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La reconquête : 17 - L'exploration Dimanche 25 juillet, 9:03 Quand Sébastien rejoint Sophie en bas dans le salon, il constate qu'Alan s'est aussi préparé pour la balade : - Tu nous accompagnes ? - On peut voir ça comme ça. Moi j'aurais plutôt dit que c'est toi qui nous accompagnes puisqu'on t'attend depuis cinq minutes. Sophie sourit et vient lui ébouriffer les cheveux affectueusement : - C'est parce qu'il se faisait beau. ![]() Alan soupire : - C'est vrai qu'il y avait du boulot. Bon, on y va ? Sébastien remarque que Sophie est en jupe et il lui demande : - Tu es sûre de vouloir rester en jupe pour crapahuter dans les rochers ? - Je n'ai pas lavé mon short hier. Avec un pantalon, je vais crever de chaud donc c'est un peu ma seule option. Alan s'agenouille devant elle et lui caresse les cuisses : - De si jolies cuisses dans un pantalon, ce serait un scandale ! - Idiot, relève-toi et fiche la paix à mes jambes. ![]() Alan se redresse, déçu. - Mince, je voulais essayer de savoir si tu avais mis une culotte. - Évidemment ! Je ne vais pas marcher en jupe avec les fesses à l'air. - Tu as tort, c'est sûrement très agréable. D'ailleurs, l'absence de soutif semble ne pas trop te gêner. D'un geste vif, il attrape le col du débardeur et le tire pour admirer la jolie poitrine libre. ![]() Sophie se dégage : - Ah ! Tu ne t'arrêtes donc jamais ?! - Jamais ! - Tu es vraiment obsédé. On a l'impression que pour toi, le monde tourne autour des fesses et des seins. Alan fronce les sourcils et regarde Sébastien : - Quoi ? Toi, ça ne te le fait pas ? Tu trouves ça désagréable de mâter les courbes de nanas ? Sébastien balbutie : - Non... Je... bien sûr que non. Sophie soupire : - Ah, les mecs. Tous les mêmes. Mais se rincer l'œil est une chose, tripoter et déshabiller une fille en est une autre. ![]() Alan réagit à cette attaque - Techniquement, je ne t'ai pas déshabillée ni tripotée. Je trouve que tu es dure avec moi. - Peut-être parce que tu es lourd, à force... - Non, mais écoute. Tirer sur un décolleté, ce n'est pas déshabiller. Et poser ma main sur ta jambe, ce n'est pas tripoter. - C'est sans mon consentement. - Ah ? Et Sébastien, il l'a ton consentement ? - Mmmm, je ne sais pas... Faut voir. Allez, allons-y. ![]() images similaires Sébastien sent son cœur se gonfler de joie, à la fois grâce à cette confiance que la jeune fille semble lui accorder, mais surtout grâce à ce regard et ce sourire qu'elle lui a adressés en sortant. Alors qu'ils longent la maison pour se diriger vers la forêt, Sébastien en profite pour se faire moralisateur vis-à-vis d'Alan : - Tu vois Alan. Si tu étais moins chiant, elle ne te repousserait pas systématiquement. Alan se tourne vers Sophie : - Oh, mais elle ne me repousse pas systématiquement. Je n'ai pas souvenir qu'elle ait essayé de me repousser quand je l'ai massée hier. N'est-ce pas, ma belle ? - Tu es souvent pénible, mais j'avoue que tu es un très bon masseur. ![]() Alan sourit comme si on venait de lui annoncer qu'il a gagné à l'Euro-million. Sébastien ronge son frein. Lui qui pensait avoir gagné des points, il est exaspéré de voir que Sophie puisse trouver des qualités à ce bellâtre vulgaire. Sophie se rend compte de la contrariété de son ex : - Seb, tout va bien ? - Non, c'est rien. Sans doute que j'aurai dû manger un peu avant de partir... La jeune fille le connaît suffisamment pour comprendre que la présence d'Alan n'est pas à son goût. ![]() Et Alan, qui ne se repose jamais, en rajoute une couche : - Je suis rassuré, Sophie ! Enfin, tu reconnais quelques-uns de mes talents. Pour te montrer ma gratitude, je vais t'improviser un petit massage des épaules, même en marchant. Se plaçant derrière elle, il se met à lui masser la nuque. Cela semble plaire à Sophie qui s'arrête pour en profiter. Sébastien voit bien qu'Alan en profite pour faire glisser une bretelle du débardeur. Quand il s'interrompt, Sophie se retourne pour le remercier sans se rendre compte que son débardeur bâille sur un sein dénudé. ![]() - Merci, ça fait du bien. Mais j'en aurais sans doute davantage besoin ce soir. - Sophie... Sébastien lui désigne le décolleté d'où la moitié de la poitrine s'est évadée. Sophie cache aussitôt pudiquement son sein : - Merde... Merci Seb ! ![]() Alan ouvre des yeux ronds et regarde Sébastien : - Mais qu'est-ce qui cloche chez toi ??? Pourquoi tu lui as dit, abruti ? Sophie rigole : - Il me l'a dit parce qu'il me respecte et que ma pudeur semble plus compter à ses yeux que de se rincer l'œil. Ce qui ne semble pas être ton cas, Alan. - Pffff... Vous ne savez pas rigoler. - Ce qu'il y a de drôle, c'est que tu réagis comme un gamin que l'on rabroue après une faute. ![]() - Ah, mais je n'ai pas honte de ce que je fais ! Sophie prend un air sérieux : - Et c'est sans doute ce qui est le plus inquiétant. Mais on commence à te connaître... Hop ! On y retourne. Elle passe entre les deux garçons et reprend la marche. La forêt étant assez clairsemée dans cette partie, ils peuvent marcher tous les trois de front, Alan et Sébastien encadrant la jeune fille. Marchant à un rythme soutenu, Sophie oblige les garçons à ne pas lambiner et espère ainsi limiter les attouchements. Toutefois, cette marche forcée la fait se hisser, sauter, escalader, tant et si bien que les bretelles de son débardeur glissent peu à peu de ses épaules sans qu'elle s'en rende compte. Alan, à bout de souffle, négocie une pause : - Sophie... On peut prendre cinq minutes pour boire un coup ? - Déjà fatigué ? On marche seulement depuis dix minutes... ![]() Lui aussi essoufflé, Sébastien désigne à Sophie les bretelles libérées de son débardeur. Sophie sourit et se contente de remonter la bretelle du côté où se trouve Alan : - Merci Seb. Je m'en étais rendu-compte. - Je crois qu'Alan aussi et il aurait pu en profiter. Alan ne semble pas avoir suivi la conversation et demande : - Profiter de quoi ? - Des bretelles de mon débardeur qui avaient glissé. ![]() - Pfff, trop essoufflé pour avoir remarqué... mais sinon, c'est sûr que j'aurais tiré dessus. Sophie soupire : - Je te reconnais bien là, petit pervers. Sébastien s'approche et s'amuse à tirer tout doucement sur la bretelle en souriant à Sophie, comme s'il la mettait au défi. La jeune fille répond à son sourire et, loin de le repousser, s'amuse même à s'écarter légèrement pour que, par ce mouvement, le sein se dégage. Sébastien lâche la bretelle comme s'il avait été pris en faute. Sophie lui sourit : - Oh Seb ! Quel coquin tu fais ! ![]() Alan n'en revient pas. Alors que Sophie rajuste son débardeur, il explose : - Quoi ? Alors moi, je suis un pervers et lui c'est un coquin ?! C'est quoi ce traitement de faveur ? Sophie se tourne vers lui : - Dis-donc, je suis majeure et je peux décider si je subis une blague ou si j'y participe. Tout à l'heure, j'ai eu l'impression que tu le faisais à mon insu. Là, c'est moi qui ai fait cela à l'insu de Seb. ![]() - N'empêche que c'est injuste. - Si tu me fiches la paix en étant vexé, j'aurais au moins gagné ça. Alan semble réellement contrarié et n'ose plus rien dire. Il se contente de regarder Sophie et plus particulièrement sa poitrine moulée dans le fin débardeur. La jeune fille n'a pas oublié l'absence de soutien-gorge et de sentir le regard insistant du garçon sur ses seins la fait réagir aussitôt. De manière incontrôlable, ses mamelons se tendent à travers le tissu et elle en a parfaitement conscience : - Bon, on repart. ![]() Alan sourit en voyant la gêne qu'il a suscitée : - C'est parti, ma belle. - Le chemin se rétrécit, on va devoir passer en file indienne. Ouvre donc la marche, Alan. Alan bougonne et passe devant. Quand la marche reprend, Sébastien ne dit rien, mais profite d'une position privilégiée lorsque son ex-copine se hisse sur un rocher ou escalade une partie plus escarpée du sentier, car il peut alors admirer ses fesses et son string sous la jupette. ![]() De son côté, Alan n'est pas en reste. Il s'est rendu compte qu'il était très intéressant de se montrer courtois à chaque passage un peu difficile. Il se retourne et dit à Sophie de faire attention, lui indique comment grimper ou propose même son aide pour la hisser plus haut. Elle décline toute aide systématiquement. Mais qu'importe la réponse de la jeune fille. Il profite alors de sa position en surplomb pour se rincer l'œil dans le large décolleté où il peut admirer les seins libres dès qu'elle se penche un peu. ![]() Alan se paie même le culot de détourner l'attention sur Sébastien : - Eh Sébastien ! Tu dois bien te rincer l'œil sur son joli petit cul, non ? Sébastien ne répond rien, se contentant de soupirer. Sophie tourne la tête vers lui : - Cela dit, Seb, tu as effectivement l'opportunité d'en profiter un peu, non ? ![]() - Je t'avoue que je ne cherche pas à détourner le regard quand l'occasion s'est présentée. - Et il y en a eu ? - Oui, presque autant que quand Alan te propose son aide et qu'il mate dans ton décolleté... Sophie tourne la tête et voit effectivement le regard d'Alan plongé dans l'encolure de son débardeur : - Merde, le salaud ! ![]() Alan rigole : - Moi je trouve que c'est un excellent stimulant pour notre petite balade, n'est-ce pas Sébastien ? - J'avoue que j'ai connu des randonnées plus ennuyeuses... - Ah, les garçons ! On ne vous changera pas, hein ? Bon, vous inversez les gars. Seb, tu passes devant. Sébastien fronce les sourcils : - Tu es sûre que c'est un bon choix ? - Bien sûr ! Il n'y a pas de raison que tu ne profites pas toi aussi de mon décolleté. Sébastien n'a pas envisagé ça sous cet angle et se garde d'exprimer à Sophie ses craintes concernant la présence d'Alan derrière elle. Et pourtant, dès l'escalade suivante, le nez sous la jupe devant lui, Alan exprime sa joie : - C'est magnifique de voir que cette petite balade te fait mouiller autant, ma belle ! ![]() Sophie se rend compte qu'effectivement son entrecuisse est un peu humide : - C'est la transpiration... - Je n'en crois rien. Tu es excitée d'avoir deux beaux mecs qui te reluquent sous toutes les coutures. - Dites-vous bien quand même que c'est à mon insu... - Oh, je n'en crois rien, tu sais parfaitement que tu n'as pas de soutif et que tu exhibes tes nibards à chaque fois que tu te penches un peu. - Ah oui ? Seb, c'est vrai ce que dit Alan ? Par jeu elle se penche en avant pour que Sébastien puisse profiter du spectacle et surtout faire enrager Alan. ![]() Sébastien, souriant, se rince l'œil sans la moindre honte : - Oh oui, c'est magnifique ! - Mais tu ne vois que ce que j'accepte que tu voies. - Mais Alan non plus n'est pas en reste, derrière... Alan attrape alors la culotte et la tire vers le bas : - Moi, je vois ce que j'ai envie de voir ! ![]() - Hey ! Poussant Sophie en avant, celle-ci, les jambes entravées par la culotte baissée, est obligée de s'appuyer sur la pente avec ses deux mains pour ne pas tomber, exposant au goujat sa croupe dénudée que la petite jupe ne dissimule pas pour le voyeur en contrebas. - Alan ! Tu fais chier ! Remonte-la tout de suite ! - Tu rigoles, c'est si mignon cette petite moule au naturel. ![]() Sophie tente de pivoter pour pouvoir se libérer les mains et rajuster sa culotte, mais Alan lui saisit fermement les mollets et l'empêche de changer de position : - Bouge pas, c'est parfait comme ça. - Alan, non ! - Allons, tu seras plus à l'aise sans. - Non ! Alan tire un coup sec sur le tissu. Sophie sent d'abord une vive douleur sur ses cuisses à l'endroit où le tissu était tendu avant de céder. Puis, Alan lance la culotte déchirée devant elle. Sébastien n'en revient pas : - Putain, mais t'es complètement con, Alan ! - Oh mon vieux, si tu voyais ce que je vois, tu ne dirais pas ça ! ![]() images similaires Sophie prend conscience qu'elle n'est plus entravée par la culotte et tente à nouveau de pivoter, mais Alan enroule un bras ferme autour de ses cuisses pour l'empêcher de procéder à la manœuvre. - Alan ! Lâche-moi, merde ! - Attends un peu... tu vas en redemander ma belle... Sophie pousse un petit cri de surprise en sentant l'index du garçon s'immiscer dans sa fente. ![]() La jeune fille se cambre en arrière comme pour aller au-devant de ce bienfaisant inquisiteur. La sentant céder, Alan relâche un peu son emprise et se met à la masturber lentement, laissant une cyprine abondante couler le long de ses doigts. - Ooooh, Alan, non... Sébastien ne voit pas, mais devine : - Sophie, ça va ? Il te fait mal ? - Non... mais dis-lui d'arrêter. Sébastien voit les seins magnifiques qui ballottent dans le décolleté juste sous ses yeux. Il n'a pas du tout envie que ce spectacle cesse. ![]() Avant que Sébastien ne dise quoi que ce soit, Alan intervient : - Putain, Sébastien. Si tu voyais comme elle mouille, cette coquine. Elle dégouline comme une fontaine. Sébastien voit alors le pervers plonger son visage entre les fesses de Sophie. Aux gémissements qu'elle émet alors, il devine qu'Alan est en train de lui lécher l'abricot et qu'elle cède totalement à ces jeux de langue sur son intimité. ![]() Alan s'écarte un instant et admire la jolie fente dont les lèvres écartées luisent de cyprine : - Ah Sébastien, je pense que tu as déjà eu l'occasion d'y goûter, mais le nectar de Sophie me donne envie de la fourrer sans plus attendre. Sébastien se redresse et voit qu'Alan commence à ouvrir son short : - Non mais, ça ne va pas ! Qu'est-ce que tu fous ? - Ne t'emballe pas. Je me mets juste à l'aise. Elle me fait trop bander, la petite. Franchement, sa moule m'excite beaucoup plus que ses nichons. ![]() Sébastien observe Sophie. Elle le regarde aussi. Son visage n'exprime ni la contrainte, ni la révolte. Elle semble attendre. Attendre la suite du plaisir qu'a initié Alan. Attendre une caresse, peut-être davantage. Accepterait-elle qu'il la pénètre, là, devant son ex-petit-copain ? Sans doute est-elle effectivement trop sous l'emprise du plaisir pour se rendre compte de la situation. Soudain, elle se redresse et gémit : - Ooooh, nooon... Sébastien observe que ni le ton, ni le visage de Sophie n'exprime réellement le "non" prononcé. Elle semble au contraire demander à Alan de poursuivre ce qu'il vient de commencer : l'index et le majeur masturbent son sexe tandis que la langue tourne autour de l'anus. ![]() Ce salaud de masseur parvient en un temps record à lui donner un orgasme : - Aaaah Aaaaaah Aaaaaaaaaaaah Oooooh ! Sébastien se demande s'il ne va pas éjaculer rien qu'à la voir jouir ainsi juste devant lui, en le regardant. Il parvient heureusement à se contrôler et lance un regard haineux à Alan. Tout en maintenant avec fermeté la croupe encore électrisée par l'orgasme, Alan se redresse, ravi et ignorant totalement le sens du regard de Sébastien : - Tu as vu ça ? Elle est partie en quelques secondes ! Je crois que c'est mon record... ça va lui rafraîchir les cuisses tant elle ruisselle de mouille. Tu devrais voir ça, c'est impressionnant. ![]() Sébastien n'est pas sûr du tout d'avoir envie de voir l'état dans lequel Alan a mis son ex en seulement quelques secondes. Gardant le silence, il se contente d'aider Sophie à se redresser : - Sophie, ça va ? - Oh Seb... Je suis désolée... si tu savais comme je me sens conne. - Ce n'est pas de ta faute, c'est un manipulateur. - Oui... un manipulateur... En voyant son visage apaisé et les mamelons qui tendent le tissu du débardeur, Sébastien se demande si la jeune fille donne un sens aussi négatif que le sien à "manipulateur". ![]() images similaires Quand elle a repris ses esprits, elle se retourne avec l'intention de gronder Alan, mais elle reste en arrêt devant le spectacle de la majestueuse érection qu'exhibe le garçon derrière elle : - Alan ! Tu.... ? - Hé hé, non. Je ne me suis même pas branlé, tu vois. Alors que ça aurait été un minimum. Mais je me la suis sortie parce qu'elle était vraiment trop à l'étroit dans mon short et je ne voulais pas qu'elle le fasse exploser. ![]() Sébastien s'énerve : - Putain, t'es vraiment un porc. Tu avais le temps de la ranger, non ? - Bah déjà non. Tu vois bien que je n'ai pas débandé. Et puis j'espérai un petit retour d'ascenseur de la part de Sophie... Sophie n'arrive pas à détacher son regard du membre magnifiquement dressé. Elle semble hésiter, puis elle se tourne vers Sébastien, comme perdue, avant de répondre à Alan : - Tu as abusé de moi. Cela n'a rien d'un échange de service. - Abusé ? Mes doigts d'or et ma langue t'ont donné un orgasme et tu dis que j'ai abusé de toi ? - En tout cas, je ne toucherai pas à ta queue. On continue. ![]() Elle passe devant et reprend l'ascension laissant les garçons derrière elle. Alan donne un coup de coude à Sébastien : - Admire un peu le spectacle de ce joli cul qui se déhanche. Sébastien ne répond pas. Il trouve Alan lourd, mais il doit bien avouer que cela l'excite beaucoup de suivre Sophie avec la vue dégagée que la minijupe offre sur la croupe dénudée. ![]() Arrivée à une zone plus plane, la jeune fille s'arrête et attend les garçons : - Ok, je comprends à vos mines réjouies que vous en avez profité pour mater sous ma jupe, je me trompe ? Sébastien la rejoint : - Désolé, je suis faible, mais ça ne fait de tort à personne de profiter d'une vue aussi charmante, n'est-ce pas ? - Non, c'est vrai que tant que vous vous contentez de regarder, je le tolère. ![]() Alan sourit : - Parfait. Continuons puisqu'on a ton autorisation. Sophie repart devant les garçons sachant pertinemment qu'ils en profitent tous les deux pour regarder sous sa mini-jupe. ![]() Alors qu'ils approchent du col et que la température caniculaire commence à se faire ressentir, Alan rejoint peu à peu Sophie jusqu'à lui emboîter le pas. - J'ai une soif terrible. Possible de me désaltérer à ta fontaine, ma belle ? Et comme pour bien expliciter son propos pourtant déjà clair, il passe son majeur sur la fente humide de la jeune fille qui le précède. ![]() - Hey ! Sophie s'arrête et se retourne : - Alan, tu fais chier. Tu peux regarder, mais pas toucher. - Désolé, je n'ai pas pu résister à ton joli fruit juteux. Alors c'est oui ? - Oui pour quoi ? - Pour que je te suce la moule pour me rafraîchir. - Dans tes rêves. ![]() Sophie se retourne et commence à descendre : - Allez, on rentre. Alan peste : - Merde, c'est nul les descentes. Où qu'on soit, on ne profite de rien... Puis il se penche vers Sébastien et lui chuchote : - Attends, je crois que j'ai une idée. Il dévale la pente pour rejoindre Sophie et la double. - J'ouvre la marche, j'ai trop la dalle. Sophie le regarde passer devant elle en rigolant : - Eh bien ! T'as vu ça, Seb ? Son estomac a supplanté sa queue... ![]() - C'est effectivement étrange. Méfie-toi. Ils voient alors Alan bifurquer vers la droite : - Alan ! Pas par-là ! C'est escarpé. Le sentier est en face. - Oui, mais ce sera plus direct et, de ce que j'ai vu, il n'y a qu'un petit escarpement à sauter. Quelques minutes après, ils arrivent à une petite corniche d'un peu plus d'un mètre de haut qu'Alan a déjà sauté sans difficulté. Sophie hésite : - Non avec ma jupe, ça être compliqué. Désolée, je vais faire le tour. - Mais, non attends ! dit Alan. Laisse-toi glisser, je vais t'attraper. - Ah Oui ? Encore une occasion de me tripoter, non ? - Allons, c'est ça ou bien tu remontes et tu perdras quinze minutes... Sophie se soumet. Se retournant, elle donne la main à Sébastien pour qu'il la retienne et se laisse glisser en bas. Très vite, elle sent les mains d'Alan sur ses fesses, sous la jupe. ![]() Une fois descendue, elle soupire : - Pffff, j'étais sûre que tu en profiterais. - Quoi ? Mais je t'ai juste aidée à descendre. Ce n'est pas la gratitude qui t'étouffe, toi... Sophie ne sait pas trop que penser et exprime sa reconnaissance : - Merci. J'espère que ton raccourci vaut le coup. Sophie repart dès que Sébastien a sauté pour les rejoindre. Alan lui sourit : - T'as vu ça ? Elle n'y a vu que du feu. Et j'ai encore une idée... Cette fois-ci, il reste avec Sébastien en arrière. Ce dernier est presque curieux de savoir quel ingénieux stratagème Alan va inventer pour tripoter ou mater les parties intimes de la jeune fille. Alors qu'ils arrivent en vue du gîte, Alan interpelle Sophie : - Hey Sophie, je crois que tu as oublié ça ! Quand elle se retourne, il lui lance une boule de tissu que Sébastien reconnaît : le string déchiré. Sophie reconnaît aussi le bout de tissu et, agacée, se penche vivement : - T'es vraiment un abruti de première, Alan... ![]() C'est plus qu'Alan en espérait. Dans son mouvement un peu hâtif, les seins de la demoiselle se sont échappés du décolleté. Les deux garçons la regardent, yeux écarquillés quand elle se redresse, indécente : - Tu avais gardé mon string ? - Apparemment, oui... - Tu es vraiment débile... ![]() - Ah non ! Un débile ne mettrait pas autant d'énergie et d'ingéniosité juste pour admirer tes seins ! Sophie baisse la tête et découvre l'état de sa tenue. - Merde ! ![]() Sophie se redresse et regarde Sébastien : - Et toi, tu le laisses faire ? Tu ne dis rien ? - Heu, désolé, mais j'avoue que je profite aussi du spectacle et que je ne me lasse pas d'admirer tes courbes parfaites. - Et bien admirez-les une dernière fois, car après on rentre et je me douche. Elle garde son décolleté ouvert quelques secondes en faisant saillir sa poitrine dans une posture de défi. ![]() Puis elle tire sur le décolleté et rajuste ses seins : - Voilà, je crois que vous en avez tous les deux amplement profité. Alan hoche la tête : - Merci, princesse. Tu as un corps splendide que j'aimerais faire plus que regarder. - Pour l'instant vous allez rentrer préparer le petit déjeuner, pendant que je me douche. - Je propose que Sébastien prépare le petit déjeuner et que je vienne me doucher avec toi pour gagner du temps. - Hors de question. Seb je n'aurais pas dit non. ![]() Sébastien met quelques secondes avant de comprendre qu'il s'agissait d'une invitation : - Quoi ? Que je... ? Heu, oui, bien sûr. - Je plaisantais, Seb. Occupez-vous du petit déjeuner. |