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Boris
15 mai 2022
La reconquête : 15 - L'intrusion

Samedi 24 juillet, 23:25


Quand il redescend, Sébastien retrouve les autres dans le salon autour de la table basse. Linda lui sourit :
- Installe-toi, Seb. On s'est dit que ce serait plus convivial, ici. Et sur la terrasse, on va être assaillis de papillons à cause de la lumière.
- Ok, très bien.
En fait, avec le départ de Sophie, Linda est devenue l'unique objet de l'attention des garçons et il semble qu'elle compte bien en profiter. Sébastien note avec quelle désinvolture elle se penche au-dessus de la table basse pour attraper des plats, une bouteille. Et tous les gars, Sébastien compris, ne perdent pas une miette de la vue splendide dans le décolleté de la jolie blonde.


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À un moment où il n'est pas captivé par le décolleté de Linda, Georges exprime sa gêne vis-à-vis de Sophie :
- Je me demande si on n'est pas allés un peu loin tout à l'heure avec Sophie...
Alan soupire :
- Mais non... Elle eut un orgasme. Qu'est-ce que tu veux de plus comme preuve ?
Sébastien intervient :
- Quand même, elle était saoule...
Sans doute vexée que la conversation revienne sur Sophie, Linda montre son agacement :
- Ne vous fâchez pas pour ça. Elle dort, elle se repose. Elle nous dira elle-même demain matin ce qu'elle a pensé de cet apéritif.
Et pour être bien certaine de capter à nouveau l'attention, non seulement elle se penche pour attraper une bouteille posée sous la table, mais elle écarte largement les cuisses, dévoilant son entrecuisse dénudé.


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Alan sourit et dit :
- Héhé, oui. C'est bien comme ça que je l'envisageais : un apéritif !
Linda se redresse :
- Inutile d'en dire plus Alan, je te connais assez pour savoir tout ce que tu sous-entends.
- Oh, je ne suis pas le seul que la donzelle a mis en appétit.
- Sans doute, mais en attendant, je trouve que vous lui avez beaucoup tourné autour. Et m'avez un peu délaissée...
Elle remonte un pied sur sa chaise pour délacer sa chaussure, exhibant aux garçons son bel abricot luisant.



Georges et Sébastien sont estomaqués. Alan, opportuniste, vient aussitôt s'agenouiller entre les cuisses de sa cousine :
- Oh, ma tendre cousine. Excuse-nous de t'avoir délaissée ! Il est encore temps de se rattraper ?
- Bien sûr, si l'apéro t'a mis en appétit, que dirais-tu de déguster ce fruit juteux ?
Et sans attendre, Alan plonge entre les cuisses de Linda et lui lèche délicatement la moule.


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Entre les bruits de succion d'Alan et les gémissements de Linda, Georges et Sébastien se sentent de trop. Sans se concerter, ils se lèvent et débarrassent la table avant de monter, laissant les deux jeunes gens continuer leur séance de dégustation. Chacun regagne sa chambre. Le soleil est en train de se coucher, mais la clarté de la lune promet déjà une nuit lumineuse. Sébastien admire son ex qui dort profondément. Son débardeur léger laisse deviner la masse de ses seins et ses mamelons se distinguent sous le tissu. À cause de la chaleur de la pièce, la sueur lui fait une peau joliment luisante. Mais cette atmosphère lourde semble l'incommoder et la jeune fille se tourne, à la recherche de fraîcheur, tirant sur son débardeur.



Sébastien a un petit pincement au cœur. Dormir si près d'elle, sans pouvoir la serrer dans ses bras. Que doit-il penser après tout ce qui s'est passé durant la journée ? Il l'a trouvée très complice avec Alan durant le vide-greniers et quand il lui a fait des massages. Mais ne l'a-t-elle pas invité, lui, Sébastien, à lui caresser la moule, puis les seins ? Et pourtant, dans les deux cas, l'opportunité a tourné court et c'est cet enfoiré d'Alan qui en a profité. Elle était d'ailleurs en colère, les deux fois. Sébastien enfile un caleçon pour la nuit et s'allonge sur son lit, épuisé par la journée.



Il écoute la respiration de Sophie, cherchant à caler sa propre respiration sur celle de son ex, comme il le faisait auparavant. Toutefois, il n'arrive pas à faire abstraction des gémissements de plaisir que Linda libère en bas dans le salon. Alan est-il toujours entre ses cuisses ou bien sont-ils passés à d'autres plaisirs ? N'entendant pas du tout Alan, Sébastien se dit qu'ils en sont sans doute encore au cunnilingus. Imaginant la scène, il sent une terrible érection le gagne. Lui aussi a chaud. Il jette un coup d'œil à Sophie pour s'assurer qu'elle dort parfaitement et décide de retirer son caleçon, libérant son érection.


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Entendant du bruit et des rires dans les escaliers, Sébastien se couvre le bas du corps avec le drap. La porte s'ouvre et il entend Linda et Alan chuchoter :
- ... comme toujours. Merci Alan... Tu es sûr que tu ne veux pas une petite pipe ?
- C'est tentant ma belle, mais je suis crevé et si besoin, je demanderai à ta copine.
- Pfff, t'es con. Bonne nuit.
La porte se referme. Sébastien fait semblant de dormir. Alan ne fait apparemment aucun effort pour rester discret tandis qu'il se déshabille. Une fois en caleçon de nuit, il vient s'allonger à côté de Sophie et profite pour lui caresser la cuisse :
- Mmmmm... j'avoue que ça aussi c'est tentant...



Dérangée dans son sommeil, Sophie se retourne. Sébastien aperçoit Alan qui s'allonge derrière elle et qui, peu à peu, se rapproche, cette fois-ci aussi discrètement qu'un cambrioleur. Il ne peut s'empêcher de murmurer pour lui-même :
- C'est gentil ça, de présenter ses fesses à papa.
Il lui pose une main sur l'épaule et lui caresse doucement l'avant-bras.



Sophie ne semble pas être dérangée. Sébastien ne voit pas si Alan a calé son bassin contre celui de la jeune fille, mais il le voit attraper le poignet de Sophie et le décale pour se frayer un chemin jusqu'à sa poitrine. À travers le tissu du débardeur, il malaxe doucement le sein dont il s'est emparé. Sébastien se rend compte que tout cela commence à l'exciter et qu'il bande franchement. Alan continue à commenter à voix basse :
- Mmmmm... Quel bonheur de pouvoir te caresser les nichons...



Écartant un peu la bretelle du débardeur il dégage le sein et admire :
- Voilà un téton dressé qui montre que tu aimes ce que je te fais.
Sébastien hésite à montrer qu'il est réveillé, car il craint qu'Alan profite du lourd sommeil de la jeune fille alcoolisée pour abuser d'elle. Pour le moment, il fait toujours semblant de dormir et continue à observer discrètement. Alan caresse le sein dégagé au mamelon effectivement tendu significativement.



Mais contre tout attente, il abandonne le sein pourtant si appétissant et se glisse au bas du lit pour admirer la croupe :
- Putain, tu as des seins de déesse mais tu as un cul de chienne qui ne demande qu'à être pris.
Il tire sur le tissu entre les fesses pour essayer de dégager la moule, mais n'y parvenant pas, il se contente de caresser les fesses, déclenchant quelques gémissements positifs de sa proie.



La considérant de bonne composition, Alan ose glisser quelques doigts entre ses cuisses pour lui masser délicatement la moule. Sébastien devine sans pouvoir réellement voir, mais il sait qu'Alan a des mains divines pour masser et que Sophie avait déjà su en apprécier la dextérité. Les gémissements de la jeune fille semblent montrer qu'elle apprécie encore une nouvelle fois ce traitement. Même si le comportement et les mots du cousin de Linda sont rustres, Sébastien prend conscience que ses caresses sont particulièrement efficaces.



Va-t-il se contenter de ces caresses ? Sébastien constate que non quand il le voit attraper l'élastique de la culotte et à faire doucement glisser celle-ci sur les cuisses de la belle endormie. Alan parvient à lui retirer complètement sa culotte sans la réveiller. Quand Sébastien le voit attraper le débardeur et à le remonter, il se dit qu'il va nécessairement la réveiller. Pourtant, le garçon semble savoir y faire : le débardeur est remonté sur les seins, il fait glisser une bretelle jusqu'au coude et fait pivoter le bras pour dégager la bretelle ; puis il passe le débardeur par-dessus la tête ; pour terminer, il fait pivoter doucement la jeune fille pour dégager la tête du débardeur et terminer de retirer celui-ci en le glissant le long du bras libéré. Et tout cela avec seulement un vague grognement de Sophie au moment où il l'a fait pivoter. Sébastien est stupéfait : il l'a mise nue.



Alan lui caresse doucement le dos. Dans son sommeil, elle glousse de plaisir et se tourne vers lui.
- Tu as besoin d'être cajolée, ma belle ? C'est parfait parce que ta copine m'a bien chauffé...
Alan se redresse et se glisse au bas du lit, de toute évidence plus intéressé par son cul que par sa poitrine.



Venant se positionner derrière, il présente son dos à Sébastien qui ne peut alors plus voir Sophie.
- Tu as un cul magnifique. Ce soir, c'est jour de fête...
Il caresse la croupe, effleurant la moule. Sophie gémit à nouveau.



Alan se lève alors, entre le lit de Sophie et celui de Sébastien. Ce dernier ferme les yeux pour ne pas révéler qu'il est éveillé. Au bruit, il entend qu'Alan retire son tee-shirt et le jette au pied de son lit. Entrouvrant un œil, il comprend qu'Alan quitte aussi son caleçon, libérant son érection, ce sexe si imposant qui semble émoustiller Sophie. Nu, il vient s'allonger derrière la jeune fille, calant sa queue dans le sillon des fesses. Sébastien rouvre les yeux. Il voit les fesses d'Alan, mais, aux mouvements, qu'il fait, il semblerait qu'il se contente de faire glisser sa tige entre les fesses sans tenter de pénétration.


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Sophie semble ne pas réagir. Alan se montre plus entreprenant :
- Attends un peu, ma belle. Qu'est-ce que tu dirais si je te caressais la moule avec ma queue ?
Là, Sébastien voit le sexe tendu s'abaisser pour venir se coincer contre les lèvres. Cette fois-ci, Sophie gémit de plaisir.



Alan continue à commenter ce qu'il fait en chuchotant. Sébastien se demande même s'il ne se doute pas qu'il est réveillé :
- Oui. C'est bien. Tu commences à mouiller... Tu vas pouvoir m'accueillir.
Sébastien retient son souffle : "Alors, il va donc le faire ? La baiser, là, sous mes yeux, sans que je ne puisse rien faire ?" Mais Sophie réagit quand le gland d'Alan commence à se glisser entre ses lèvres humides. Elle se dégage et se retourne dans l'autre sens.



- Tu ne me facilites pas la vie, ma belle.
Cette fois, Sébastien craint qu'il se montre moins doux. Il a bien vu qu'Alan obtenait toujours ce qu'il voulait et il ne sait pas comment il peut réagir s'il est frustré. Mais à sa grande surprise, le garçon ne se montre pas aussi déterminé qu'il ne l'aurait supposé :
- Ok, ma belle. Tant pis pour moi.
Il se lève. Un instant, il observe Sébastien. Craignant d'être découvert, Sébastien fait un petit grognement nocturne et se retourne. Alan commente :
- Toi aussi, tu dors comme une souche. Personne ne tient l'alcool... Allez. Au dodo.
Alan réintègre son lit, accolé à celui de Sophie. À nouveau, il s'installe en calant son érection dans le sillon des fesses de la jeune fille.



Sébastien ne peut pas voir ce détail et pense qu'Alan a vraiment décidé de dormir. Lui-même crevé, il se laisse tomber dans le sommeil, profitant enfin du silence nocturne.
Réveillé par de petits gémissements, Sébastien ouvre les yeux. Il ne saurait dire s'il a dormi cinq minutes ou trois heures. La lune éclaire toujours la chambre de sa douce clarté et Sébastien voit Sophie tournée vers lui. Il voit ses seins se soulever au rythme de sa respiration. Il voit aussi son bassin onduler doucement. Sa bouche est entrouverte et c'est elle qui gémit par intermittence dans son sommeil. Imaginant qu'elle rêve de lui, une fulgurante érection le gagne.


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Elle porte alors la main gauche à sa poitrine et se caresse le sein. Sébastien l'entend murmurer :
- Mmmmm, Seb...
Aussitôt, il prend conscience qu'elle fait probablement un rêve érotique en pensant à lui. Mais, si Sophie rêve effectivement que Sébastien est en train de lui faire l'amour, ce que son ex ignore, c'est que c'est Alan qui est en train de la pénétrer, caché derrière elle dans la pénombre.



À nouveau, Sophie murmure son nom en gémissant :
- Oooh Seb...
Mais ses gémissements semblent plus plaintifs. Sébastien se demande si elle va bien. Un peu inquiet, il se redresse et s'assoit au bord de son lit. Il chuchote :
- Sophie... Tout va bien ?



Comme les gémissements se font plus présents, Sébastien vient s'asseoir à côté de Sophie. Et soudain, il comprend. Il voit la main d'Alan soulever la cuisse de Sophie et il distingue alors le sexe du jeune homme qui entre et sort lentement de la fente de son ex. C'est donc cela. Alan est en train de la baiser pendant qu'elle dort, pendant qu'elle rêve de lui, Sébastien. Alan prend alors conscience de sa présence :
- Ah, t'es là aussi. Tu prends ta part du gâteau ?



- Non, je...
- T'inquiète, je termine et je te la laisse.
Sébastien est tellement stupéfait qu'il ne sait pas comment réagir. En érection, il observe. Alan continue à la besogner et il ne peut s'empêcher de commenter :
- Elle dort comme une pierre.



- Je... je vois ça...
- Je l'aurais bien enculée, mais je suis trop gros et ça l'aurait réveillée. Mais toi, avec ta petite quéquette, tu pourras essayer si ça te tente.
Quel porc ! Sébastien en reste abasourdi. Et Alan se redresse pour se mettre à genou et continue de la pilonner.



Ses assauts se font plus féroces et il pousse peu à peu Sophie contre la cuisse de Sébastien. La main de la jeune fille se pose sur le haut de sa cuisse, les doigts effleurant les testicules. Sébastien n'ose plus bouger. Puis, la joue de la jeune fille se retrouve contre son membre turgescent. Les va-et-vient d'Alan font qu'elle bouge sa joue contre la colonne de chair palpitante. Tétanisé, Sébastien n'ose plus bouger. Alan rigole en le voyant :
- Essaye de lui mettre dans la bouche, je suis sûr qu'elle va aimer.



Sébastien ne sait plus où il en est. L'idée de se faire sucer par Sophie l'excite au plus haut point, mais il ne veut surtout pas faire ça à son insu, pendant son sommeil. Alan insiste pourtant tout en continuant à pilonner la jeune fille :
- Profites-en. Je ne garantis pas qu'elle reste endormie quand je vais lui balancer la purée...
- ... ?
Sébastien ne l'a pas vu venir. Il sent ses testicules se contracter et, soudain, sans qu'il ne puisse empêcher quoi que ce soit, il éjacule.



Plusieurs jets de sperme épais viennent s'écraser sur le visage endormi de son ex. Aussitôt, il s'écarte de son visage, mais son sexe, telle une puissante lance à incendie, continue de cracher l'épaisse liqueur et quelques jets viennent maculer la poitrine de Sophie. Alan rigole :
- Ben mon salaud, je n'aurais pas cru que ça t'exciterait autant de voir ton ex se faire tringler par un autre. Tu devais être sacrément en manque pour que ça gicle aussi rapidement sans que tu y touches. Regarde ça ! Tu lui en as foutu partout.



Sébastien ne sait plus où se mettre. Alan accélère la cadence et s'immobilise soudain.
- Mmmm, ça va être mon tour. Elle prend la pilule ?
- Quoi ?
- Elle prend la pilule ?
- Je crois... Pourquoi ?
- Je peux tout lâcher dedans, alors ?


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- Tu... tu n'as pas de capote ?
- Merde, trop tard... Rhhaaaa !
Alan sort son sexe au moment où il explose. Le sperme gicle sur le ventre de Sophie, ses cuisses et sa moule encore béante. Sébastien, horrifié, se demande s'il en a aussi lâché à l'intérieur avant de s'extraire.



Sophie dort toujours. Les garçons reprennent leur souffle. Sébastien se sent coupable. Coupable d'avoir éjaculé sur elle, coupable d'avoir laissé Alan faire.
- Merde, merde, merde... quel con...
Alan continue à se masturber pour extraire les dernières gouttes de sperme et il essuie son gland contre la cuisse de Sophie.



- T'inquiète. Si tu ne lui dis pas ce que j'ai fait, je ne lui dirai pas ce que tu as fait...
Sébastien attrape son tee-shirt et veut commencer à essuyer le visage de son ex en espérant ne pas la réveiller, mais Alan l'arrête.
- Laisse, je m'en occupe, j'ai une idée.



Il le voit attraper un petit flacon et mettre quelques gouttes sur son doigt. Puis il l'applique sous les narines de Sophie :
- De l'huile de massage. C'est très fort, ça l'empêchera de sentir l'odeur du sperme.
- Mais on ne peut pas la laisser comme ça...
Horrifié, Sébastien regarde le visage de son ex couvert de sperme.



- T'inquiète, je gère.
Alan prend avec les doigts le sperme sur le visage de Sophie. La respiration de celle-ci semble changer. Il fait signe à Sébastien :
- Recouche-toi et fais semblant de dormir.
Sans discuter, Sébastien s'exécute, mais il garde un œil entrouvert pour voir comment Alan va gérer si Sophie se réveille :
- Mais comment tu vas lui expliquer tout ce bordel ?
- T'inquiète. Je gère.
Ayant à peu près retiré toutes les traces de sperme sur le visage de Sophie, il commence à l'étaler sur sa poitrine. La jeune fille se réveille alors :
- Alan ?...



- Oui ma belle ?
Sophie se recule et protège sa poitrine de ses bras :
- Qu'est-ce que tu fous ?



- Bah, tu vois. Tu semblais ne pas être bien, comme si tu faisais un cauchemar. Courant quand on boit trop. Alors, je me suis dit qu'un petit massage te ferait du bien...
Sophie regarde son ventre nu :
- Tu m'as mise à poil ?
- Ah non, je pense que tu as dû retirer tout en te couchant parce que tu avais trop chaud. Tu ne t'en souviens pas ?
- Non... et c'est quoi ça ?



Suspicieuse, elle remarque les traînées blanches sur son ventre :
- Merde, c'est du... ?
- Oui, de la crème de massage, je commençais à te l'étaler quand tu t'es réveillée.
Sophie se redresse :
- Mais toi aussi, tu... tu es à poil ?


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- Bah oui, il fait hyper chaud. Je suis sûr que Sébastien aussi est à poil.
Sophie tourne la tête vers le lit où dort son ex :
- Seb...
Elle a une drôle d'impression, elle semble se souvenir d'un rêve avec son ex... Un rêve très chaud si elle en croit l'excitation qui lui vrille le ventre et l'humidité entre ses cuisses. Tournant la tête vers Alan, elle le voit assis à côté d'elle, le sexe tendu.
- Dis donc, ce n'est pas très décent, tout ça...
- Ah ça, c'est un réflexe. Même si j'ai l'habitude de masser des filles, quand je m'occupe des nichons ou de l'entrecuisse, je n'arrive jamais à contrôler cette partie de mon corps.


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- Je vois ça. Je vais éviter d'y toucher. Ce matin, le coup est parti tout seul...
- Ce matin, je n'étais pas réveillé. Là, tu peux t'amuser avec autant que tu veux, je ne lâcherai rien.
- Ah oui ?
Sophie semble vouloir relever le défi et, à genoux, vient le rejoindre. Elle saisit le membre en érection et commence à le masturber doucement.



Alan en profite pour lui caresser les cuisses. Sébastien n'en revient pas que Sophie entre aussi facilement dans le jeu de cet abruti. En même temps, cet abruti est parvenu à la baiser et maintenant à ce qu'elle le masturbe sans même avoir eu à lui demander. Sébastien trouve cela profondément injuste. Sophie serait-elle encore sous l'emprise de l'alcool ? En tout cas, elle semble bien s'amuser :
- Et si je te masse, là ? Tu crois que tu vas résister ?


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- Oh, tu sous-estimes mon self-control.
- Ton self-control ? Ton self-control résiste-t-il aussi à ça ?
Sébastien hallucine, il la voit se pencher sur l'épaisse tige dressée et lécher la base du gland.


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Alan ne répond pas. Il ferme les yeux et semble avoir des soubresauts. Manifestement, il a perdu le contrôle. Sophie glousse et se redresse :
- Oh, je crois que tu as perdu !
Le jeune homme rejette la tête en arrière alors que son sperme jaillit et vient s'écouler en épaisses flaques sur son ventre.


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Quand il rouvre les yeux, il voit Sophie qui fronce les sourcils en observant le membre qui commence à débander.
- Tu sembles déçue, ma belle...
- Oui... J'avais imaginé une effusion... plus conséquente...


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Alan se garde bien de lui dire qu'il a déjà éjaculé quelques minutes auparavant :
- Je garde de la réserve au cas où... Bravo à toi ! Tu as gagné.
- J'ai gagné quoi ?
- Ce que tu veux. Demande, je suis à toi.
Elle se redresse, encore luisante du sperme des deux hommes, et écarte les cuisses pour dévoiler son délicat petit abricot.
- Tes talents de masseur ? Juste pour ma chatte ?



Alan sourit :
- Avec plaisir, ma belle. Tu ne vas pas regretter.
Sophie s'allonge sur le dos et se laisse faire. Alan lui masse les seins de la main droite, tandis que sa main gauche glisse sur son entrejambe.



Quand elle commence à gémir, Alan abandonne la poitrine et vient se positionner entre les cuisses de la jeune fille :
- Allez. C'est parti.
L'une après l'autre, il lui écarte largement les cuisses, puis il masse du bout des doigts les lèvres et le clitoris.



Aux gémissements qu'il entend, Sébastien sait que Sophie ne va pas tarder à jouir. Les commentaires qu'Alan murmure semblent aller en ce sens :
- Oui, ma belle. Prends ton pied. Et quand tu en auras marre de mes doigts, j'aurai une proposition à te faire...
Les yeux entrouverts, la tête en partie cachée sous sa couverture, Sébastien surveille, la queue à nouveau dressée contre son ventre. Il voit aux mouvements de bras d'Alan qu'il est en train de la masturber.



Sophie trouve la force de lui répondre :
- Non...
- Non ? Pourquoi ?
- Trop gros...
Alan sourit en repensant aux quelques minutes plus tôt où il pénétrait tranquillement la jeune fille.
- Pas un problème ça, il suffit de préparer...
Alan retire son majeur et insère à la place trois de ses doigts, laissant le pouce et le petit doigt à l'extérieur. De son autre main, il caresse avec le pouce le clitoris dardé.



Il n'en faut pas plus à Sophie pour grimper au septième ciel. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, mais ne peut contrôler ni ses gémissements, ni les spasmes de plaisir qui ébranlent son corps. Sébastien se concentre, car, rien qu'à l'entendre jouir, il pourrait se mettre à éjaculer. Sophie met une bonne minute à retrouver son calme. Elle murmure alors un simple "merci" à Alan puis se tourne sur le ventre, cuisses écartées, exposant sa magnifique moule.



En quelques minutes, elle se replonge dans un sommeil profond.


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