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Lisa
16 mai 2021
Weekend sportif - 9 : Petit déjeuner

Dimanche, 9h29


Se levant, Pauline attrape un débardeur et commence à l'enfiler :
- On va prendre le petit déj' ?
Cédric se redresse et sourit :
- Ah oui ? Vraiment ? Tu t'habilles pour manger ?
- Si on veut manger en terrasse devant le bungalow, ça me semble mieux, non ?



- A cette heure, il fait encore frais. Je propose qu'on reste à l'intérieur et qu'on reste à poil.
- Et si je ne garde que mon débardeur. Pas de culotte, tu accepterais qu'on mange en terrasse ?
- Et si moi je ne mets qu'un tee-shirt et que je laisse Popol à l'aire, tu dirais quoi ?
- Mmmm, ce serait délicieusement choquant et terriblement excitant car bien moins discret que l'exhibition de ma foufounette. Et ça m'ouvrirait certainement l'appétit !



Pauline voit l'ombre de Rodolphe, toujours à la fenêtre à les observer discrètement et se ravise :
- Mais tu as raison, il fait sans doute un peu frais. Restons à l'intérieur.
- Chouette. Du coup tu peux virer ton débardeur.
- Si je le retire, tu ne vas pas arrêter de loucher sur mes nichons et tu ne vas pas manger.
- Je louche déjà sur tes fesses...
- C'est pas faux. Mais je serai assise.



Cédric se résigne :
- Bon, d'accord. De toute façon, nue ou avec ce petit débardeur sexy, ça ne m'empêchera pas d'être excité...
Pauline se retourne et voit que Cédric est effectivement totalement nu et son sexe est bien gonflé même s'il n'est pas vraiment dressé.


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Même s'il n'est pas toujours très pudique, elle sait que s'il avait conscience de la présence de Rodolphe, il n'oserait pas s'exhiber ainsi. Il n'en priverait toutefois pas s'il se savait observé par une fille. Pauline s'occupe à faire couler le café et à préparer la table du petit déjeuner.
- Finalement, c'est très bien avec ce petit débardeur.
Pauline, appuyée à la table, tourne la tête :
- Ah oui ?



- Oui, tu sembles habillée mais on voit bien tes jolies fesses et ton adorable minette.
- Hihi, je vois bien que ça te plaît.
Pauline désigne le sexe de son fiancé qui commence à se dresser lentement.


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Se retournant, la jeune fille demande :
- Et l'endroit vaut-il l'envers ?
- Tout est magnifique chez toi, ma chérie. Ton débardeur est juste assez court.
- Juste assez court ?
- Oui, pour révéler ce fruit juteux et appétissant.
- Mais pas assez long pour sortir comme ça en public.



- Tout dépend de l'effet désiré. Si tu veux passer inaperçue, oui ce serait foutu d'avance. Mais si c'est pour te faire croquer par une meute de loups, je crois que tu serais sur la meilleure des voies.
- Il me suffirait de tirer un peu de dessus, non ?
Pauline tire sur le débardeur, tendant le tissu sur ses mamelons durcis et approfondissant l'encolure du décolleté.



- Miam ! Si tu sors comme ça, je te dévore les seins même s'il y a du monde.
Pauline s'assoit sur la table :
- Mouais... de toute façon, c'est une tenue d'intérieur, rien que pour toi.



- Je crois que c'est effectivement l'heure du petit déjeuner...
- Que veux-tu dire ?
- Qu'ainsi positionnée sur la table, tu constitues sans nul doute mon menu préféré.
Cédric s'approche d'elle et tire sur le décolleté pour admirer les magnifiques seins de sa fiancée.



Il fait glisser les bretelles du débardeur sur les épaules et l'oblige même à retirer complètement ces bretelles. Pauline le laisse lui dégager la poitrine. Aussitôt, il se penche dessus et se met à sucer les mamelons. Pauline ferme les yeux et sent ses mamelons se tendre sous les caresses et les coups de langue de son fiancé. Elle sursaute en sentant la main de Cédric se poser sur sa cuisse et glisser lentement vers son sexe. Elle écarte alors largement les cuisses pour lui faciliter l'accès. Les doigts de Cédric se glisse dans la fente tiède et y découvre une fontaine.



Cédric se redresse :
- Mmmmm, voilà une boisson qui me donnerait bien plus d'énergie qu'un café ou un jus d'orange.
- Et moi ? Tu as quoi pour moi ?
Pauline tend la main et masse la base du sexe bandé de son fiancé, tout en faisant jouer le bout de ses doigts sur les bourses gonflées.



Comme elle commence à le masturber, Cédric lui écarte le poignet :
- Attends. Je m'occupe d'abord de toi...
- Mais on pourrait s'occuper l'un de l'autre, en même temps, non ?
- J'ai besoin de me concentrer.
Il la fait alors se lever et, accroupi à côté d'elle, il lui fourre son majeur dans la moule et la masturbe tandis que son pouce s'amuse à agacer le clitoris tendu.



Pauline feule de plaisir :
- Oh Cédric ! Je dégouline, tu vas m'achever...
- Oui, tu dégoulines. Non, je ne vais pas t'achever, ou du moins pas comme ça.
Il la repousse et la fait s'allonger le dos sur la table. D'elle-même Pauline écarte les cuisses. Cédric tend la langue et la dirige aussitôt sur le clitoris.



Les gémissements de Pauline deviennent des petits cris. L'orgasme arrive, inéluctablement. Cédric s'écarte et admire les convulsions du ventre de sa fiancée :
- Chut... Doucement, tu vas attirer Rodolphe !
- Aaaaah... trop... trop tard... Oooooooh...
Cédric comprend qu'il est trop tard pour l'empêcher d'avoir son orgasme et ne se doute pas que sa remarque concerne Rodolphe. Il est fasciné par les lèvres du sexe de Pauline qui laisse s'écouler un flot de cyprine.


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Quand elle se remet de ses émotions, elle se lève et rajuste son débardeur :
- J'ai été faible... J'aurai dû me retenir pour garder cette excitation intacte et en profiter pendant le match.
- Héhé, pour une fois que ce n'est pas moi.
- Ah oui ? Parce que tu crois que tu vas rester dans cet état-là ?
Pauline relève son débardeur et dévoile un sein.



- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je veux voir si tu résistes. Tu voulais que je prenne mon petit déj' à poil. Tu vas être servi.
Pauline retire carrément son débardeur.



- Héhé, merci ma belle. C'est sûr que ça m'excite carrément.
- Je vois ça...
- Mais ça ne veut pas dire que je vais jouir juste parce que je prends mon petit déjeuner en face d'une magnifique fille nue. Juste que je vais bander à mort.


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- On verra.
- En tout cas, toi ça continue à t'exciter, non ?
- Non, je crois que c'est encore la jute de mon orgasme de tout à l'heure...
Pauline porte la main à son entrejambe pour constater qu'elle mouille encore beaucoup.



Cédric sourit. Il n'est pas dupe. Cela semble agacer un peu Pauline. Un coup d'œil vers la fenêtre lui permet de contrôler que Rodolphe est toujours là.
- Bon, le café est prêt.
Cédric sert deux tasses et en tend une à Pauline qui commence à la boire doucement.


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Cédric boit également et regarde sa fiancée :
- Je crois que c'est la première fois que tu te montres aussi impudique. Je veux dire la première fois que tu acceptes de rester nue pour une action du quotidien.
- C'est avec un objectif derrière la tête : je faire éjaculer.
- Tu m'as déjà bien vidé les couilles tout à l'heure...



- Ah, tu me crois aussi crédule ? Je sais très bien que tu peux enchaîner plusieurs éjaculations. Pour peu qu'on t'excite suffisamment...
- Et je dois dire que ça m'excite à mort de te voir prendre ton café en tenue d'Eve.
- Tu vas me dire que c'est le meilleur café que tu n'as jamais bu ?
Pauline reprend une gorgé de café chaud.


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Au moment où elle repose sa tasse sur la table, elle est surprise par l'exclamation de Cédric :
- Hey ! Rodolphe ! Approchez.
Pauline n'en revient pas. Cédric a dû le voir par la fenêtre. Mais pourquoi lui demande-t-il de venir alors qu'ils sont tous les deux totalement nus ? Pauline cache pudiquement sa poitrine et, alors que Cédric va pour ouvrir la porte au gérant du camping, elle chuchote :
- Cédric ! A quoi tu joues ?



Mais Cédric ne répond pas et ouvre la porte. Rodolphe reste à la porte, affichant un sourire radieux mais aussi une certaine gêne. Cédric le rassure :
- Il faut que vous soyez témoin de ça, Rodolphe. C'est la première fois que ma femme...
- Fiancée !
- Pardon, ma fiancée. C'est la première fois que ma fiancée prend le petit déjeuné toute nue. C'est pas dingue, ça ?
- Ce qui est dingue, c'est que tu invites Rodolphe...



- Allons ma chérie, Rodolphe passait par là par hasard. Je voulais partager avec lui mon enthousiasme.
- Ton enthousiasme ?
- Oui tu es tellement belle...
- Cela s'appelle une érection, Cédric.
- Et c'est parce que tu es particulièrement désirable.
Cédric lui attrape les bras pour l'obliger à dévoiler sa poitrine.



Pauline commence à comprendre que Cédric souhaite seulement faire un peu d'exhibitionnisme. Peut-être savait-il depuis un moment que Rodolphe espionnait mais qu'un spectateur l'excite davantage qu'un voyeur. Pauline reprend donc confiance et, sans montrer la moindre pudeur, elle saisit le membre tendu de Cédric et demande à Rodolphe :
- Vous bandez, vous aussi ?
- Heu, oui, un peu, je l'admets...
- Ah oui ? Vous nous montrez ça ?



Cédric a un frisson. C'est lui qui a invité Rodolphe a entrer et, là, le comportement de Pauline laisse penser qu'on est à deux doigts du dérapage non contrôlé. Heureusement, comme il s'y attendait, Rodolphe se montre très gêné et bégaye :
- Heu, je... non... je... ne préfère pas...
- Pourtant, nous ça ne nous gêne pas d'être à poil...
La jeune fille se tourne contre son fiancé.



Bien que son plaisir de voyeur soit plus grand que sa gêne d'être spectateur, Rodolphe répond :
- Oui, mais moi... je ne peux pas... désolé...
- C'est pas grave. Mais tant que vous êtes là, je veux que vous soyez témoin.
- Témoin de quoi ?
- Cédric a promis qu'il arriverait à se contrôler pour ne pas éjaculer.
Pauline se met alors à masturber lentement le membre turgescent de Cédric, lui-même ne se privant pas de lui caresser les seins et les fesses.



Cédric tente malgré cela de s'insurger :
- Je me rappelle qu'on a évoqué que tu restes nue pour le petit déj', pas que tu me branles...
- Il me semble que tu ne t'es pas contenter de la regarder ma minette pour me faire jouir.
Cédric admet qu'elle marque un point. Tandis qu'elle continue à le masturber lentement, il glisse une main entre ses cuisses pour évaluer son excitation :
- Pffff... Rodolphe, si vous pouviez voir à quel point elle mouille...



- Heu... je... je vois un peu...
- Mais vous voudriez peut-être vous approcher un peu plus ?
- Heu... non, je vois là...
Pauline rigole en voyant à quel point Rodolphe est gêné par les tentatives de Cédric pour le faire participer.
- Rodolphe voit très bien d'où il est. Rappelle-toi qu'il est notre témoin. Concentre-toi surtout pour ne pas éjaculer.
Tout en continuant à le masturber d'une main, elle lui caresse les testicules de l'autre main.



Cédric rejette la tête en arrière et râle de plaisir :
- Aaaah coquine ! Tu vas m'avoir !
Puis tournant un regard trouble vers Rodolphe, il ajoute :
- Elle est si douce... si habile... pas une bite ne lui résisterait... Rhaaaaa !
Une longue gerbe de sperme jaillit et éclabousse le ventre de Pauline jusque sous les seins. Elle abandonne alors le membre en irruption et le laisse continuer de s'épancher, sans son aide. Cédric le saisit alors pour glisser son gland contre la peau douce de sa fiancée tandis que le sperme continue de sortir peu à peu.


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Pauline regarde son ventre et admire tout le sperme qui s'écoule lentement.
- Bon, je crois que tu as perdu ton pari.
- Ce... ce n'était pas un pari. On a rien parié.
- Non, mais tu t'étais vanté pouvoir te retenir et je crois que tu peux constater ton échec.
Pauline relève la tête vers Rodolphe, toujours fasciné à regarder ce couple infernal :
- Rodolphe, vous êtes témoin ?



Le gérant bafouille :
- Je... je suis témoin oui. Témoin qu'il est un homme tout à fait normal et que n'importe quel autre homme aurait aussi succombé s'il avait subit un tel traitement par une fille aussi désirable que vous.
- Oh. Merci du compliment Rodolphe. Je... vous me désirez donc ?
- Et comment ne pas vous désirer... ? Vous êtes terriblement belle.
- Oh. Merci. Vous bandez autant que mon fiancé ?



- Plus encore, madame...
- Mademoiselle. Nous ne sommes que fiancés.
- Pardon...
- Il n'y a pas de mal.
Cédric attrape son short et commence à l'enfiler :
- Rodolphe, on peut aller faire un tennis ce matin ?


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- Heu oui. Bien sûr. Tenez, je vous laisse les clés.
Rodolphe dépose la clé des vestiaires sur la table et retourne vers la porte. Il jette un dernier regard à Pauline qui se cache à nouveau pudiquement les seins.
- Heu merci.
- Merci à vous, Rodolphe. C'était important qu'il y ait un témoin car cet arrogant n'aurait jamais reconnu sa faiblesse sinon.
- Il n'est pas plus faible que d'autres...
Pauline, amusée, regarde Rodolphe sortir, sans doute un peu dépité qu'elle n'ait pas profiter de sa faiblesse à lui aussi.




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