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Weekend sportif - 15 : Au revoir Rodolphe Dimanche, 16h17 Quand Pauline arrive au bungalow, Cédric est en train de boucler les valises : - Ah ! Pauline, donne-moi ton sac, je vais ranger les serviettes et les maillots. Pauline lui tend le sac, un peu surprise qu'il ne prenne pas de nouvelles de comment elle a pu faire ses adieux aux Italiens. - Heu... Oui. Voilà... Elle le regarde s'affairer devant les sacs de voyage. ![]() Après avoir fermé le dernier sac, Cédric se retourne et pousse un profond soupir de soulagement : - Et voilà ! On est prêt. Il prend conscience de l'attente de sa fiancée : - Pauline ? Tout va bien ? - Oui, je suis étonnée que tu ne me demandes pas comment ça s'est passé... ![]() Cédric s'apprête à lui demander mais ils sont interrompus par quelqu'un frappant à la porte. Pauline va ouvrir et voit Rodolphe, apparemment ravi que ce soit Pauline qui lui ouvre la porte. - C'est moi. Comme vous partez, je me demandais si vous aviez besoin de quelque chose... Se trouvant quelques marches en surplomb par rapport au gérant, Pauline se penche en avant pour lui répondre, lui offrant ainsi une belle vue dans son décolleté : - Oh, je voulais savoir s'il fallait qu'on fasse le ménage ou si c'était compris dans le forfait. ![]() Le jeune homme est troublé : - Je... je crois que c'est inclus. C'est bon. Pauline insiste : - Vous êtes certain ? Il ne faut pas que ce soit une faveur... ![]() Comme elle a un peu pivoté pour faire un clin d'œil à Cédric, Rodolphe a une vue encore plus dégager sur les seins nus dans le décolleté. Il met quelques secondes à mettre de l'ordre dans ses pensées avec de parvenir à articuler une réponse. - Je... oui... Enfin, non. Ce n'est pas une faveur. C'est compris... je crois... Pauline rigole : - Oh la la, ça ne me semble pas très rigoureux comme gestion si vous ne savez plus ce que notre forfait inclut. ![]() Cédric intervient : - Entrez Rodolphe, ne restez pas sur le palier, ça oblige Pauline à se pencher et elle va finir par se faire mal au dos. - Oh... d'accord. Rodolphe entre. Pauline en profite pour s'asseoir : - Vous avez un autre client après nous ? ![]() Rodolphe semble se calmer un peu : - Non, pas avant le week-end prochain. D'ailleurs, j'espère que vous avez bien regardé sous les meubles et derrière le canapé car il y a souvent des bricoles qui y tombent et je me retrouve avec une belle collection de babioles à la fin de la saison. La jeune fille saute sur l'occasion et se met à quatre pattes sur le canapé pour regarder derrière. ![]() Rodolphe ouvre de grands yeux car la robe ne dissimule que très mal sa croupe et il peut même distinguer la moule de la jeune fille. Comme elle se trémousse pour regarder à droite puis à gauche, la petite robe finit par être franchement retroussée sur ses fesses nues. Quand elle se retourne, elle découvre le visage ahuri du gérant et ses yeux exorbités : - Tout va bien Rodolphe ? ![]() - Heu... oui, oui. Juste qu'il fait un peu chaud, ici... - Ah ça, je vous comprends. Je ne supporte qu'un minimum de vêtement. Rodolphe acquiesce en souriant : - Oui, il faudrait que j'installe des climatiseurs. - Oh, non, ce ne serait pas écologique du tout. Mieux vaut s'habiller plus léger, vous ne trouvez pas ? ![]() - Si. C'est un argument convaincant. Voyant Cédric lui faire un sourire et un clin d'œil, il se rend compte que sa réponse a pu être mal interprétée et il s'empresse d'ajouter : - L'écologie ! L'argument écologique est convaincant. Cédric s'amuse de la gêne du gérant. Il décide d'en rajouter une couche : - Pauline, regarde aussi entre les coussins, on ne sait jamais. Je vais déjà porter les sacs à la voiture. Sans discuter. Pauline tourne à nouveau le dos au gérant et se penche en avant pour ausculter les interstices entre les coussins. ![]() Cette position laisse au gérant une vue parfaitement dégagée et détaillée de la croupe de la jeune fille. Alors qu'elle glisse ses mains entre les derniers coussins, elle dit : - Bon, je crois que je n'ai rien oublié. Cédric étant sorti, Rodolphe se sent moins gêné et ose dire : - À part votre culotte ? Pauline se redresse aussitôt et rajuste le bas de sa robe en rigolant : - Oups ! J'oublie toujours ce détail... ![]() - Il n'y a pas de mal. J'avoue que c'est très plaisant à regarder. - Vous devez me prendre pour une salope... - Pas du tout. Vous l'avez dit vous-même. Il fait chaud. C'est normal de s'habiller en conséquence... - Merci. J'apprécie votre tolérance. ![]() Rodolphe n'ose pas lui répondre que ça n'a absolument rien à voir avec la tolérance mais il se contente de sourire. Il admire la jeune fille alors qu'elle se passe les mains dans les cheveux pour les arranger. Il entend un petit bruit de métal qui tombe au sol : - Oh, vous avez perdu quelque chose ? - Ah ? Pauline met les mains à ses oreilles : - Mince, oui. Ma boucle d'oreille ! Elle se met alors accroupie et observe le sol. ![]() Rodolphe aperçoit alors la boucle d'oreille entre les pieds de la jeune fille. Il vient s'agenouiller devant elle : - Elle est là... Entre vos pieds... Pauline écarte alors les cuisses pour regarder, ne s'inquiétant pas de l'indécence de présenter ainsi sa moule nue à Rodolphe. Innocemment, elle demande : - Où ça ? ![]() Le jeune homme tend alors la main : - Juste là. Au moment où sa main est tendue pour saisir la boucle d'oreille, Pauline resserre les cuisses, emprisonnant alors la main du gérant à seulement quelques centimètres de sa moule : - Hey ! Que faites-vous Rodolphe ?! ![]() - Je... je... désolé ! Je voulais juste ramasser votre... J'avais trouvé... Pauline le regarde dans les yeux. Rodolphe comprend alors qu'elle se joue de lui. Son regard de braise en dit long sur ce qu'elle veut. Lentement, elle écarte les cuisses. Même si la main de Rodolphe est libérée, celui-ci la laisse contre l'intérieur de la cuisse de la jeune fille. Quand les cuisses sont écartées largement, il fait lentement glisser ses doigts jusqu'à la fente humide. ![]() Pauline feule de plaisir : - Qu'avez-vous trouvé ? Troublé à l'extrême le gérant baragouine : - Un trésor... Pour le mettre en confiance, Pauline pose ses mains autour de son cou et penche la tête vers lui pour l'embrasser. Les doigts de Rodolphe commencent alors à s'activer sur la moule de plus en plus humide. ![]() Quand ils interrompent leur baiser, Rodolphe, désinhibé, lui demande : - Je voudrais vous sucer. - Mais c'est une excellente idée, ça ! Amusée de voir qu'il ose ainsi exprimer sans détour son désir, Pauline se relève en gardant les cuisses écartées pour qu'il puisse lui dévorer le coquillage. ![]() La langue du gérant se glisse entre les lèvres humides. Elle tente parfois de pénétrer au plus loin dans l'orifice mais se concentre le plus souvent sur le petit bouton tendu. Pauline gémit de plaisir : - Oooooh Rodolphe... Quel dommage que je ne découvre que maintenant vos talents. Elle relève une cuisse pour pouvoir lui faciliter l'accès à sa moule. ![]() Le jeune homme semble insatiable : l'agilité de sa langue semble faire merveille. Pauline se demande comment un garçon si timide a pu développer un tel talent. Lui qui semblait si gauche et introverti semble finalement un fin connaisseur du corps féminin. Le plaisir monte et, rapidement, elle sent l'orgasme la gagner : - Rodolphe... Aaaaaaaah ouiiiii... Bien que discrète, la jouissance est forte et Pauline sent qu'elle dégouline de cyprine sur la langue du gérant du camping. ![]() Les mains appuyées à la tête de Rodolphe, Pauline attend que les convulsions de son orgasme se calment pour repousser gentiment le jeune homme et rajuster sa petite robe : - Ouf ! C'était... inattendu ! Rodolphe semble surpris par cette remarque. Pauline le rassure : - Délicieux et inattendu. Vous cachez bien votre jeu. ![]() - Je... c'est pourtant la première fois... - Vous vous moquez de moi ? - Je vous assure. Je ne sais pas... c'était... instinctif. - Ah oui ? Montrez-moi si vous bandez que je puisse juger de votre côté instinctif. Un peu troublé, Rodolphe n'ose cependant pas refuser cela à la jeune fille. Baissant son short, il libère une érection impressionnante qui fait s'ouvrir grands les yeux de Pauline. ![]() images similaires La jeune fille le repousse alors sur le canapé pour le forcer à s'asseoir. Faisant glisser les bretelles de sa petite robe, elle se dépoitraille et s'agenouille entre les cuisses du jeune homme : - L'excitation que je vous inspire est instinctive ? - Heu... oui, sans doute. - Mon instinct à moi me dicte de ne pas laisser passer une aussi belle occasion... Elle se penche et positionne le sexe bandé entre ses seins nus. ![]() - Vous bandez bien... - Vous êtes très excitante... Pauline se redresse pour l'embrasser. Il lui saisit alors les hanches et la fait se redresser un peu plus pour lui sucer un mamelon. Pauline sent ses mains qui caressent ses fesses, les écartant et libérant ainsi sa fente humide. ![]() La jeune fille gémit sous ses caresses. Elle sent les doigts descendre vers son intimité, effleurer les lèvres de sa moule, s'y poser, les écarter, se glisser dans la fente pour prolonger encore les caresses. Le regard embué par le désir et le plaisir, elle saisit le sexe en érection et dit à Rodolphe : - Je crois qu'il faut que je l'essaye... Elle enjambe alors les cuisses du gérant et guide son membre tendu dans sa fente. Il s'y enfonce lentement, délicatement, laissant la jeune fille descendre lentement sur son mât palpitant. ![]() Pauline commence à bouger. Elle monte et descend lentement sur la colonne de chair. Rodolphe a le souffle court. Il ne bouge pas. Il laisse la jeune fille mener la danse à son rythme. IL penche la tête et se courbe pour tenter d'atteindre un mamelon tendu pour la sucer. Pauline s'amuse de cette difficile tentative : - Attends un peu... Elle se redresse et se cambre portant son sein droit à portée de langue de Rodolphe. ![]() Un bruit de porte se fait alors entendre. Pauline tourne la tête et découvre Cédric qui sourit en les regardant : - Oh mon chéri, tu as tout chargé ? - Oui... et j'ai une furieuse envie de décharger... Rodolphe n'ose rien dire, rien faire. Comme Pauline et Rodolphe se sont totalement immobilisés, surpris par l'arrivée de Cédric, Pauline reprend ses mouvements sur le dard qui la pénètre : - Il va falloir patienter. La place est prise... ![]() Rodolphe n'en revient pas. Pauline ne semble pas avoir la moindre gêne à tromper son fiancé alors même qu'il est présent. Cédric se semble pas du tout fâché ou jaloux de voir sa fiancée en train de baiser avec un autre homme. D'ailleurs, il n'est tellement pas fâché qu'il est en train de se dévêtir, exhibant une fière érection. Rodolphe se demande s'il ne va pas lui arracher Pauline de force pour la prendre à son tour, sans attendre qu'ils aient terminé. Mais au lieu de ça, il vient se positionner entre les cuisses écartées du couple et appuie son sexe déjà bien bandé contre l'anus frémissant de sa fiancée. ![]() images similaires Pauline réagit aussitôt : - Hey, qu'est-ce que tu fais ? - Je crois que c'est assez clair, non ? Et puis ça semblait te plaire d'être prise en sandwich par les Italiens dans les vestiaires, non ? - Tu... tu nous as vus ? - Je t'ai entendue. Et je sais qu'un orgasme exceptionnel comme celui que j'ai entendu ne pouvait venir que d'une situation exceptionnelle. D'un coup de reins, il engage son sexe dans l'anus de sa fiancée. ![]() images similaires La jeune fille gémit aussitôt. C'est maintenant Cédric qui mène la danse : ses assauts la font monter et descendre sur la queue de Rodolphe. Elle gémit de plus en plus. Elle trouve incroyable de sentir ces deux tiges tendues coulisser en elle, sans se toucher l'une l'autre et pourtant si proches. Puis les gémissements se transforment en cris. Tout le camping en profite probablement. L'orgasme est atteint. Tout le corps de la jeune fille est pris de convulsions. De sentir les contractions spasmodiques autour de leur sexe, les garçons n'y tiennent plus et se mettent à éjaculer sans retenue en elle. ![]() images similaires Ils restent enlacés ainsi tous les trois, reprenant peu à peu pied avec la réalité et retrouvant leur souffle. Rodolphe a doucement débandé en elle tandis que Cédric semble garder une rigidité complète. Quand il se retire, Pauline laisse échapper un long gémissement de plaisir en sentant le membre s'extraire lentement. Pauline se lève alors et, cuisses un peu écartées, elle sent la semence de ses deux amants qui s'échappe de ses orifices et coule le long de ses cuisses : - Et bien les garçons, vous avez été généreux. ![]() Rodolphe se relève, toujours surpris que Cédric ait pu le laisser baisser sa fiancée. Cédric enfile son short sur son sexe encore bandé et sourit au gérant : - Bravo ! Je crois qu'elle se souviendra de cet orgasme. - Je... merci. Elle... elle est incroyable. - N'est-ce pas ? Cédric se tourne vers Pauline et lui sourit tandis qu'elle saisit sa petite robe et la serre contre elle. ![]() Rodolphe se rhabille à son tour. Cédric lui tend alors un chèque. Il le saisit sans comprendre de quoi il s'agit. Il se demande sur l'instant si le jeune homme ne le paie pas pour sa prestation sexuelle. Mais Cédric rigole en voyant son incompréhension : - C'est le règlement pour notre séjour. - Ah... désolé... Oui. Merci. C'est parfait. Pauline et Cédric sortent pour rejoindre leur voiture, accompagnés de Rodolphe. Une fois arrivée, Pauline s'appuie au capot et dit à Rodolphe : - Il est sympa votre camping. On reviendra. ![]() Le gérant ne répond pas tout de suite car il est fasciné par la petite robe qui, trop courte, révèle l'entrejambe nue et encore suintante de sperme. Se reprenant, il dit : - Avec plaisir. Je vous ferai un prix. Cédric rigole : - Vous avez une carte de fidélité ? Pauline rigole à son tour et surenchérit à la blague de son fiancé : - En ce qui me concerne, plutôt une carte d'infidélité... ![]() Les deux garçons rigolent. Cédric serre la main du gérant : - Encore merci. On y va. On a pas mal de route... - Merci à vous. Bon retour. Pauline s'installe alors au volant : - Je conduis, ces orgasmes m'ont donné une pêche incroyable. ![]() Rodolphe sourit, se demandant si le trajet de retour de ce jeune couple sera aussi extravagant que leur week-end au camping. |