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Boris
1er mars 2022
La reconquête : 10 - Le vide-grenier

Samedi 24 juillet, 14:39


Sophie soupire et retourne à son lit. Après avoir fouillé dans son sac, elle en sort une petite robe jaune.
- Je crois que c'est la moins décolletée... Sans soutif, ce sera mieux.
Elle considère que le décolleté est pourtant déjà assez généreux et qu'elle devra rester vigilante quand elle se penchera, sinon les garçons vont lui sauter dessus.


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Elle sourit. À bien considérer la chose, cela pourrait finalement ne pas lui déplaire. De toute façon, elle sait que Sébastien et Georges sauront se tenir et se contenter du spectacle. C'est juste Alan qui pourrait faire des commentaires graveleux voire s'autoriser à des attouchements inappropriés. Ceci dit, Sébastien viendra nécessairement à son secours. Sophie enfile la petite robe et ajuste les bretelles. Voyant qu'elle est assez courte, elle se dit qu'il est préférable de passer une culotte. Jetant un œil vers son sac, elle est contente de constater que, contrairement à tous ses soutiens-gorge, ses culottes n'ont pas disparu. Elle en attrape une et retrousse sa robe avant de l'enfiler.



Elle termine seulement de l'ajuster quand elle entend des pas qui approchent dans le couloir. Alan surgit, habillé.
- Là, ça devrait être chargé maintenant.
Il se dirige vers le côté de son lit pour prendre son téléphone portable qu'il avait laissé en charge. Ce n'est qu'en se redressant qu'il prend conscience de la présence de Sophie :
- Oh ! Je ne t'avais pas vue... Mmmm, elle très jolie cette robe et tu as raison de la porter sans soutif, c'est beaucoup plus sexy.
- Comme si j'avais le choix...



- Tu remettras la main dessus, ils doivent être au fond de ton sac.
- Ne te fous pas de ma gueule.
- Je n'oserais pas. Et je suis sincère : elle te va hyper bien cette robe. Elle est très courte et ça met bien en valeur tes jolies cuisses bronzées.
Sophie apprécie le compliment et laisse Alan s'approcher d'elle et se coller à ses fesses. Elle sent son érection à travers le tissu de son short. Par jeu, elle s'amuse à faire onduler son bassin contre lui.



Le garçon pose alors ses mains sur ses cuisses et, lentement, remonte la robe. Sophie se dit alors qu'elle joue à un jeu dangereux :
- Stop ! Je n'ai pas mis cette robe pour que le premier venu me l'enlève.
- Je ne suis pas le premier venu.
Désignant leurs deux lits mitoyens, il ajoute :
- Et on couche déjà presque ensemble.
- On dort côte-à-côte ! La nuance est de taille. Donc on va arrêter les tripotages.
- N'exagère pas. Je voulais juste voir si tu avais mis une culotte.
- Oh, ça il suffisait de le demander...
Sophie lui sourit et relève lentement sa minirobe pour dévoiler sa culotte rouge.



Alan sourit :
- Héhé, te voilà de plus en plus délurée !
- Au contraire, puisque je garde ma culotte. Avant que je ne devienne nymphomane comme ta cousine, il va se passer un peu de temps. Et, pour commencer, ce temps, on va l'employer en allant préparer à manger.
Quand Sébastien sort de la douche, il découvre Sophie et Alan affairés au repas dans la cuisine. Sébastien soupire de plaisir en voyant son ex-copine, si sexy dans cette petite robe jaune qu'il lui avait offerte il y a quelques mois. Elle prépare des légumes, navigant dans la cuisine pour chercher récipients et ustensiles, faisant ainsi remuer ses seins sous le fin tissu de la robe, pour le plus grand plaisir des yeux. Alan n'hésite pas à tourner autour de la demoiselle pour admirer soit son décolleté, soit sa croupe.



Quand Sophie se déplace, Alan en profite aussi pour la bousculer gentiment, caressant une fesse, effleurant un mamelon à travers le tissu et lui caressant les épaules. Sébastien hésite à manifester sa présence puisqu'elle semble apprécier les attouchements presque sages d'Alan. Pourtant, elle se rend compte de la présence de son ex et lui sourit :
- Ah, Seb ! Tu es douché ?



Se positionnant derrière elle, Alan prend un air de conquérant et Sébastien sent, même dans son regard, une sorte de défi : c'est avec lui que la jeune fille prépare le repas et elle le laisse poser ses mains sur elle. Les mains sur les épaules de Sophie, Alan dit à Sébastien :
- On prépare le repas ensemble...
Il en profite pour faire glisser une bretelle de la petite robe, dévoilant en partie un sein de la jeune fille.



Sébastien sent la jalousie monter, mais le sourire de Sophie le fait temporiser :
- Quand tu remonteras, tu pourras voir où en sont Georges et Linda. Il me semble avoir entendu Linda aller à la salle de bain, mais je pense que Georges dort encore. Ce serait bien qu'ils descendent déjeuner pour qu'on ait le temps de faire quelques activités ensemble cet après-midi...
Alan profite qu'elle parle à Sébastien pour faire glisser la seconde bretelle de la petite robe.



Sébastien n'ose rien dire, ne voulant pas passer pour un jaloux.
- OK...
Avant de remonter, Sébastien lance un regard noir à Alan, mais celui-ci ne le voit pas, déjà tout absorbé qu'il est à laisser son regard se perdre dans le décolleté. Sophie remet en place les bretelles de sa robe et échappe à Alan pour retourner à ses préparatifs culinaires :
- Allez, ça suffit, Alan. Seb, tu leur diras de descendre manger ? Ce sera prêt dans cinq minutes.



Une fois à l'étage, Sébastien constate que la porte de la chambre de Linda et Georges est entrouverte. Il y risque un œil et voit que la fenêtre est ouverte pour aérer la pièce et que Georges semble aussi être sorti. Entendant du bruit dans la salle de bain, il se dit qu'il est sans doute en train de terminer de s'habiller. Il frappe à la porte pour être sûr de ne pas le déranger et la voix de son camarade lui dit aussitôt d'entrer. Ouvrant la porte, Sébastien est stupéfait : Linda est aussi présente. Ils sont tous les deux nus dans la douche et Linda caresse le sexe en érection de Georges tandis que celui-ci lui pelote les fesses.
- Oups, désolé... je ne pensais pas que...
Linda rigole :
- Hihi, ne t'inquiète pas, Seb. On a terminé.
- Je... Sophie dit que le repas sera prêt dans cinq minutes.
- Merci. On termine de se préparer et on descend.



Sébastien referme la porte et redescend. Il se sent un peu à l'écart. Linda semble avoir jeté son dévolu sur Georges. Sophie semble parfaitement s'accommoder de la cour que lui fait Alan, malgré ses remarques déplacées et ses gestes obscènes. Quand il arrive en bas, elle est assise et Alan met la table sur la terrasse. Sébastien lui propose son aide :
- Un coup de main Alan ?
Mais c'est la jeune fille qui lui répond :
- Non, c'est à lui de le faire. Il a passé son temps à me mater et à me peloter pendant que je préparais le repas. Il me doit bien ça. Assieds-toi à côté de moi, Seb.
Sébastien obéit et s'assied à sa droite. En la voyant dans sa magnifique petite robe jaune, Sébastien donnerait presque raison à Alan : comment résister à ne pas au moins admirer ?



Sophie demande à Sébastien :
- Et les lève-tard ?
- Heu... ils arrivent. Ils étaient sous la douche.
Alan demande :
- Ensemble ?
- Heu oui... apparemment...
- Je monte voir.
Mais Sophie l'arrête :
- Reste ici, espèce de voyeur. Ils ont dit qu'ils descendaient, donc tu patientes. Ta cousine te manque tant que ça ?



Alan semble ronger son frein, frustré de devoir suivre l'ordre de Sophie. Il termine donc de mettre la table et s'assoit à table. Sophie voit alors son visage s'illuminer alors que l'on entend des bruits de pas : Linda et Georges descendent. Tournant la tête, elle comprend alors pourquoi Alan et Sébastien sont bouche bée, limite en train de baver : Linda a enfilé une petite robe bleue très courte et très légère, si légère qu'elle en est transparente et qu'il est indiscutable qu'elle ne porte pas de soutien-gorge puisque son orgueilleuse poitrine se devine facilement.
- Bonjour tout le monde. Désolée de vous avoir fait attendre.



Alan sourit bêtement :
- Pour te découvrir dans cette tenue, j'avoue que ça valait le coup d'attendre !
Georges, lui, semble autant intéressé par la robe de Sophie que par celle de Linda, sans doute parce qu'il vient de faire l'amour avec Linda et qu'il est attiré par la nouveauté.
- Salut Georges, bien dormi ?
- Oui...
Sophie l'invite à s'asseoir à sa gauche :
- Installe-toi là.



Une fois tout le monde installé, le repas commence. Personne n'ose parler. Chacun mange en silence. Les regards s'échangent et une gêne s'installe peu à peu, de plus en plus pesante. Vers la fin du repas, c'est Linda qui met les pieds dans le plat et lance la conversation :
- Bon, les gars, il faut vous détendre. J'ai l'impression que vos yeux vont sortir de leurs orbites à force de nous mater Sophie et moi.
Alan, certainement le plus à l'aise avec ce genre de conversation, sourit :
- Désolé les filles, mais de vous voir sans soutif, l'une ter l'autre, c'est vraiment émouvant.
Sophie lève les yeux au ciel :
- Personnellement, moi ce n'est pas par choix puisqu'un petit malin a planqué mes soutifs.
Linda commente :
- Tu vas bien remettre la main dessus. Et puis ta robe est sage, donc tu restes décente.



Georges, avec un petit sourire, dit à Sophie :
- Je te jure n'y être pour rien, mais je t'avoue que ça me plaît beaucoup que tes seins soient libres sous ta petite robe.
- Je n'en doute pas un seul instant, mais je n'ai pas vraiment l'habitude et ça me fait drôle, surtout quand je sens vos regards constamment sur ma poitrine.
- C'est parce que tu as de beaux seins, Sophie. Comme on admirerait un beau tableau ou un paysage pendant des heures, cela apporte réconfort et apaisement.
- Es-tu vraiment objectif ? N'importe quel mec aime n'importe quelle paire de nichons. La vérité, c'est que ça vous excite de les savoir si accessibles, non ?



- Tu n'as pas tort. Mais je t'assure qu'il y a pourtant en nous une part de raisonnable qui trouve cela beau, au-delà de tout désir sexuel.
Alan rigole :
- Ah bah, voilà, on parle cul à table ! Vous êtes fortes, les filles !
Linda soupire :
- Mon cher cousin, tu ne comprends rien apparemment. Georges dit que l'on peut admirer sans désirer.



Georges corrige aussitôt :
- Ah tu surinterprètes mes propos, Linda ! Je n'ai pas dit cela. Je serais bien con de vous dire à toi comme à Sophie que je ne vous désire pas. Vous êtes toutes les deux très excitantes et je ne peux pas cacher le désir que l'une comme l'autre vous suscitez en moi, mais vous êtes aussi mes amies, donc je dois faire en sorte que mes désirs ne viennent pas compromettre notre amitié qui, pour moi, est plus importante.
Sophie rougit :
- Je te savais beau parleur, mais ce que tu viens de dire me touche, si c'est sincère.
- Évidemment que c'est sincère ! Mais cela ne fait pas de moi un surhomme. Il me semble que la situation de Sébastien est beaucoup plus complexe puisque lui doit jongler non seulement entre amitié et désir, mais aussi avec amour et désir.
Sébastien est touché par les mots de Georges, ainsi que Sophie semble-t-il, car elle pose la main sur sa cuisse et cela ne semble pas pour le caresser, mais bien pour lui montrer sa reconnaissance pour ce qu'il vient d'exprimer.



Linda pousse un profond soupir :
- Bon, c'est super émouvant tout ça, mais si on a fini de manger, on peut peut-être aller faire un saut à la piscine, non ?
Sophie lui répond :
- J'avais envie d'aller faire un tour au vide-grenier du village. Et il paraît que ce n'est pas bon de se baigner juste après avoir mangé...
- Les gars, vous préférez quoi vous ? Vide-grenier chiant ou éclate à la piscine ?
Sébastien intervient :
- Moi, je ferais bien le vide-grenier pendant une petite heure et ensuite on profite de la piscine.
Georges et Alan hochent la tête, approuvant la proposition de Sébastien. Un peu agacée de ne pas avoir acquis l'adhésion des garçons, Linda se lève, sans se rendre compte que sa petite robe retroussée dévoile son entrejambe nu.



Alan réagit aussitôt :
- Waouh ! Ni soutif, ni culotte, cousine ?! Tu viens de me donner la gaule en quelques secondes.
- Toujours aussi poète...
Linda rajuste sa petite robe et ajoute :
- Je ne vois pas ce qu'il y a de surprenant. Même à la fac, j'en mettais rarement dès que les beaux jours étaient là. Et puis Sophie aussi, ça lui est déjà arrivé de ne pas en mettre.
Georges se tourne vers elle, montrant ses cuisses du doigt :
- Tu... ?
Pour toute réponse, la jeune fille soulève le bas de sa petite robe pour dévoiler à l'inquisition sa petite culotte rouge.



L'assistance pousse en cœur un soupir de déception. Sophie lève les yeux au ciel :
- Pffff, bande de gamins obsédés... Débarrassez donc la table.
Les garçons se lèvent alors et commencent des aller-retour entre la cuisine et la terrasse pour ranger la vaisselle et tout ce qui traîne sur la table. Alors que tout le monde est affairé, Linda appelle Sophie :
- Viens, j'ai une surprise pour toi.
Sophie s'approche, un peu curieuse.
- C'est quoi ?


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- Regarde...
Linda ouvre sa main et présente à sa copine le petit vibro-masseur oblong qu'elle lui avait fait essayer quelques semaines auparavant :
- Tu ne veux quand même pas que je mette ça pendant qu'on est au vide-grenier ?
- Bien sûr que si. Tiens prends-le.
Sophie prend l'objet sans trop savoir qu'en faire. Linda rigole :
- Mets-le.
- Là ici ? Devant les garçons ?
- Ils sont occupés, profites-en...



Alan s'approche alors :
- Qu'est-ce que vous manigancez, les filles ?
- Rien, je disais juste à Sophie que moi je restais profiter de la piscine pendant que vous alliez au vide-grenier.
Sophie semble surprise :
- Tu ne viens pas ? Mais qui va... contrôler ?



Sophie a bien compris qu'elle parle de la télécommande du petit gadget. Alan fronce les sourcils :
- Contrôler quoi ?
Linda rigole :
- Vous contrôler vous ! Une bande d'adolescents surexcités assoiffés de sexe ! Ma copine craint pour sa vertu en mon absence, et elle a raison.
- Meuh non ! Il y a l'autre coincé du cul de Sébastien qui va garder un œil sur nous.
Puis Alan murmure à son oreille :
- Pas de notre faute à nous si tu es si bandante dans ta petite robe... J'ai eu la gaule pendant tout le repas et c'est encore tout tendu...
Sophie ne résiste pas à passer la main sur la bosse du short et à saisir le membre tendu à travers le tissu.



Linda repousse alors son cousin :
- Mais laisse-la, espèce de pervers !
- Hey ! C'est elle qui me tenait la bite !
S'interposant entre eux, Linda glisse à l'oreille de Sophie :
- Je vais faire diversion, profites-en pour te l'insérer.
Aussitôt, Linda s'écarte un peu et prend une voix forte pour attirer l'attention sur elle :
- Et bien messieurs, pendant que vous serez à acheter des bibelots inutiles aux péquenots du coin, moi je vais me bronzer à la piscine.



Les garçons ont effectivement toute son attention... Alan vient la rejoindre :
- Tu ne vas quand même pas faire du topless sans nous ?
- Mmmm ? J'envisageais même de l'intégral...
Derrière les gars, Sophie n'hésite pas un instant et profite de cette diversion. Elle pose un pied sur une chaise et, écartant sa culotte, s'introduit le petit sextoy dans la fente.



Quand elle termine de se rajuster, elle se retourne et fait signe à Linda :
- Je suis prête...
Linda lui fait un clin d'œil et fend la ligne des garçons hébétés pour venir rejoindre sa copine :
- Allez, les gars, pas de regrets. Je sais que vous allez bien vous amuser avec Sophie.
L'intéressée lui glisse à l'oreille :
- Et la télécommande ?
- Je ne sais plus où elle est... tant pis. Déjà juste le bidule, tu verras, c'est extra rien qu'en marchant.
Sophie est un peu déçue.



Elle rejoint les garçons pour descendre au village. Dès le début, elle sent effectivement le gadget inerte dans sa moule, mais les seuls mouvements de sa marche lui prodiguent un délicieux massage interne qui rapidement lui échauffe le ventre. Elle avance donc lentement et cache son trouble du mieux qu'elle peut. Sébastien remarque quand même son souffle court alors que le rythme de la marche est loin d'être soutenu :
- Tout va bien, Sophie ? Tu sembles... fatiguée.
- Heu oui, ça va. Merci Seb.



Reprenant la marche, Sébastien remarque l'absence d'Alan. Il interroge Georges :
- Alan est où ?
- Il a reçu un message de Linda et est retourné au gîte récupérer un truc. Tiens, le voilà qui revient.
Alan met quelque chose dans la poche de son pantalon et rejoint le groupe avec un air ravi :
- J'avais oublié un truc.
Ils approchent du village et commencent à voir des voitures stationnées sur le bas-côté, signe qu'ils approchent du vide-grenier. Georges désigne les premières maisons :
- Que de la vieille pierre ! Il a beaucoup de charme ce village ! Tu as vu, Sophie ?
- Hein ? Heu oui...
Sébastien trouve étrange le manque d'intérêt de son ex alors qu'il partage lui aussi l'enthousiasme de Georges et qu'il sait qu'elle n'est pas insensible au patrimoine.
- Sophie ? Tu es sûre que ça va ? Tu sembles ailleurs...
- Oui, tout va bien, Seb. Peut-être un peu excitée de me retrouver seule avec trois garçons...



Le long des maisons, les premiers étalages apparaissent. Comme annoncé par Linda, il s'agit effectivement de beaucoup de bibelots inutiles. Sophie repère quand même une paire d'escarpins en bout de stand et se penche pour les observer. Sébastien qui la précédait est éberlué : dans cette position, son ex lui offre une vue parfaitement dégagée dans son décolleté et donc sur ses seins nus. Elle le voit écarquiller les yeux et rigole :
- Il faut t'en remettre, Seb. Tu les as déjà vus, il me semble, non ?


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- Oui, mais ça me semble être une première que tu sortes en public sans soutif.
La jeune fille se redresse :
- Et ça te gêne ?
- Bien sûr que non ! Et puis... ça ne me regarde pas, n'est-ce pas ?
Sophie s'accroupit pour regarder les chaussures et, écartant les cuisses, elle révèle sa culotte à Sébastien :
- Disons que tu en profites au même titre que les autres.



Sébastien hoche la tête :
- Vu l'axe dont je bénéficie, j'ai l'impression d'être quand même privilégié.
- Alors, profites-en...
Soudain, Sophie sent une petite impulsion dans son bas-ventre. Le sextoy se met à vibrer doucement. Elle se redresse en poussant un grognement et porte sa main à son ventre.



L'engin est activé. Comment ? Est-ce une interférence liée à un autre appareil télécommandé à proximité ? Ou bien Linda aura confié la télécommande à un des trois gars... mais lequel ? Elle n'ose plus bouger et tente de contrôler sa respiration pour ne pas se laisser surprendre par un orgasme qu'elle serait bien en peine de contrôler. Sébastien s'inquiète à nouveau :
- Sophie, tu ne serais pas en train de nous faire une insolation, là ?
- Mmmm, non. Juste... juste un petit coup de fatigue...
Heureusement, l'engin s'arrête et elle peut reprendre son souffle. Elle regarde les trois garçons : Sébastien semble sincèrement inquiet pour elle ; Georges a avancé à l'étalage suivant ; Alan semble absorbé par son téléphone portable. Se disant qu'il s'agissait peut-être d'interférences, Sophie reprend son exploration et le groupe avance d'exposant en exposant. À nouveau, elle s'arrête pour regarder une caisse remplie de chaussures et s'intéresse à une paire de chaussures à talon rouge. Comme Sébastien un peu plus tôt, c'est Georges qui se trouve dans le bon axe et profite de la vue dans le décolleté.



Sébastien sourit en voyant le regard de son ami perdu dans le décolleté de la jeune fille. Alan arrive alors derrière elle et dit :
- Sophie, il faut que je vérifie un truc.
Et d'un geste rapide, il retrousse la robe de la jeune fille sur sa taille pour dégager ses fesses et observer la culotte.



Sans doute espère-t-il pouvoir se rendre constater la présence ou non du sextoy. En effet, quand il a testé la télécommande un peu plus tôt, il a cru que cela la faisait réagir, mais cela n'a pas semblé durer. Soit elle s'était bien contrôlée, soit il n'avait pas mis assez de puissance. Sophie réagit aussitôt :
- Hé ! Faut pas te gêner !
Elle se redresse pour se rajuster pendant qu'Alan tente de se justifier :
- Je voulais juste voir si tu avais toujours ta culotte.
- Et quand est-ce que je l'aurais retirée, gros ballot ?



Sébastien intervient :
- Tu peux lui foutre la paix, Alan ?
- Du calme le toutou à sa mémère, il n'y a rien de mal à regarder sa culotte.
- Et à exposer ses fesses à tout le monde ?
- N'exagère pas. Elle porte sûrement des strings sur la plage qui dévoilent beaucoup plus ses fesses.
- Oui, mais c'est sur la plage. Le contexte est différent.
Alan farfouille dans sa poche et s'éloigne. Aussitôt l'engin s'éveille à nouveau dans le ventre de Sophie.
- Ohhhh !



- Sophie ?
Le sextoy se remet en sommeil presque aussitôt. La jeune fille l'a senti à un niveau plus intense que la première fois. Elle rassure Sébastien :
- Ne t'inquiète pas. Tout va bien, c'est passager.
Elle se penche à nouveau sur la caisse de chaussures, offrant à Sébastien l'opportunité de se rincer l'œil une fois de plus dans son décolleté.
- Je te remercie de ta sollicitude, Seb. Sincèrement.



Alors qu'ils avancent vers la place centrale du village où il y a la plus grande concentration d'exposants, Sophie sent l'engin se remettre en route, doucement. Elle ferme les yeux, tente de contrôler sa respiration. Se tournant vers les garçons, elle voit Alan la regarder avec un sourire carnassier. Elle comprend que Linda lui a confié la télécommande. Pourquoi a-t-il fallu que ce soit à ce pervers et pas à Sébastien ou même Georges ? Dans un sens, Alan semble rester raisonnable. Il semble savoir qu'il existe plusieurs niveaux d'intensité à l'appareil, mais se contente du minimum. La jeune fille se laisse aller au doux plaisir de ces vibrations. Alors que Georges et Sébastien fouillent dans des caisses de livres de poche, Alan en profite pour venir derrière elle, lui soulever la robe et passer sa main entre ses cuisses pour faire glisser son index et son majeur tout du long de son entrejambe.
- J'en étais sûr. Tu mouilles un max !
- Arrête ça, Alan. Donne-moi cette télécommande !
Sophie rajuste sa culotte.



Alan ne se cache plus. Il tient la télécommande dirigée vers elle, comme s'il la menaçait avec une arme.
- Sinon quoi ? Tu devrais me remercier : je te donne du plaisir.
- Oui, mais ici, c'est indécent.
- Pas plus que ton décolleté quand tu te penches...
- La faute à qui. Je sais que c'est toi qui m'as planqué mes soutifs.



- Tu n'as aucune preuve.
- Je fais confiance à Sébastien et à Georges.
- Tu fais confiance à Sébastien alors qu'il t'a trompé ?
- Va te faire foutre !
Elle tente de lui arracher la télécommande des mains, mais Alan se recule et, en représailles, il enclenche deux niveaux de plus en intensité. Les vibrations sont telles que Sophie a un orgasme presque immédiatement. Les yeux fermés, elle lutte pour rester debout alors que son corps est pris de spasmes ; se mordant les lèvres, elle lutte pour ne pas gémir de plaisir.



Alan commande l'arrêt de l'engin. La jeune fille reprend son souffle et observe autour d'elle. Personne ne semble s'être rendu compte de son orgasme, pas même Sébastien qui est absorbé par un carton de bandes dessinées. Sophie reprend ses esprits :
- Arrête tes conneries, Alan. Tu es content ? Tu m'as fait jouir devant tout le monde, maintenant tu me rends cette télécommande.
- Hors de question !
Voyant qu'elle ne parvient pas à l'impressionner, elle tente une autre stratégie :
- S'il te plaît... je ferai ce que tu voudras...



Sébastien vient les rejoindre avec un regard sévère pour Alan :
- Sophie, ce pervers essaye encore de te déshabiller ?
Elle se rend alors compte qu'un sein s'est échappé de son décolleté, probablement à cause des convulsions de son orgasme. Elle se dépêche de rajuster son décolleté :
- Merde !



Alan bouscule Sébastien :
- De quoi je me mêle ? Elle a une robe idéale pour exhiber ses nichons, normal qu'il y ait des accidents. Et tu en profites autant que les autres.
Voyant que le ton monte, Sophie s'interpose :
- Oh, du calme les garçons. Ce n'est pas la peine d'en arriver aux mains. Après tout, ce n'est pas bien méchant ces petits accidents...



Sébastien sourit en entendant cela :
- Quoi ? Tu apprécies l'exhibition ?
- Bah... oui, je crois...
- Mais tu n'as jamais voulu essayer ! Même pas du topless sur la plage !
- Et bien j'ai changé, voilà tout. Et puis je n'ai pas de comptes à te rendre, il me semble.
- C'est vrai... Excuse-moi...
Vexé, Sébastien s'éloigne et rejoint Georges qui explore des caisses de romans. Sophie regrette d'avoir rabroué Sébastien ainsi. Ce n'est pas comme ça qu'elle va le reconquérir.



Alan, lui, est toujours bien présent et se rappelle à son souvenir :
- Bon, maintenant que tu as remis en place ce petit branleur, on va pouvoir reprendre notre conversation. Il me semble bien que nous étions arrivés à un accord que je ne passais pas le niveau 4 si tu faisais ce que je voulais.
- L'accord c'est que tu me donnes la télécommande.
- OK, mais tu fais d'abord ce que je veux.
- Et tu veux quoi ?
Sophie s'attend à ce qu'il lui demande une fellation ou de lui faire l'amour. Mais ce n'est pas le cas.
- Que tu retires ta culotte.
- Juste ça ?
Elle est soulagée, car elle s'attendait à devoir payer un tribut bien plus important. Se mettant à l'abri des regards dans une petite ruelle, elle fait glisser sa culotte sur ses cuisses.



Alan tend la main quand elle revient. Elle lui dépose la culotte. Il la porte à son nez.
- Mmmm, quel parfum ! Rien que l'odeur de ta mouille sur cette culotte trempée me donne une sacrée gaule.
- Maintenant que tu as eu ce que tu voulais, tu me rends la télécommande et on continue le vide-grenier.
- Non, je vais la garder, mais je te promets de ne pas l'activer.
- Je n'ai aucune confiance en toi, Alan.
- Et tu as raison. Si jamais il te venait à l'idée de parler de ta situation à Sébastien ou à Georges, je me verrais dans l'obligation d'essayer le niveau quatre pour voir ce que ça donne.
- Salaud !



Ils vont rejoindre Georges et Sébastien et font semblant d'examiner les objets mis en vente. Sophie a du mal à se concentrer sur l'examen des bibelots : elle regarde autour d'elle, se demandant si certaines personnes ont remarqué sa tenue. D'autant qu'Alan conserve sa culotte en main, l'arborant comme un trophée, sans doute dans l'attente que Georges et surtout Sébastien remarquent sa victoire indiscutable. Alan aussi a du mal à porter un quelconque intérêt pour les objets exposés. Il garde les yeux rivés à la croupe de la jeune fille, attendant qu'elle se penche ou s'accroupisse et qu'elle expose sa fente dégoulinante de mouille. Au bout d'un moment, voyant qu'elle fait très attention à ne pas se pencher, Alan vient derrière elle et lui dit :
- Je crois que tu vas t'intéresser à ces chaussures qui sont sous la table du monsieur.
- Hors de question.
Alan met alors la main dans sa poche et active le premier niveau de vibration pendant quelques secondes. Sophie comprend la menace et s'accroupit pour regarder les chaussures. Les jambes très légèrement écartées, elle offre au vendeur une vue assez directe sur son entrejambe dénudé et humide.



Cela ne semble pas suffisant pour Alan. Il appuie sur les épaules de la jeune fille pour la déséquilibrer et la forcer à se mettre à quatre pattes sous la table :
- Allez, montre au monsieur quelles chaussures t'intéressent.
L'homme s'accroupit pour pouvoir voir sous la table et reste ébahi par le spectacle des seins nus dévoilés par le décolleté grâce à cette position. Sophie ne montre pas sa colère pour Alan et reste courtoise :
- Celles-ci, vous les faites à combien ?


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- Heu... 30€ ?
- 20€ !
- Je... je vous les laisse à 15€.
Alan rigole de cette négociation rondement menée :
- Parfait, je te les offre ma belle.
Pendant qu'Alan tend deux billets au gars, Sophie se redresse s'assurant que sa robe tombe décemment sur ses cuisses.



Sébastien vient lui chuchoter à l'oreille :
- J'ai vu...
- Quoi ?
- Que tu n'avais plus ta culotte.
- Tu... Tu es fâché ?
- Je n'ai aucune légitimité pour me fâcher, mais non, je trouve ça très excitant.
- Tant mieux.
Sophie lui fit un bisou sur la joue, lui montrant ainsi qu'elle souhaite effacer la petite querelle précédente.



Remotivée et souriante, elle dit à Sébastien :
- Je peux t'aider pour les bouquins ? Tu recherches quoi ? Plutôt du fantastique et des polars, c'est ça ?
- Heu oui... Tu t'en rappelles ?
- On n'est quand même pas séparés depuis si longtemps...
Elle se penche alors au-dessus d'un carton de livre, tournant le dos à Sébastien et lui offrant ainsi une belle vue sur ses fesses nues.



Sébastien ne bouge plus et admire le spectacle. Depuis qu'il l'avait rencontrée, l'exhibition de Sophie était un fantasme qu'il ne lui avait pas caché. Il avait fallu qu'ils aient rompu pour qu'elle accepte enfin de le faire. Elle ne compte apparemment pas se limiter à ça. Se redressant, elle se penche au-dessus de la table d'exposition des bibelots et demande au vendeur :
- C'est un carton de livres que vous avez là-derrière ?
Le type ne répond pas tout de suite, apparemment troublé par le spectacle des seins nus dans le décolleté. Sébastien sourit et sent qu'une érection le gagne. Lui ne voit pas dans le décolleté de Sophie, mais les fesses juste assez découvertes pour révéler le sexe nu de son ex-copine suffisent largement à l'exciter.



Comme le gars semble toujours pétrifié par ce qu'il voit devant, Sébastien le rappelle à l'ordre :
- La demoiselle veut savoir si elle peut aller jeter un œil dans ce carton que vous avez derrière ?
- Ah ? Heu... Oui, bien sûr ! Venez, mademoiselle.
Elle contourne la table et va se pencher au-dessus du carton. Sa minirobe révèle alors aux spectateurs proches le délicieux paysage de sa croupe dénudée.


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Voyant les yeux exorbités du vendeur, Sébastien préfère stopper l'expérience avant qu'il ne fasse une crise cardiaque :
- Sophie ? Je crois que ta robe est un peu trop courte pour que tu te permettes de prendre une telle position.
- De quoi ?
- On aperçoit tes fesses...
Sébastien ment. On ne fait pas qu'apercevoir et on voit bien plus que ses fesses. Sophie se redresse vivement en tirant sur sa petite robe.
- Oups !



Alan et Georges les rejoignent alors.
- Qu'est-ce que vous faites ?
- On regardait les livres.
- Et c'est ça qui a mis ce type dans cet état ?
Sébastien sourit et répond en regardant son ex :
- Je pense que ce sont les magnifiques jambes de Sophie. Sa robe est un peu courte... D'ailleurs, Sophie, tu as vu quelque chose d'intéressant dans ce carton ?
- Non, ce ne sont que des romans à l'eau de rose...
Elle revient dans l'allée, après avoir fait un petit signe de la main au vendeur :
- Bon, on a fait le tour. On rentre ?



Sur le chemin du retour, Sophie demande à Alan à récupérer sa culotte, alors qu'il la conserve toujours en main, juste pour agacer Sébastien.
- Alan, rends-moi ma culotte maintenant.
- Franchement, tu es bien mieux sans. Demande aux gars, ils sont d'accord avec moi. Et pour que tu ne sois pas tentée de la remettre, hop !
Alan met la culotte en boule dans sa main et la lance dans la prairie qui longe la route.
- Non ! Mais quel enfoiré !
Sophie saute par-dessus le fossé et commence à la chercher, mais les herbes sont si hautes qu'elle ne parvient pas à la trouver. Par contre les gars trouvent très intéressant de la voir se pencher ici et là pour scruter entre les herbes, car cela leur permet d'admirer sa délicieuse croupe nue.



Revenant sur la route sous le regard rigolard d'Alan, elle exprime sa colère :
- Alan, tu fais vraiment chier ! Tu me paieras une culotte neuve.
- Calme-toi. Je te dis que tu n'en as pas besoin.
Furieuse, elle repart vers la maison, devançant les garçons. Alan met la main dans sa poche et enclenche le gadget. Aussitôt, Sophie porte la main à son entrejambe et se retourne :
- Arrête ça immédiatement !



- Pourquoi, c'est désagréable ?
Sébastien et Georges se regardent sans comprendre ce qui se passe. D'une pression sur la télécommande dans sa poche, Alan désactive le sextoy. Sophie se redresse. Elle voit Georges et Sébastien qui semblent embarrassés de ne pas saisir la situation. Elle hésite à leur dire, mais se ravise, ayant un peu honte d'avoir accepté ce petit jeu de Linda et de s'être fait piéger par Alan. Elle prend une profonde inspiration et dit :
- Rentrons. Linda nous attend.



Quand ils arrivent sur la terrasse du gîte, les trois garçons scrutent en direction de la piscine, espérant y voir Linda y faire du nudisme comme promis. Mais la piscine est désespérément déserte. Sophie rigole :
- Oh, vous semblez tous déçus qu'elle ne soit pas à poil au bord de la piscine.
- On t'a quand même accompagnée au vide-grenier, argumente Georges.
Sophie lui sourit, car elle sait qu'il s'est quand même bien rincé l'œil lui aussi. Elle entre dans la maison :
- Je vais voir si elle est à l'étage.


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Sébastien dit :
- Je vais faire le tour de la maison des fois où elle serait dehors.
Georges ajoute :
- Moi, je vais reprendre une douche...
Alan, qui n'a rien dit, suit Sophie dans les escaliers et s'amuse à relever sa robe pour exposer ses fesses.
- Bas les pattes, tu as déjà vu ce que tu voulais, non ?



- Je ne me lasse pas... tu as un très beau cul !
- Merci, mais pour l'heure, on cherche Linda et, apparemment, elle n'est pas en haut.
Alors qu'ils redescendent, Alan sort son téléphone portable :
- Je vais essayer de l'appeler sur son portable.
La sonnerie se fait entendre au salon. Sophie s'approche d'un fauteuil :
- Il est là. Elle ne l'a pas pris...
Penchée en avant sur le fauteuil, sa minirobe révèle à Alan sa magnifique croupe nue.



Alan ne résiste pas et prend la télécommande pour l'activer. La jeune fille sent soudain le sextoy se mettre en branle de manière assez intense. Les vibrations du petit appareil semblent s'étendre à tout son corps au point que les bretelles de la robe glissent et que ses seins se retrouvent complètement dégagés. Elle tourne la tête vers Alan en gémissant de plaisir :
- Aaaaaaah... Ooooooh.... Aaaaaaaaaaaah...



Alan lui montre qu'il vient de mettre l'engin sur la quatrième position. Alors qu'elle est à deux doigts de jouir, l'appareil s'arrête. Haletante, elle sent qu'Alan tire sur la cordelette et extrait doucement le petit appareil bienfaiteur :
- Qu'est-ce que... ?
- Quelle magnifique chatte tu as !
Il reste en admiration devant la fente béante et ruisselante de cyprine.



Toujours haletante, Sophie peste :
- Salaud... j'allais jouir...
- Ne t'inquiète pas. Tu vas jouir... Mais pas grâce à de la mécanique.
Alan avance son visage entre les fesses et sa langue commence à lécher les lèvres déjà gonflées de désir.



Dès que la langue entre en contact avec son abricot, rendu hyper sensible par le sextoy, Sophie se met à gémir. Elle sait qu'elle ne devrait pas laisser Alan faire. Elle ne le veut pas. Elle veut se réserver pour Sébastien. Mais il est trop tard. L'excitation est telle que plus aucune barrière ne se présente. Alan est ainsi libre de lui faire ce qu'il veut. Il fait même remonter sa langue jusqu'à son anus et lui fourre le majeur dans la fente pour la masturber. Elle défaille.


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L'orgasme la gagne, inéluctable. L'esprit complètement retourné, elle a un sursaut de lucidité qui lui fait prendre conscience que dans l'état où elle se trouve, elle serait parfaitement incapable d'empêcher Alan de la pénétrer et de la baiser s'il lui en prenait l'envie. Mais à sa grande surprise, alors que son corps subit encore les spasmes du plaisir, Alan se relève, l'abandonnant affalée sur le fauteuil.
- Mmmmm. J'ai adoré te bouffer la moule. Et toi aussi, j'en suis certain !
Dans un état second, Sophie répond :
- Salaud...



- Héhé, je t'ai donné un orgasme. Tu ne vas pas te plaindre.
Toujours à quatre pattes sur le canapé, elle rajuste sa robe :
- C'est l'appareil... sans lui, je ne t'aurais jamais laissé faire.
Alan hoche la tête :
- Tu as aussi conscience que, dans l'état où tu étais, j'aurais pu abuser de toi sans peine et m'offrir la totale : ta moule, voire même ton cul !
Sophie se sent un peu honteuse :
- Oui, mais ne crois pas que je te suis reconnaissante pour autant.



- Petite ingrate. On en reparlera. En attendant, je vais voir si Sébastien a retrouvé Linda.
Quelques secondes après le départ d'Alan, Sophie entend la porte de la salle de bain s'ouvrir et Georges en sortir :
- Quel bien ça fait quand il fait chaud comme ça. Des fois, je vous envie les filles avec vos minirobes : ça reste le vêtement idéal en temps de canicule, même si, dans ton cas, c'est vrai que ça a tendance à donner plus chaud aux garçons qui te regardent.
- Hihi, c'est vrai que celle-là est particulièrement courte. Je vais peut-être en changer.
Elle tire sur l'arrière pour être sûre que ses fesses soient couvertes.



- Moi aussi, je vais passer une chemise.
Georges monte dans sa chambre, suivi de Sophie. En entrant dans sa chambre, il lui demande :
- Vous avez retrouvé Linda ?
- Elle n'est pas ici et Sébastien n'est pas revenu... Alan vient d'aller voir aussi.
- On l'aurait croisée si elle était venue nous rejoindre au village ?
- Oui, le village n'est pas si grand que ça et il n'y avait qu'une seule rue.



Georges sourit en voyant que la jeune fille admire son torse. Il attrape une chemise et dit :
- Je vois que tu apprécies mon corps d'athlète...
- Oui, tu es plutôt bien foutu, toi aussi.
- Héhé, si tu veux, je te laisse me boutonner la chemise.
Sophie ne semble pas contre cette idée. Elle s'approche et commence à mettre les boutons en commençant par le bas.



Georges pose une main sur une fesse et la caresse doucement. Elle relève la tête :
- Dis donc, petit profiteur ! Ne serais-tu pas en train d'essayer de me distraire ?
- Si. Je veux que ça mette le plus longtemps possible pour pouvoir continuer à te sentir contre moi.
- Ne t'inquiète pas, je suis pas très habituée à boutonner la chemise d'un homme...



- Ah, Sophie ! Qu'est-ce que tu m'excites !
Georges se penche pour l'embrasser, mais elle détourne la tête en souriant, l'obligeant à se contenter de son cou.
- Oui, je la sens bien contre mon ventre, ton excitation... Une belle bosse bien dure.
Elle se détache et porte la main à la protubérance de l'entrejambe pour la caresser doucement.



Georges réessaye de l'embrasser, mais elle évite à nouveau son baiser :
- Non, Georges. Je veux bien qu'on s'amuse un peu, mais embrasser, pour moi, cela relève d'un degré d'intimité plus avancé.
- Ah, je vois... nous sommes juste assez bons amis pour se tripoter, c'est cela ?
- Oui... tu... ça ne te vexe pas trop ?
- Je vais être franc, Sophie. C'est exactement comme ça que je vois les choses aussi. Je ne suis pas amoureux de toi, mais je ne te cache pas que je te trouve très sexy et que je te désire.
Elle porte un œil à la bosse de son pantalon.
- C'est bien ce que je vois...
Georges s'écarte et regarde lui aussi l'entrejambe de la jeune fille :
- Et je vois que tu partages... mes sentiments, vu comment tu mouilles.
Sophie se rend compte alors que, pendant leur étreinte, sa petite robe s'est retroussée un peu sur sa taille.



Elle rajuste sa robe en rougissant un peu et préfère changer de sujet :
- Tout ça ne nous dit pas où est Linda...
- Seb et Alan ne l'ont pas trouvée ?
- Aucune idée. Seb est parti faire le tour de la maison il y a un moment et Alan est parti voir aussi juste avant que tu ne sortes de la douche.



- Tu veux que j'aille voir aussi ?
- Oh, ils ne vont pas tarder. Tu peux en revanche nous préparer quelques rafraîchissements, qu'on se pose un peu ?
- Bonne idée. Tu vas te doucher ?
- Oui rapidement. Mais je veux surtout me changer.



- Dommage, cette petite robe t'allait bien...
- Tu dis ça surtout parce que je n'ai plus de culotte dessous et qu'elle est très courte. Je vais voir si j'en ai une un peu plus longue et je vais surtout remettre une culotte.
- D'ailleurs, ça m'étonne que tu aies accepté de céder à Alan.
- Il m'a fait du chantage... je n'avais pas le choix...
- Quel enfoiré. Ce type me semble peu fiable...
- Je te le confirme.
Sophie laisse Georges et remonte à l'étage.



Au retour du vide-grenier, quand Sébastien est parti à la recherche de Linda, il s'est dit qu'elle était peut-être allée explorer les environs. Il voulait donc faire le tour de la maison et voir s'il l'apercevait. Cela l'a fait passer devant le second gîte où se trouvent les hommes qui avaient surpris Sophie à la piscine le matin même. En passant près de la baie vitrée, il entend des gémissements féminins significatifs. S'approchant discrètement, il découvre Linda, nue, chevauchant un des deux gars vus à la piscine le matin. À cet instant, Linda tourne la tête vers la baie vitrée et Sébastien se recule, craignant d'avoir été repéré.


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Mais, même si elle sait que Sébastien se cache pour les observer, cela ne semble pas poser de problème à Linda. Elle se penche sur son amant et lui dit :
- Eddy, ils se contentent de se branler, tes copains ?
Eddy ne répond pas, mais Linda se penche en avant pour bien exposer sa croupe et se glisse le majeur dans l'anus en disant :
- Allez Rayan, il y a une place ici...



Rayan ne fait pas le difficile, et s'approche, nu lui aussi :
- Ok, tu ne vas pas le regretter, ma jolie.
Il monte sur le canapé et guide son membre tendu entre les fesses de la jolie blonde.


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Sébastien a un peu honte de rester à jouer les voyeurs, mais l'érection qui prend forme dans son short l'invite à rester profiter du spectacle. Lentement, le sexe de Rayan écarte les chairs de Linda et s'enfonce peu à peu dans son anus. Comme Eddy semble ne pas vouloir s'interrompre pendant que son copain s'installe, Linda gémit en sachant que l'orgasme n'est plus très loin.


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Quand les deux hommes commencent à aller et venir en elle, de manière désynchronisée, Linda ne peut plus retenir son plaisir et crie tandis que l'orgasme l'envahit, secouant son corps de spasmes. Eddy dit alors :
- Mathis, viens la faire taire. Cette conne va rameuter ses copains.
- Avec plaisir !
Un troisième homme arrive alors et fourre sa queue dressée dans la bouche de la jeune fille.



Bien qu'étouffés, les hurlements de plaisir de Linda continuent. Le nouvel arrivant, Mathis, la laisse respirer de temps en temps. C'est alors que Sébastien sursaute, sentant une présence derrière lui :
- Alors, on se rince l'œil encore une fois et on ne prévient pas les copains ?
- Alan... Je... j'ai trouvé Linda.
- Je vois ça. Elle ne s'est pas ennuyée pendant qu'on était au vide-grenier...
Alan s'installe à côté de Sébastien pour lui aussi profiter du spectacle de sa cousine en train de se faire prendre par trois hommes à la fois.


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Tout bas, Alan murmure à l'oreille de Sébastien :
- Elle a du tempérament quand même, cette salope.
- Je la savais portée sur le cul, mais de là à se taper trois types à la fois.
- C'est le talent, que veux-tu. Moi, ce qui me sidère, c'est qu'aucun des mecs n'ait encore éjaculé alors qu'ils y vont franchement.



- Si, regarde !
Les mecs se retirent presque tous les trois en même temps. Mathis attrape Linda et la fait se mettre à genoux. Aussitôt, les trois hommes l'entourent, les queues dressées, prêtes à exploser.



Alan s'impatiente :
- Merde ! Qu'est-ce qu'ils foutent ? Pourquoi ça ne vient pas ?
- Apparemment, ils sont endurants...
- Ah, du coup, elle y retourne.
Linda saisit deux queues pour les masturber vigoureusement et les porte à sa bouche à tour de rôle pour les sucer.


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Alan se redresse, comme si le spectacle était déjà terminé :
- C'est bon, elle les tient !
Effectivement, des râles puissants se font entendre et Eddy commence à éjaculer, éclaboussant de son foutre le visage de Linda. Mathis n'attend pas davantage et mélange son sperme à celui de son copain. Seul Rayan semble tenir encore, mais Linda passe une main sous ses bourses et les masse délicatement. Cela suffit à ce qu'il décharge à son tour, propulsant plusieurs salves de sperme épais au visage de Linda. Quand les trois hommes semblent avoir terminé, ils félicitent Linda :
- Bravo, tu es douée. On remet ça ?
- Non, je vais prendre une douche et retourner au gîte. Mes amis sont sans doute rentrés. Mais je repasserai peut-être.
- Viens avec ta copine qu'on a aperçue ce matin, Sophie.
- Ah, vous avez fait connaissance ?


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- Oui, mais elle était bien moins ouverte à nos avances que toi.
- Je sais... j'y travaille.
Sentant que le spectacle est terminé, Alan et Sébastien repartent discrètement. En arrivant à leur gîte, ils tombent sur Georges qui termine d'apporter des verres et des rafraîchissements sur la table de la terrasse :
- Alors ? Vous avez trouvé Linda ?
Alan rigole :
- Carrément ! Elle vient de se taper les trois voisins du gîte à côté !
- Quoi ? Vous l'avez vue ?
- Dans les moindres détails...
Un silence suit. Georges lui fait un petit signe de tête et les garçons remarquent Sophie qui attendait dans un coin. Sur un ton sec, elle s'adresse à eux :
- Je comprends un peu mieux pourquoi vous avez été si longs, les gars... Vous vous rinciez l'œil.



Sébastien reste sans voix, autant à cause de s'être fait prendre la main dans le sac que par la jolie petite robe fleurie assez décolletée que Sophie a enfilée. Alan, lui, ne semble pas gêné de cette situation :
- Et il y avait de quoi ! Ta copine en avait dans tous les trous et...
- Pitié, Alan ! Épargne-nous tes commentaires salaces et rends-toi utile en allant chercher les bières qui sont au frais dans le frigo.
Alors qu'Alan rentre dans le gîte, Sébastien désigne quelque chose par terre :
- Ce ne sont pas tes lunettes de soleil, Sophie ?
- Ah si.
Comme elle se penche pour les ramasser, Sébastien profite d'une jolie vue sur les seins nus dans le décolleté de la petite robe.



- Merci, Seb. Tu as l'œil !
Georges sourit :
- Son œil a surtout profité de ton décolleté pendant que tu te penchais...
- Toi aussi, Georges. Et de toute façon, ce n'est pas un mystère que je n'ai plus de soutif.
Elle sourit à Sébastien et, gardant les cuisses assez serrées, elle ajoute :
- Par contre, vous ne saurez pas si j'ai une culotte ou pas.




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