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The Good Place - Épisode 8- partie 1 Mme Lambert le séduisait depuis le début de l'année scolaire. Julien n'avait que 19 ans et une expérience sexuelle trop réduite à son gout, mais il sentait que cette femme encore terriblement bandante malgré son âge le chauffait volontairement. ![]() images similaires Malgré des résultats scolaires excellents, elle trouvait toujours un prétexte pour le garder à son bureau à la fin des cours. Ce n'était ensuite que remarques inutiles, mises en gardes exagérées et conseils bien trop précoces sur son avenir scolaire... tout cela avec pour seul objectif d'exhiber son décolleté... ![]() ... ou ses bas. ![]() A vrais dire, au début Julien ne se doutait de rien et se contentait de profiter du peu de pudeur qu'avait cette prof de biologie. Et ses allusions au fait que le sexe était une chose normale et naturelle ne faisaient que rajouter à son aura. Ensuite, l'évidence est apparue aux yeux de Julien tandis qu'un soir, en colle, elle s'exposa plus que d'habitude, assise sur son bureau. ![]() Puis Mme Lambert était retournée s'assoir derrière son bureau et cela n'avait alors été une série de croisements de jambes généreux. ![]() images similaires ![]() images similaires ![]() images similaires Julien avait alors pu contempler sa culotte et ses bas sans aucun problème pendant près d'une demi-heure. Une obsession était alors née chez lui. Une obsession à la fois sexuellement perverse et aussi teintée d'un amour puéril pour une femme plus âgée. Il avait commencé à l'imaginer dans toute sorte de situations excitantes, parfois romantiques, parfois complètement dégradantes et essayait de la mater à la moindre occasion. Un soir, en colle (Julien avait cette fois délibérément fait une connerie pour rester avec elle), il avait mis au point un plan pour filmer sous sa jupe avec son téléphone. Le subterfuge était grossier : alors qu'elle passait à côté de sa table, il avait fait tomber un crayon de sa table en espérant que sa prof, avec son tempérament d'allumeuse, se penche pour le ramasser. Et, comme elle le faisant, il avait alors pût filmer sous sa jupe. ![]() images similaires Et alors qu'il pensait avoir été discret, Mme Lambert l'avait interpellé en fin de colle et, assise sur son bureau, lui avait dit : - Tu sais Julien, si tu veux voir ma culotte, il suffit de demander ! Elle écarta alors les jambes pour montrer ce magnifique string pour lequel Julien c'était donné du mal ! Le string était en dentelle et la transparence du tissu laissait apparaitre une belle surface de peau au niveau du bas ventre et le début de ses poils pubiens. ![]() L'obsession de Julien ne faisait que croitre. Plusieurs jours après cet évènement, Julien avait été à nouveau convoqué à son bureau après les cours. Mme Lambert lui a alors demandé sans détour s'il s'était masturbé en pensant à elle, s'il l'imaginait dans des situations perverses. Gêné, il avait nié, malgré l'évidente attraction qu'il éprouvait pour elle. De plus, c'était une femme expérimentée qui savait forcément que les jeunes hommes passaient leur temps à se branler. Mais l'embarras l'avait emporté et il avait continué d'affirmer qu'il ne s'était pas masturbé en pensant à elle. Amusée par le refus de Julien de se livrer, elle lui avait alors sauté dessus pour lui baisser son pantalon et l'avait masturbé elle-même. Julien avait jouit très rapidement, sur la main de Mme Lambert et celle-ci, après s'être essuyé les doigts, l'avait alors demandé de sortir de sa salle, comme si de rien n'était. ![]() images similaires Suite à cet évènement déclencheur, leur relation a rapidement pris une tournure classique de maîtresse/amant. Après les cours ou bien en colle, ils se retrouvaient et faisaient... exactement ce que Mme Lambert décidait. Si elle avait envie de se faire sauter, Julien devait la baiser et surtout devait le faire bien ! ![]() images similaires S'il avait été décevant, il pouvait se voir contraint, non pas à l'abstinence (car Mme Lambert avait des besoins énormes) mais à la faire jouir pendant une durée indéterminée, parfois des jours ou des semaines, sans espérer lui-même se soulager avec elle. ![]() Mais parfois, lorsqu'il avait été bon, elle lui faisait un plaisir, en général une belle pipe goulue... ![]() ... terminée de la manière qu'il lui plairait. En général, Julien optait pour l'éjaculation faciale, un must pour tout ado bercé au porno ! ![]() Évidemment, avec de telles récompenses, Julien s'efforçait de faire des progrès et devenait un bon amant, même du point de vue de cette femme expérimentée. Il devenait aussi plus gourmand, voire pervers, et plus audacieux. Il jouait avec la fierté et la volonté de domination de Mme Lambert pour lui poser des défis. Un des plus gros challenge qu'il lui ait proposé était de baiser au CDI, avec d'autres élèves autour. Il avait d'abord proposé qu'elle s'assoie à son bureau en faisant mine de travaille et se masturbe pour le chauffer. Magnifique scène qu'il avait évidemment filmé, pour la postérité ! ![]() Puis, une fois tous deux surexcités, il lui avait demandé si elle préférait la version prudente d'un petit coup vite fait le temps d'une pause ou si elle osait la totale : pipe, baise dans plusieurs positions et final explosif, le tout évidemment toujours au CDI. Piquée au vif par Julien qui doutait de son courage, Mme Lambert avait opté pour la deuxième solution et Julien l'avait donc baisé avec une rare intensité, entre deux étagères de livres. ![]() ![]() ![]() images similaires ![]() Le clou de cette journée avait été pour Julien de faire accepter à Mme Lambert une petit photo souvenir de son joli visage de femme mure souillé de sperme chaud avec, en arrière-plan, des élèves en train de travailler. ![]() Cette aventure avait été le point culminant de leur relation passionnée. Mais comme toutes les passions, la flamme finit par faiblir et Mme Lambert avait commencé à solliciter Julien de moins en moins souvent. Pourtant lui était fou amoureux et ne cessait de se manifester à elle. Rien n'y faisait, Mme Lambert avait toujours une bonne excuse pour reporter un rendez-vous. Un soir, il tenta de la surprendre, se disant que c'était la surprise et la spontanéité qui manquait à leur relation. Alors qu'il s'approchait de la salle de classe, bien après la fin des cours, il la vit en train d'allumer un autre élève, un grand métis de l'équipe de rugby. ![]() Mme Lambert avait trouvé un nouveau jouet et n'avait plus besoin de Julien. Le cœur brisé, Julien cru trouver le réconfort dans les photos et vidéos qu'il avait fait de sa prof de biologie mais n'y trouva qu'une source de jalousie qui évolua en colère et, au final, en désir de vengeance. Il commença, sans la moindre hésitation, à publier sur le réseau interne du lycée la vidéo de Mme Lambert croisant et décroisant les jambes sous son bureau. On n'y voyait pas son visage et la qualité était mauvaise. Personne ne fit donc le lien avec un membre du lycée. Personne, sauf Mme Lambert qui reçut bientôt une menace claire de Julien de diffuser les autres vidéos, beaucoup plus explicites. La condition pour son silence ? Que Mme Lambert redevienne sa maîtresse et qu'elle soit, cette fois-ci, soumise et obéissante. Coincée, elle accepta de répondre aux sollicitations de Julien. Sauf que les règles de domination s'inversèrent et lorsque Mme Lambert ne se montrait pas à hauteur, Julien la punissait. A l'instar des châtiments qu'il avait subi, il se contentait parfois de prendre sa prof par le cul et lui refusait tout orgasme, se contentant de se soulager dans son colon. ![]() images similaires C'est avec Mme Lambert que Julien devint accro à la sodomie. Il l'enculait presque à chaque séance de sexe et il arrivait qu'elle passe des jours voire des semaines à n'être pénétrée que par le cul. ![]() images similaires Bizarrement, le fait de ravager de derrière de sa prof ne suffisait pas à apaiser le mal qu'elle lui avait fait. D'ailleurs elle ne faisait rien pour car, malgré le chantage, elle méprisait et rabaissait sans cesse Julien, comme pour se convaincre elle-même qu'elle gardait le contrôle. Rempli de haine envers elle autant que de désir, Julien décida alors... de la détruire. Il commença par la partager avec des copains de classes. ![]() images similaires Il organisait des fausses colles avec un complice et ils baisaient ensuite cette pauvre Mme Lambert qui, malgré tout, ne manquait pas de jouir copieusement lors de ces séances. Il s'invitait également chez elle pour la baiser sans risque d'être surpris. Il était alors rarement seul, emmenant toujours avec lui un ami ou deux. ![]() images similaires La tranquillité de son domicile permit à Julien de lui faire faire des choses plus acrobatiques ! Julien, malgré son chantage, n'avais jamais à insister trop longtemps pour que sa prof de bio accepte les parties de jambes en l'air, en bonne nymphomane qu'elle était ! ![]() Avec la multiplication des rendez-vous de ce genre, la réputation de Mme Lambert se dégrada rapidement et de plus en plus d'élèves lui étaient passé dessus. Bientôt, certains profs se joignirent à la fête. ![]() images similaires Mme Lambert pouvait être baisée dans sa salle après les courts, en colle, au gymnase ou chez elle. Julien participait d'ailleurs de moins en moins aux orgies et laissait les autres élèves s'organiser entre eux. La prof, d'ailleurs, ne subissait plus aucun chantage et avait manifestement pris gout au fait d'être la vide couille de tout un lycée. A la fin de l'année scolaire, avant de partir à l'université, Julien avait réduit Mme Lambert au stade de trainée sans plus aucun amour propre, toujours partante pour un gangbang dégradant. ![]() images similaires A la rentrée, après plusieurs semaines sans avoir eu de nouvelles d'elle, il apprit par un ancien camarade de classe que Mme Lambert avait démissionné de l'éducation nationale pendant les vacances et avait déménagé. Personne n'a su ce qu'elle était devenue. En apprenant cette nouvelle, Julien fit le bilan de ce qu'il avait fait : transformer par le chantage une prof un peu volage mais respectable en une pute offerte à tous. Et face à ce constat, il éprouva un remord, un seul : celui d'avoir laissé cette chienne lui briser le cœur. Pour le reste, aucun regret. En abordant sa vie d'étudiant à la Fac, il se promit une chose : ne plus jamais s'attacher à une femme et se servir d'elles comme des kleenex, c'est-à-dire les user, les souiller puis les jeter. C'est avec ce souvenir digne des pires enfoirés de la Terre que Julien se réveilla dans son lit, à côté de Dakota. En la regardant dormir, il se dit immédiatement que sa façon de traiter les femmes lui avait procuré beaucoup de plaisir mais l'avait également conduit au bord du gouffre. Et c'est finalement l'amour d'une jeune femme parfaite qui allait peut-être le sauver. Mais bordel que c'était dur ! Il attaquait sa deuxième journée de sevrage et ne pensait qu'à une chose : baiser. La première journée avait été facile car il était resté chez lui en compagnie de Dakota et avait passé leur temps à lire, bavarder, se reposer, manger et boire comme un jeune couple normal. La nuit, avec ce cauchemar de sa vie passée, avait été plus difficile et la journée qui commençait s'annonçait comme un défi. D'ailleurs, en regardant l'heure matinale affichée sur le réveil, il décide de repousser la perspective de démarrer cette journée et repose sa tête sur l'oreiller pour rejoindre Dakota dans les bras de Morphée. Il est réveillé un peu plus tard par une agréable sensation : celle de Dakota en train de le sucer au lit. ![]() Dakota semble affamée et commence à mordiller le sexe de Julien. Celui-ci se dit que c'est une étrange méthode de sevrage mais se laisse pomper le dard avec plaisir. Cependant, les mordillements deviennent de plus en plus marqués et Dakota semble prendre du plaisir à serrer ses mâchoires sur la queue de Julien. Soudain, Dakota se déchaine et mord, comme dans un morceau de viande le sexe de Julien qui se mets à hurler. Le sang coule... Un morceau de chair cède... Julien se réveille alors en sursaut et vérifie aussitôt que son sexe est bien en place, intacte. Le moment de panique passé à cause de ce cauchemar, Julien regarde autour de lui et aperçoit Dakota en train de s'habiller. Nue, de dos, elle enfile une culotte. ![]() images similaires Elle se retourne : - Bonjour mon chéri, tu vas bien ? - Heu.... Oui... mais j'ai fait un horrible cauchemar... - C'est normal, tu es en manque. Cela peut durer quelques jours mais ça finira par se calmer. ![]() images similaires Dakota se tourne alors vers Julien en finissant d'enfiler sa culotte. Elle se montre ainsi seins nus devant lui. ![]() images similaires - Il faut dire aussi que tu ne facilite pas les choses... ajoute Julien en pointant les seins de Dakota. - Oups, pardon ! C'est en effet cruel de ma part, répond-elle en se couvrant les seins. ![]() images similaires - C'est guère mieux ! Tout chez toi m'excite ! - Désolé. Allez, je vais faire du café. Rejoins-moi dans le salon, je serai habillée plus convenablement ! Dakota sort alors de la chambre pendant que Julien traine au lit puis se lève et s'habille vite fait : un t-shirt et un simple boxer. L'odeur du café frais dans la cuisine l'incite à repousser pour plus tard sa douche. Dans le salon, Dakota, vêtue d'un haut et d'une veste de jogging, l'attend sur le canapé, avec deux mug de café fumant posés sur la table basse devant elle. ![]() images similaires Julien s'approche en disant qu'elle est l'âme sœur idéale. Mais tandis qu'il arrive à sa hauteur, Dakota aperçoit alors l'énorme bosse qui déforme son boxer. ![]() - Julien, tu bandes encore ? - Mais Dakota... ça fait deux jours que je bande en permanence ! Et, sans vouloir te vexer, c'est en partie de ta faute ! - Bon ! Je crois que si je veux que tu réussisses ce sevrage sans craquer et me sauter dessus, il faut que je te laisse tranquille. Dakota se lève, prend 2 gorgées de café, embrasse Julien et se dirige vers la sortie en lui conseillant de sortir de chez lui et de prendre l'air. Le fait de discuter avec d'autres gens lui changera aussi les idées, en essayant d'aller voir des gens vieux, moches ou autre pour le calmer ! Elle avait dit cette dernière phrase avec un ton d'humour car ce genre de jugements de valeur n'était pas vraiment du genre du « bon endroit ». Julien la salue et regarde Dakota sortir de chez lui en direction de sa maison. Il constate que celle-ci est sortie dans sa tenue de pyjama : veste de jogging, petit haut et mini short moulant. Bref une tenue très excitante pour quiconque la croiserait ainsi. ![]() Julien se demande alors si Dakota a toujours été « décomplexée » de cette manière ou si c'était les changements de fonctionnement qu'il avait initiés dans le quartier qui commençaient à infuser dans les comportements des résidents. Il eut la réponse à cette question en sortant de chez lui, plus tard dans la matinée. En effet, la promenade dans le quartier censée lui aérer l'esprit et lui changer les idées se transforma vite en terrible épreuve. Pour profiter du soleil qui, c'est très pratique, brille tous les jours sans provoquer ni sècheresse ni canicule, Julien décide d'aller à la plage afin de faire bronzette et éventuellement de se baigner. En arrivant à la plage, il comprend immédiatement que ce ne sera pas si simple. Il croise d'abord deux belles blondes, en tout petit bikini, qui le saluent chaleureusement : - Bonjour Julien ! ![]() images similaires - Bonjour... heu... Olga et Petra... c'est ça ? - Oui c'est bien ça ! Tu viens bronzer ? - Oui... je me trouve un peu palot depuis ma mort ! - Tu perds ton temps, le soleil ici ne change pas notre teint. J'imagine que c'est lié au fait que c'est cancérigène et que... on n'est pas censé attraper un cancer au bon endroit ! - Oui, en effet. Et bien je vais juste faire une sieste sur la plage alors. - Ok, bonne journée alors ! Et si tu veux un beau bronzage, il suffit de demander à Janet, elle fait ça à merveille ! - Merci du tuyau, bonne journée les filles. Julien, soulagé que ces deux mignonnes ne restent pas plus longtemps, se dirige vers un coin désert de la plage et s'allonge. Au bout de quelques minutes, il entend le bruit d'une serviette que l'on déploie et tourne la tête dans cette direction. Derrière lui, également à l'écart, une magnifique femme, seins nus, s'allonge sur la serviette et commence à lézarder au soleil. En voyant Julien, elle le salue, manifestement peu gênée d'être presque nue. ![]() images similaires Julien lui retourne son bonjour et s'allonge à nouveau en essayant de regarder en direction de l'eau. Mais rapidement, il voit une belle brune en train de nager et de se rapprocher du bord. Arrivée sur le sable, celle-ci s'assoit pour souffler un peu et Julien s'aperçoit alors qu'elle est, elle aussi, seins nus. ![]() images similaires Julien se maudit alors d'avoir aussi efficacement libéré les mœurs du quartier car, à présent qu'il doit se sevrer, cela se retourne contre lui. L'épreuve ne fait pourtant que commencer car au moment où cette femme se lève, Julien se rend compte qu'elle est en réalité complètement nue. ![]() images similaires Au même instant où Julien aperçoit cela, le regard de la belle brune se pose également sur lui. Gênée, elle se couvre alors les seins et le sexe. ![]() images similaires - Oups ! dit-elle avec le sourire... ce coin est normalement tranquille, je ne t'avais pas vu. - Aucun souci, répond Julien qui ignorait complètement le nom de cette résidente. Je me tourne le temps que tu passes ! - Merci, c'est gentil ! répond-elle alors en trottinant pour aller rejoindre sa serviette. Cependant, à nouveau sur le ventre, le regard tourné vers la plage, Julien retombe sur la belle blonde qui bronze sur sa serviette, toujours topless. ![]() images similaires Elle-même est sur le ventre, sans faire attention à Julien, offre une vue magnifique sur son postérieur. Julien pense pouvoir gérer le fait d'avoir de si belles fesses sous le nez jusqu'au moment où, pour retirer du sable qui c'était glissé là où il n'a rien à faire, la belle blonde écarte son maillot de bain et expose furtivement son sexe. ![]() Le cœur de Julien manque alors un battement et le jeune homme décide alors de quitter la plage car, clairement, les sources de tentation sont trop fortes. Désireux d'enlever le sable qui le recouvre et de refroidir les esprits, il se dirige vers les douches de plage, réputées pour être fraiches. Mais il y aperçoit une autre résidente, nue également, elle aussi en train d'enlever le sable et le sel de son corps. ![]() Là encore, il préfère battre en retraite et se dirige vers une autre douche, libre. Mais la blonde derrière lui l'appelle : - Julien, attend, j'ai terminé ! Tu peux prendre ma place. - Hum.... Merci.... C'est sympa, répond-il gêné en passant sous la douche tandis que la blonde allait récupérer sa serviette. ![]() images similaires Contrairement à la brune rencontrée au bord de l'eau, cette résidente n'est absolument pas embêtée par le fait d'être nue à côté de Julien. D'ailleurs, elle engage la discussion : - Au fait, je voulais te remercier, Julien. - Ah... pourquoi ? - J'ai appris qu'un salon de massage venait d'ouvrir et que c'était ton idée. Tout comme la boutique de lingerie sur laquelle Julia travaille. C'est vraiment une excellente idée de ta part car ce sont des choses que j'adorais étant vivante et qui me manque aujourd'hui. D'autant qu'à mon époque, la lingerie n'était pas aussi élaborée qu'aujourd'hui. - Tu es ici depuis quand ? - Depuis environ 40 ans. Et j'ai hâte de pouvoir enfiler un porte-jarretelle comme au bon vieux temps pour faire plaisir à mon âme sœur !! La belle blonde termine alors de ce sécher et jette la serviette sur son épaule. Elle commence à s'éloigner puis se retourne et dit à Julien, en guise d'au revoir : - Tu devrais passer au salon de massage pour voir Asa à l'œuvre. Elle et Julia t'attendent, je crois... ![]() images similaires - J'y passerai tout à l'heure, répond Julien en la regardant s'éloigner et en restant hypnotisé par son petit cul. Il faut une douche fraiche de plus de 15 min pour permettre à Julien de débander un peu et de pouvoir quitter la plage sans exposer une gaule qui, avec ce soleil, ferait cadran solaire. Quittant la plage, Julien se dirige vers la partie du quartier concentrant les commerces et les bâtiments officiels, notamment celui de l'architecte, Julia. En route, il s'arrête dans un magasin pour s'acheter une glace, ou plutôt un yaourt glacé chose que semblent apprécier les anglo-saxon du quartier mais qui laisse Julien un peu sur sa faim. A la caisse (façon de parler car rien n'est payant au « bon endroit »), la serveuse d'habitude si professionnelle, si sérieuse, si... chiante, lui fait un large sourire en l'accueillant et expose sans complexe en magnifique décolleté. ![]() images similaires Puis, après avoir fait le cône de glace avec sa machine à « frozen yogourt » elle se retourne vers Julien et lui donne. Celui-ci aperçoit alors les tétons de la jeune femme pointant sous son débardeur. Est-ce le froid ? Est-ce l'excitation ? Ou un peu des deux ? Julien n'en sais rien mais est sûr d'une chose : la serveuse ne porte pas de soutien-gorge et flirt avec les clients. ![]() images similaires Ce n'est d'ailleurs pas la seule dans ce cas car, à la terrasse du magasin, une autre résidente arbore elle aussi des tétons qui pointent alors qu'elle boit un café brulant. Le froid n'est certainement pas en cause dans ce cas ! ![]() Les femmes ne semblaient par les seules à avoir des mœurs plus légères puisque derrière lui, il aperçoit un client passant une main aux fesses d'une autre serveuse en la remerciant de la prestation. ![]() Celle-ci retira sa main avec le sourire et en disant : - Enfin Robert... Ça ne se fait pas ! Ou alors en demandant poliment ! La serveuse avait ajouté cette dernière partie en faisant un clin d'œil au client qui incitait clairement à recommencer ! Sorti du magasin, Julien essaie de penser à autre chose que les tétons qu'il a aperçus et « savoure » sa glace en se dirigeant tranquillement vers le salon de massage d'Asa. Il croise plusieurs résidentes qui, clairement, arborent des tenues bien plus décontractées voire sexy que les premiers jours de son arrivée ici. Il y a encore peu de temps, il aurait été ravi de cette libération des tenues mais là, il sait que son sevrage s'en sera que plus dur. ![]() images similaires ![]() images similaires A la hauteur d'un fleuriste, il croise une magnifique femme, sans doute d'origine indienne, qui choisit un bouquet de fleur, vêtue d'une longue robe. ![]() images similaires Cette tenue sage rassure un peu Julien qui se dit que tout le quartier n'est pas encore passé en mode allumeuse. Mais alors qu'elle repose un pot de fleur pour un choisir un autre, Julien s'aperçoit que la robe est largement fendue sur le devant et qu'elle révèle de magnifiques jambes. ![]() images similaires Julien dépasse la femme en essayant de ne pas la reluquer mais c'est elle qui le rattrape et l'interpelle : - Julien ! - Oui ? Répond celui-ci en se retournant. - Bonjour... Je suis Shyla, je ne suis pas sûr qu'on se soit encore croisé depuis ton arrivée ici. - Bonjour Shyla, non je ne crois pas t'avoir déjà vu en effet. ![]() images similaires - Tu vois souvent Anissa, je crois ? - Heu... et bien... on est voisin... donc on se croise régulièrement, répond Julien, gêné et inquiet que sa relation avec elle ne soit connue. - Bien ! Tu pourras lui dire à l'occasion que je n'arrive pas à trouver la couleur de fleur qu'elle m'a demandé pour sa prochaine fête. Je vais voir avec Janet mais je n'aime pas trop me servir d'elle comme d'un distributeur... - Ok... je lui dirai à l'occasion, répond Julien distrait et complètement absorbé par la jambe de Shyla qui dépasse de sa robe. ![]() images similaires - Quoi ? C'est ma robe c'est ça ? demande-t-elle alors, un peu agacée. Toi aussi tu la trouves choquante, c'est ça ? ![]() images similaires - Hein ? Quoi ? Non, elle est très bien ta robe... - Vraiment ? Tu ne l'as trouves pas un peu osée quand même ? Mon mari dit qu'elle ne cache pas grand-chose quand je marche vite ! ajoute-elle en écartant un peu les pans de sa robe comme pour illustrer son propos. ![]() images similaires - Non je t'assure c'est très joli et ce n'est pas si... ouvert que ça. - Bon... tant mieux parce que je l'adore cette robe ! Et même si au moindre coup de vente, elle se soulève complètement... Et à nouveau, comme pour illustrer la situation qu'elle décrit, elle se tourne légèrement et soulève d'un coup l'arrière de sa robe comme si une bourrasque l'avait fait, et expose furtivement ses cuisses et ses fesses. ![]() images similaires - Et bien... vivement qu'il y ai une tempête ! déclare Julien en tentant l'humour pour se sortir de cette situation. - Quel charmeur ! Anissa a raison... vous les français êtes incorrigibles ! Je dois y aller, tu penses à faire passer la commission ? Sinon Anissa va encore me faire une crise dont elle a la spécialité ! - Oui, pas de souci, au revoir Shyla ! Julien regarde, subjugué, Shyla s'éloigner en constatant en effet que les pans de la robe se soulèvent à chaque pas. Il avait rarement vu des jambes aussi belles. Il commence à croire qu'il n'arrivera jamais au terme de son parcours vers le salon de massage mais il se fait alors la réflexion qu'en réalité, les résidents l'ont toujours salués lorsqu'il se promenait en ville. Il y avait toujours une femme pour lui souhaiter la bienvenue, un homme pour lui dire de passer à la maison un de ces jours, etc. Les résidents du quartier sont, depuis le premier jour, très chaleureux avec lui. Sauf que maintenant, ils sont chaleureux ET séducteurs ! Julien reprend son chemin et se concentre sur sa glace en évitant du regard les bombes sexuelles qu'il croise et en se concentrant, comme l'a proposé Dakota, les veilles et les moches ! Malheureusement pour lui, il croise un peu plus loin Anissa, sa voisine et maîtresse. Il aurait souhaité l'éviter mais il était trop tard : elle l'avait aussitôt remarqué et l'avait appelé. Anissa était, comme d'habitude, magnifiquement mise en valeur par ses vêtements. Contrairement à d'autres résidentes, la belle orientale n'avait jamais eu peur de montrer ses atouts généreux en public. D'ailleurs, lors de leurs discussions, Dakota avait rapidement avoué sa jalousie devant ce corps si parfait. - Julien ! Comment vas-tu ? Je commençais à m'inquiéter, ça fait deux jours que je ne t'ai pas vu ! ![]() images similaires - Oui... j'ai passé pas mal de temps avec Dakota. - Je vois ! répond Anissa en faisant un clin d'œil. La pauvre Dakota doit avoir du mal à marcher à présent ! - Rhoooo Anissa... - Allons, ne fait pas le timide. Je me souviens d'un Julien qui sait parfaitement comment prendre une femme... répond Anissa en s'approchant de Julien et en lui palpant le paquet. ![]() Puis elle continue en parlant à voix basse : - D'ailleurs, ça ne te dirais pas de passer chez moi tout à l'heure... J'ai bien envie, moi aussi, de ne plus pouvoir marcher... - Aujourd'hui ça ne va pas être possible, Julia m'attend à son bureau et ensuite je passe la soirée avec Dakota. On a besoin de passer un peu de temps ensemble, tu comprends ? J'essaierai de passer te voir dans les jours prochains... - Bien... Dommage... Ne me fais pas trop attendre quand même... tu m'as fait découvrir des aspects de ma personnalité que j'ai envie d'explorer encore, répond Anissa en jouant avec ses cheveux, une technique classique de drague, même en étant mort ! ![]() images similaires Julien regarde Anissa s'éloigner en se retenant de la rattraper pour la prendre sauvagement. La belle brune faisait clairement allusion au sexe brutal et à la sodomie quand elle parlait « des aspects de sa personnalité qu'elle voulait explorer encore ». Et Julien avait également très envie d'explorer son cul ! Il réussit à se ressaisir et à, enfin, atteindre le salon de massage. Il se demandait d'ailleurs ce que lui voulaient Asa et Julia. Les convocations de l'architecte le stressaient toujours et depuis qu'Asa avait découvert la vérité à son sujet, il essayait à tout prix d'éviter de la croiser. Une fois entré dans le salon, il découvrit Asa seule, de dos, en train de trier son matériel. Dans sa longue blouse blanche, elle ne remarque pas Julien qui décide de l'interpeller. - Asa ? La belle asiatique se retourne et Julien découvre alors que sa blouse est largement ouverte sur une lingerie très jolie mai assez sage. ![]() images similaires - Whoa quel accueil, poursuit-il, surprit. - Et oui ! Pourtant ça n'attire guère de résidents... Si seulement ils osaient passer le seuil de la porte, ils seraient convaincus. - Clairement ! Il parait que tu voulais me voir ? - Oui et non. Hier, après le passage d'une de nos rares clientes, nous avons parlé de ce problème de fréquentation avec Julia et nous aurions voulu avoir ton avis. Mais tu étais introuvable... - J'étais avec Dakota... je lui ai tout dit, déclare Julien à voix basse. J'ai tout avoué et elle a promis de m'aider à me sevrer. - Te sevrer ? Je ne suis pas spécialiste, Julien, mais vu comment tu as transformé ce quartier, ça ne va pas être facile. A mon avis, tu aurais plus facile à apprendre à te contrôler. Comme je le fais. - C'est la méthode de Dakota et, pour l'instant, je suis ses conseils. - C'est très sage de ta part ! Je constate que tu es sur la bonne voix en tout cas et cela me rassure. ![]() images similaires Puis elle enchaine : - Tu pourrais aller voir Julia et voir si elle a trouvé un moyen de booster la fréquentation du salon de massage. Je m'ennuie ici et l'excitation que j'espérais n'est pas au rendez-vous. - J'y vais et je te tiens au courant. Et sache que je n'ai pas oublié non plus ma mission pour toi. - Tant mieux ! A plus, bad boy ! - Bad boy ? C'est moyen comme surnom ici... - Alors deviens un « good boy »... Moi il m'a fallu des décennies et... mourir, pour qu'on m'appelle par mon prénom au lieu de « esclave », « chienne » ou autres surnoms du genre... Cet endroit se mérite ! - Je sais, j'y travaille ! A plus... Asa. Julien quitte le salon de massage en direction du bureau de Julia, situé dans le bâtiment mitoyen. Les deux espaces communiquent d'ailleurs par une porte mais Julien préfère alors prendre le chemin « classique », comme n'importe quel autre résident, afin de garder cette attitude plus discrète qu'il a adopté depuis hier. En entrant dans le bureau, il ne trouve personne pour l'accueillir (Asa, l'assistante est maintenant occupée au salon de massage la plupart du temps). Il se dirige donc directement vers le bureau de Julia et la découvre assise sur le fauteuil réservé aux visiteurs, face à la porte. La tenue qu'elle porte surprend complètement Julien. Son soutien-gorge dépasse de sa robe minuscule, tout comme ses cuisses et ses bas. ![]() images similaires - Bonjour Julien ! Te voilà enfin, déclare Julia en l'invitant à entrer dans son bureau. - Bonjour Julia ! Voilà une tenue... plus que sexy ! - Ça te plait ! J'ai trouvé que c'était particulièrement pratique pour que les résidents voient mes sous-vêtements quand j'écarte les jambes, répond-elle en liant le geste à la parole. ![]() - En effet c'est parfait pour montrer ses sous-vêtements... mais j'ai peur que ce soit un peu trop excessif, Julia. - Vraiment ? Pourtant tu as dû voir que les résidents du quartier sont devenus beaucoup plus démonstratifs, non ? - Oui et justement, je trouve que les changements vont plus vites que prévus... On risque d'attirer l'attention sur le quartier. D'ailleurs je ne comprends pas comment on a pu passer de résidents coincés du derrière à des exhibitionnistes en chaleur en quelques jours juste en changeant la règle de la monogamie. - Oh, c'est parce que j'ai tout simplement diminué leur inhibition ! - Quoi ? Mais ce n'était pas prévu !! Julien comprend alors sa surprise face aux résidents qu'il a croisés ce matin. Que les femmes soient plus séductrices est logique avec la monogamie supprimée. Mais tous ces nudistes, ces allumeuses, ces pervers peloteurs, c'était l'œuvre de Julia ! - Non, ce n'était pas prévu, je sais. Mais Asa m'a fait part hier du peu de fréquentation du salon de massage. Et comme nous prévoyons d'ouvrir aussi d'autres établissements « pour adultes », j'ai pensé qu'il fallait un peu les motiver ! - Les motiver oui, mais pas les transformer ! Les résidents doivent rester eux-mêmes mais c'est le quartier et son fonctionnement qui doit leur permettre d'assumer leur sexualité s'ils le souhaitent ! Là on dirait que tout le monde est en chaleur. - Mince... tu penses que je suis allée trop loin ? - Oui mais ç'est rattrapable. Remonte un tout petit peu leur inhibition pour qu'ils restent « ouverts » sans qu'on ait des nudistes en pleine rue. Et pour le salon de massage, il y a d'autre moyen de faire sa promotion. Des moyens tout à fait classiques mais efficaces. - Ok... bon je file une seconde dans mon espace de contrôle et je reviens. Je suppose que je dois prendre une tenue plus décente également ? - Oui, ce serait mieux... même si j'admets que c'est très agréable à regarder ! Julia se dirige alors vers un des murs de son bureau, ouvre une porte qui, jusqu'à présent, était tout à fait invisible et en ressort littéralement une seconde plus tard en ayant changé de tenue... et de tête. Elle porte à présent une veste de tailleur... et c'est tout. Elle se présente seins et sexe à l'air devant Julien. ![]() - Voilà c'est réglé. Et pour la tenue, c'est mieux comme ça ? - Heu... Tu plaisantes ? - Évidemment ! Tu verrais ta tête !! Julia claque alors des doigts et apparait dans une version plus habillée. ![]() images similaires - Et voilà ! - Là c'est parfait, juste sexy comme il faut. - Oui et regarde, quand je me penche, on voit un peu mes bas... mais pas trop. ![]() images similaires - C'est l'idée : en montrer juste ce qu'il faut pour donner envie ! - Bien... et cette idée pour le salon de massage. Julien n'avait pas spécialement d'idée de promotion, il avait surtout voulu limiter les dégâts de la décision de Julia. Mais perspective de faire d'une pierre deux coups lui vient alors à l'esprit. - Et bien, comme pour les changements de comportements que nous avons initiés il y a plusieurs jours, je pense qu'il faudrait que tu montres l'exemple. Que tu ailles te faire masser en le faisant savoir. Les résidents, surtout les plus anciens, te voient comme une divinité. Si tu te fais masser régulièrement, ils suivront l'exemple et le feront également. - Ok, cela ne me dérange pas du tout, au contraire, Asa me semble douée dans ce domaine. Satisfait, Julien se dit qu'Asa serait ravie de masser la femme de ses désirs même si cela ne prenait pas le caractère sexuel qu'elle souhaitait. Pas tout de suite en tout cas. En tout cas, cela montrait à la belle asiatique que Julien s'occupait de sa part du contrat. - Super ! On commence tout de suite ? On va aller devant le salon, et je vais alors te demander un rendez-vous. Tu me répondras alors que tu ne peux pas car tu dois aller te faire masser, que les massages d'Asa sont divins, etc. Les passants autour de nous entendrons et, espérons-le, passerons le mot. - C'est parti ! Quelques minutes plus tard, Julien est dans la rue et fait mine de se diriger vers le bureau de Julia. Celle-ci en sort et marche en direction du salon, avec un sac de vêtements adaptés sous le bras. ![]() images similaires A haute voix et avec une intonation de mauvais acteurs, les deux complices échangent leurs lignes de dialogues et Julien conclu : - Oh zut alors, je vais devoir attendre que tu es fini ton massage. D'ailleurs, ça me donne envie d'essayer aussi. J'espère qu'Asa n'est pas overbookée ! A plus tard, Julia. - A plus tard Julien ! Julia, se retenant de rire, entre dans le salon et déclare vouloir un massage à Asa qui parait surprise. Julien, depuis la rue, lui sourit avec un air de dire « joyeux anniversaire ». Asa demande à Julia d'aller se changer dans une cabine et, pendant ce temps, sort rapidement du salon pour discuter avec Julien avant qu'il ne s'éloigne : - Elle veut vraiment que je la masse ? - Oui... à toi de jouer maintenant pour qu'elle ait envie de revenir ! Évidemment, je continue de la travailler au corps pour qu'elle devienne ta maitresse ! Julia sort alors de la cabine en peignoir. ![]() images similaires L'apercevant, Julien chuchote à Asa : - La voilà, amuse toi bien. - Merci ! Julia s'approche de la table de massage et, tout en enlevant son peignoir, demande à Julien : - Tu ne restes pas ? ![]() images similaires Celui-ci lutte alors contre l'envie de rester pour contempler ce corps de déesse. - Non, je dois aller manger avec Dakota. A plus tard vous deux. - Ok à plus tard ! répond Julia en finissant d'enlever le peignoir, se retrouvant alors en sous-vêtement. ![]() Sur le pas de la porte, Julien décide de tenter quelque chose pour faire plaisir à Asa. Il dit à voix basse : - Heu, Julia ? Je pense que si tu enlevais tes sous-vêtements, le massage serait plus agréable pour toi. Le tissu va gêner Asa. - Ah ? Asa, tu penses que c'est mieux ? demande-elle. - Heu, oui.... Oui sans aucun doute ! - Alors ok. Julia enlève donc ses sous-vêtements et se présente donc entièrement nue devant la table de massage. ![]() images similaires - J'espère que cette forme de publicité va marcher, dit-elle à Julien. Le jeune homme parcourt alors le magnifique corps de l'architecte et répond : - Oh j'en suis certain ! Bonne journée vous deux. Puis enfin, il s'éloigne, laissant Asa s'en donner à cœur joie avec le corps de Julia. Sa mission accomplie, il décide de rentrer chez lui car, décidément, cette balade n'a rien fait d'autre que l'exciter d'avantage. Il a hâte de prendre une nouvelle douche glacée et de raconter sa journée à Dakota, fier d'avoir lutté avec succès ! A suivre... |