accoudoir du canapé, elle le guide dans sa fente humide.


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Lentement, Simon la pénètre. Il sait ce qu'elle veut. Il connaît son sens de la bienséance et du savoir -vivre. Il sait que, sous aucun prétexte, elle ne transigerait à s'offrir à leur hôte en priorité. Certes, elle lui a donné sa bouche. Mais pourquoi s'offrir ensuite à Simon ? Faire naitre une certaine frustration chez Marc-Antoine ? Non, elle a une autre idée en tête. Une idée bien précise. Et Simon la connaît tellement bien. Il sait ce qu'elle veut. Se tournant vers Marc-Antoine, présentant donc la croupe de sa femme, il lui dit :
- Marc-Antoine, je crois qu'il reste une petite place pour toi...
Comme si ce n'était pas suffisamment explicite, il fait pénétrer deux doigts dans l'anus de Lisa.


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Lisa prend un air paniqué :
- Non ! Pas comme ça. Il est trop gros !
Mais Simon, là encore, la connait bien. Il l'a déjà vu se faire sodomiser par des queues de calibre similaire sans broncher. Il sait qu'elle fait ça pour exciter sa proie. Il joue le jeu :
- Ne t'inquiète pas. Marc-Antoine sait se montrer doux et attentif. Tu ne vas pas le regretter.
Ayant l'aval du mari, Marc-Antoine vient les rejoindre et guide aussitôt son gland énorme dans l'œillet étroit.



Simon interrompt momentanément ses pénétrations. Il sent le gland de Marc-Antoine se frayer peu à peu un chemin dans l'étroit fourreau. Lisa retient son souffle. Elle gémit :
- Ooooh... Tu le sens toi aussi ? Tu sens comme il est gros ?
- Oui. Tu aimes ça ?
- Oh oui ! Il va me défoncer...



Le regard de Lisa, bien que perdu, tombe alors sur une masse poilue enroulée sur un large coussin dans le coin de la pièce :
- Mais... tu... tu as un chien ?
- T'inquiète pas. Il est dressé au doigt et à l'œil. Il ne bougera pas.
Lisa regarde le chien mais ne semble plus être consciente. Une vague de plaisir l'envahit. Les deux sexes en elle lui donnent un plaisir incroyable et elle semble atteindre le Nirvana.



Elle a même à peine conscience que Simon éjacule tout au fond de son temple. Celui-ci s'immobilise tandis qu'il se répand en elle, laissant Marc-Antoine continuer les assauts qui maintiennent Lisa dans un état d'orgasme presque permanent. La queue de ce dernier prend tellement de place que Simon se sent à l'étroit et, quand il se retire, il constate que la pression de l'énorme queue de leur hôte bloque sa semence au fond du sexe de Lisa.



Quand il se sent venir à son tour, il repose Lisa au sol, et continue de la besogner alors qu'il éjacule en abondance dans son cul. Lisa, toujours en train de jouir, a cependant conscience de l'incroyable quantité de foutre qu'il est en train de déverser dans son séant. Simon admire. Le visage de sa femme en train de jouir puissamment. L'énorme queue de Marc-Antoine qui s'extrait doucement de l'anus de sa femme. Et surtout, l'incroyable quantité de sperme libérée par son retrait de l'étroit canal, flot accompagné du sperme de Simon, libéré par le retrait de la verge colossale.



Marc-Antoine se retire :
- Oh Lisa, c'était divin !
Lisa peine à retrouver ses esprits. Elle ne se sent pas la force de se lever. Son corps est encore secoué de quelques spasmes de plaisir et, toujours à quatre pattes, elle sent le sperme continuer à s'écouler par terre. Elle reprend son souffle :
- Ah... quel pied... vous m'avez fait jouir comme jamais, les garçons. Mais je suis épuisée tant vous m'avez défoncée.


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Marc-Antoine rigole de la voir dans cet état :
- On a tout donné ma belle.
Simon ajoute :
- Et si tu ne nous crois pas, il te suffit de regarder la mare de sperme sur le parquet entre tes jambes...
- Oh mince, tout ça ?!
Lisa se retourne alors et, se penche pour lécher le sperme encore chaud sur le parquet.


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Marc-Antoine est subjugué :
- Wahou ! Tu ne veux rien perdre, toi !
Lisa se redresse :
- Je voulais juste goûter pour voir si c'était comme dans mon souvenir.
- Et alors ?
- Alors, là c'est tout mélangé, le tien et celui de Simon, ça fausse un peu le goût.
Elle s'appuie au chambranle de la porte et demande à Marc-Antoine :
- Alors, ce gage était-il à la hauteur de tes attentes ?


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- Ah oui ! Carrément !
- Tant mieux. Nous aussi, on s'est bien amusé.
Simon sourit :
- Et j'aime bien quand on m'implique comme ça dans les gages. Je n'ai pas l'impression de n'être qu'un chien qui suit sa patronne partout.
- Bien sûr que non, mon amour. Tu es presque aussi bien dressé que le Rottweiler de Marc-Antoine.
Simon regarde le chien, sagement endormi sur son coussin et rigole :
- Ceci dit, on partage la même tenue : à poil !
Il ramasse alors ses vêtements et la robe de Lisa qu'il lui tend. Pendant qu'elle l'enfile directement, Simon se rhabille lui aussi. Marc-Antoine semble vouloir rester nu. Il demande :
- Heu, vous voulez peut-être prendre une douche avant de partir ?
- Non, tu es gentil, mais il faut qu'on rentre. On travaille demain tous les deux.


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- Je peux vous déposer à la gare si vous voulez ?
- On est venu en voiture. On est garé pas loin sur l'avenue Santy. Mais c'est sympa de proposer.
- Vous reviendrez ?
- A l'occasion, pourquoi pas. C'est vrai que c'est une jolie ville et on n'en a vu que très peu finalement...
Lisa fait un clin d'œil à Simon.

[gage] Une journée dans la Ville Lumière

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