Legul
|
10 février 2022
|
|
The Good Place - Épisode 10 - partie 1
Les premières lueurs du jour réveillent doucement Julien alors que Dakota est encore endormie à côté de lui. Il émerge doucement de son sommeil, manifestement de bonne humeur, en se rappelant qu'aucun cauchemar n'est venu perturber son repos. Uniquement d'agréables rêves, mais pas à propos de Dakota ou de Janet comme il l'aurait pensé mais à propos d'Anissa, et plus particulièrement de son beau cul, défoncé sans ménagement.

Une érection pointe alors le bout de son nez sous les draps et Julien se dit alors que cela fait bien longtemps qu'il n'a pas sodomisé une résidente. Ce ne sont pourtant pas les candidates qui manquent, entre Anissa, Janet, Arianna et même Julia probablement. Mais son « traitement » avec Dakota lui imposait une certaine retenue.
Un mouvement de celle-ci, encore endormie à côté de lui, ramène d'ailleurs Julien à la réalité. Dans son sommeil, Dakota colle ses fesses contre le jeune homme qui, déjà, commence à être excité. Il tire le drap qui recouvrait Dakota, entièrement nue.

De dos, Dakota semble profondément endormie et Julien en profite pour admirer son magnifique cul. Il place la main de Dakota sur ses propres fesses et déplace ses cuisses pour que son sexe et son anus soient davantage exposés.

L'envie de pénétrer ce petit cul est immédiate mais il est évident pour Julien que sodomiser quelqu'un pendant son sommeil lui vaudrait un aller simple immédiat pour le « mauvais endroit » ! Celui-ci opte donc pour un simple baiser pour réveiller doucement son âme sœur.
Mais alors qu'il se penche sur elle et lui tourne délicatement le visage, il découvre qu'à la place de son joli nez se trouve un museau canin, marron et poilu ! Idem pour ses oreilles qui ont été remplacées par deux longues oreilles de chien.
Pas vraiment réveillée, Dakota tend les lèvres pour répondre au baiser de Julien.

Mais celui-ci, horrifié, saute alors du lit et se précipite dans la salle de bain. Dans le miroir, son visage de séducteur est à présent orné d'un immonde groin de cochon !
- Oh putain... se dit-il alors... qu'est-ce que c'est que ce bordel ??
Affolé, Julien arrive cependant à réfléchir à la situation : les femmes en... chiennes. Les hommes en porcs. C'est forcément une nouvelle anomalie, sans doute déclenchée par son comportement. Paniqué, il appelle aussitôt à l'aide en la personne de Janet qui apparait aussitôt, vêtue normalement.
- Oui Julien ? Tu as une tête affreuse ce matin...
- Merci, j'avais vu ! Amène-moi chez Julia, tout de suite !
- Tu peux y aller en marchant, tu sais...
- Avec cette tête ?? Il y a urgence, là. Allez, téléporte-moi chez Julia !!
- Bon...
Janet claque des doigts et Julien se retrouve alors aussitôt dans le bureau de Julia dont, manifestement, celle-ci ne sort jamais.
Assise à son bureau, Julia étudie des documents. Paniqué, Julien remarque à peine son très généreux décolleté et son soutien-gorge apparent.
- Tu te sers de Janet comme taxi maintenant, Julien ? Demande Julia sans prendre la peine de lever la tête.

- C'est que... il y a vraiment urgence...
- Par tous les maîtres architectes !! s'exclame alors Julia en levant les yeux sur le visage de Julien.

- Voilà...
- Mais... Mais que t'arrive-t-il ??
- Je ne sais pas... Je crois qu'il s'agit d'une nouvelle anomalie. Dakota est touchée également.
- Elle se transforme en cochon aussi ?
- Non... en chienne.
- En chienne ?? Mais qu'est-ce que c'est que ce bazar encore ?
- Et je ne crois pas que nous soyons les seuls. J'ai demandé à Janet de m'envoyer directement ici pour ne croiser personne ce matin mais, à mon avis, tous les hommes sont en cochons et toutes les femmes sont en chiennes. Ça ne peut pas être un hasard...
- Mais, d'où cette nouvelle anomalie peut bien venir ?
- J'ai ma théorie là-dessus mais il faut d'abord éviter la catastrophe. Tu ne pourrais pas annuler tout ça ?
- Un reboot de la journée apparaîtrait dans les registres. Je préfère que l'anomalie disparaisse d'elle-même, comme la dernière fois.
- Et si nous restons comme ça pour toujours ? Il faut faire quelque chose ! D'ailleurs, tu es en train de changer également ! ajoute Julien en voyant la tête de Julia se doter d'attributs canins.
Après avoir palpé son visage, Julia se précipite alors vers son bureau d'où sort soudain une interface immatérielle futuriste qui rappelle à Julien le film Minority Report. En quelques glissés de doigts, l'architecte semble opérer une manip délicate.

- Voilà, le quartier est en pause. Ça, au moins, ça n'apparait pas dans les registres et ça va nous laisser du temps.
Puis, d'un claquement de doigts, Julia reprend son apparence habituelle et en fait de même pour Julien qui, soulagé, palpe un nez redevenu normal.
- Pourquoi tu t'ennuies avec des dossiers papier si tu as ce genre de... dispositif ?? demande-t-il, soudain concerné par des considérations bien matérielles.
- Les dossiers, c'est uniquement pour vous rappeler votre vie terrestre. C'est de la déco, si tu préfères, comme les tableaux de graphique ou autres. Et maintenant j'aimerais qu'on en revienne à un sujet un chouia plus important...
Visiblement inquiète, Julia s'assoit à son bureau et demande à Julien d'exposer sa théorie.
- Tu m'as bien expliqué que le quartier avait, en quelque sorte, son existence propre et des réactions qui lui appartiennent ? commence Julien.
- C'est infiniment plus compliqué que cela.
- Mais en gros ?
- En gros : c'est ça.
- Bon... reprend Julien, énervé par le perfectionnisme de Julia même en pleine crise. Et tu es également d'accord, reprend-il, que nous avons considérablement fait évoluer le comportement des résidents en seulement quelques jours, parfois même du jour au lendemain ?
- Oui, et je vois où tu veux venir, je t'ai déjà dit que j'étais désolée d'avoir autant forcé sur le côté exhibitionniste des résidents. Je t'assure qu'une architecte qui s'excuse après d'un humain n'est pas chose courante, alors n'abuse pas.
- Non, non, je ne disais pas cela pour ça. Je voulais juste dire, qu'à mon avis, le quartier pense, littéralement, que les femmes sont devenues des chiennes et les hommes des porcs.
- Je ne vois pas le rapport avec ces animaux.
- Et bien... sur Terre, les femmes aux mœurs légères étaient souvent qualifiées de chiennes et les hommes pervers de porcs. Pour te la faire simple, le quartier considère les femmes comme des nymphomanes et les hommes comme des pervers.
- Cela veut dire que nous allons devoir cesser notre expérience et revenir à la normale ?
Évidemment, Julien savait bien que le problème ne venait ni du quartier, ni de l'expérience mais de son comportement en général et surtout de sa simple présence. Cependant, il savait que sa façon de faire avec les femmes serait moins « contre nature » pour le quartier si tous les résidents devenaient plus ouverts sexuellement. Cela couplé avec son traitement pourrait éventuellement suffire à sauver sa tête. En toute sincérité, il considérait donc qu'il fallait au contraire continuer l'expérience et propose donc cette solution à Julia.
- Continuer ?? Mais le quartier va continuer de réagir de manière incontrôlable !
- Au contraire, il va commencer à considérer que ces nouveaux comportements sont, finalement, la norme.
- Je ne comprends pas...
- Le quartier est « choqué » parce qu'il estime, dans la manière avec laquelle il a été façonné, qu'une femme qui, par exemple, suce le premier venu est une chienne. Mais on pourrait aussi bien considérer que c'est une femme libre de faire de qui lui plait. Ce n'est qu'un jugement de valeur. Regarde, tu m'as dit l'autre jour que tu n'avais aucun tabou. Et la fellation que tu m'as ensuite proposé et qui s'est rapidement transformé en gorge profonde digne du plus pervers des films pornos pourrait facilement faire de toi, aux yeux de certains, la reine des chiennasses, excuse-moi cette expression.
- Donc, tu veux que ce soit le regard du quartier sur les résidents qui change plutôt que les résidents eux-mêmes ?
- C'est ça ! Car, on est bien d'accord, ce changement de comportement est là pour leur apporter plus d'harmonie et de bonheur.
- Ok... Résumons : on continue notre plan et on corrige les réactions du quartier jusqu'à ce qu'il soit totalement habitué à nous nouveaux mœurs.
- Cela me semble être parfait. Et, si je puis me permettre, n'hésite pas à utiliser ton absence totale de tabou et de limites, y compris physiques, pour proposer des trucs extrêmes. Le reste des résidentes paraîtront presque prudes à côté de toi et le quartier n'en réagira que moins.
- Je vois... ok, j'y songerai. Bon, à présent je vais rebooter la journée. Ça laissera des traces dans les registres mais je crois que nous n'avons pas le choix. Si on m'interroge, je dirai que j'ai fait une erreur de programmation.
- Et ça va se passer comment, concrètement ?
- Tout le monde recommencera la journée à leur réveil, comme si rien ne s'était passé. Même toi.
- Donc, je ne vais pas me souvenir de cette conversation ? Ok, à toi de voir si tu estimes que je dois être au courant ou non de cet incident.
- Je verrai bien. Mais avant de tout rebooter, j'ai... une requête. Tu vas me faire le truc le plus pervers que tu connaisses, déclare calmement Julia en le relevant de son bureau et en se penchant en avant.

- Pardon ??
- Là, tout de suite, fais-moi ce que tu veux, pourvu que ce soit bien pervers. Pour moi, cette notion de perversité ne veut rien dire et le sexe extrême n'est qu'une connaissance théorique. Je veux du concret, je veux savoir ce que vous, humains, considérez comme pervers. Alors penses à un truc bien extrême et fais-toi plaisir.
- Heu... tu me prends au dépourvu là...
- Décides-toi avant que je reboot la journée, Julien. Ce sera peut-être ta seule chance...
- Et bien là, comme ça... je dirais... une sodomie ?
- Une sodomie ? C'est pervers ça ? Mes données indiquent au contraire que c'est pratiqué assez souvent sur Terre...
- Bah c'est pervers pour des tas de gens, des femmes surtout. Il y a même des pays qui l'interdisent...
- Bon...
- Cela dit... reprend Julien, saisissant une chance d'assouvir un de ses fantasmes, on pourrait commencer par ça et corser un peu l'affaire avec du fisting...
- Du fisting ? Attend, j'analyse ma base de données.... Ah ok je vois. En effet, j'imagine qu'enfoncer son poing dans un orifice n'est pas chose courante.
- En effet, et c'est assez pervers, il me semble. Je ne l'ai jamais fait, mais du coup, c'est peut-être l'occasion ?
- Formidable, faisons ça ! déclare joyeusement Julia en ouvrant sa chemise.

Julien n'en revient pas : la perfection de conception de Julia faisait aussi sa grande naïveté, ou plutôt son innocence. Elle n'était pas polluée par des considérations éthiques, morales ou religieuses. Seuls lui importaient la biologie, la physiologie, le fonctionnement physique des êtres humains. Et si un poing dans son cul pouvait lui donner du plaisir, elle n'y voyait aucun problème. Cet endroit était vraiment le paradis, se dit Julien en enlevant son pantalon.
A peine avait-il sorti son sexe de son caleçon que Julia se jetait à genou pour le sucer goulument.

- Oh ? réagit Julien, surpris, tu veux des préliminaires à la sodomie ?
- Oui... sucer des verges est une activité décidemment très plaisante, réponds Julia entre deux coups de langues.
- Bien... Mais si on faisait cela de manière un poil plus perverse ? Après tout, c'est l'objet de ta demande...
- Affirmatif !
- Bon, allonge-toi sur ton bureau.
Et à peine Julia avait-elle obéit que Julien lui enfonce sa queue dans la bouche et commence à lui baiser le gosier.

Sous l'effet des coups de boutoir de Julien qui secouaient violemment l'architecte, ses gros seins remuant sortent petit à petit de leur soutien en dentelle.
Souhaitant voir mieux les deux énormes nibards de Julia, le jeune homme retourne celle-ci sur le dos et continue à lui baiser la bouche.

Très excité et souhaitant profiter à fond de ce moment qu'il aura oublié sitôt la journée rebootée, Julien ne prend guère de précaution. Il arrache la chemise de Julia ainsi que la fragile dentelle de son soutien-gorge et continue de la pénétrer, soit dans la bouche...

... sois entre les seins, tout en pinçant fortement ses tétons.

Dans cette position, Julia écarte en grand les jambes, faisant remonter sa minijupe sur ses hanches. Julien s'aperçoit alors qu'elle ne porte pas culotte alors que sa venue dans son bureau n'était pas prévue. Julia devenait salope, c'était évident.
Autre évidence de cette évolution, celle-ci, coincée entre les cuisses de Julien lorsqu'il se faisait plaisir avec une branlette espagnole, n'hésitait pas à lui titiller l'anus et les couilles avec sa langue.

Après un long et agréable moment à alterner entre la bouche et les seins de Julia, Julien s'éloigne du bureau pour se déshabiller complètement et s'assoir sur le canapé situé en face de là où travaillait l'architecte.
Celle-ci l'imite, faisant disparaitre la totalité de ses vêtements d'un claquement de doigt. Puis elle vient également s'assoir sur le canapé. Ou plutôt sur Julien qui était sur le canapé. Elle s'enfile elle-même la queue turgescente dans sa chatte trempée.

C'était la toute première fois que Julien baisait cet être tout puissant et il n'allait même pas s'en souvenir... Après s'être étonné que Julia, finalement, ne veuille pas juste une bonne grosse sodomie, il prend le parti de lui donner ce qu'elle veut manifestement : du sexe, dans toutes ses composantes, violent et pervers.
Il joint donc les cuisses de Julia et la place légèrement sur le côté. Ainsi incliné et libéré du poids de la belle blonde, Julien impose un rythme endiablé et défonce la chatte de la pauvre architecte qui gémit bruyamment.

Ayant rarement été autant excité, il soulève Julia pour la désempaler de sa queue et l'attrape par les cheveux pour lui imposer une fellation à la fois juteuse et profonde.

- Tu aimes le gout de ta mouille, Julia ? demande alors le français surexcité.
- Oui... au moins autant que ton sperme ! Étrange que ces fluides non alimentaires aient aussi bon gout.
- C'est pour permettre à des nymphomanes dans ton genre de se nourrir lorsqu'elles passent leur journée à l'envoyer en l'air !
- Vraiment ? Je n'avais pas pensé à cet avantage évolutif...
- En tout cas, tu pourras sans souci faire des cunni aux résidentes du quartier avec le même plaisir que des fellations, répondis Julien qui se retint de rire devant, à nouveau, la naïveté de Julia face à son humour.
Sans transition, Julien se relève du canapé, laissant Julia ainsi à quatre pattes et vient la pénétrer par derrière. Celle-ci, très inspirée, accompagne les coups de bassin de Julien en lui massant les couilles.

Dans cette position, Julien avait une vue imprenable sur l'anus de Julia. Anus qu'il allait bientôt défoncer et dans lequel et ne résiste pas d'y enfoncer un doigt.

- Pour commencer à te préparer, dit Julien à la blonde comme pour se justifier.
- Initiative fort louable mais je ne pense pas avoir besoin de préparation...
Et comme pour prouver ses dires, Julia se redresse, fait s'assoir Julien et s'empale à nouveau sur lui mais de face, cette fois-ci. Et, passant une main dans son dos, l'architecte enfonce alors non pas 1, ni 2 mais directement 3 doigts dans son cul.

Sentant cette pression dans le colon de Julia, Julien qui la baisait toujours a immédiatement envie de jouer, lui-aussi, avec son cul. Il se retire donc et place l'architecte à quatre pattes, le cul le plus exposé possible.
Sans craindre une quelconque douleur chez sa partenaire, Julien enfonce d'abord deux doigts dans le cul de Julia, puis les fait aller et venir en elle.

Constatant une grande souplesse de cet anus divin, il enfonce deux autres doigts avec son autre main et commence à tirer sur les côté pour agrandir le trou.

Après quelques mouvements d'étirement, Julien ouvre en grand l'anus de la belle blonde et se dit qu'il est grand temps d'y enfoncer quelque chose de plus conséquent.

Il se place donc au dessus de la croupe de Julia, toujours bien tendue et approche sa queue de son trou du cul. Julia la saisi alors fermement et Julien se dit un instant qu'elle a changé d'avis ou, pire, qu'elle sait tout et qu'elle va lui arracher le queue par punition. Mais non, la déesse a attrapé le sexe de Julien pour le guider elle-même dans son cul béant.

Aidé de Julia, la queue entre doucement dans cet orifice, d'habitude étroit mais ici particulièrement large, en faisant des allers-retours prudents.

Puis Julia lâche la queue et déclare à Julien qu'il peut y aller aussi fort et vite qu'il le souhaite. Celui-ci ne se fait évidemment pas prier et commence un défonçage en règle de cet anus dont il souhaite manifestement en tester l'indestructibilité.

Sentant l'incroyable souplesse de ce cul, Julien décide d'enculer Julia dans tous les sens. Toutes les positions y passent et, à chaque fois, le rythme est infernal. Malgré sa supériorité physique sur les humains, Julia est faite pour leur ressembler et cette stimulation anale lui procure manifestement beaucoup de plaisir. Ses gémissements rendent d'autant plus fier Julien qu'ils viennent d'une déesse !

Puis alors qu'il la sodomisait toujours aussi sauvagement en missionnaire, Julia lui demande s'il avait toujours l'intention de lui enfoncer son poing dans le cul. Vexé par l'allure presque blasée de Julia, le jeune homme décide qu'il est en effet temps de défoncer, cette fois-ci pour de bon, ce divin anus.

Il commence par enfoncer trois puis quatre de ses doigts dans le fion de Julia et ne sent guère de résistance de la part du sphincter.

Estimant que la belle blonde était prête, il ajoute son pouce à ses autres doigts et commence à enfoncer doucement sa main dans le colon qui, enfin, résistait un peu. Julia, d'ailleurs, quitte sa moue sereine et semble se concentrer pour endurer la pénétration insolite.

Comme d'habitude dans le fist fucking, ce n'est pas tant le nombre de doigts qui pose problème mais plutôt le passage de la zone métacarpienne de la main : l'endroit le plus large. Et même si cette intromission se passe ici sans trop de difficulté, Julia ouvre tout de même en grand la bouche, à la fois d'étonnement face à la sensation mais aussi de plaisir.

D'ailleurs, alors que Julien pensais qu'elle en avait pour son compte, cette nymphomane de compétition, au contraire, en redemande ! Elle se saisit du poignet de Julien et lui demande de faire des allers-retours avec son poing. Son visage est étrangement calme et posé : elle veut se faire éclater le fion en version XXL et cela semble être tout à fait normal pour elle.

Julien obéit donc à l'architecte et fait des allers-retours avec son poing. De son côté, Julia se caresse tranquillement pour profiter de ce moment et, même, en jouir !

Julien, pervers, voyeur, dominateur, bref, toutes les qualités d'un résident du paradis, sort régulièrement de l'anus de Julia afin d'en contempler l'état. Il n'a jamais vu de cul aussi ouvert, aussi dilaté malgré les multiples expériences sexuelles qu'il a vécues. A nouveau il rumine : c'est une des choses les plus intenses qu'il n'ait jamais faite et il ne va pas s'en souvenir !

Son état d'excitation est tel qu'il craint de jouir ainsi, juste en fistant Julia sans même que sa queue ne soit stimulée. Il décide donc d'achever Julia (ou en tout cas d'essayer) pour ensuite se finir sur elle. Il enfonce donc à nouveau son poing en elle et reprend ses allers-retours. Mais, alors qu'elle se caresse à nouveau le clitoris, Julien lui attrape la main en disant :
- Non, non ! Si veux jouir, tu le feras par le cul !
Et sur ces mots, il accélère soudainement la cadence, arrachant un cri de surprise et de douleur mêlée de plaisir à Julia. Son poignet et parfois le début de son avant-bras défoncent l'anus de Julia qui semble monter rapidement vers l'orgasme vu l'intensité des gémissements.

Et soudain c'est explosion : Julia jouit en hurlant de plaisir et, sous l'effet des spasmes violents, la main de Julien est éjectée de l'anus

Julien laisse à la blonde toute puissante le temps de se remettre de ses émotions tout en maintenant écarté un anus qui reprend péniblement une allure plus classique.

Puis, voulant à son tour jouir, il cède à l'appel de ce fion pour y redonner quelques coups de queue avant de craquer. Il pénètre donc à nouveau Julia par le cul. Celle-ci, cette fois, affiche une mine inquiète :
- Encore ?? Mais tu ne t'arrêtes jamais ? Mes statistiques ne mentionnent que rarement de telles durées de copulation...
- Oh ne t'inquiète pas Julia, je ne vais pas faire long feu... répond Julien par honnêteté malgré le compliment que la belle blonde venait de lui faire, à sa manière.

Très rapidement, il demande :
- Tu as faim, Julia ?
- Non... pas de nourriture en tout cas. Mais si tu parles de jouir dans ma bouche pour que j'avale ton sperme, c'est avec plaisir.
- Que c'est excitant quand tu parles salement comme ça, répond Julien avec ironie mais sans savoir si Julia l'aura capté. Alors ouvre la bouche, le dessert est servi, ajoute-t-il en se retirant d'un coup du cul de Julia et en se précipitant vers son visage pour lui remplir aussitôt la bouche.

Comme affamée, Julia se jette sur le sexe pendant au-dessus d'elle et boit directement à la source les giclées de sperme qui continuent d'en sortir.

Puis enfin, l'éruption se calme et Julia observe avec gourmandise la dernière goutte de semence suspendue au gland de Julien. Aussi amatrice de foutre qu'elle puisse l'être, l'architecte n'a pour autant pas pu tout boire : du sperme ruisselle depuis sa bouche vers son menton et son cou.

Après avoir récupéré ce qui pouvait l'être sur son visage, Julia s'effondre sur le canapé, visiblement satisfaite et rassasiée. Julien, de son côté se place à côté d'elle et lui dit :
- C'était extraordinaire, Julia ! Tellement de choses que je n'avais jamais faites sur Terre...
- Tant mieux si cela t'a plus. J'ai beaucoup apprécié également... Ce qu'on vient de faire, donc, peut être qualifié de pervers ?
- Oh oui, je pense qu'on peut dire ça !
- Très bien, j'intègre cela à mes standards. Et est-ce qu'on peut dire que c'est le plus pervers qu'on puisse faire ?
La question de Julia était gênante car, en matière de sexe, on pouvait toujours aller plus loin. Et même si Julien se serait bien vu, par exemple, pisser sur une déesse, juste pour essayer, ce genre de pratiques ne l'attirait guère. Et, surtout, il ne voulait pas laisser penser qu'il les connaissait !
- Je ne sais pas, Julia. Ce que je viens de te faire va déjà bien au-delà de ce que j'avais fait sur Terre, donc on pourrait dire que j'ai « dépassé mon zone de compétence » !
- Bon... d'accord... répond Julia un peu déçue.
- Il y aurait bien un petit truc qu'on pourrait faire... mais c'est spécial...
- Dis-moi ! réagit alors Julia avec enthousiasme.
- Et bien... lorsqu'un homme vient d'éjaculer, cela peut être à la fois plaisant pour lui et assez pervers de la part de la femme que celle-ci... le nettoie.
- Sous la douche ?
- Non... avec sa bouche. Je veux dire... tu pourrais me sucer pour me faire la toilette, me nettoyer de toute les traces de spermes, de cyprine et autre.
- Et c'est pervers ça ? Je pensais que c'était plutôt hygiénique...
- Bah disons qu'après une baise, surtout avec une sodomie, peu de femmes acceptent de sucer leur homme.
- Parce que ça sort de mon anus ?? Julien, tu as dû remarquer qu'ici, les mauvaises odeurs n'existaient pas !
- Oui, j'ai vu, mais les résidentes sont humaines et les habitudes ont la vie dure ! A mon avis, si tu demandes aux résidentes si elles acceptent de sucer leur mari après qu'ils les aient enculées, elles vont faire de drôles de têtes !
- Je vois... bon, ajoutons cela à la liste des choses vraiment perverses et viens par-là : c'est l'heure de ta toilette !
Toujours allongée, Julia attrape avec sa bouche la queue mi molle de Julien que celui-ci venait d'approcher et, comme proposé, lui fait la toilette. Elle lèche la moindre partie du sexe, des couilles au gland et restitue à Julien une bite toute propre.

- Bon, je vais à présent réinitialiser cette journée car si je laisse la pause durant trop de temps, cela va attirer l'attention de mes supérieurs. Tu es prêts, Julien ?
- Attends une seconde. Il va se passer quoi exactement ?
- Tu vas de réveiller dans le lit dans lequel tu t'étais endormi hier. Et tu ne te souviendras pas de ce début de journée et surtout pas de l'anomalie.
- Parfait... Mais pour cette séance de sexe ?
- Idem, oubliée d'ici quelques secondes. Sauf pour moi, cela restera un excellent souvenir : ma première pénétration, ma première sodomie, mon premier orgasme, mon premier fisting. Quelle journée !
- Beaucoup de premières pour moi aussi mais je ne m'en souviendrai même pas !
- Écoute Julien, à mon avis cela vaut mieux ainsi. Au moins tu n'auras pas l'impression d'avoir fait cela dans le dos de Dakota, même si la monogamie n'est plus la règle ici. Et, qui sait, on recommencera peut-être dans d'autres circonstances ! Allez, attention, je relance la machine.
Et alors que Julien s'attendait à voir Julia se diriger vers son bureau pour activer une technologie inconnue, l'architecte se contente de frapper dans ses mains en disant « à tout à l'heure » à Julien avec le sourire.

A suivre...
|